La philosophie devenue folle

Il y a 3 heures, g.champion a dit :

ce qu'on sait d'une personne n'est-il pas nécessaire pour que nous la reconnaissions ?

La reconnaissance est d'abord physique; les qualités morales ou intellectuelles n'apparaissent pas toujours à l'extérieur. Et si nous reconnaissons quelqu'un, c'est par ses particularités physiques. Un gendarme en tongues vous fait douter de sa qualité.

Il y a 1 heure, Maurice Clampin a dit :

   Hum ! .... voilà qui fleure la lapalissade .....

Monsieur de Lapalisse serait-il un grand penseur ?

J'en parlerai aux fourmis.

Il y a 8 heures, Talon 1 a dit :

si nous reconnaissons quelqu'un, c'est par ses particularités physiques

nous reconnaissons une personne grâce à des traits que nous voyons, entendons, concevons. S'il fait très sombre, nous pouvons douter. Parmi ces traits, il y a toujours le sexe de la personne ?

Il y a 11 heures, g.champion a dit :

nous reconnaissons une personne grâce à des traits que nous voyons, entendons, concevons. S'il fait très sombre, nous pouvons douter. Parmi ces traits, il y a toujours le sexe de la personne ?

S'il fait sombre, il faut palper.

Il y a 2 heures, Talon 1 a dit :

S'il fait sombre, il faut palper

le sexe, le sexe, je vous dis! et les individus ?...  on s'en fout ? des abstractions de juristes ?

Le 30/07/2019 à 13:25, g.champion a dit :

ces limites sont culturelles, selon vous ?

Au cas particulier de mon texte initial : oui

Le 30/07/2019 à 10:42, paulau a dit :

Il convient, au contraire, d’affronter ces limites qui nous constituent

pourquoi faut-il les affronter si elles sont culturelles ?