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Georges Frêche, la politique décomplexée !


metal guru

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Membre+, 27ans Posté(e)
metal guru Membre+ 33 559 messages
Maitre des forums‚ 27ans‚
Posté(e)

 

Le discours a plus de 10 ans :

HERAULT - 2009 - Georges FRECHE : J'ai toujours été élu par une majorité de cons

" Oui, Ce que je vous dis c'est l'évidence. Ah, mais si les gens fonctionnaient avec leur tête, mais les gens ils ne fonctionnent pas avec leur tête, ils fonctionnent avec leurs tripes. La politique c'est une affaire de tripes, c'est pas une affaire de tête, c'est pour ça que moi quand je fais une campagne, je ne la fais jamais pour les gens intelligents. Des gens intelligents, il y en a 5 à 6 %, il y en a 3 % avec moi et 3 % contre, je change rien du tout.

Donc je fais campagne auprès des cons et là je ramasse des voix en masse.

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 230 messages
79ans‚ Talon 1,
Posté(e)

"Le prince qui méprise son peuple prouve qu'il n'a pas réussi à l'éduquer." Montesquieu

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Membre+, 27ans Posté(e)
metal guru Membre+ 33 559 messages
Maitre des forums‚ 27ans‚
Posté(e)
il y a 21 minutes, Talon 1 a dit :

"Le prince qui méprise son peuple prouve qu'il n'a pas réussi à l'éduquer." Montesquieu

Le prince a été élu par qui et pour combien de temps ?

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 230 messages
79ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Par Prince, il faut aussi comprendre "toute personne qui a le pouvoir." Trop compliqué ?

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Membre+, 27ans Posté(e)
metal guru Membre+ 33 559 messages
Maitre des forums‚ 27ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Talon 1 a dit :

Par Prince, il faut aussi comprendre "toute personne qui a le pouvoir." Trop compliqué ?

Un prince n'a rien à faire auprès de ses sujets pour obtenir le pouvoir, ou à la limite par la force et il est souverain dans ses décisions,c'est quand même une démarche différente de celle qui consiste à séduire le peuple pour avoir un pouvoir relatif pour un temps défini ! Trop compliqué ?

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, metal guru a dit :

 

Le discours a plus de 10 ans :

HERAULT - 2009 - Georges FRECHE : J'ai toujours été élu par une majorité de cons

" Oui, Ce que je vous dis c'est l'évidence. Ah, mais si les gens fonctionnaient avec leur tête, mais les gens ils ne fonctionnent pas avec leur tête, ils fonctionnent avec leurs tripes. La politique c'est une affaire de tripes, c'est pas une affaire de tête, c'est pour ça que moi quand je fais une campagne, je ne la fais jamais pour les gens intelligents. Des gens intelligents, il y en a 5 à 6 %, il y en a 3 % avec moi et 3 % contre, je change rien du tout.

Donc je fais campagne auprès des cons et là je ramasse des voix en masse.

Oui mais il chiait sur lepen, donc tu trottinais pour apporter le rouleau! :)

 

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Membre+, 27ans Posté(e)
metal guru Membre+ 33 559 messages
Maitre des forums‚ 27ans‚
Posté(e)
il y a 14 minutes, PASCOU a dit :

Oui mais il chiait sur lepen, donc tu trottinais pour apporter le rouleau! :)

 

Il avait pas besoin de rouleau, il avait une cour de mec comme toi qui faisaient le taf avec leur langue ! !

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, metal guru a dit :

Il avait pas besoin de rouleau, il avait une cour de mec comme toi qui faisaient le taf avec leur langue ! !

Oui, des socialistes et communistes, donc tu peux m' exclure, toujours à  trottiner derrière Nephalion?

:smile2:

 

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 741 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, metal guru a dit :

Un prince n'a rien à faire auprès de ses sujets pour obtenir le pouvoir, ou à la limite par la force et il est souverain dans ses décisions,c'est quand même une démarche différente de celle qui consiste à séduire le peuple pour avoir un pouvoir relatif pour un temps défini ! Trop compliqué ?

Tu restes trop sur la lettre. Alors pense à Machiavel qui a écrit sur le cynisme en politique et a intitulé son ouvrage "le Prince" .

Cache un peu tes tripes, s'il te plait.

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 007 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 21 minutes, CAL26 a dit :

Tu restes trop sur la lettre. Alors pense à Machiavel qui a écrit sur le cynisme en politique et a intitulé son ouvrage "le Prince" .

Cache un peu tes tripes, s'il te plait.

 

On est toujours sur “le prince “ @metal guru place clairement le sujet dans le champ démocratique et non monarchique. L’intérêt de l’élu est de séduire une majorité et non d’agir pour le bien commun , ou même pour ce qu’il pourrait penser bien . 
C’est d’ailleurs pour éviter autant que faire se peut cet écueil que petit à petit de nombreuses autorités de régulation sont crées ou de comités divers et variés 

http://www.hervelievre.fr/2019/07/pour-un-etat-moderne.html

Décembre 1999, à Paris : Jean-Jacques Laffont, le plus célèbre des économistes français de sa génération, présente son rapport* très mesuré, est jugé blasphématoire par le parterre de hauts fonctionnaires, d’universitaires et d’hommes politiques présents. Ce n’est qu’un tollé, une suite ininterrompue d’interventions félicitant Jean-Jacques Laffont pour son « rapport remarquable » pour mieux expliquer ensuite qu’il n’a rien compris ou, pire, qu’il risque de corrompre la jeunesse française.

Que disait ce rapport ? Que les hommes politiques et les hauts fonctionnaires réagissent aux incitations auxquelles ils sont confrontés, tout comme les chefs d’entreprise, les salariés, les chômeurs, les intellectuels, ou… les économistes. Que la conception de l’État devrait en tenir compte. Esprit original et profond, Jean-Jacques Laffont ne faisait pourtant pas là preuve de beaucoup de créativité. De Montesquieu aux Founding Fathers de la constitution américaine, en passant par tous les grands constitutionnalistes et Karl Marx lui-même, la possibilité que l’État soit capturé par des intérêts particuliers au détriment de l’intérêt collectif et que dans un système démocratique la préoccupation d’être élu ou réélu prime sur toute autre préoccupation, ont toujours été le fondement même de la réflexion politique. Jean-Jacques Laffont, lui-même fort préoccupé par la chose publique (très jeune il avait renoncé à des situations confortables dans les meilleures universités américaines pour apporter sa pierre à l’édifice de l’université française, en province de surcroît), n’accusait en rien nos gouvernants. Il savait très bien que de nombreux hommes et femmes politiques commencent leur carrière idéalistes, soucieux de rendre le monde meilleur. Il savait aussi que la condamnation de la classe politique est un acte dangereux pour la démocratie qu’il faut laisser aux partis populistes et démagogues. Mais il déclencha une vague de protestations à la simple évocation de ce que nos dirigeants pouvaient être, comme tous les hommes et toutes les femmes, à la recherche de leur intérêt propre. La remise en cause du postulat de bienveillance de l’État touchait un point sensible chez les personnes qui commentaient le rapport ce jour-là. 

La plupart d’entre nous à travers le monde vivons dans une économie de marché mâtinée d’intervention de l’État. Une organisation de la société que nous aimons, tolérons ou détestons, mais sans toujours nous demander si d’autres visions sont possibles. Depuis le retentissant échec économique, culturel, social et environnemental des économies planifiées, nous faisons face à une sorte de fatalisme, tempéré pour certains d’indignation. Les Français en particulier sont en manque de repères. Ils sont au monde quasiment les plus méfiants vis-à-vis du marché et de la concurrence.

Certains prônent le maintien du statu quo, voire un monde alternatif assez flou, où le marché ne serait plus au centre de notre organisation sociale ; d’autres au contraire préconisent un État minimaliste, se concentrant sur ses fonctions régaliennes : droit et fonction judicaire, maintien de l’ordre et défense nationale, fonctions nécessaires à la sécurisation du contrat et du droit de propriété nécessaire à la libre entreprise. Ces deux visions sont inadaptées à la réalisation du bien commun. »

Jean Tirole ; "Économie du bien commun" ; Presses Universitaires de France - 2016

* : Jean-Jacques Laffont, Étapes vers un État moderne. Une analyse économique http://www.cae-eco.fr/IMG/pdf/024.pdfpage 117.

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 741 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 36 minutes, DroitDeRéponse a dit :

On est toujours sur “le prince “ @metal guru place clairement le sujet dans le champ démocratique et non monarchique. L’intérêt de l’élu est de séduire une majorité et non d’agir pour le bien commun , ou même pour ce qu’il pourrait penser bien . 
C’est d’ailleurs pour éviter autant que faire se peut cet écueil que petit à petit de nombreuses autorités de régulation sont crées ou de comités divers et variés 

http://www.hervelievre.fr/2019/07/pour-un-etat-moderne.html

Décembre 1999, à Paris : Jean-Jacques Laffont, le plus célèbre des économistes français de sa génération, présente son rapport* très mesuré, est jugé blasphématoire par le parterre de hauts fonctionnaires, d’universitaires et d’hommes politiques présents. Ce n’est qu’un tollé, une suite ininterrompue d’interventions félicitant Jean-Jacques Laffont pour son « rapport remarquable » pour mieux expliquer ensuite qu’il n’a rien compris ou, pire, qu’il risque de corrompre la jeunesse française.

Que disait ce rapport ? Que les hommes politiques et les hauts fonctionnaires réagissent aux incitations auxquelles ils sont confrontés, tout comme les chefs d’entreprise, les salariés, les chômeurs, les intellectuels, ou… les économistes. Que la conception de l’État devrait en tenir compte. Esprit original et profond, Jean-Jacques Laffont ne faisait pourtant pas là preuve de beaucoup de créativité. De Montesquieu aux Founding Fathers de la constitution américaine, en passant par tous les grands constitutionnalistes et Karl Marx lui-même, la possibilité que l’État soit capturé par des intérêts particuliers au détriment de l’intérêt collectif et que dans un système démocratique la préoccupation d’être élu ou réélu prime sur toute autre préoccupation, ont toujours été le fondement même de la réflexion politique. Jean-Jacques Laffont, lui-même fort préoccupé par la chose publique (très jeune il avait renoncé à des situations confortables dans les meilleures universités américaines pour apporter sa pierre à l’édifice de l’université française, en province de surcroît), n’accusait en rien nos gouvernants. Il savait très bien que de nombreux hommes et femmes politiques commencent leur carrière idéalistes, soucieux de rendre le monde meilleur. Il savait aussi que la condamnation de la classe politique est un acte dangereux pour la démocratie qu’il faut laisser aux partis populistes et démagogues. Mais il déclencha une vague de protestations à la simple évocation de ce que nos dirigeants pouvaient être, comme tous les hommes et toutes les femmes, à la recherche de leur intérêt propre. La remise en cause du postulat de bienveillance de l’État touchait un point sensible chez les personnes qui commentaient le rapport ce jour-là. 

La plupart d’entre nous à travers le monde vivons dans une économie de marché mâtinée d’intervention de l’État. Une organisation de la société que nous aimons, tolérons ou détestons, mais sans toujours nous demander si d’autres visions sont possibles. Depuis le retentissant échec économique, culturel, social et environnemental des économies planifiées, nous faisons face à une sorte de fatalisme, tempéré pour certains d’indignation. Les Français en particulier sont en manque de repères. Ils sont au monde quasiment les plus méfiants vis-à-vis du marché et de la concurrence.

Certains prônent le maintien du statu quo, voire un monde alternatif assez flou, où le marché ne serait plus au centre de notre organisation sociale ; d’autres au contraire préconisent un État minimaliste, se concentrant sur ses fonctions régaliennes : droit et fonction judicaire, maintien de l’ordre et défense nationale, fonctions nécessaires à la sécurisation du contrat et du droit de propriété nécessaire à la libre entreprise. Ces deux visions sont inadaptées à la réalisation du bien commun. »

Jean Tirole ; "Économie du bien commun" ; Presses Universitaires de France - 2016

* : Jean-Jacques Laffont, Étapes vers un État moderne. Une analyse économique http://www.cae-eco.fr/IMG/pdf/024.pdfpage 117.

Mais on part de la citation de @Talon 1 et il ne s'agit pas de prendre le mot "prince" au sens littéral.

Ce que dit Georges Frêche dans la vidéo, par ailleurs, ne concerne pas l'exercice du pouvoir mais seulement sa conquête.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 007 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 6 heures, CAL26 a dit :

Mais on part de la citation de @Talon 1 et il ne s'agit pas de prendre le mot "prince" au sens littéral.

Ce que dit Georges Frêche dans la vidéo, par ailleurs, ne concerne pas l'exercice du pouvoir mais seulement sa conquête.

 C’est encore une différence avec le prince . Après l’avoir conquis il doit poursuivre sur sa lancée pour ne pas perdre son taff . 

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Membre+, 27ans Posté(e)
metal guru Membre+ 33 559 messages
Maitre des forums‚ 27ans‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, CAL26 a dit :

Tu restes trop sur la lettre. Alors pense à Machiavel qui a écrit sur le cynisme en politique et a intitulé son ouvrage "le Prince" .

Cache un peu tes tripes, s'il te plait.

 

J'ai posté ce sujet parce que j'ai toujours trouvé cette intervention hallucinante, Frêche était très ami avec Nicollin, ils avaient en commun de s'exprimer la plupart du temps sans filtre. Vous me parlez de Prince, de cynisme mais pas de popularité, or tous les électeurs avaient les éléments nécessaires pour savoir quel personnage il était, il a pourtant été élu à maintes reprises aux municipales et même à la région et les deux personnes qui lui ont succédé à la mairie de Montpellier pendant 16 ans étaient ses lieutenants. A Montpellier il est encore vénéré par une grande partie de la population qui le regrette, alors si on fait abstraction de son cynisme, est ce que son discours a un fond de vérité sur l'électorat ou pas ?

Pour ceux qui ne connaissent pas bien le personnage voici le film documentaire sur lui qui était sorti sur grand écran à l'époque :

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 007 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 2 minutes, metal guru a dit :

J'ai posté ce sujet parce que j'ai toujours trouvé cette intervention hallucinante, Frêche était très ami avec Nicollin, ils avaient en commun de s'exprimer la plupart du temps sans filtre.
 

il a des couilles et n’est pas politiquement correct :sleep:

 

 

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Membre+, 27ans Posté(e)
metal guru Membre+ 33 559 messages
Maitre des forums‚ 27ans‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, CAL26 a dit :

Mais on part de la citation de @Talon 1 et il ne s'agit pas de prendre le mot "prince" au sens littéral. 

 

Je trouve que si on change le mot prince ( que n'est pas Freche ) par élu la phrase ne veut plus dire grand chose : "L'élu qui méprise son peuple prouve qu'il n'a pas réussi à l'éduquer."

L'élu est choisi par des personnes qui ne le prennent pas pour être éduquées mais pour qu'il améliore leur quotidien sous peine de dégager aux prochaines élections.

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Membre+, 27ans Posté(e)
metal guru Membre+ 33 559 messages
Maitre des forums‚ 27ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, DroitDeRéponse a dit :

il a des couilles et n’est pas politiquement correct

Et à Montpellier qui est une ville très marquée par son histoire ( pourtant courte ) avec Rabelais, il était souvent comparé à un personnage truculent sorti de l'imagination de cet auteur !

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 741 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, DroitDeRéponse a dit :

 C’est encore une différence avec le prince . Après l’avoir conquis il doit poursuivre sur sa lancée pour ne pas perdre son taff . 

Je ne m'attendais pas à apprendre autant de choses aujourd'hui !

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 741 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a une heure, metal guru a dit :

J'ai posté ce sujet parce que j'ai toujours trouvé cette intervention hallucinante, Frêche était très ami avec Nicollin, ils avaient en commun de s'exprimer la plupart du temps sans filtre. Vous me parlez de Prince, de cynisme mais pas de popularité, or tous les électeurs avaient les éléments nécessaires pour savoir quel personnage il était, il a pourtant été élu à maintes reprises aux municipales et même à la région et les deux personnes qui lui ont succédé à la mairie de Montpellier pendant 16 ans étaient ses lieutenants. A Montpellier il est encore vénéré par une grande partie de la population qui le regrette, alors si on fait abstraction de son cynisme, est ce que son discours a un fond de vérité sur l'électorat ou pas ?

Pour ceux qui ne connaissent pas bien le personnage voici le film documentaire sur lui qui était sorti sur grand écran à l'époque :

 

Oublie le mot prince. Il a été populaire parce que surtout plutôt efficace pour dynamiser Montpellier.

Dans sa vidéo je pense qu'il déplore qu'il faille être populiste ou démagogue pour accéder au pouvoir mais il ne semble pas accepter ce genre de concession durant l'exercice du pouvoir.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 007 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 4 heures, metal guru a dit :

Et à Montpellier qui est une ville très marquée par son histoire ( pourtant courte ) avec Rabelais, il était souvent comparé à un personnage truculent sorti de l'imagination de cet auteur !

La truculence et le bon vivant c’est important . On pourrait aussi citer Patrick Balkany . L’electeur doit pouvoir aussi se reconnaître dans son maire, il doit être représentatif !

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