Reconnaître le suicide forcé ?

Il y a 7 heures, DroitDeRéponse a dit :

Je n’ai rien à t’apprendre . Tu me dis que tu ne conçois pas que l’on puisse par exemple être heureux en rendant malheureux . Je l’ai vécu avec cette personne qui y prenait un grand plaisir . Tout comme un sadique jouit de la souffrance et le maso jouit de celle qu’on lui inflige.

Apres peut être me diras tu , prendre du plaisir , jouir ce n’est pas ca être heureux . D’où ma question , à laquelle tu n’as pas répondu : être heureux c’est quoi si ce n’est jouir , prendre du plaisir , trouver de la joie dans ? 

Enfin tu me parleras de mal être . Je crois que l’ethymologie parle pour elle non , ne vois tu pas le bien être , comme ce que tu considères toi être bien ?  

Bah c'est dommage parce que tu n'es pas le premier à me dire qu'on peut se suicider pleinement heureux alors maintenant j'aimerais bien qu'on me le démontre.

J'ai dit sans aucun mal être et sans déviance mentale. Donc le sadique et le masochiste ne peuvent être pris comme exemple. 

A l'inverse du mal être se trouve le bien être et la sérénité, pas de torture ni du corps ni du cerveau. Tu vas bientôt me dire qu'un masochiste va aller jusqu'à se suicider dans ses pratiques et qu'il hurlera son bonheur. Non mais, tu trouves ça vraiment normal ? 

il y a une heure, January a dit :

Bah c'est dommage parce que tu n'es pas le premier à me dire qu'on peut se suicider pleinement heureux alors maintenant j'aimerais bien qu'on me le démontre.

Comme je te l’ai déjà dit il faudrait déjà me dire ce que signifie « pleinement heureux «  . Je ne sais pas ce que tu entends par cette expression. 
Ensuite ta demande de démonstration est pour moi idiote puisque nous sommes dans le domaine du subjectif et non du savoir .

Citation

J'ai dit sans aucun mal être et sans déviance mentale. Donc le sadique et le masochiste ne peuvent être pris comme exemple. 
 

Donc il y a le pleinement heureux sans déviance mentale. Du coup ta question fait la réponse . Finalement toute personne heureuse en rendant malheureuse autrui serait finalement déviante mentalement. Tu poses une norme ( à préciser ) qui est ta prémisse . Partant de là ta demande n’est pas très honnête .

1- Qui fait À est déviante mentalement 

2- Démontre que qui n’est pas déviante mentalement fait À 

Citation

A l'inverse du mal être se trouve le bien être et la sérénité, pas de torture ni du corps ni du cerveau

Du coup qui se tatoue , se scarifie est mentalement déviant et en mal être ?

Des africains ou autochtones du pacifique par exemple seraient donc en mal être ?

Qui fait du mal à autrui serait donc nécessairement en mal être ?

Citation

. Tu vas bientôt me dire qu'un masochiste va aller jusqu'à se suicider dans ses pratiques et qu'il hurlera son bonheur. Non mais, tu trouves ça vraiment normal ? 

Des masochistes hurlant leur jouissance d’avoir mal oui ça existe . Et les personnes dont je te parle trouvaient une grande satisfaction dans le sentiment de culpabilité qu’elles avaient généré chez leurs proches . Elles prenaient un grand plaisir d’ailleurs à appeler pour prévenir que ça allait arriver. Et ça arrivait . Ça s’est arrête pour l’une d’elles avec le succès de son entreprise .

il y a 2 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Des masochistes hurlant leur jouissance d’avoir mal oui ça existe . 

C'est sûr, ça porte même un nom : la paraphilie.

Pour le reste tu déformes tous mes propos, donc j'arrête là. Décidément personne ne réussira jamais à me faire changer d'avis avec une réflexion intéressante...

il y a 26 minutes, January a dit :

C'est sûr, ça porte même un nom : la paraphilie.

Pour le reste tu déformes tous mes propos, donc j'arrête là. Décidément personne ne réussira jamais à me faire changer d'avis avec une réflexion intéressante...

Je ne déforme rien du tout . Tu pars du principe que le fait d’être heureux répond à une norme à laquelle tu adhères et que ce qui en sort est une déviance . Partant de là nous sommes dans l’auto référence , il est effectivement parfaitement inutile d’aller plus loin , puisque l’hypothèse implique la conclusion. 
Quant à démontrer , c’est ta demande et non ma démarche, puisque la démo est par nature impossible .

Voici mon propos :

 »

C’est faux . J’ai eu un proche qui tentait régulièrement de se suicider . Il n’était pas soumis à des pressions psychologiques 

 « 

D’où tu es parti . Je le maintiens puisque ça correspond à ce que j’ai pu vivre . J’aurais aimé que tu me démontres ta contradiction ( je plaisante , te demander ça serait complément idiot ) , non que tu m’expliques ce que tu entendais par être heureux ou mal être, car je trouve le terme mal être très intéressant si on s’y arrête car il est lourd de sens . Mais tu ne partages pas donc l’échange ne peut se faire puisqu’il se limite à ta prémisse . OK .

Tu tournes en rond.  Et ça n'apprend rien, et puis en plus c'est hs ici, bravo moi, je quitte. 

UP ! Marlène Schiappa retient la mesure.

La reconnaissance que le suicide d'une femme ayant subi des violences conjugales a été "forcé" par son conjoint, qui a exercé une pression psychologique sur elle, figurera parmi les mesures retenues dans le Grenelle des violences conjugales, annonce vendredi Marlène Schiappa

https://www.laprovence.com/actu/en-direct/5772742/violences-conjugales-marlene-schiappa-annonce-envisager-la-creation-dune-notion-de-suicide-force.html

Une nouveauté accueillie d'un bon oeil par la famille de Melissa, une jeune femme qui s'est suicidée en 2016 en sautant de deuxième étage d'un immeuble de Chambéry en Savoie. 

"Elle ne s’est pas jetée comme ça en disant 'j’en ai marre de la vie', pour nous, c'était une fuite, il fallait qu'elle parte, et la seule porte de sortie, c'était celle-ci", explique auprès de BFMTV Corinne Pierrot, sa mère. 

"C'est une fille qui était joyeuse, qui aimait travailler, avoir des amis, qui aimait sortir. Et puis petit à petit, c'est l’emprise, c'est des violences verbales, c'est du chantage…", détaille-t-elle. 

De fait, l'enquête a pu démontrer que les violences verbales répétées de son compagnon avaient bien été à l'origine du suicide.

"Je compare avec des coups de couteau, un mot qu’on dit, c’est comme un coup de couteau qu’on reçoit. Je ne veux plus que ça recommence et je ne veux pas non plus que d’autres personnes le fassent à d’autres femmes", conclut encore Corinne Pierrot. 

https://www.bfmtv.com/societe/je-ne-veux-plus-que-ca-recommence-le-temoignage-de-la-mere-de-melissa-victime-d-un-suicide-force-1811538.html

Le 04/11/2019 à 10:06, Ines Presso a dit :

Pourquoi ? Parce que derrière le suicide, on pourrait toujours voir d’autres facteurs que le seul harcèlement du mari, du patron, d’internet ( pour les jeunes ) ?  

d’autres facteurs que le seul harcèlement du mari, de l"épouse, du patron, d’internet ( pour les jeunes ) ?  

il y a une heure, genese a dit :

d’autres facteurs que le seul harcèlement du mari, de l"épouse, du patron, d’internet ( pour les jeunes ) ?  

Oui ? Quelle est la question ? 

il y a une heure, Ines Presso a dit :

Oui ? Quelle est la question ? 

la réponse est dans la question initiale!!

il y a 31 minutes, genese a dit :

la réponse est dans la question initiale!!

Mais ma question s’adressait au forumeur que je citais.