Le baby blues du papa

En 2016, Maxime, 29 ans, a vécu deux mois de baby-blues, cette dépression qui intervient parfois après la naissance d'un enfant. Alors qu'il attendait avec impatience de rencontrer son fils, il l'a pourtant rejeté pendant longtemps. On parle souvent du baby-blues de la mère. Pourtant, quatre pères sur dix seraient concernés par le blues parental. 

https://www.europe1.fr/societe/maxime-a-vecu-un-baby-blues-a-la-naissance-de-son-fils-je-navais-aucune-patience-aucune-emotion-3873248

La mère, c'est généralement hormonal, mais je peux comprendre le blues du père, si la mère est très accaparée par son enfant.

Ca peut être très violent le baby-blues, j'ai une amie qui en a souffert ça a été très long avant qu'elle ne reprenne confiance en elle. Le plus choquant c'était le rejet du bébé. Je ne savais pas que les papas aussi pouvaient être touchés. 

Il y a 6 heures, January a dit :

En 2016, Maxime, 29 ans, a vécu deux mois de baby-blues, cette dépression qui intervient parfois après la naissance d'un enfant

Toute situation de changement du quotidien implique une excitation intellectuelle, un stress, que l’on soit homme ou femme, rien d’anormal à cela.

Un changement de région, un changement d’employeur, l’arrivée du premier enfant dans un couple sont effectivement des sujets divers et différents, mais qui mettent temporairement tous nos sens en éveil, puis survient très vite le souci de savoir si nous serons à la hauteur de l’évènement ou de la situation nouvelle.

J’ai le souvenir de la prise dans mes bras pour la première fois de mon premier enfant, avec cette tête de bébé qui semble complètement désarticulée et que l’on maintient délicatement de peur de lui faire mal. (Heureusement que les parents du couple sont présents pour conseiller, indiquer, rassurer)

Par ailleurs, je venais depuis peu de changer d’emploi et d’entreprise, j’avoue rétrospectivement que j’étais un peu groggy par la succession de tous ces nouveautés.

Si c’est cela que l’on désigne comme le « blues » du père, je trouve l’usage de ce mot excessif et inapproprié, alors que l’arrivée de son (notre) enfant c’est une responsabilité, une joie, dont on a bien du mal à cerner les contours dans un premier temps, mais qui impulse à la fois un élan formidable.

Le 14/03/2019 à 09:32, January a dit :

En 2016, Maxime, 29 ans, a vécu deux mois de baby-blues, cette dépression qui intervient parfois après la naissance d'un enfant. Alors qu'il attendait avec impatience de rencontrer son fils, il l'a pourtant rejeté pendant longtemps. On parle souvent du baby-blues de la mère. Pourtant, quatre pères sur dix seraient concernés par le blues parental. 

 

https://www.europe1.fr/societe/maxime-a-vecu-un-baby-blues-a-la-naissance-de-son-fils-je-navais-aucune-patience-aucune-emotion-3873248

 

Est-ce que sa cicatrice d'istérectomie lui faisait mal aussi??.........le baby blues est dù à un déréglement hormonal chez la mére post accouchement...........

Donc que papa ait mal accepté la venue de bébé, ça peut se comprendre, mais ça n'est pas pareil qu'un baby blues......à moins qu'il ne copie les problémes de sa compagne comme dans la couvade.