Besoin d'idée de fable pour une Dissertation

Bonjour, merci aux futurs personnes qui prendront le temps de me me répondre. J'ai une dissertation à faire où je dois répondre à la problématique : "Quelle conception du bonheur livrent les fables de La Fontaine ?". Je dois faire ma dissert en me basant des livres de 7 à 11 des fables où je dois piocher 6 fables qui correspondent le mieux à ma problématique. Ma demande est la suivante: Auriez vous des fables à m'indiquer qui seraient en rapport à la problématique. J'ai pour le moment trouver les fables :"Le Savetier et le financier" , "le souhaits" et "les deux amis".

il y a 9 minutes, Tfoxorigine a dit :

Bonjour, merci aux futurs personnes qui prendront le temps de me me répondre. J'ai une dissertation à faire où je dois répondre à la problématique : "Quelle conception du bonheur livrent les fables de La Fontaine ?". Je dois faire ma dissert en me basant des livres de 7 à 11 des fables où je dois piocher 6 fables qui correspondent le mieux à ma problématique. Ma demande est la suivante: Auriez vous des fables à m'indiquer qui seraient en rapport à la problématique. J'ai pour le moment trouver les fables :"Le Savetier et le financier" , "le souhaits" et "les deux amis".

Est-ce que tu as pris la peine de lire les livres 7 à 11? On n'est pas dans un centre d'aide aux devoirs post "j'ai rien foutu" ici !

C’est une chose de ne pas savoir comment commencer, ou de ne pas avoir envie de se creuser les méninges, alors dans ce cas, il y a ton ami google, mais là aussi il faut faire un petit effort de recherche. 

Source http://lettres.ac-rouen.fr/francais/fables/L_plan.html

Extrait

Livre 7

Proposition de plan

Quelles leçons de sagesse peut-on tirer des fables ?

I - L'homme est fait pour vivre en société 

• Rester à sa place dans la société 
• Être utile à la société 
• Ne pas troubler l'ordre social 

II - Il est bon de garder le sens de la mesure 

• Pas d'excès 
• Pas d'orgueil ni de vanité, mais de la modestie 

III - La raison est un guide plus sûr que les rêves et les illusions 

• Faire confiance à la raison 
• Garder le sens des réalités 
• Ne pas prendre de risques en poursuivant ses « chimères »

La lice (chienne destinée à la reproduction) et sa compagne. (Fable pessimiste)

"Une lice étant sur sont terme et ne sachant où poser ce fardeau si pressant,

Fait si bien qu'à la fin sa compagne consent,

A lui prêter sa niche où la lice s'enferme.

Au bout de quelques temps, sa compagne revient.

La lice lui demande encore une quinzaine,

Ces petits ne marchaient, disait-elle, qu'à peine.

Pour faire court, elle l'obtient.

 Ce second terme échu, l'autre lui redemande sa niche, sa chambre et sont lit.

Cette fois-ci, la lice montre et dents et dit :

"Venez-donc nous mettre hors."

Ces enfants étaient déjà forts.

 Ce que l'on prête aux méchants, toujours on le regrette,

Pour tirer d'eux ce qu'on leur prête, il faut que l'on en vienne aux coups,

 Il faut plaider, il faut combattre.

Laissez-leur prendre un pied chez vous,

Ils en auront bientôt pris quatre."

Ecrit de mémoire, à vérifier la versification.

Je pense à la fable: les  deux pigeons.

Il y a 15 heures, Tfoxorigine a dit :

"Quelle conception du bonheur livrent les fables de La Fontaine ?"

Les fables de La Fontaine sont des caricatures (très ciselées) dénonçant les travers humains.

L’astuce ici, consiste à présenter les animaux comme des personnages, de tel façon que personne ne puisse s’identifier directement aux situations vécus, et de prendre les remarques comme une accusation personnelle.

Cela lui a permis, d’être très moralisateur sans être ennuyeux, ce qui est souvent le cas (pénible et chiant) chez ceux ou celles qui se présentent en donneur de leçon permanent à la terre entière.

En deux mots, si le bonheur consiste exclusivement à ne pas faire aux autres ce que l’on n’aimerait pas que l’on vous fit, La Fontaine et ses fables ont atteint la cible.

Mais le bonheur, c’est quelque chose de tellement subjectif pour chacun de nous d’une part, et de tellement difficile à formuler d’autre part,  « conception du bonheur » me semble ici une enflure littéraire superflue.