francais

Bonjour, j'aurais besoin d'aide car je ne suis pas très bon en francais et j'aurais besoin d'aide pour ce travail. Il s'agit du texte "trains" de SOUPAULT et je dois trouver 10 remarques à faire sur ce texte cependant je n'en ai trouver aucune j'espere donc trouver de l'aide sur ce forummerci d'avance                 voici le texte : Les talus se fendillent sous la chaleur des wagons rapides et des escarbilles rouges de toute la vapeur qui coule loin sur les arbres. On ne sait quelle est cette odeur des loups morts de faim qui vous prend à la gorge dans les wagons des classes inférieures. Courage pour ces cris des locomotives hystériques et pour ces gémissements des roues suppliciées. Au dehors, les arbres énivrés de tous les regards ont le vertige monstrueux des foules au départ d'un avion pour un voyage éternel. A tous les signaux, une énorme bête se tient cachée et regarde d'un seul oeil ce grand lézard bruyant qui glisse sur des ruisseaux de diamants et sur les cailloux des mines aériennes.

Bonsoir, vous êtes sur un forum généraliste, pas un site dédié au bachotage pour branleur de la pire espèce ()... Néanmoins, grand-prince, nous vous suggérons pour toute liminaire observation circonstanciée, un bien senti et à propos " il nous en aura fait soupé à nous les bacheliers, le poète Soupault"...

il y a 58 minutes, matmat_drx a dit :

Bonjour, j'aurais besoin d'aide car je ne suis pas très bon en francais et j'aurais besoin d'aide pour ce travail. Il s'agit du texte "trains" de SOUPAULT et je dois trouver 10 remarques à faire sur ce texte cependant je n'en ai trouver aucune j'espere donc trouver de l'aide sur ce forummerci d'avance                 voici le texte : Les talus se fendillent sous la chaleur des wagons rapides et des escarbilles rouges de toute la vapeur qui coule loin sur les arbres. On ne sait quelle est cette odeur des loups morts de faim qui vous prend à la gorge dans les wagons des classes inférieures. Courage pour ces cris des locomotives hystériques et pour ces gémissements des roues suppliciées. Au dehors, les arbres énivrés de tous les regards ont le vertige monstrueux des foules au départ d'un avion pour un voyage éternel. A tous les signaux, une énorme bête se tient cachée et regarde d'un seul oeil ce grand lézard bruyant qui glisse sur des ruisseaux de diamants et sur les cailloux des mines aériennes.

Personnification ? Métaphore ? ...

Quels sont les procédés utilisés dans ce texte ? 

Il y a 10 heures, BadKarma a dit :

Bonsoir, vous êtes sur un forum généraliste, pas un site dédié au bachotage pour branleur de la pire espèce ()... Néanmoins, grand-prince, nous vous suggérons pour toute liminaire observation circonstanciée, un bien senti et à propos " il nous en aura fait soupé à nous les bacheliers, le poète Soupault"...

TéKon mais putain j'aime ça...

Il y a 10 heures, matmat_drx a dit :

Bonjour, j'aurais besoin d'aide car je ne suis pas très bon en francais et j'aurais besoin d'aide pour ce travail. Il s'agit du texte "trains" de SOUPAULT et je dois trouver 10 remarques à faire sur ce texte cependant je n'en ai trouver aucune j'espere donc trouver de l'aide sur ce forummerci d'avance                 voici le texte : Les talus se fendillent sous la chaleur des wagons rapides et des escarbilles rouges de toute la vapeur qui coule loin sur les arbres. On ne sait quelle est cette odeur des loups morts de faim qui vous prend à la gorge dans les wagons des classes inférieures. Courage pour ces cris des locomotives hystériques et pour ces gémissements des roues suppliciées. Au dehors, les arbres énivrés de tous les regards ont le vertige monstrueux des foules au départ d'un avion pour un voyage éternel. A tous les signaux, une énorme bête se tient cachée et regarde d'un seul oeil ce grand lézard bruyant qui glisse sur des ruisseaux de diamants et sur les cailloux des mines aériennes.

Aucune ? Pense à faire autre chose..

Ça me surprends toujours ces gens qui demandent de l'aide sur les forums pour leurs devoirs. Autres temps, autres mœurs.

Ce texte est abominable. Ce type est un crétin qui rêve. Il ne transmet que sa nullité.