Il n'y a que moi

Ce n'est pas de la solitude, encore moins de l'égo, peut être simplement de l'égoisme mais toujours est t-il qu'avant de se retrouver seul devant l'éternité, l'éternel problème est de pouvoir donner le change...

Qu'avais-je en moi ?

... voilà pour la peur de la page blanche ...

il y a 15 minutes, brooder a dit :

pouvoir donner le change...

Il y a des bureaux pour ça.

il y a 1 minute, Talon 1 a dit :

Il y a des bureaux pour ça.

Pour avoir mis le nez dans les coffres forts, je peux vous dire qu'il y est ou non quelque chose, cela fait peur.

il y a 4 minutes, brooder a dit :

Pour avoir mis le nez dans les coffres forts, je peux vous dire qu'il y est ou non quelque chose, cela fait peur.

 

Mais c'est mettre son nez dans son fort intérieur qu'il nous demande ...

à l’instant, Sittelle a dit :

Mais c'est mettre son nez dans son fort intérieur qu'il nous demande ...

"petit à petit, l'oiseau fait son nid" ainsi "les ruisseaux font les fleuves" et "tant va à l'eau, qu'à la fin ..."

"...avant de se retrouver seul devant l'éternité..."

C'est en effet terrible comme question... perso je me dirais à ce moment précis : "Enfin libre, éternellement libre !"

il y a 5 minutes, Groenland a dit :

"...avant de se retrouver seul devant l'éternité..."

C'est en effet terrible comme question... perso je me dirais à ce moment précis : "Enfin libre, éternellement libre !"

"L'être et le néant" parait que c'est la réponse mais "il faut sortir ses bachots" ...

il y a 5 minutes, brooder a dit :

"L'être et le néant" parait que c'est la réponse mais "il faut sortir ses bachots" ...

 

Paix sur toi l'homme énigmatique !

"L'homme, quand sa vie n'est que peine, a-t-il le droit de regarder au-dessus de lui et de dire : moi aussi, C'est ainsi que je veux être? Oui."

il y a 1 minute, Groenland a dit :

Paix sur toi l'homme énigmatique !

"L'homme, quand sa vie n'est que peine, a-t-il le droit de regarder au-dessus de lui et de dire : moi aussi, C'est ainsi que je veux être? Oui."

... simplement ressentir et dire tant qu'il y a de l'air !

Depuis toujours je suis obsédé par cette question de la justesse... Et notamment par la juste distance entre soi et les autres plutôt bien illustré par cette allégorie des hérissons sur la banquise que j'ai volé à Schopenhauer (ne lui dites surtout pas). Ce hérisson qui a froid sur la banquise et qui va chercher un peu de chaleur érinacéidée (mot compte triple), mais se rapprochant le hérisson se pique aux autres, alors il s'éloigne... et puis en s'éloignant, il a froid... alors il décide d'aller rechercher un peu de chaleur... mais se rapprochant il a froid... alors il s'éloigne... 

Soit on considère qu'entre ces deux inconforts (le froid et les piqûres) il y a deux points de conforts optimaux mais bref, soit on considère que l'équilibre est le mouvement lui même. La vie quoi... 

Une fois mort, notre hérisson n'aura plus besoin de chercher la chaleur de ses congénères et on peut supposer qu'il n'aura plus froid non plus. Du moins si on estime qu'une fois mort, le froid ne nous dérange plus. 

il y a 10 minutes, Crabe_fantome a dit :

Depuis toujours je suis obsédé par cette question de la justesse... Et notamment par la juste distance entre soi et les autres plutôt bien illustré par cette allégorie des hérissons sur la banquise que j'ai volé à Schopenhauer (ne lui dites surtout pas). Ce hérisson qui a froid sur la banquise et qui va chercher un peu de chaleur érinacéidée (mot compte triple), mais se rapprochant le hérisson se pique aux autres, alors il s'éloigne... et puis en s'éloignant, il a froid... alors il décide d'aller rechercher un peu de chaleur... mais se rapprochant il a froid... alors il s'éloigne... 

Soit on considère qu'entre ces deux inconforts (le froid et les piqûres) il y a deux points de conforts optimaux mais bref, soit on considère que l'équilibre est le mouvement lui même. La vie quoi... 

 

Une fois mort, notre hérisson n'aura plus besoin de chercher la chaleur de ses congénères et on peut supposer qu'il n'aura plus froid non plus. Du moins si on estime qu'une fois mort, le froid ne nous dérange plus. 

C'est là que pour moi, "il faut rendre à César ce qui est à César" !

il y a 15 minutes, brooder a dit :

C'est là que pour moi, "il faut rendre à César ce qui est à César" !

 

Encore faut il croire en César... S'il n'y a pas de César on fait quoi? 

il y a 1 minute, Crabe_fantome a dit :

Encore faut il croire en César... S'il n'y a pas de César on fait quoi? 

On se trouve un Vendredi

il y a 6 minutes, brooder a dit :

On se trouve un Vendredi

 

Une très bonne lecture de confinement soit dit en passant... Et puis avec l'illustration on se dit qu'il n'était pas si seul que ça:

il y a 2 minutes, Crabe_fantome a dit :

Une très bonne lecture de confinement soit dit en passant... Et puis avec l'illustration on se dit qu'il n'était pas si seul que ça:

 

 

Ce livre a été mon livre d'entrée dans mes "humanités" http://libresavoir.org/index.php?title=Vendredi_ou_les_limbes_du_Pacifique_de_Michel_Tournier

Bon....... il est peut-être temps que tu expliques ton sujet.

il y a 18 minutes, Crabe_fantome a dit :

Encore faut il croire en César... S'il n'y a pas de César on fait quoi? 

On lui en vend ..

"Il faut vendre à César  ce qui ... "

il y a 1 minute, Sittelle a dit :

On lui en vend ..

"Il faut vendre à César  ce qui ... "

Encore qu'il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué... Mais peut être que César s'en charge aussi de ça. 

il y a 2 minutes, Crabe_fantome a dit :

Encore qu'il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué... Mais peut être que César s'en charge aussi de ça. 

De nos jours nos "César" ont la peau dure donc il n'y a rien de mal à leurs passer un peu de brosse à reluire ...

Cela pourrais se traduire "par leurs faire crédit" !

il y a 4 minutes, brooder a dit :

De nos jours nos "César" ont la peau dure donc il n'y a rien de mal à leurs passer un peu de brosse à reluire ...

Cela pourrais se traduire "par leurs faire crédit" !

 

Nous devrions leurs décerner un Oscar