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il y a 3 minutes, DKKRR a dit :

Vous ne percevez pas les empêchements de Soral à exprimer ses opinions ? Cela m'étonne fortement puisque n'importe qui est aisément capable de discerner les nombreuses barrières que l'on essaye de placer devant sa route. Il suffit de constater, par-exemple, que celui-ci a totalement disparu des plateaux tv lors même qu'il les fréquentait avec assiduité il fut un temps, il suffit de constater les nombreux procès qui lui sont intentés, il suffit de constater le traitement médiatique dont il souffre puisque son nom est associé au mal, au nazisme, à l'hitlerisme quasiment. 

Quant à la transgression, celle-ci peut se définir, selon moi, par le fait de prendre des voies qui justement mènent aux nombreuses "souffrances" qui sont les siennes et que je décris dans mon paragraphe précédent. Est transgresseur celui qui s'attire les foudres du système médiatique et judiciaire. Dans cette perspective, sa position n'a rien de classique, d'autant plus que c'est l'un des seuls intellectuels à s'exprimer de la sorte.

Les empêchements dont vous parlez font rebonds bénéfiques pour lui dans une large diffusion de ses "idées" sur internet et publication écrite, j'ai donné le CA annuel de sa société de diffusion, on peut donc penser que le circuit classique interdit d'accès en ouvre un autre qui n'a rien à lui envier.

Il y a quelques années je ne connaissais pas Soral j'avais donc écouté deux de ses soliloques sur sa chaine youtube, où effectivement il brassait de façon qui me semblait abracadabrante un feu croisé entre nationalisme, socialisme, nazisme revisité, "juiverie" mondiale associée pour aboutir à un montage où chacune de ses phrases comportait un mot en "isme" ou des montages langagiers qui faisaient surenchère les uns par rapport aux autres dans une sorte de logorrhée jouissive (la jouissance de sa propre parole).

Au niveau de la pensée critique ? Je suis resté avec une sensation qu'un petit garçon faisait un montage de type jouet mécano niveau 10 en ayant le niveau le plus bas, c'était brouillon, sans objet novateur, totalement subjectif, objet d'un brassage intérieur sans contradicteur.

Les voies de ses souffrances ? Elles me semblent considérablement paranoïaque, de structure je ne sais pas, de traits de caractère sans aucun doute. Si c'est de structure le délire est contenu par un montage qui lui permet de ne pas sombrer dans la paranoïa délirante (mais on en est pas loin), si c'est de traits de caractères deux choix sont possibles : 1/ Aller voir un psy et ouvrir son soliloque au petit autre et non plus seulement au grand Autre, ou bien continuer à construire ce qui pare à l'objet persécutif à travers un discours sans fin (le grand classique de l'antisémitisme et ou du racisme et ou de l'homophobie).

Dans ce dernier cas le mieux est de rester en soliloque jusqu'à la fin de sa vie à travers un espace de diffusion personnel, ça ne soigne pas mais au moins cela contient le passage à l'acte.

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DKKRR Membre 1 246 messages
Forumeur accro‚ 35ans‚
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Il y a 5 heures, soloandsolo a dit :

Les empêchements dont vous parlez font rebonds bénéfiques pour lui dans une large diffusion de ses "idées" sur internet et publication écrite, j'ai donné le CA annuel de sa société de diffusion, on peut donc penser que le circuit classique interdit d'accès en ouvre un autre qui n'a rien à lui envier.

Il y a quelques années je ne connaissais pas Soral j'avais donc écouté deux de ses soliloques sur sa chaine youtube, où effectivement il brassait de façon qui me semblait abracadabrante un feu croisé entre nationalisme, socialisme, nazisme revisité, "juiverie" mondiale associée pour aboutir à un montage où chacune de ses phrases comportait un mot en "isme" ou des montages langagiers qui faisaient surenchère les uns par rapport aux autres dans une sorte de logorrhée jouissive (la jouissance de sa propre parole).

Au niveau de la pensée critique ? Je suis resté avec une sensation qu'un petit garçon faisait un montage de type jouet mécano niveau 10 en ayant le niveau le plus bas, c'était brouillon, sans objet novateur, totalement subjectif, objet d'un brassage intérieur sans contradicteur.

Les voies de ses souffrances ? Elles me semblent considérablement paranoïaque, de structure je ne sais pas, de traits de caractère sans aucun doute. Si c'est de structure le délire est contenu par un montage qui lui permet de ne pas sombrer dans la paranoïa délirante (mais on en est pas loin), si c'est de traits de caractères deux choix sont possibles : 1/ Aller voir un psy et ouvrir son soliloque au petit autre et non plus seulement au grand Autre, ou bien continuer à construire ce qui pare à l'objet persécutif à travers un discours sans fin (le grand classique de l'antisémitisme et ou du racisme et ou de l'homophobie).

Dans ce dernier cas le mieux est de rester en soliloque jusqu'à la fin de sa vie à travers un espace de diffusion personnel, ça ne soigne pas mais au moins cela contient le passage à l'acte.

Concrètement, sans vouloir vous faire offense, ce que je retiens de votre discours c'est "Je n'aime pas Soral car il délire et gagne de l'argent sur ses délires".

Que vous n'agréiez point les prises de position de celui-ci est une chose mais il ne me parait pas forcément pertinent que d'espérer disqualifier une personne sur la seule base de ses propres opinions personnelles. Plus clairement, ce n'est pas le fait de se contenter de dire "je n'aime pas Soral" qui apparaitra comme probant dans la tentative de disqualification de cet intellectuel.

Pour se faire, il faudrait rapporter de nombreux éléments de son discours et les confronter à la réalité (tout du moins telle qu'on la perçoit) pour démontrer leur caractère fallacieux. Cela paraitra d'ailleurs d'autant plus percutant qu'il y aura d'éléments réfutés avec preuves à l'appui mais pour l'instant il m'apparait clair que vos propos ne sont nullement suffisants pour apporter le moindre discrédit à la personne dont il est question dans ce sujet, d'où la nécessité d'aller au-delà du simple témoignage de notre degré d'attachement au personnage.

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Invité soloandsolo
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Il y a 6 heures, DKKRR a dit :

Concrètement, sans vouloir vous faire offense, ce que je retiens de votre discours c'est "Je n'aime pas Soral car il délire et gagne de l'argent sur ses délires".

Que vous n'agréiez point les prises de position de celui-ci est une chose mais il ne me parait pas forcément pertinent que d'espérer disqualifier une personne sur la seule base de ses propres opinions personnelles. Plus clairement, ce n'est pas le fait de se contenter de dire "je n'aime pas Soral" qui apparaitra comme probant dans la tentative de disqualification de cet intellectuel.

Pour se faire, il faudrait rapporter de nombreux éléments de son discours et les confronter à la réalité (tout du moins telle qu'on la perçoit) pour démontrer leur caractère fallacieux. Cela paraitra d'ailleurs d'autant plus percutant qu'il y aura d'éléments réfutés avec preuves à l'appui mais pour l'instant il m'apparait clair que vos propos ne sont nullement suffisants pour apporter le moindre discrédit à la personne dont il est question dans ce sujet, d'où la nécessité d'aller au-delà du simple témoignage de notre degré d'attachement au personnage.

Il gagne beaucoup d'argent avec ses éditions : démontre que ses idées sont largement diffusées, donc le point butoir d'une supposée censure totale ne tient pas.

Aimer ne pas aimer : je n'ai pas répondu depuis mes affects mais en développant un certains nombres d'arguments qui forment un jugement que vous retranscrivez depuis votre perception.

Réfuter Soral : pour cela il faudrait déjà que la thèse soit mise en proposition structurée dans le cadre qui va avec, cadre universitaire par exemple, Soral étant un autodidacte il reste et restera dans la prétention de ses idées dans ses espaces personnels de diffusions, il en va ainsi de bon nombre d'autodidactes. Personnellement en l'ayant écouté par deux fois, vu la qualité globale de son discours il me parait évident, oui, qu'il est dans un délire personnel et non dans une construction intellectuelle structurée: qui a envie de perdre du temps à déconstruire point par point un délire ? Le propre du délire est de se reconstituer à la même vitesse qu'il se déconstruit.

Conclusion : je trouve qu'il a déjà de la chance de bien gagner sa vie de cette façon par rapport à un public ouvert à ce type de proposition.

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Condorcet Membre 10 257 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
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Il y a 8 heures, DKKRR a dit :

Que vous n'agréiez point les prises de position de celui-ci est une chose mais il ne me parait pas forcément pertinent que d'espérer disqualifier une personne sur la seule base de ses propres opinions personnelles. Plus clairement, ce n'est pas le fait de se contenter de dire "je n'aime pas Soral" qui apparaitra comme probant dans la tentative de disqualification de cet intellectuel.

Hum... voyons voir un truc qui ne relève pas d'opinions personnelles mais plus simplement factuelles et observons comment Soral raisonne sur des choses simples.

Admirateur de Faurisson, il reprend à son compte la partie scientifique - si on peut dire - de la démarche de ce dernier. On sait que Faurisson n'est pas ingénieur, ni chimiste, ni ancien militaire de carrière, alors il raisonne avec son bon sens intuitif :

  • On ne peut pas agréer le dispositif de la chambre à gaz d'Auschwitz décrit par les historiens car déverser les cristaux de Ziklon-B depuis le toit au travers des grilles prévues à cet effet aurait été une manipulation bien trop dangereuse pour l'opérateur. Il faut des gans, un masque...
  • La preuve ? Eh bien c'est simple, il n'y a qu'à étudier le dispositif de chambre à gaz employé aux USA pour les condamnés à mort et on voit combien le dispositif de sécurité pour les opérateurs est lourd et compliqué. Donc il est impensable que la SS aurait fait prendre ces risque à ses opérateurs. Fin de la démonstration.

Soral - ainsi que Dieudo - de reprendre la démonstration à leur compte. C'est sur le site d'E&R que j'ai pu voir fut un temps une jolie photo de la chambre à gaz américaine...

Une preuve ? :mef2:

L'armée allemande quand ça a tourné vinaigre sur le front de l'est avait 30 000 pertes par semaine. Alors qu'un opérateur oubliant de prendre ses gants en caoutchouc risquant la mort est la preuve que ça ne fonctionnait pas ainsi ?  

Si c'est pas de la connerie pure, qu'un soit disant intellectuel, assène de telles inepties ?

Tout est comme ça dans les raisonnements de Soral. La sociologue c'est vachement pratique comme domaine, car s'est suffisamment complexe et controversé pour que sur chaque sujet on trouve un érudit pour dire un truc et un autre pour dire le contraire. De même en géopolitique. Il n'y a plus qu'à faire son marché en prenant de ci de là ce qui va illustrer n'importe quel à priori idéologique qu'on va vouloir sembler démontrer.

On peut en dire de même de l'économie ou presque. Dans ce domaine aussi, il reprend les thèses douteuses de guignols du même acabit pour les asséner avec certitude, ce qui est aussi sa marche de fabrique : la certitude absolue que ses raisonnements à deux balles se tiennent. Il suffit que les chose s'enchaînent dans une suite logique, comme dans un conte, l'esprit humain est ainsi fait qu'il adore ça.

 

Alors, ce n'est pas très compliqué.

Pour contester des tentatives de disqualification de cet intellectuel, de deux chose l'une : faut être con quand un balais à moins - dans ce cas mes excuse pour le balais - un parfait salopard.

 

  

 

 

 

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Membre, 35ans Posté(e)
DKKRR Membre 1 246 messages
Forumeur accro‚ 35ans‚
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Il y a 23 heures, Condorcet a dit :

Hum... voyons voir un truc qui ne relève pas d'opinions personnelles mais plus simplement factuelles et observons comment Soral raisonne sur des choses simples.

Admirateur de Faurisson, il reprend à son compte la partie scientifique - si on peut dire - de la démarche de ce dernier. On sait que Faurisson n'est pas ingénieur, ni chimiste, ni ancien militaire de carrière, alors il raisonne avec son bon sens intuitif :

  • On ne peut pas agréer le dispositif de la chambre à gaz d'Auschwitz décrit par les historiens car déverser les cristaux de Ziklon-B depuis le toit au travers des grilles prévues à cet effet aurait été une manipulation bien trop dangereuse pour l'opérateur. Il faut des gans, un masque...
  • La preuve ? Eh bien c'est simple, il n'y a qu'à étudier le dispositif de chambre à gaz employé aux USA pour les condamnés à mort et on voit combien le dispositif de sécurité pour les opérateurs est lourd et compliqué. Donc il est impensable que la SS aurait fait prendre ces risque à ses opérateurs. Fin de la démonstration.

Soral - ainsi que Dieudo - de reprendre la démonstration à leur compte. C'est sur le site d'E&R que j'ai pu voir fut un temps une jolie photo de la chambre à gaz américaine...

Une preuve ? :mef2:

L'armée allemande quand ça a tourné vinaigre sur le front de l'est avait 30 000 pertes par semaine. Alors qu'un opérateur oubliant de prendre ses gants en caoutchouc risquant la mort est la preuve que ça ne fonctionnait pas ainsi ?  

Si c'est pas de la connerie pure, qu'un soit disant intellectuel, assène de telles inepties ?

Tout est comme ça dans les raisonnements de Soral. La sociologue c'est vachement pratique comme domaine, car s'est suffisamment complexe et controversé pour que sur chaque sujet on trouve un érudit pour dire un truc et un autre pour dire le contraire. De même en géopolitique. Il n'y a plus qu'à faire son marché en prenant de ci de là ce qui va illustrer n'importe quel à priori idéologique qu'on va vouloir sembler démontrer.

On peut en dire de même de l'économie ou presque. Dans ce domaine aussi, il reprend les thèses douteuses de guignols du même acabit pour les asséner avec certitude, ce qui est aussi sa marche de fabrique : la certitude absolue que ses raisonnements à deux balles se tiennent. Il suffit que les chose s'enchaînent dans une suite logique, comme dans un conte, l'esprit humain est ainsi fait qu'il adore ça.

 

Alors, ce n'est pas très compliqué.

Pour contester des tentatives de disqualification de cet intellectuel, de deux chose l'une : faut être con quand un balais à moins - dans ce cas mes excuse pour le balais - un parfait salopard.

 

  

 

 

 

Je remarque que la Shoah est le sujet majeur qui revient incessamment dans les tentatives de disqualification qui sont tentées à l'égard de Soral et Dieudonné par-exemple. Cela devient limite une sorte de nouveau point Godwin ou Point Dieudonné/Soral si j'ose dire. Cependant, je ne pense pas que l'on puisse établir le moindre lien entre le degré d'intellectualité d'une personne et son positionnement sur des sujets relatifs à des faits historiques.

En l'occurrence, tout un tas d'intellectuels s'orientent vers telle ou telle théorie concernant le 11 Septembre, les usa sur la lune, la shoah, la guerre en Irak, en Libye, la colonisation, le génocide des Amérindiens etc.... et en arrivent à contester des versions officielles à partir d'éléments qui paraissent troublants à leurs yeux. L'on peut trouver grossier la logique qu'ils mettent en avant pour asseoir leur position (comme présentement dans le cas de Soral en ce qui me concerne) mais cela ne permet assurément pas jeter le discrédit sur une personne en imaginant qu'existe un lien entre son égarement sur un sujet historique et la pertinence de ses oeuvres sur des sujets réclamant une autre forme de réflexion et un certain degré d'analyse comme la philosophie, la sociologie ou autres.

 

Je pense que le propos de Soral sur les chambres à gaz est de manière générale plus à tendance provocatrice que volontairement mû par l'idée de produire une théorie nouvelle. Ce que conteste avant tout Soral c'est la loi Fabius-Gayssot et la dictature de la pensée typiquement Française qu'elle incarne. A savoir, il faut penser comme le pouvoir recommande de penser. Pour un sociologue connaissant parfaitement les processus de contrôle des esprits des gens par l'état ayant été mis à l'oeuvre au fil de l'histoire afin de créer une nouvelle classe de citoyens dignes de la terre promise de l'abnégation parfaite, il ne peut que s'élever face à ces tentatives de matraquages idéologiques.

Ce que Soral dit ce n'est ni plus ni moins que le vainqueur écrit l'histoire et la revisite comme bon lui semble. Cela semble être un truisme pour bon nombre d'entre-nous mais ce n'est pourtant pas si évident que cela. Lorsque l'on analyse la seconde guerre mondiale, pour reprendre son sujet, l'on imagine spontanément que les Alliés n'ont joué qu'un rôle positif sans avoir jamais commis les moindres barbaries. Or, l'on oublie ainsi les deux crimes (aussi cruels que le fait de gazer des civils à mon sens) d'Hiroschima et Nagasaki ainsi que les bombardements massifs sur les villes Allemandes (non pas dans le but de détruire des objectifs militaires). De même lorsque l'on analyse le discours de certains politiciens sur les prétendus bienfaits de la colonisation et le discours d'un certain Fillon sur la guerre du Cameroun post-décolonisation, on ne peut que douter de la conformité à la réalité de l'histoire qui nous est officiellement contée.

 

Quant au reste de votre discours, à l'instar de Soloandsolo, vous en conviendrez il n'y a là que des considérations personnelles à la valeur argumentative nulle. En l'occurrence, dire qu'Alain Soral est un mauvais sociologue parce que l'on estime personnellement qu'il raconte n'importe quoi n'a pas grand intérêt en soi. De la même façon je peux dire qu'il est, au contraire, un excellent sociologue de par la puissance des théories qu'il a pu jadis produire (féminisme par-exemple) et de la pertinence de son analyse sur l'actualité nationale et mondiale. L'on peut débattre des arguments mais encore faudrait-il qu'on puisse les citer, ce qui n'a pas été encore fait malheureusement (les chambres à gaz n'ayant rien à voir avec son travail de sociologue).

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Membre, 62ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
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il y a une heure, DKKRR a dit :

Je remarque que la Shoah est le sujet majeur qui revient incessamment dans les tentatives de disqualification qui sont tentées à l'égard de Soral et Dieudonné par-exemple. Cela devient limite une sorte de nouveau point Godwin ou Point Dieudonné/Soral si j'ose dire. Cependant, je ne pense pas que l'on puisse établir le moindre lien entre le degré d'intellectualité d'une personne et son positionnement sur des sujets relatifs à des faits historiques.

Justement !

Tes copains , par pur antisémitisme, remettent en cause la shoah ! Malgré toutes les preuves, tous les documents, les témoignages, les longues recherchent des  historiens!!!!

 

il y a une heure, DKKRR a dit :

En l'occurrence, tout un tas d'intellectuels s'orientent vers telle ou telle théorie concernant le 11 Septembre, les usa sur la lune, la shoah, la guerre en Irak, en Libye, la colonisation, le génocide des Amérindiens etc.... et en arrivent à contester des versions officielles à partir d'éléments qui paraissent troublants à leurs yeux. L'on peut trouver grossier la logique qu'ils mettent en avant pour asseoir leur position (comme présentement dans le cas de Soral en ce qui me concerne) mais cela ne permet assurément pas jeter le discrédit sur une personne en imaginant qu'existe un lien entre son égarement sur un sujet historique et la pertinence de ses oeuvres sur des sujets réclamant une autre forme de réflexion et un certain degré d'analyse comme la philosophie, la sociologie ou autres.

 

Je pense que le propos de Soral sur les chambres à gaz est de manière générale plus à tendance provocatrice que volontairement mû par l'idée de produire une théorie nouvelle. Ce que conteste avant tout Soral c'est la loi Fabius-Gayssot et la dictature de la pensée typiquement Française qu'elle incarne. A savoir, il faut penser comme le pouvoir recommande de penser. Pour un sociologue connaissant parfaitement les processus de contrôle des esprits des gens par l'état ayant été mis à l'oeuvre au fil de l'histoire afin de créer une nouvelle classe de citoyens dignes de la terre promise de l'abnégation parfaite, il ne peut que s'élever face à ces tentatives de matraquages idéologiques.

la fameuse loi gayssot permet aux historiens de faire des recherches !

Cette loi permet de cesser les mensonges des négationnistes en tout genre !

sur le négationnisme lire =

https://phdn.org/negation/

 

il y a une heure, DKKRR a dit :

Ce que Soral dit ce n'est ni plus ni moins que le vainqueur écrit l'histoire et la revisite comme bon lui semble. Cela semble être un truisme pour bon nombre d'entre-nous mais ce n'est pourtant pas si évident que cela. Lorsque l'on analyse la seconde guerre mondiale, pour reprendre son sujet, l'on imagine spontanément que les Alliés n'ont joué qu'un rôle positif sans avoir jamais commis les moindres barbaries. Or, l'on oublie ainsi les deux crimes (aussi cruels que le fait de gazer des civils à mon sens) d'Hiroschima et Nagasaki ainsi que les bombardements massifs sur les villes Allemandes (non pas dans le but de détruire des objectifs militaires). De même lorsque l'on analyse le discours de certains politiciens sur les prétendus bienfaits de la colonisation et le discours d'un certain Fillon sur la guerre du Cameroun post-décolonisation, on ne peut que douter de la conformité à la réalité de l'histoire qui nous est officiellement contée.

tous ceux qui ont un peu étudié l'histoire de cette guerre savent bien ce que tu écris !!

pufff voyons !

il y a une heure, DKKRR a dit :

 

Quant au reste de votre discours, à l'instar de Soloandsolo, vous en conviendrez il n'y a là que des considérations personnelles à la valeur argumentative nulle. En l'occurrence, dire qu'Alain Soral est un mauvais sociologue parce que l'on estime personnellement qu'il raconte n'importe quoi n'a pas grand intérêt en soi. De la même façon je peux dire qu'il est, au contraire, un excellent sociologue de par la puissance des théories qu'il a pu jadis produire (féminisme par-exemple) et de la pertinence de son analyse sur l'actualité nationale et mondiale. L'on peut débattre des arguments mais encore faudrait-il qu'on puisse les citer, ce qui n'a pas été encore fait malheureusement (les chambres à gaz n'ayant rien à voir avec son travail de sociologue).

sociologue maintenant !!

 Cites moi le lieu où il a obtenu son diplôme ??

 je suis effaré de lire cette partie là !

Tu es adeptes de sa secte !

On ne peut pas discuter avec des adeptes !

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Invité soloandsolo
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Il y a 7 heures, DKKRR a dit :

De la même façon je peux dire qu'il est, au contraire, un excellent sociologue de par la puissance des théories qu'il a pu jadis produire (féminisme par-exemple) et de la pertinence de son analyse sur l'actualité nationale et mondiale.

Soral sociologue à présent ? Si tu peux nous donner son CV de formation et de parcours à ce propos, merci.

Boudieu était sociologue :

"Interne au lycée Louis-Barthou de Pau, Pierre Bourdieu est un excellent élève et attire l'attention d'un de ses professeurs, ancien élève de l’École normale supérieure, qui lui conseille de s’inscrire en khâgne au lycée Louis-le-Grand de Paris, ce qu'il fait en 1948.

Il est reçu à l’École normale supérieure en 19517. Celui que ses camarades appellent de son deuxième prénom, Félix, y retrouvera peu à peu ses anciens condisciples de classe préparatoire comme Jacques Derrida, Lucien Bianco ou Louis Marin. Alors que la scène philosophique française est dominée par la figure de Jean-Paul Sartre, par le marxisme et par l'existentialisme, Bourdieu réagit comme de nombreux normaliens de sa génération8 ; ces derniers se sont orientés préférentiellement vers l'étude des « courants dominés »9 du champ philosophique : le pôle de l'histoire de la philosophie proche de l'histoire des sciences, représenté par Martial Guéroult et Jules Vuillemin, et l'épistémologie enseignée par Gaston Bachelard et Georges Canguilhem.

Pierre Bourdieu soutient en 1953, sous la direction d'Henri Gouhier, un mémoire sur les Animadversiones de Leibniz10. En plus de son cursus, il suit aussi le séminaire d'Éric Weil à l'École pratique des hautes études sur la philosophie du droit de Hegel.

Reçu septième à l'agrégation de philosophie en 195411, il s'inscrit auprès de Georges Canguilhem pour une thèse de philosophie sur les structures temporelles de la vie affective, qu'il abandonne en 1957 afin de se consacrer à des études ethnologiques de terrain, ce qui représente déjà un déclassement dans la hiérarchie des disciplines du champ académique (il revient sur cette partie de sa trajectoire académique dans son ouvrage Esquisse pour une auto-analyse)"

 

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Invité soloandsolo
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Donc...Le CV du "sociologue" Soral ^^

" Il loue une chambre de bonne rue Fromentin et vit de divers « petits boulots » (chantiers, convoyages, etc.), tout en menant une existence « provo-punk » aux Halles, avant d’être reçu en 1978 aux Beaux-Arts et à l’École des hautes études en sciences sociales — les seuls établissements d’études supérieures accessibles sans baccalauréat3,n 3 — où il suit pendant quelque temps comme élève-stagiaire puis élèven 4 les séminaires de Cornelius Castoriadis9,10,11. Le cours d’histoire de l’art l’intéresse particulièrement et l’amène progressivement vers la philosophie. Il découvre la lecture, notamment les essais et les poèmes des collections 10/18 et les bacs de soldes des libraires du quartier Saint-Michel12, et il se met à lire quatre heures par jour jusqu’à ses 45 ans. Il entame une carrière de peintre dans le groupe d’artistes En avant comme avant, avec lequel il sillonne l’Europe pour des expositions. Il prend alors le nom Soral en signant ses œuvres ABS (comme Alain Bonnet de Soral)9. Il démarre également une longue initiation à la boxe française, d’abord à la salle Pariset puis à la salle Lafond9 (il devint instructeur fédéral de boxe anglaise en juin 200413). "

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Membre, 35ans Posté(e)
DKKRR Membre 1 246 messages
Forumeur accro‚ 35ans‚
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Il y a 8 heures, grandfred a dit :

 

 Cites moi le lieu où il a obtenu son diplôme ??

 

On ne peut pas discuter avec des adeptes !

Vous savez, Durkheim n'avait pas de diplôme de sociologie et pourtant ce fut l'un des plus grands. Ce n'est pas le diplôme qui fait nécessairement les compétences et le statut relatif à celles-ci. Il existe de nombreux mécaniciens autodidactes, n'ayant jamais eu le moindre diplôme dans le domaine dans lequel ils peuvent évoluer au black ou uniquement pour leurs voitures personnelles, de la même façon qu'il existe des gens qui, de par leur maitrise de la matière sociologique, peuvent être légitimement qualifiés de sociologues.

Il ne fait aucun doute qu'Alain Soral en fait partie, il suffit de lire certaines de ses oeuvres, d'écouter les analyses qui sont les siennes sur certains sujets tel que le féminisme par-exemple, de constater la manière dont il structure sa pensée, de voir les références auxquelles il renvoie, pour se rendre compte du caractère évident de cette affirmation. 

 

Quant au fait de ne pas pouvoir discuter lorsque l'altérité est trop prononcé, il s'agit là d'un attribut profondément humain en somme. Depuis la nuit des temps l'homme considère que la figure de l'autre, celui qui agit et pense trop différemment de lui est un moins que rien (un salopard comme disait plus haut Condorcet) qui ne mérite que le mépris et si nécessaire d'être combattu (parfois physiquement).

C'est ainsi, chacun pense être dans la vérité, s'enferme dans ses certitudes et ne parvient plus à percevoir le caractère hautement subjectif de ses schèmes de perception qui ne donnent, en fait, accès qu'à une partie plus ou moins déformée de la réalité. Je ne pense pas qu'il y ait d'un côté les méchants qui pensent différemment parce qu'ils désirent le mal et de l'autre les gentils qui pensent comme nous et qui ne sont que dans une recherche sincère de la vérité.

Votre démarche n'est pas très saine à mon sens car en agissant tel que cet autre que vous réprouvez, vous ne faites que confirmer qu'en réalité la vérité est toute relative et que personne ne peut se targuer de la détenir avec certitude (ce qui est une conclusion évidente, dans un monde où la négation du Divin est la règle, alors le relativisme ne peut que régner en maitre). Là où se situe réellement la sagesse (à mon sens) et l'attitude qui se détache (par le haut) du commun des mortels, c'est dans le fait de ne pas rejeter avec irrespect les pensées de l'autre et de plutôt chercher à discuter avec lui afin de comprendre quelles sont les raisons profondes qui font qu'il s'oriente sur cette voie (et ainsi peut-être évoluer après les avoir saisies) tout en comprenant que sa démarche est aussi pure et sincère que la nôtre et ce nonobstant la divergence des conclusions.

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Invité soloandsolo
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Invité soloandsolo
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Posté(e)
il y a 7 minutes, DKKRR a dit :

Là où se situe réellement la sagesse (à mon sens) et l'attitude qui se détache (par le haut) du commun des mortels, c'est dans le fait de ne pas rejeter avec irrespect les pensées de l'autre et de plutôt chercher à discuter avec lui afin de comprendre quelles sont les raisons profondes qui font qu'il s'oriente sur cette voie (et ainsi peut-être évoluer après les avoir saisies) tout en comprenant que sa démarche est aussi pure et sincère que la nôtre et ce nonobstant la divergence des conclusions.

Vous parlez de quel autre ? L'Autre ou l'autre ?

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 939 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
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il y a 16 minutes, soloandsolo a dit :

Vous parlez de quel autre ? L'Autre ou l'autre ?

Bonsoir,

La marginalité intellectuelle est un effet d'audience : ce n'est qu'un argument démocratique.

La transgression intellectuelle est un effet normatif de ce qui est majoritairement reconnu, donc d'origine démocratique.

Même si je ne partage pas le positionnement de DKKRR, et je vous l'ai déjà signifié : éviter n'est pas tuer, insulter n'est pas discréditer.

On a évité Jean-Marie Lepen pendant des années, on a réduit sa doléance à un irréalisme onirique, alors qu'il aurait peut-être fallu le combattre sur son irrationalité et son apragmatisme sur le terrain des idées et du programme.

C'est vaguement ce dont je me suis proposé ultérieurement, dans ce fil, avant que vous ne dramatisiez la gravité de mes propos.

Bien que je ne sois qu'un chirurgien amateur, et un anesthésiste rudimentaire, c'est toujours mieux que laisser un fil de Soral sans réponse de fond. 

Cordialement, Fraction.

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Invité soloandsolo
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il y a 9 minutes, Fraction a dit :

 

On a évité Jean-Marie Lepen pendant des années, on a réduit sa doléance à un irréalisme onirique, alors qu'il aurait peut-être fallu le combattre sur son irrationalité et son apragmatisme sur le terrain des idées et du programme.

Oui, c'est le sens de mes interventions et si j'insiste lourdement sur le petit autre et le grand Autre, c'est bien dans ce sens, là où DKKRR biaise largement.

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 939 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
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il y a 15 minutes, soloandsolo a dit :

Oui, c'est le sens de mes interventions et si j'insiste lourdement sur le petit autre et le grand Autre, c'est bien dans ce sens, là où DKKRR biaise largement.

Oui, le "petit autre" est accidentel, alors que le "grand Autre" est naturel.

Vous avez le droit de considérer Soral comme un intellectuel accidentel, mais moi je crois qu'il appartient à une constellation qui entretient une cohérence intrinsèque, malgré son incohérence dans l'absolu.

Cordialement, Fraction.

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Invité soloandsolo
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il y a 2 minutes, Fraction a dit :

une cohérence intrinsèque, malgré son incohérence dans l'absolu.

 

Quoi ? Expliquez moi "cohérence intrinsèque", merci.

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 939 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
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il y a 1 minute, soloandsolo a dit :

Quoi ? Expliquez moi "cohérence intrinsèque", merci.

La cohérence que je cite c'est la cohérence du sophisme.

Le scénario hollywoodien est cohérent malgré son irréalité.

Que je parle de cohérence ne signifie pas que je parle de raison, mais de raisonnement.

Peut-être que le terme "cohésion" vous aurait été préférable au terme "cohérence".

Cordialement, Fraction.

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Membre, 67ans Posté(e)
Condorcet Membre 10 257 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
Posté(e)
Il y a 11 heures, DKKRR a dit :

Ce que Soral dit ce n'est ni plus ni moins que le vainqueur écrit l'histoire et la revisite comme bon lui semble. Cela semble être un truisme pour bon nombre d'entre-nous mais ce n'est pourtant pas si évident que cela. Lorsque l'on analyse la seconde guerre mondiale, pour reprendre son sujet, l'on imagine spontanément que les Alliés n'ont joué qu'un rôle positif sans avoir jamais commis les moindres barbaries. Or, l'on oublie ainsi les deux crimes (aussi cruels que le fait de gazer des civils à mon sens) d'Hiroschima et Nagasaki ainsi que les bombardements massifs sur les villes Allemandes (non pas dans le but de détruire des objectifs militaires).

S'il est vrai que le vainqueur écrit l'histoire, l'idée qu'il la revisite comme bon lui semble est exagérée. Pire, c'est la caution pour la revisiter à son tour façon n'importe quoi.

Certes les actions des anglo-saxons ne furent pas toutes roses - c'est pourquoi j'appelle le procès de Nuremberg le semi procès -vu qu'il n'y avait aucun russe ni anglo-américain sur le banc des accusés (évidemment).

  • Churchill est directement responsable de la mort de 3 millions de Bengalis en 1943. Réquisitions, ravitaillement des troupes en Birmanie, exportation des céréales vers l'Angleterre. Une famine sans précédent survient. De toutes façons, ils se reproduisent comme des lapins...
  • Il y a eut Dresde qui, bien que noeud routier donc le blocage favorisait l'offensive Russe en cours, a été délibérément conçue pour tuer un maximum de civils.
  • Les américains dont la recherche militaire tourne à plein tube viennent de faire une découverte : le napalm. Il faut vite tester cette merveille. Royan plus ou moins rasée en 1945 sans pratiquement affecter les ouvrages défensifs de la poche. 
  • Le Havre en 1944. Alors que les Allemands (en tant qu'occupants ils ont le devoir de protéger les civils) proposent un cesser le feu de 24H pour évacuer les civils. Les anglais refusent (car les allemands risqueraient de se renforcer à cause de ce délais - alors qu'ils se renforcent depuis 2 ans). Le Havre écrasé, les civils surtout. Evidemment après ça on va surtout nous bassiner avec Oradour-sur-Glane mais Le Havre, c'est tabou.
  • "Bomber" Harris, le chef du Bomber command, pensait mettre fin à la guerre en écrasant les villes allemandes. Il n'en a pas démordu jusqu'au bout tout en justifiant pas la simple présence d'une gare le fait de raser tout une ville. Il fut incroyablement déçu quand les premières études post reddition auraient montré qu'il n'aurait tué (avec l'USAAF) que 600 000 civils. C'est tout ? ne cachant pas sa déception.
  • Le moral de l'armée anglaise en Italie s'effondre - avant le prise de Rome et alors que les alliés piétinent devant la ligne Gustav dans des conditions épouvantable. Près de 30 000 désertions sur l'ensemble de l'Italie (portés manquants). Je n'ai pas refait le calcul des divisions anglaises mais la proportion est phénoménale. Sujet tabou. Puis finalement ressorti par les bons historiens.  

Voila de mémoire deux ou trois points. Il y aurait de quoi écrire un bouquin. C'est bien la preuve que l'histoire n'est pas complètement revisitée, sinon ces éléments ne seraient pas si facilement accessibles. Certes ils l'étaient moins au lendemain de la guerre étant donné l'écriture par le vainqueur des premiers reportages et bouquins, mais tout a finit par ressortir tôt ou tard.

Ainsi l'argument selon lequel la réécriture de l'histoire par les vainqueurs mérite un analyse suspicieuse ne tient pas.

 

La conclusion est simple : Soral est une brêle aussi en histoire.

 

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Membre, 62ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
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Il y a 6 heures, DKKRR a dit :

Vous savez, Durkheim n'avait pas de diplôme de sociologie et pourtant ce fut l'un des plus grands. Ce n'est pas le diplôme qui fait nécessairement les compétences et le statut relatif à celles-ci. Il existe de nombreux mécaniciens autodidactes, n'ayant jamais eu le moindre diplôme dans le domaine dans lequel ils peuvent évoluer au black ou uniquement pour leurs voitures personnelles, de la même façon qu'il existe des gens qui, de par leur maitrise de la matière sociologique, peuvent être légitimement qualifiés de sociologues.

Il ne fait aucun doute qu'Alain Soral en fait partie, il suffit de lire certaines de ses oeuvres, d'écouter les analyses qui sont les siennes sur certains sujets tel que le féminisme par-exemple, de constater la manière dont il structure sa pensée, de voir les références auxquelles il renvoie, pour se rendre compte du caractère évident de cette affirmation. 

ahahahahahahahah

Il y a 6 heures, DKKRR a dit :

 

Quant au fait de ne pas pouvoir discuter lorsque l'altérité est trop prononcé, il s'agit là d'un attribut profondément humain en somme. Depuis la nuit des temps l'homme considère que la figure de l'autre, celui qui agit et pense trop différemment de lui est un moins que rien (un salopard comme disait plus haut Condorcet) qui ne mérite que le mépris et si nécessaire d'être combattu (parfois physiquement).

C'est ainsi, chacun pense être dans la vérité, s'enferme dans ses certitudes et ne parvient plus à percevoir le caractère hautement subjectif de ses schèmes de perception qui ne donnent, en fait, accès qu'à une partie plus ou moins déformée de la réalité. Je ne pense pas qu'il y ait d'un côté les méchants qui pensent différemment parce qu'ils désirent le mal et de l'autre les gentils qui pensent comme nous et qui ne sont que dans une recherche sincère de la vérité.

hé ho !! on parle ici d'un antisémite notoire qui se prend pour 1 intello !!

et ne viens ps m'expliquer la complexité du monde !

Il y a 6 heures, DKKRR a dit :

Votre démarche n'est pas très saine à mon sens car en agissant tel que cet autre que vous réprouvez, vous ne faites que confirmer qu'en réalité la vérité est toute relative et que personne ne peut se targuer de la détenir avec certitude (ce qui est une conclusion évidente, dans un monde où la négation du Divin est la règle, alors le relativisme ne peut que régner en maitre). Là où se situe réellement la sagesse (à mon sens) et l'attitude qui se détache (par le haut) du commun des mortels, c'est dans le fait de ne pas rejeter avec irrespect les pensées de l'autre et de plutôt chercher à discuter avec lui afin de comprendre quelles sont les raisons profondes qui font qu'il s'oriente sur cette voie (et ainsi peut-être évoluer après les avoir saisies) tout en comprenant que sa démarche est aussi pure et sincère que la nôtre et ce nonobstant la divergence des conclusions.

le fascisme c 'est la gangrène !!

on ne discute pas avec des fachos ni avec la gangrène !

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Membre, 41ans Posté(e)
cheuwing Membre 17 135 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
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Il y a 16 heures, DKKRR a dit :

 

Je pense que le propos de Soral sur les chambres à gaz est de manière générale plus à tendance provocatrice que volontairement mû par l'idée de produire une théorie nouvelle. Ce que conteste avant tout Soral c'est la loi Fabius-Gayssot et la dictature de la pensée typiquement Française qu'elle incarne. A savoir, il faut penser comme le pouvoir recommande de penser. Pour un sociologue connaissant parfaitement les processus de contrôle des esprits des gens par l'état ayant été mis à l'oeuvre au fil de l'histoire afin de créer une nouvelle classe de citoyens dignes de la terre promise de l'abnégation parfaite, il ne peut que s'élever face à ces tentatives de matraquages idéologiques.

Faux encore une fois , les historiens (professeurs, agrégés, chercheurs ) ont publiés des tribunes s'opposant aux lois mémorielles, donc Soral n'est pas du tout "seul" face aux méchants gouvernants manippulant

 

Il y a 16 heures, DKKRR a dit :

Ce que Soral dit ce n'est ni plus ni moins que le vainqueur écrit l'histoire et la revisite comme bon lui semble. Cela semble être un truisme pour bon nombre d'entre-nous mais ce n'est pourtant pas si évident que cela. Lorsque l'on analyse la seconde guerre mondiale, pour reprendre son sujet, l'on imagine spontanément que les Alliés n'ont joué qu'un rôle positif sans avoir jamais commis les moindres barbaries. Or, l'on oublie ainsi les deux crimes (aussi cruels que le fait de gazer des civils à mon sens) d'Hiroschima et Nagasaki ainsi que les bombardements massifs sur les villes Allemandes (non pas dans le but de détruire des objectifs militaires).

totalement faux , en histoire au lycée et au collège on relativise sur les victoires notamment par ces bombardements des alliés sur les civils

 

 

Il y a 6 heures, DKKRR a dit :

Vous savez, Durkheim n'avait pas de diplôme de sociologie et pourtant ce fut l'un des plus grands.

sauf qu'il est agrégé de philosophie et est allez étudié en Allemagne d'où émerge la sociologie , pour par la suite devenir le père de la sociologie française

aucune comparaison possible avec Soral

 

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