à l’instant, Condorcet a dit :

Quel est le problème ? 

Le choix du vocabulaire....

il y a 1 minute, Dzag a dit :

Le choix du vocabulaire....

C'est plutôt un problème de lecture du français. C'est une tournure de phrase. Reconnaissent que... Déclarent que... Avancent que... Avouent que... veut dire précisément la même chose.

C'est plutôt un problème dans le cerveau du lecteur, une association d'idée qui fait un cours-jus : pénal  / avouer. 

Mais c'est bien ça va permettre de monter une histoire et faire du buzz. Belloubet traite les victimes comme des coupables. 

Les synonymes, sympas : accorder, admettre, reconnaître, concéder, consentir.

Et allez ! On va "signaler" des maltraitances (oulalaaa faut pas dire dénoncer ça fait super peur aux gens), mais les victimes de violences vont "avouer", bah voyons. 

On va les cuisiner aussi ? Non mais parce-que moi je comprends qu'à un moment donné elles veuillent rien dire du coup !

@Condorcet : tu sauras que chez les victimes de SSPT, les mots revêtent une importance énorme, alors c'est peut être disproportionné ok, mais peu importe : Belloubet ne maîtrise vraiment pas son sujet et si les professionnels annoncés sont formés comme ça et bah ça va être joli ! 

Franchement si moi je dis ça à une victime je suis virée illico, mais bon, ça me viendrait pas à l'idée non plus.. Tristesse.

il y a 2 minutes, January a dit :

@Condorcet : tu sauras que chez les victimes de SSPT, les mots revêtent une importance énorme, alors c'est peut être disproportionné ok, mais peu importe : Belloubet ne maîtrise vraiment pas son sujet et si les professionnels annoncés sont formés comme ça et bah ça va être joli ! 

Et c'est parti.

Tu pourrais au moins attendre que la première couche soit sèche ? 

à l’instant, Condorcet a dit :

Et c'est parti.

Tu pourrais au moins attendre que la première couche soit sèche ? 

Quoi c'est parti ?  J'anime un sujet sur le grenelle des violences conjugales, ça t'a pas échappé ? Donc au fil du temps je publie des articles. Et c'est pas vraiment un problème parce-que personne n'en a rien à foutre des violences conjugales, dans moins d'une semaine, je parlerai toute seule ici ! 

à l’instant, January a dit :

Quoi c'est parti ?  J'anime un sujet sur le grenelle des violences conjugales, ça t'a pas échappé ? Donc au fil du temps je publie des articles. Et c'est pas vraiment un problème parce-que personne n'en a rien à foutre des violences conjugales, dans moins d'une semaine, je parlerai toute seule ici ! 

Belloubet au gibet, Belloubet au gibet... 

il y a 2 minutes, Condorcet a dit :

Belloubet au gibet, Belloubet au gibet... 

J'aime bien, ça rime. 

Nan mais si j'avais voulu polémiquer j'aurais fait un sujet à part entière, et là c'est sûr qu'il y aurait eu tollé. Ca ne m'intéresse pas d'attirer la foule, je préfère les comités restreints, on y discute au moins. 

il y a 19 minutes, Condorcet a dit :

C'est plutôt un problème de lecture du français. C'est une tournure de phrase. Reconnaissent que... Déclarent que... Avancent que... Avouent que... veut dire précisément la même chose.

C'est plutôt un problème dans le cerveau du lecteur, une association d'idée qui fait un cours-jus : pénal  / avouer. 

Mais c'est bien ça va permettre de monter une histoire et faire du buzz. Belloubet traite les victimes comme des coupables. 

 

Victime, déclare.

Auteur, avoue. 

Penal..... 

La prise en charge du conjoint violent, une mesure qui a fait ses preuves mais qui continue de gêner

"Prendre en charge les auteurs, c'est aider les victimes"

Aborder la question du traitement des auteurs de violence revient à mieux prendre en compte les violences conjugales dans leur globalité "car prendre en charge les auteurs de violences, c’est aider les personnes victimes", souligne Jérôme Bertin, directeur général de l’association France Victimes et membre du groupe justice pour le Grenelle. "On parle beaucoup de la question de l’éloignement du conjoint violent, avec la mise en place du bracelet électronique dès que possible, mais si cette mesure n’est pas accompagnée d’une prise en charge et d’un traitement, alors vous mettez toutes les chances du côté de la récidive".

https://www.marianne.net/societe/la-prise-en-charge-du-conjoint-violent-une-mesure-qui-fait-ses-preuves-mais-qui-continue-de

11.000 appels en octobre, 400 par jour en novembre : le nombre d'appels au 3919 ne faiblit pas

https://www.lci.fr/population/11-000-appels-en-octobre-400-par-jour-en-novembre-le-nombre-d-appels-au-3919-ne-faiblit-pas-2138226.html

M6 a programmé une soirée spéciale "violences conjugales".

Dans le numéro d'Enquête exclusive diffusé à 23h10 le 24 novembre 2019, treize minutes des six heures d'audition de Bertrand Cantat vont être dévoilées. Le rockeur, ex-compagnon de Marie Trintignant, morte à Vilnius en 2003 (Lituanie) des suites des coups portés par le chanteur, a été entendu par la justice les 8 et 21 août 2003. Si Paris Match en avait publié en 2004 le verbatim, la vidéo n'a jamais été diffusée.

https://www.purepeople.com/article/mort-de-marie-trintignant-l-audition-filmee-de-bertrand-cantat-devoilee_a362003/1

Le 18/11/2019 à 09:35, Dzag a dit :

Victime, déclare.

Auteur, avoue. 

Penal..... 

Marrant de donner des leçons à Belloubet de maîtrise de la juste formule à employer dans ce contexte alors que l'on parle sans vergogne de plan Marshall.

Faut pas avoir idée de ce qu'était le plan Marshall, l'Europe complètement détruite, les USA produisant plus de la moitié de l'activité manufacturière dans le monde et un plan assorti d'un tombereaux de dollars qui fait passer en comparaison nos banquiers centraux pour des petits joueurs... 

il y a 58 minutes, Condorcet a dit :

Marrant de donner des leçons à Belloubet de maîtrise de la juste formule à employer dans ce contexte alors que l'on parle sans vergogne de plan Marshall.

Faut pas avoir idée de ce qu'était le plan Marshall, l'Europe complètement détruite, les USA produisant plus de la moitié de l'activité manufacturière dans le monde et un plan assorti d'un tombereaux de dollars qui fait passer en comparaison nos banquiers centraux pour des petits joueurs... 

Sauf que j'ai pas parlé de plan marshall... et que je file pas de leçons de vocabulaire, je commente juste un choix qui me semblait, à moi, pas le meilleur. 

il y a une heure, January a dit :

M6 a programmé une soirée spéciale "violences conjugales".

Dans le numéro d'Enquête exclusive diffusé à 23h10 le 24 novembre 2019, treize minutes des six heures d'audition de Bertrand Cantat vont être dévoilées. Le rockeur, ex-compagnon de Marie Trintignant, morte à Vilnius en 2003 (Lituanie) des suites des coups portés par le chanteur, a été entendu par la justice les 8 et 21 août 2003. Si Paris Match en avait publié en 2004 le verbatim, la vidéo n'a jamais été diffusée.

https://www.purepeople.com/article/mort-de-marie-trintignant-l-audition-filmee-de-bertrand-cantat-devoilee_a362003/1

 

 

Les fonds de poubelle. Les éboueurs seront donc de sortie !

Je crois que c'est bien que ce soit diffusé, il y a encore des gens qui nient la réalité. Et au quotidien, on voit bien que c'est ça le problème : les gens nient la réalité. Alors bon, pour une fois, regardez donc la description et les gestes de Cantat, en face du rapport d'autopsie ça tient pas très bien.  

Il en restera toujours, on le sait bien, pour dire "c'est elle qui l'a frappé il s'est défendu" (la bonne blague), ou alors : "ils se sont battus" (la bonne blague aussi). Mais peut être qu'après avoir vu ça, il en restera moins.

il y a 1 minute, January a dit :

Je crois que c'est bien que ce soit diffusé, il y a encore des gens qui nient la réalité. Et au quotidien, on voit bien que c'est ça le problème : les gens nient la réalité. Alors bon, pour une fois, regardez donc la description et les gestes de Cantat, en face du rapport d'autopsie ça tient pas très bien.  

Il en restera toujours, on le sait bien, pour dire "c'est elle qui l'a frappé il s'est défendu" (la bonne blague), ou alors : "ils se sont battus" (la bonne blague aussi). Mais peut être qu'après avoir vu ça, il en restera moins.

 

Et après on ira mater le film de Polanski...

à l’instant, Dzag a dit :

Et après on ira mater le film de Polanski...

Non il sera trop tard, il n'y aura plus de séance à cette heure-ci.

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https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/violences-sexistes-comment-en-parler-de-la-manière-la-plus-juste-possible-dans-les-médias/ar-BBXb4xW

L'avocat de C. Ghosn révèle les «scandales de l'affaire»

Violences conjugales: les enfants sont aussi des victimes

L'association de femmes journalistes Prenons la Une publie une nouvelle version de ses outils destinés aux médias

© ZAKARIA ABDELKAFI / AFP 137 féminicides au moins ont eu lieu en 2019. VIOLENCES SEXISTES - L'association de femmes journalistes Prenons la Une publie une nouvelle version de ses outils destinés aux médias

Bannir les expressions « crime passionnel » et « drame familial », éviter les leçons du genre « ne sortez pas le soir », protéger l’identité des victimes… Voilà quelques recommandations de l’association Prenons la Une pour un « traitement journalistique le plus juste possible » des violences faites aux femmes.

Comment parler des violences faites aux femmes dans les médias de la façon la plus juste et déontologique possible ? Réponses dans nos outils à destination des journalistes, tout juste mis à jour pic.twitter.com/RbDaVjRhaH

’association part du constat que les violences faites aux femmes sont un « fait de société », et méritent d’être traitées comme tel. « Chaque année, plus de 219.000 femmes sont victimes de violences de la part de leur ancien ou actuel conjoint, et 94.000 femmes sont victimes de viols ou tentatives de viols », écrit Prenons la Une, sur la base de l’Enquête « Cadre de vie et sécurité » 2012-2018 réalisée par l’Insee.

Ces conseils portent en grande partie sur le vocabulaire : les journalistes de Prenons la Une préfèrent le terme de « meurtre conjugal » à « crime passionnel », estimant que ce dernier « minimis [e] l’acte de l’agresseur ». L’association aborde aussi les termes à utiliser pour désigner une victime, pour parler des déclarations d’une victime sans la faire passer pour coupable, ou encore insiste sur la différence entre « harcèlement sexuel », « agression sexuelle » et « viol ».

3919, numéro d’écoute des femmes victimes de violences

L'avocat de C. Ghosn révèle les «scandales de l'affaire»

Violences conjugales: les enfants sont aussi des victimes

L'association de femmes journalistes Prenons la Une publie une nouvelle version de ses outils destinés aux médias

© ZAKARIA ABDELKAFI / AFP 137 féminicides au moins ont eu lieu en 2019. VIOLENCES SEXISTES - L'association de femmes journalistes Prenons la Une publie une nouvelle version de ses outils destinés aux médias

Bannir les expressions « crime passionnel » et « drame familial », éviter les leçons du genre « ne sortez pas le soir », protéger l’identité des victimes… Voilà quelques recommandations de l’association Prenons la Une pour un « traitement journalistique le plus juste possible » des violences faites aux femmes.

A l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, lundi 25 novembre, et juste avant la manifestation NousToutes du samedi 23, cette association de femmes journalistes met à jour ses outils à destination des médias.

Fait de société

L’association part du constat que les violences faites aux femmes sont un « fait de société », et méritent d’être traitées comme tel. « Chaque année, plus de 219.000 femmes sont victimes de violences de la part de leur ancien ou actuel conjoint, et 94.000 femmes sont victimes de viols ou tentatives de viols », écrit Prenons la Une, sur la base de l’Enquête « Cadre de vie et sécurité » 2012-2018 réalisée par l’Insee.

 

Ces conseils portent en grande partie sur le vocabulaire : les journalistes de Prenons la Une préfèrent le terme de « meurtre conjugal » à « crime passionnel », estimant que ce dernier « minimis [e] l’acte de l’agresseur ». L’association aborde aussi les termes à utiliser pour désigner une victime, pour parler des déclarations d’une victime sans la faire passer pour coupable, ou encore insiste sur la différence entre « harcèlement sexuel », « agression sexuelle » et « viol ».

3919, numéro d’écoute des femmes victimes de violences

Mais ces outils portent également sur le contenu des articles : Prenons la Une recommande ainsi d'« éviter les précisions sur les vêtements, le physique ou les habitudes de vie de la victime, qui induisent qu’elle peut être responsable de son agression » et de « ne pas donner des conseils ou des leçons » pouvant également induire une responsabilité des victimes.

Enfin, l’association rappelle le numéro de téléphone national pour l’écoute et l’orientation des femmes victimes de violences, il s’agit du 3919.

Excusez moi. Il y a un grand blanc que je ne sais comment supprimer...