Faut-il croire aux contes ?

Dissertation de philosophie

merci !

Oui bien sûr, enfin non pas toujours, ça dépend du conte, de l'âge du conteur, de sa force physique, du temps qu'il fait et de l'heure qu'il est.

il y a 4 minutes, Nevada a dit :

merci !

De rien !  Surtout reviens quand tu veux.

On peut retenir le vrai et en tirer leçon d'une fiction. Vous connaissez les Fables de la Fontaine ? Le faux peut être utile. Non ?

il y a 28 minutes, Nevada a dit :

Dissertation de philosophie

merci !

Les contes sont des histoires romancées, que les parents font à leurs enfants pour les protéger.

Ce sont des légendes porteuses d’un message, qui se caractérisent par une part de vrai et une part d’imaginaire.

Dans les petites histoires avec un petit « h » et la grande Histoire avec un grand « H », le conte peut être considéré comme le curseur, que l’on coulisse entre l’imaginaire « h » et des faits réels « H ».

Il en va ainsi, pour les enfants, mais aussi pour les peuples et leur culture.

C’est à la discrétion de chacun de positionner le curseur au bon endroit.

Mon père faisait des visites, dans le cadre d’un spectacle son et lumière dans une abbaye au siècle dernier, il avait élaboré un texte pour clore la présentation de son monument, et ses paroles de conclusion étaient :

« Dans le mystère de la nuit qui nous entoure, n’y- a -t-il pas de beauté plus belle que le rêve et de vérité plus douce que l’espérance ? »

Et y a toujours des couillons, de braves âmes pour répondre à ces feignasses, incapables de faire le boulot qu'on leur demande. ça m'énerve

il y a 27 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Et y a toujours des couillons

P’taing, vla qu’on me traite de couillon maintenant ? 

Pour en avoir le cœur net, j’ai vérifié la définition du mot…

COUILLON

A.− Vieilli, pop. Testicule :

1. [Recette de philtre d'amour] Tirez de votre sang, un vendredi de printemps ; mettez-le sécher au four dans un petit pot, avec deux couillons de lièvre et un foie de colombe... Druon, Le Lis et le lion,1960, p. 216.

− Au fig.

1. Sot, imbécile. Ne fais pas le couillon :

2. − À première vue, dit le jeune homme en clignant des yeux, j'aurais parié à quarante contre un que vous êtes un de ceux qui font les couillons comme ils respirent ; ... Giono, Le Hussard sur le toit,1951, p. 50.

2. Poltron, lâche :

3. Non, mon cher monsieur, je n'ai commis aucune lâcheté, même de geste, relative à votre endroit ; et avant de traiter un homme de couillon, il faut avoir des preuves. Flaubert, Correspondance,1857, p. 198.

B.− MAR. Tampon d'étoupe, ficelé dans la toile de la voile et permettant de l'empoigner pour la serrer. Margouillet grossier.

il y a 3 minutes, Enchantant a dit :

P’taing, vla qu’on me traite de couillon maintenant ? 

Pour en avoir le cœur net, j’ai vérifié la définition du mot…

Sous mon clavier, c'est plus "affectueux" que méchant pas beau

il y a 33 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Et y a toujours des couillons, de braves âmes pour répondre à ces feignasses, incapables de faire le boulot qu'on leur demande. ça m'énerve

Pour faire de la philosophie il faut discuter. Je ne demande pas une réponse complete seulement des avis.

J’ai déjà pour ma part fait mes propres recherches, je m’interesse à la possibilité qu’il y ait d’autres points de vue.

De plus personne n’oblige les utilisateurs à répondre et si vous trouvez çela ridicule et mal venu de poser une simple question sur un forum vous feriez mieux de ne plus venir vous y aventurer dans ce cas.

Le but même d’un forum de ce type, notamment dans la catégorie philosophie, et de partager, de discuter autour d’une question comme celle que je viens de poser.

Si j’ai rajouté le terme « dissertation » c’est pour faire comprendre que je ne m’attends pas à un simple « oui » ou « non » mais à une pensée davantage développée.

Merci pour les réponses des autres utilisateurs et bonne journée.

à l’instant, Nevada a dit :

Pour faire de la philosophie il faut discuter. Je ne demande pas une réponse complete seulement des avis.

J’ai déjà pour ma part fait mes propres recherches, je m’interesse à la possibilité qu’il y ait d’autres points de vue.

De plus personne n’oblige les utilisateurs à répondre et si vous trouvez çela ridicule et mal venu de poser une simple question sur un forum vous feriez mieux de ne plus venir vous y aventurer dans ce cas.

Le but même d’un forum de ce type, notamment dans la catégorie philosophie, et de partager, de discuter autour d’une question comme celle que je viens de poser.

Si j’ai rajouté le terme « dissertation » c’est pour faire comprendre que je ne m’attends pas à un simple « oui » ou « non » mais à une pensée davantage développée.

Merci pour les réponses des autres utilisateurs et bonne journée.

Ok. Alors si tu veux un partage, soumets ce que tu as déjà cherché et il sera possible d'en discuter.

Il y a 4 heures, Nevada a dit :

Dissertation de philosophie

merci !

Si les contes étaient réels alors le possible serait le nécessaire et toutes les créatures les plus fantasques nées dans notre imaginaire seraient réelles. Je ne vois pas comment c'est défendable philosophiquement parlant.

Il y a 5 heures, Mite_Railleuse a dit :

Ok. Alors si tu veux un partage, soumets ce que tu as déjà cherché et il sera possible d'en discuter.

J'étais parti sur un plan en trois parties:

I. Le conte existe depuis toujours, il est universel, il transcende le temps et l'espace (je retracerai l'histoire du conte, son but...)

II. Le conte participe à notre construction personnelle (en quoi on peut l'assimiler à notre vie de tout les jours...)

III. Les "dangers" du conte (je cherche encore sur cette partie pour voir si je peux trouver assez de contenu)

il y a 6 minutes, Nevada a dit :

J'étais parti sur un plan en trois parties:

I. Le conte existe depuis toujours, il est universel, il transcende le temps et l'espace (je retracerai l'histoire du conte, son but...)

II. Le conte participe à notre construction personnelle (en quoi on peut l'assimiler à notre vie de tout les jours...)

III. Les "dangers" du conte (je cherche encore sur cette partie pour voir si je peux trouver assez de contenu)

Et que penses-tu que soit son but ?

il y a 1 minute, Mite_Railleuse a dit :

Et que penses-tu que soit son but ?

Le conte peut avoir pour simple but de distraire celui qui le lit, pour le sortir du monde réel et l'emmener dans un monde merveilleux, imaginaire. Mais le conte possède également une morale qui a pour but d'enseigner quelque chose au lecteur. 

Après, j'ai l'impression de ne prendre en conte que les contes de fées. J'ai vu qu'il y avait aussi des contes philosophiques où les auteurs veulent transmettre des messages politiques ou moraux, mais je ne saurais pas quoi dire de plus dessus (notamment sur les dangers de ceux-ci). 

il y a 23 minutes, Nevada a dit :

Le conte peut avoir pour simple but de distraire celui qui le lit, pour le sortir du monde réel et l'emmener dans un monde merveilleux, imaginaire. Mais le conte possède également une morale qui a pour but d'enseigner quelque chose au lecteur. 

Après, j'ai l'impression de ne prendre en conte que les contes de fées. J'ai vu qu'il y avait aussi des contes philosophiques où les auteurs veulent transmettre des messages politiques ou moraux, mais je ne saurais pas quoi dire de plus dessus (notamment sur les dangers de ceux-ci). 

Les contes philosophiques sont des moyens de passer au crible divers problèmes, sociétaux, religieux, politiques sous couvert de fiction. Un genre de contre pouvoir. A toi de voir si c'est dangereux ou pas...