REPUBLICAINS TRUMP déchéance, rejet planétaire et ennemi des accords de Paris

30 août 2018 : haro sur « les ennemis du peuple ». Une journée sur Twitter comme une autre pour le président Donald Trump, avec ses insultes, ses attaques tous azimuts, ses colères et ses frustrations, symptomatiques d’un homme esseulé, blessé et de plus en plus instable mentalement, incapable de se dépêtrer de la nasse politico-judiciaire tissée autour de lui.

Le système de « checks and balances » (balance des pouvoirs) est la base de tout principe démocratique et même l'un des fondements de la Constitution américaine. Pourtant, après quatorze mois d'exercice d'une autorité chaotique ? et avant les élections de mi-mandat en novembre qui pourraient lui faire perdre sa pleine liberté de mouvement ?, Donald Trump a fait en sorte que personne de son entourage ne vienne contredire, voire gêner les idées qu'il avance et les décisions qu'il veut prendre. Même lorsqu'elles sont irrationnelles, déraisonnables, voire dangereuses pour la stabilité du monde.

Il vient ainsi d'éliminer de son entourage immédiat deux pragmatiques, le général trois étoiles HR Mc Masters, responsable du Conseil national de sécurité, et le chef d'entreprise Rex Tillerson, chef de la diplomatie. Ils ont été remplacés respectivement par John Bolton et Mike Pompeo, deux va-t-en-guerre, totalement en phase avec ses idées, même les plus folles. Donald Trump n'a plus aucun frein ni menace de blocage sur trois fronts particulièrement sensibles :

- La perspective encore fragile d'une dénucléarisation de la péninsule coréenne à l'issue d'éventuelles négociations.

- Le traité iranien de 2015 cosigné par l'Europe, la Russie et la Chine qui a permis que Téhéran abandonne son programme nucléaire militaire.

- Un retrait unilatéral de Syrie qui laisserait le champ...

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Les élections à mi-course sont traditionnellement défavorables au parti au pouvoir. Pour l’instant, celles de 2018 ne semblent pas devoir déroger à la règle, du moins pour ce qui concerne la Chambre des représentants. Le Parti démocrate peut espérer remporter les 23 sièges qui lui manquent pour en reprendre le contrôle. Le renouvellement partiel du Sénat contrarie en revanche l’ambition d’un contrôle total du Congrès, puisqu’il implique un nombre important de sortants démocrates (26 contre 9 seulement pour les républicains), y compris dans une dizaine d’Etats remportés très largement par Donald Trump en 2016.

l semblerait d’ailleurs que Trump ait saisi l’ampleur de sa mauvaise passe et n’hésite plus à jouer de la peur afin de s’assurer une fin de mandat paisible, promettant le chaos à ceux qui ne voteraient pas en faveur des Républicains lors des prochaines élections. 

Une peur de la défaite accentuée par le fait que les Démocrates sont de plus en plus à se lever afin d’aller voter, contrairement aux Républicains. En effet, au cours des primaires qui se sont récemment déroulées, ils ont été presque autant à voter que lors des élections présidentielles. Une véritable première qui prouve à quel point ils sont nombreux à vouloir voir le président Trump tomber. D’ailleurs, un récent décompte a permis de recenser près de 6.000 groupes de « résistance silencieuse ».

Paris et Macron avait rejeté tout accords commerciaux ave ceux qui ne respectent pas les accords de Paris , malheureusement , silence radio sur le dernier accord signé avec Ottawa et Justin Trudeau que Trump a considéré comme un bon accord revu évidemment à l'avantage de Washington .

Bruxelles et la Commission Européenne fourbit ses armes et de nouvelles sanctions , de nouvelles taxes sur des produits américains pourraient voir le jour si l''administration américaine s'en prend à l'industrie automobiles française , italienne et surtout Merkelienne allemande.

Jusqu'a présent comme au golf  l'Europe mène 2 à 0 .

Trump est une bien belle blague en fait... En même temps, qu'espérer de quelqu'un qui a fait de la télé réalité? Pas grand chose...

Imaginez 5 minutes Nabilla à la tête de la France, ça vous fait bien marrer? Ben les américains ont bien placé l'équivalent en tant que chef de l’État...

perso je préfère Nabilla à Trump pour gouverner, elle est trop belle ! Une déesse.

Faire la Une des magasines people, ramasser de l'argent sur le dos des travailleurs, elle ferait une super présidente.

et avc l argent  on achete tout