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Le désir de la "présence"


aliochaverkiev

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Membre, 25ans Posté(e)
bloodreina Membre 73 messages
Baby Forumeur‚ 25ans‚
Posté(e)

<<Nous élaborons chaque jours environ soixante mille pensées. Positives ou négative, banales ou profondes, il n'y a pas à les juger: elles sont comparables à des nuages qui passent. Nous sommes responsable de nos actes, pas de nos pensées. C'est pourquoi, lorsqu'une idée vous angoisse, apposez-y l'étiquette "pensée" et laissez la filer.<<

Le 20/06/2018 à 16:54, brooder a dit :

L'esprit nous effraie car nos pensées ne sont que des pensées de mort.

La vie, notre vie, passe en second lieue, malheureusement.

On est pas obliger de concidérer nos pensées comme des pensées de morts, on a le droit de choisir.

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Membre, Doctor feel good, 58ans Posté(e)
brooder Membre 5 285 messages
58ans‚ Doctor feel good,
Posté(e)
il y a 10 minutes, bloodreina a dit :

<<Nous élaborons chaque jours environ soixante mille pensées. Positives ou négative, banales ou profondes, il n'y a pas à les juger: elles sont comparables à des nuages qui passent. Nous sommes responsable de nos actes, pas de nos pensées. C'est pourquoi, lorsqu'une idée vous angoisse, apposez-y l'étiquette "pensée" et laissez la filer.<<

On est pas obliger de concidérer nos pensées comme des pensées de morts, on a le droit de choisir.

Les "pensées" de mort sont confortables, elles ne changent pas.

La vie, elle, n'est faite que de "fulgurances" sans cesse changeantes et discontinues.

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Membre, 25ans Posté(e)
bloodreina Membre 73 messages
Baby Forumeur‚ 25ans‚
Posté(e)

alors permettez moi de dire que vous êtes idiot

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Membre, 25ans Posté(e)
bloodreina Membre 73 messages
Baby Forumeur‚ 25ans‚
Posté(e)

Il est evident qu'il est plus facile de s'enfermer dans le passé et de ce faire ronger par la solitude ou la culpabilité ou simplement la tristesse ou le manque. C'est tellement simple de baisser les bras. On est en vie, chacun fait ce qu'il veut de sa vie, mais si il est encore possible d'avancer alors pourquoi s'arrêter ? 

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Membre, Posté(e)
aliochaverkiev Membre 1 978 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, bloodreina a dit :

<<Nous élaborons chaque jours environ soixante mille pensées. Positives ou négative, banales ou profondes, il n'y a pas à les juger: elles sont comparables à des nuages qui passent. Nous sommes responsable de nos actes, pas de nos pensées. C'est pourquoi, lorsqu'une idée vous angoisse, apposez-y l'étiquette "pensée" et laissez la filer.<<

On est pas obliger de concidérer nos pensées comme des pensées de morts, on a le droit de choisir.

Bloodreina : souffle d'esprit sain dans un monde de vieillards. Bien sûr que nos pensées ne sont pas toutes des pensées de mort. Les cadavres encore remuants, près de la tombe, veulent emporter le monde dans leur décomposition. Résistez Bloodreina, même quand vous serez aussi vieux que tous ces morts.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Le 20/06/2018 à 09:02, aliochaverkiev a dit :

Il existe ce désir d'une présence qui soit telle qu'elle écarte toutes les angoisses. L'angoisse étant elle-même engendrée par le sentiment d'absence.

En opposition avec la présence apparait le sentiment d'une absence.

Qui est absent ?

Au début de la vie la présence ou l'absence sont considérées comme étant celles d'un autre. C'est la recherche de l'amant ou de l'aimé.

Pourtant même l'amour ne parvient pas à effacer le sentiment qu'il y a une absence.

L'absence de qui, de quoi ?

Ce qui apparait, au cours du temps, c'est que la présence désirée (ou l'absence redoutée) n'est pas celle d'un être réel.

L'être recherché se tient ailleurs, dans un autre monde.

Il se tient dans l'imaginaire.

Il s'incarne au fil des rencontres dans des personnes faites de chair et de sang, mais jamais cet être imaginaire est définitivement identique à ces êtres du réel.

Il existe, au delà du réel, dans l'imaginaire, un être dont l'absence parfois est insupportable, dont la présence est ardemment souhaité, désirée.

Cette non-coïncidence entre cet être imaginaire et les êtres réels opèrent une fracture dans l'esprit. Cette fracture l'individu tend à la réduire, cette tension produit l'action.

L'action, c'est-à-dire la relation à l'autre engendre la résorption du sentiment d'absence, mais cette disparation du sentiment d'absence est un leurre.

L'être imaginaire dont la présence est désirée n'est jamais définitivement incarné dans un être réel.

Réel et imaginaire sont deux mondes qu'il est impossible de fusionner.

 

ça me fait penser a une nouvelle que j'ai lu et dont je n'arrive pas a retrouvé l'auteur...

le contexte de la nouvelle qui est de la science fiction c'est que les hommes envoyer dans l'espace dans la solitude durant des années ne peuvent souvent pas résisté a la pression de cette solitude a force de durée pour leur évité de sombrer dans la folie ils ont un atout a enclencher avant de sombrer qui leur permet alors de rendre "réel" à leurs yeux un partenaire idéal puisque résultant de ce qu'il imagine en leur for intérieur en compagnon idéal.

 

ça date c'est une très vieille nouvelle je crois que le titre était "Nancy" mais je ne suis pas certain...p'tain je vient d'aller feuilleter dans ma bibliothèque vite fait mais non je l'ai pas retrouvé c'est dommage c'est a lire pour ceux que le sujet intéresse.

 

mais faudra que vous retrouviez l'auteur j'essayerais de penser a l'occas d'aller fouillé mes stocks de livre a la cave il dois etre la-bas vu qu'il est pas dans la bibliothèque (j'ai pas assez de place pour tout loger dedans)

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