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S'offrir à l'autre est-elle la solution?


whalee

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Nouveau, 21ans Posté(e)
whalee Nouveau 2 messages
Baby Forumeur‚ 21ans‚
Posté(e)

On m’a dit, que je vivais pour mourrir à la fin, c’est pas le mort qui vient mais la vie qui me tue. La vie me tue comme si la mort m’attendais. On vit tous de nos caprices et réjouissances, on est fait d’envies et de doutes. De regrets dans nos chairs car le moment présent lui est vrai. Mais le moment présent fait mal car on se découvre. Nous et le monstre qui ère au fond de ce corps et de cet acharnement de mensonges. Et la tristesse, on l’aime, car c’est nous. Le bonheur c’est eux, mais eux font mal aussi. Autant se faire mal par soi-même. Le bonheur c’est faire mal aux autres. Et l’amour c’est donner la vérité à l’autre. La vérité qu’on cache à eux, en blessant et crachant sur la dignité. Alors on a peur de l’amour car il nous montre comment l’homme est fait, car il nous montre le désespoir de ne pas pouvoir être qui l’on veut, mais qui l’on peut. Car l’environnement est toxique et seul la solitude nous le rappelle. Alors la solitude nous emmène à la tristesse et telles sont les choses. Mais si tout est lié, comment on s’en sort? Par l’autre? L’autre qui nous sauve et qui nous offre son âme et son coeur, malheureux. Alors on l’accepte mais, c’est lui qui sombre dans un monde sans principes. Dans un monde noir ou les couleurs n’existent pas, dans un monde ou les mots sont des bruits, dans un monde ou l’existence est un mythe, et ou la mort nous cueille comme une fleur fanée. Mais si l’on donne notre âme et tout ce qu’on a en retour, c’est cette liaison qui prend le dessus et qui nous sort de ce vice interminable, de ce monstre qui nous ronge depuis que la lumière du soleil nous a frappés. Alors on vit, on vit vraiment, pour nous et eux sont des statues qui pleurent en permanence. Et on aime, on aime lui et nous. Parfois l’autre en a peur, car il se découvre, et il faut l’accepter, cette vérité que celui qui aime connaît peut-être mieux que l’autre. Ça fait peur et on sombre, on lâche tout alors le malheur prend le dessus et c’est fini, c’est fini on s’enterre dans nos propres corps. On s’enterre la ou le sol n’est que poussière, mais on persiste a se tuer, persistons à vivre vraiment non? Peut on surpasser cette idée qui nous pousse a nous casser, à tout détruire et à ne laisser que des traces interminables. Des traces que l’on efface pas des traces qui sont la et puis c’est tout. On n’y fait rien maintenant, mais on pouvait, on pouvait réveiller le nous qui dort. On aurait du et on le pouvait, peut-être que l’on peut toujours, ou jamais. Jamais à l’infini, oublier le temps et la forme des phrases, les sons sont des roses qui sèchent sans jamais s’arrêter, la voix n’est qu’un couteau qui perce nos veines. Mais moi je veux encore, car je souffre mais je Veux le retrouver cette état qui n’est pas le bonheur mais la conscience de soi, en entier, de ses vices et de ce monstre, de moi, de toi. Indescriptible mais doux, c’est l’amour réciproque. Il fait peur mais s’offre a nous, ou non, il nous offre à nous. Subtile, je sais, mais s’offrir à nous c’est une chose si belle qu’on en oublie le reste. Les doutes les regrets la tristesse qu’on éprouve parfois, restent, mais la conscience d’être soi même et de s’offrir a nous, a elle, est une chose magnifique qu’on a tendance à oublier, à cause d’une peur stupide. On ne mérite rien, mais on doit les choses à la vie. Le meilleur moyen de remercier la vie c’est de s’offrir à quelqu’un. Point

 

Ca n'a pas beaucoup de structure, mais j'ai écrit ça d'une traite car je me sentais inspiré alors je n'ai pas fait attention à ça. Dites moi ce que vous en pensez!

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Membre, 53ans Posté(e)
fidel castor Membre 3 358 messages
Mentor‚ 53ans‚
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c'est très abstrait a mon gout... en fait en amour le but est pas du tout s'offrir a l'autre a mon avis mais partager son univers et passer du je a nous ... c'est une découverte de l'univers intime de l'autre qui passe part une séduction de l’âme et une mise en confiance totale si possible

après tes ténèbres te pourrissent la vie mais paradoxalement c'est cela qui t'humanise ... en travaillant sur eux en les rendant de plus en plus acceptable et en comprenant que la peur la violence sont des réactions primaires a quelque chose d'essentiel ... en sachant que derrière chaque peur il y a un désir (la peur de mourir c'est le désir de vivre par exemple) et que l'amour et le désir sont que la polarité inverse de la peur la haine etc tu inverse donc les polarité transformant tes énergies négatives en positives et tu devient adulte vivant dans la réalité et au clair avec toi même... en gros

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Membre, 154ans Posté(e)
Don Juan Membre 2 441 messages
Forumeur expérimenté‚ 154ans‚
Posté(e)
Il y a 9 heures, whalee a dit :

On m’a dit, que je vivais pour mourrir à la fin, c’est pas le mort qui vient mais la vie qui me tue. La vie me tue comme si la mort m’attendais. On vit tous de nos caprices et réjouissances, on est fait d’envies et de doutes. De regrets dans nos chairs car le moment présent lui est vrai. Mais le moment présent fait mal car on se découvre. Nous et le monstre qui ère au fond de ce corps et de cet acharnement de mensonges. Et la tristesse, on l’aime, car c’est nous. Le bonheur c’est eux, mais eux font mal aussi. Autant se faire mal par soi-même. Le bonheur c’est faire mal aux autres. Et l’amour c’est donner la vérité à l’autre. La vérité qu’on cache à eux, en blessant et crachant sur la dignité. Alors on a peur de l’amour car il nous montre comment l’homme est fait, car il nous montre le désespoir de ne pas pouvoir être qui l’on veut, mais qui l’on peut. Car l’environnement est toxique et seul la solitude nous le rappelle. Alors la solitude nous emmène à la tristesse et telles sont les choses. Mais si tout est lié, comment on s’en sort? Par l’autre? L’autre qui nous sauve et qui nous offre son âme et son coeur, malheureux. Alors on l’accepte mais, c’est lui qui sombre dans un monde sans principes. Dans un monde noir ou les couleurs n’existent pas, dans un monde ou les mots sont des bruits, dans un monde ou l’existence est un mythe, et ou la mort nous cueille comme une fleur fanée. Mais si l’on donne notre âme et tout ce qu’on a en retour, c’est cette liaison qui prend le dessus et qui nous sort de ce vice interminable, de ce monstre qui nous ronge depuis que la lumière du soleil nous a frappés. Alors on vit, on vit vraiment, pour nous et eux sont des statues qui pleurent en permanence. Et on aime, on aime lui et nous. Parfois l’autre en a peur, car il se découvre, et il faut l’accepter, cette vérité que celui qui aime connaît peut-être mieux que l’autre. Ça fait peur et on sombre, on lâche tout alors le malheur prend le dessus et c’est fini, c’est fini on s’enterre dans nos propres corps. On s’enterre la ou le sol n’est que poussière, mais on persiste a se tuer, persistons à vivre vraiment non? Peut on surpasser cette idée qui nous pousse a nous casser, à tout détruire et à ne laisser que des traces interminables. Des traces que l’on efface pas des traces qui sont la et puis c’est tout. On n’y fait rien maintenant, mais on pouvait, on pouvait réveiller le nous qui dort. On aurait du et on le pouvait, peut-être que l’on peut toujours, ou jamais. Jamais à l’infini, oublier le temps et la forme des phrases, les sons sont des roses qui sèchent sans jamais s’arrêter, la voix n’est qu’un couteau qui perce nos veines. Mais moi je veux encore, car je souffre mais je Veux le retrouver cette état qui n’est pas le bonheur mais la conscience de soi, en entier, de ses vices et de ce monstre, de moi, de toi. Indescriptible mais doux, c’est l’amour réciproque. Il fait peur mais s’offre a nous, ou non, il nous offre à nous. Subtile, je sais, mais s’offrir à nous c’est une chose si belle qu’on en oublie le reste. Les doutes les regrets la tristesse qu’on éprouve parfois, restent, mais la conscience d’être soi même et de s’offrir a nous, a elle, est une chose magnifique qu’on a tendance à oublier, à cause d’une peur stupide. On ne mérite rien, mais on doit les choses à la vie. Le meilleur moyen de remercier la vie c’est de s’offrir à quelqu’un. Point

 

Ca n'a pas beaucoup de structure, mais j'ai écrit ça d'une traite car je me sentais inspiré alors je n'ai pas fait attention à ça. Dites moi ce que vous en pensez!

Vous demandez ce que nous saurions en penser, évidemment il ne s'agit pas de ce qu'on epnse du style, puisque vous avez écrit cela sans travail d'écriture mais dauns une probable "spontanéité".

Alors faut-il savoir ce que l'on en pense ?

Cela me rappelle un texte que j'avais écrit lorsque j'avais quinze ans et que j'avais recopié un certain nombre de fois pour le placarder sur les murs le long du chemin qui menait au collège.

C'était un cri de désespoir, de conscience aussi, et d'amour, voulais-je croire, de cet amour dont on est capable à quinze ans.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 18 973 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 10 heures, whalee a dit :

On m’a dit, que je vivais pour mourrir à la fin, c’est pas le mort qui vient mais la vie qui me tue. La vie me tue comme si la mort m’attendais. On vit tous de nos caprices et réjouissances, on est fait d’envies et de doutes. De regrets dans nos chairs car le moment présent lui est vrai. Mais le moment présent fait mal car on se découvre. Nous et le monstre qui ère au fond de ce corps et de cet acharnement de mensonges. Et la tristesse, on l’aime, car c’est nous. Le bonheur c’est eux, mais eux font mal aussi. Autant se faire mal par soi-même. Le bonheur c’est faire mal aux autres. Et l’amour c’est donner la vérité à l’autre. La vérité qu’on cache à eux, en blessant et crachant sur la dignité. Alors on a peur de l’amour car il nous montre comment l’homme est fait, car il nous montre le désespoir de ne pas pouvoir être qui l’on veut, mais qui l’on peut. Car l’environnement est toxique et seul la solitude nous le rappelle. Alors la solitude nous emmène à la tristesse et telles sont les choses. Mais si tout est lié, comment on s’en sort? Par l’autre? L’autre qui nous sauve et qui nous offre son âme et son coeur, malheureux. Alors on l’accepte mais, c’est lui qui sombre dans un monde sans principes. Dans un monde noir ou les couleurs n’existent pas, dans un monde ou les mots sont des bruits, dans un monde ou l’existence est un mythe, et ou la mort nous cueille comme une fleur fanée. Mais si l’on donne notre âme et tout ce qu’on a en retour, c’est cette liaison qui prend le dessus et qui nous sort de ce vice interminable, de ce monstre qui nous ronge depuis que la lumière du soleil nous a frappés. Alors on vit, on vit vraiment, pour nous et eux sont des statues qui pleurent en permanence. Et on aime, on aime lui et nous. Parfois l’autre en a peur, car il se découvre, et il faut l’accepter, cette vérité que celui qui aime connaît peut-être mieux que l’autre. Ça fait peur et on sombre, on lâche tout alors le malheur prend le dessus et c’est fini, c’est fini on s’enterre dans nos propres corps. On s’enterre la ou le sol n’est que poussière, mais on persiste a se tuer, persistons à vivre vraiment non? Peut on surpasser cette idée qui nous pousse a nous casser, à tout détruire et à ne laisser que des traces interminables. Des traces que l’on efface pas des traces qui sont la et puis c’est tout. On n’y fait rien maintenant, mais on pouvait, on pouvait réveiller le nous qui dort. On aurait du et on le pouvait, peut-être que l’on peut toujours, ou jamais. Jamais à l’infini, oublier le temps et la forme des phrases, les sons sont des roses qui sèchent sans jamais s’arrêter, la voix n’est qu’un couteau qui perce nos veines. Mais moi je veux encore, car je souffre mais je Veux le retrouver cette état qui n’est pas le bonheur mais la conscience de soi, en entier, de ses vices et de ce monstre, de moi, de toi. Indescriptible mais doux, c’est l’amour réciproque. Il fait peur mais s’offre a nous, ou non, il nous offre à nous. Subtile, je sais, mais s’offrir à nous c’est une chose si belle qu’on en oublie le reste. Les doutes les regrets la tristesse qu’on éprouve parfois, restent, mais la conscience d’être soi même et de s’offrir a nous, a elle, est une chose magnifique qu’on a tendance à oublier, à cause d’une peur stupide. On ne mérite rien, mais on doit les choses à la vie. Le meilleur moyen de remercier la vie c’est de s’offrir à quelqu’un. Point

 

Ca n'a pas beaucoup de structure, mais j'ai écrit ça d'une traite car je me sentais inspiré alors je n'ai pas fait attention à ça. Dites moi ce que vous en pensez!

Un hymne à l'amour

Celà m'évoque cette idée que l'amour à deux peut être une béquille pour survivre dans le monde.

Trouver dans l'autre son énergie 

Et c'est une fondation sur sable mouvant émouvant car l'autre n'est pas sa propre fondation sur laquelle appuyer l'amour.

Il y a de la vertu et de l'humilité à présenter à l'autre ses fragilités 

Mais c'est bien l'amour qui doit fonder son regard différent sur soi même et sur le monde.

L'amour bequille à l'amour jonquille, du pouvoir de la peur au pouvoir des fleurs 

Quand la chenille s'est transformée en papillon, le mot amour prend sens dans le regard qu'on porte à l'autre 

Il faut se rappeler chaque jour de lui rendre ce miroir aggrandissant qui finit par rendre plus grand 

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Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 774 messages
78ans‚ Talon 1,
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Il y a 11 heures, whalee a dit :

je me sentais inspiré

Vous devriez suivre mieux votre traitement. 

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Nouveau, 21ans Posté(e)
whalee Nouveau 2 messages
Baby Forumeur‚ 21ans‚
Posté(e)
Il y a 18 heures, fidel castor a dit :

c'est très abstrait a mon gout... en fait en amour le but est pas du tout s'offrir a l'autre a mon avis mais partager son univers et passer du je a nous ... c'est une découverte de l'univers intime de l'autre qui passe part une séduction de l’âme et une mise en confiance totale si possible

après tes ténèbres te pourrissent la vie mais paradoxalement c'est cela qui t'humanise ... en travaillant sur eux en les rendant de plus en plus acceptable et en comprenant que la peur la violence sont des réactions primaires a quelque chose d'essentiel ... en sachant que derrière chaque peur il y a un désir (la peur de mourir c'est le désir de vivre par exemple) et que l'amour et le désir sont que la polarité inverse de la peur la haine etc tu inverse donc les polarité transformant tes énergies négatives en positives et tu devient adulte vivant dans la réalité et au clair avec toi même... en gros

C'est vrai, j'ai une perception de la vie plutôt péjorative, mais au moins je la vois comme elle est et je suis conscient de cette perception. Je sais les choses alors je n'ai pas le poids du questionnement en permanence. En effet cela me rend la vie parfois compliquée et je ne comprends pas pourquoi je suis le seul à me poser ce genre de questions. Je pense que j'ai vécu assez de déceptions amoureuses pour former mon propre avis sur la chose. 

Mais je persiste sur mon idée d'offrir, car l'homme cherche tout le temps à recevoir. Sauf dans le cas de l'amour, le vrai je pense. Celui ou l'on donne sans se soucier de ce qui nous sera donné en retour. Si tout le monde donne, c'est win-win à mon avis, mais bien évidemment c'est une vision bien trop utopique pour ce monde.

Il y a 7 heures, Talon 1 a dit :

Vous devriez suivre mieux votre traitement. 

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Traitement de quoi?

Ce que je demande c'est ce que vous en pensez de mon opinion. Mon style est désordonné et spontané j'en suis déjà conscient. J'aimerai simplement partager mon avis et connaître le votre aussi.

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