Samedi 1er décembre 2018 :

manifestation contre le chômage et la précarité !

Pour l'emploi, les salaires,  l'amélioration des conditions de travail ... 

Exemple UNILEVER

Nos vies, pas leurs profits !

Alors que les profits pour Unilever ne se sont jamais aussi bien portés, les conditions de travail des salariés n’ont jamais été aussi catastrophiques. La recherche du profit maximum conduit nos dirigeants à structurer l’organisation du travail et son contenu pour les seuls actionnaires au détriment, entre autres, de la santé du personnel.

L’ère de l’automatisation et de la robotisation ravit les cadres dirigeants du Groupe, mais ne sera en rien profitable aux salariés d’Unilever.

La CGT réaffirme qu’elle n’est pas contre les évolutions technologiques, mais c’est l’utilisation du progrès technique, imposée par la Direction, qui aggrave la situation des salarié(e)s :

 Toujours plus de flexibilité,

 Destruction des emplois (en 7 ans, l’effectif a baissé de 513 salariés pour se situer à 2 137 CDI en France et cela continue - PSE Unilever France 2018, 88 suppressions de postes)

 Multiplicité des applications et des tâches plus complexes,

 Déconnexion / connexion permanente et hyper sollicitation,

 Rôle du manager,

 Dé-professionnalisation, perte de sens du travail.

Le rôle de l’IA devrait être de libérer les salarié(e)s des tâches fastidieuses pour leur laisser le temps de se consacrer à des activités plus épanouissantes. Encore faut-il réformer la société pour redistribuer les richesses créées par les salariés.

Contrairement à une idée reçue, l’automatisation ne libère pas les humains du travail quand elle est au service des actionnaires, mais les asservit davantage.

Pour Unilever, cela se résume à une Intensification du travail et une perte des savoir-faire. Unilever se préoccupe seulement de satisfaire le gavage des actionnaires, les dividendes explosent et notre pouvoir d’achat se réduit de plus en plus et pourtant de l’argent il y en a !

Le Plan Stratégique Groupe n’est pas de nature à rassurer les salariés sur l’amélioration des conditions de travail. La CGT affirme que la dégradation quotidienne des conditions de vie et de travail chez Unilever n’est pas une fatalité.

C’est le résultat d’un management destiné à tenir coûte que coûte des objectifs de productivité démesurés. Chez Unilever, le management ne gère plus des hommes et des femmes mais des résultats.

Ce n’est pas le personnel qui est en cause ni ses capacités physiques et morales, mais bien le contenu et les modes d’organisation du travail, c’est le travail qu’il faut soigner !

Si un manque de compétitivité existe, l’explication est à trouver dans le type d’investissements réalisés, voire leur insuffisance, par une direction qui privilégie la rémunération des actionnaires.

Comme le disait Victor Hugo : « c'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches ».  LA CGT

http://www.cgt-unilever-hpc-france.com/2018/11/motion-de-la-cgt-lors-du-comite-groupe-france-unilever-lundi-26-novembre-2018.html

L'age des manifs est fini depuis longtemps

il y a une heure, LouiseAragon a dit :

 Samedi 1er décembre 2018 :

manifestation contre le chômage et la précarité !

Pour l'emploi, les salaires,  l'amélioration des conditions de travail ... 

Exemple UNILEVER

Nos vies, pas leurs profits !

Alors que les profits pour Unilever ne se sont jamais aussi bien portés, les conditions de travail des salariés n’ont jamais été aussi catastrophiques. La recherche du profit maximum conduit nos dirigeants à structurer l’organisation du travail et son contenu pour les seuls actionnaires au détriment, entre autres, de la santé du personnel.

L’ère de l’automatisation et de la robotisation ravit les cadres dirigeants du Groupe, mais ne sera en rien profitable aux salariés d’Unilever.

La CGT réaffirme qu’elle n’est pas contre les évolutions technologiques, mais c’est l’utilisation du progrès technique, imposée par la Direction, qui aggrave la situation des salarié(e)s :

 Toujours plus de flexibilité,

 Destruction des emplois (en 7 ans, l’effectif a baissé de 513 salariés pour se situer à 2 137 CDI en France et cela continue - PSE Unilever France 2018, 88 suppressions de postes)

 Multiplicité des applications et des tâches plus complexes,

 Déconnexion / connexion permanente et hyper sollicitation,

 Rôle du manager,

 Dé-professionnalisation, perte de sens du travail.

Le rôle de l’IA devrait être de libérer les salarié(e)s des tâches fastidieuses pour leur laisser le temps de se consacrer à des activités plus épanouissantes. Encore faut-il réformer la société pour redistribuer les richesses créées par les salariés.

Contrairement à une idée reçue, l’automatisation ne libère pas les humains du travail quand elle est au service des actionnaires, mais les asservit davantage.

Pour Unilever, cela se résume à une Intensification du travail et une perte des savoir-faire. Unilever se préoccupe seulement de satisfaire le gavage des actionnaires, les dividendes explosent et notre pouvoir d’achat se réduit de plus en plus et pourtant de l’argent il y en a !

Le Plan Stratégique Groupe n’est pas de nature à rassurer les salariés sur l’amélioration des conditions de travail. La CGT affirme que la dégradation quotidienne des conditions de vie et de travail chez Unilever n’est pas une fatalité.

C’est le résultat d’un management destiné à tenir coûte que coûte des objectifs de productivité démesurés. Chez Unilever, le management ne gère plus des hommes et des femmes mais des résultats.

Ce n’est pas le personnel qui est en cause ni ses capacités physiques et morales, mais bien le contenu et les modes d’organisation du travail, c’est le travail qu’il faut soigner !

Si un manque de compétitivité existe, l’explication est à trouver dans le type d’investissements réalisés, voire leur insuffisance, par une direction qui privilégie la rémunération des actionnaires.

Comme le disait Victor Hugo : « c'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches ».  LA CGT

http://www.cgt-unilever-hpc-france.com/2018/11/motion-de-la-cgt-lors-du-comite-groupe-france-unilever-lundi-26-novembre-2018.html

Samedi 1er décembre 2018 : 16ème manifestation contre le chômage et la précarité !

samedi 3 novembre 2018 / Samedi 1er décembre 2018 : 16ème manifestation contre le chômage et la précarité !
Le rendez-vous est à 12h à Paris place de la République

En avant vers la 16ème manifestation contre le chômage et la précarité, pour faire entendre notre colère et nos revendications : le droit au travail et à un revenu de remplacement pour tous les travailleurs privés d’emploi ! 

Louise.

La récup ?

Envoyés pour casser le mouvement ?

il y a 9 minutes, PASCOU a dit :

Louise.

La récup ?

Envoyés pour casser le mouvement ?

ils on toujours vécu et survécu sur le système

Tous sur les Champs ,avec les casseurs, c'est le mot d'ordre des syndicaleux

encore ? mais commence a nous faire ch... a quelques jours de Noël...

Lutter pour l'augmentation des salaires, contre la précarité et les mauvaises conditions de travail ça peut se comprendre. Mais manifester pour l'emploi (ou contre le chômage), c'est en quelque sorte réclamer le droit de se vendre à crédit. Le paroxysme de la servilité!

Comme si s'astreindre 8h par jour à une seule tâche productive était désirable en quoi que ce soit. Ce qui est désirable, c'est de pouvoir vivre, pas de pouvoir travailler ou acheter. Mais les syndicats en sont encore à défendre le travail et le pouvoir d'achat...

Il y a 2 heures, sebastienvalmont a dit :

encore ? mais commence a nous faire ch... a quelques jours de Noël...

Ta cheminée est bouchée?

Il y a 2 heures, sebastienvalmont a dit :

encore ? mais commence a nous faire ch... a quelques jours de Noël...

Pendant ce temps là, Macron et son ministère vont affréter un Falcon et passer les fêtes à Saint-Barth...

Bientôt une plateforme commune entre gilets et syndicats jaunes en somme...

Des manifestants de la CGT lors d'une manifestation inter-professionnelle contre la politique sociale du gouvernement, le 9 octobre 2018 à Marseille. / GERARD JULIEN / AFP

Traditionnellement, le syndicat CGT représentant les chômeurs, organise les premiers samedis de décembre des mobilisations contre le chômage ...

Mercredi, après la décision d'Édouard Philippe de ne pas donner de coup de pouce au Smic, M. Martinez avait appelé à ce qu'il y ait "beaucoup de monde dans la rue samedi pour exiger plus fort et plus nombreux une augmentation du Smic".

Il y a 18 heures, PASCOU a dit :

Louise. La récup ? Envoyés pour casser le mouvement ?

PASCOU,

c'est la 16° manifestation contre la PRECARITE et le CHÖMAGE organisée par la CGT le 1° samedi de Décembre !

Et tu peux lire le détail des revendications portées par le SYNDICAT OUVRIER CGT ! Des revendications claires que chacun peut juger, analyser, soutenir ou non ! 

Les GJ sont-ils anti-syndicalistes, plus particulièrement anti cégétistes ? En tout cas, ils ne sont pas clairs ... sur ce qu'ils sont, ni sur qui ils représentent, ni sur leurs revendications ! 

Il y a 4 heures, BadKarma a dit :

Bientôt une plateforme commune entre gilets et syndicats jaunes en somme...

Voilà une base de discussion livrée à l'analyse des GJ et de leurs soutiens ....   Qu'en pensent-ils ? 

Aussi pour toutes ces raisons (...) , LA CGT revendique : 
 Le dégel immédiat du point d’indice de la Fonction publique et l’augmentation des salaires du public et du privé sur la base du SMIC à 1 800 €, des pensions et des minimas sociaux ; 
 L’arrêt des suppressions de postes et fermetures des services publics, la réouverture de services publics et sociaux de proximité pour répondre aux besoins des populations dans une organisation équilibrée et écologiquement responsable des territoires, qui passe notamment par un développement du transport ferroviaire ; 
 Le recrutement massif d’emplois statutaires et l’ouverture de postes nécessaires, à l’opposé des régressions contenues dans le plan Action Publique 2022 ; 
 L’arrêt de toute augmentation du temps de travail et la réduction du temps de travail à 32h ; 
 La sauvegarde et le développement de notre système de protection sociale et de notre système de retraite, à l’inverse du système par points voulu par le gouvernement ; 
 Un aménagement équilibré du territoire qui passe par la lutte contre la concentration de l’activité sur les métropoles, véritables « territoires entreprises » au seul service des grands groupes donneurs d’ordres et de leurs actionnaires, par le maintien des départements et des compétences communales, et par le réengagement financier de l’État à hauteur des besoins exprimés.

https://www.cgtservicespublics.fr/les-luttes/actualites-des-luttes-2018/mobilisations-nationales-2018/1er-decembre-2018/le-1er-decembre-dans-les-territoires/article/le-1er-decembre-manifestation-a-lille-des-14-h-place-de-l-opera

Il y a 1 heure, LouiseAragon a dit :

Voilà une base de discussion livrée à l'analyse des GJ et de leurs soutiens ....   Qu'en pensent-ils ? 

 

Ni gilets ni syndicats jaunes, seule l' auto-gestion individualiste des électrons libres sera en passe de passer au travers des travers de la récup... 

ah çà m,aurait étonné que ces charognards ne profitent pas des gilets jaune, les syndicats vont pourrirent la situation, les gilets jaune devraient les virer ceux sont des manges miséres et profiteurs, ils recherchent que la vente  de cartes.

il y a une heure, chatperché a dit :

ah çà m,aurait étonné que ces charognards ne profitent pas des gilets jaune, les syndicats vont pourrirent la situation, les gilets jaune devraient les virer ceux sont des manges miséres et profiteurs, ils recherchent que la vente  de cartes.

Tu parles vite, tu insultes vite ... Et finalement, que prouves-tu ? Que tu ne sais rien ! 

Cela fait 16 ans que les syndicats manifestent le 1° samedi de décembre contre le chômage, la précarité, et les bas salaires ! Tu devrais descendre de ton arbre et t'informer ... Chatperché ... 

Ceci dit, tu as raison de fustiger ceux qui luttent pour plus de JUSTICE SOCIALE ! En te lisant, on voit tout de suite que toi tu sais qui sont les profiteurs ... Toi, tu connais tes ennemis !  

Pour économiser sur les finances publiques le mieux est de laisser l’avenue Kléber dans son jus Et d’y faire passer le cortège