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Comment etre heureux par l'amour ?


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Invité Colybris
Invités, Posté(e)
Invité Colybris
Invité Colybris Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 7 heures, zera a dit :

Cela me fait pensé à cette BD qui illustre bien, je trouve, l'idée de combler un manque/un vide... L'illusion de le combler alors que nous avons tout ce dont nous avons besoin en nous. Rien qu'en étant conscient que nous avons ce trésor cacher en nous

Merci zera pour le lien ;)

Ce vide, moi je le ressens comme un puit sans fond, on a beau chercher à le remplir, c'est inutile et sans fin et cela crée de la frustration. Déjà en avoir pris conscience, cela permet effectivement de prendre un certain détachement.... et peut être d'être se regarder avec plus de bienveillance.

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, zera a dit :

Je comprends, j'ai cette tendance. Ce détacher de l'autre ne signifie pas ne plus l'aimer :)

Cela me fait pensé à cette BD qui illustre bien, je trouve, l'idée de combler un manque/un vide... L'illusion de le combler alors que nous avons tout ce dont nous avons besoin en nous. Rien qu'en étant conscient que nous avons ce trésor cacher en nous.

Je partage ce lien ici : https://fannys.fr/les-liens-dattachement/

Pour « accepter » ce manque, il nous faut arriver à faire le  deuil. Deuil de cet objet manquant car le vide est forcément l’absence de quelque chose. Malheureusement, si le deuil peut se faire, on ne peut pas décider de le faire. C’est plus un processus naturel qui devrait, quand il n’est pas empêché, se faire tout seul. Tu as raison, ce qui nous manque est en nous. C’est en acceptant ce manque en nous plutôt que de s’illusionner à se raconter que tel ou tel objet pourra le combler qu’on peut passer à autre chose. Et véritablement être.

il y a 47 minutes, Colybris a dit :

Merci zera pour le lien ;)

Ce vide, moi je le ressens comme un puit sans fond, on a beau chercher à le remplir, c'est inutile et sans fin et cela crée de la frustration. Déjà en avoir pris conscience, cela permet effectivement de prendre un certain détachement.... et peut être d'être se regarder avec plus de bienveillance.

Imagine ce vide sous la forme d’une lumière intense dans la nuit noire.Et nous pauvres papillons qui nous cognons la tête contre l’ampoule sans jamais pouvoir atteindre la lumière.

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Membre, Je n'en ai aucun, 51ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
51ans‚ Je n'en ai aucun,
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Il y a 11 heures, swam a dit :

Une certaine peur de l'attachement quand il n'est pas partagé.

Je ne suis pas doué pour me couper de mes perceptions.

Donc tu ne voudrais pas apprendre que tu as des sentiments plus forts que ceux de la personne avec qui tu es ?

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Invité Colybris
Invités, Posté(e)
Invité Colybris
Invité Colybris Invités 0 message
Posté(e)
il y a 21 minutes, ping a dit :

Imagine ce vide sous la forme d’une lumière intense dans la nuit noire.Et nous pauvres papillons qui nous cognons la tête contre l’ampoule sans jamais pouvoir atteindre la lumière.

La notion de vide a remplir me parle plus que celle d'une lumière qui attire sans jamais l'atteindre. Cela s'est d'ailleurs traduit par certains comportements compulsifs à une époque...... ce qui me fait bien prendre conscience qu'on ne peut etre heureux que par l'amour de soi d'abord. Le détachement de l'autre,  c'est couper les liens toxiques et non pas ne plus vouloir rien ressentir pour l'autre..... pas facile tout ça. 

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Membre, Biscotte, 38ans Posté(e)
zera Membre 6 818 messages
38ans‚ Biscotte,
Posté(e)
il y a une heure, Colybris a dit :

Merci zera pour le lien ;)

Ce vide, moi je le ressens comme un puit sans fond, on a beau chercher à le remplir, c'est inutile et sans fin et cela crée de la frustration. Déjà en avoir pris conscience, cela permet effectivement de prendre un certain détachement.... et peut être d'être se regarder avec plus de bienveillance.

C'est comme un trou noir, on ne sait pas se que c'est. Et pourtant, je crois que c'est une grande force quand on l'accepte.

il y a 34 minutes, ping a dit :

Imagine ce vide sous la forme d’une lumière intense dans la nuit noire.Et nous pauvres papillons qui nous cognons la tête contre l’ampoule sans jamais pouvoir atteindre la lumière.

C'est bien ça. Quand on arrive à voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide. Nous sommes capable de nous servir de cette force en nous. Et cela donne des "ailes".

 

il y a 31 minutes, ping a dit :

Pour « accepter » ce manque, il nous faut arriver à faire le  deuil. Deuil de cet objet manquant car le vide est forcément l’absence de quelque chose. Malheureusement, si le deuil peut se faire, on ne peut pas décider de le faire. C’est plus un processus naturel qui devrait, quand il n’est pas empêché, se faire tout seul. Tu as raison, ce qui nous manque est en nous. C’est en acceptant ce manque en nous plutôt que de s’illusionner à se raconter que tel ou tel objet pourra le combler qu’on peut passer à autre chose. Et véritablement être.

Oui, merci ping. Et cela nous pousse à être ;)

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Invité fx.
Invités, Posté(e)
Invité fx.
Invité fx. Invités 0 message
Posté(e)
il y a 14 minutes, Colybris a dit :

La notion de vide a remplir me parle plus que celle d'une lumière qui attire sans jamais l'atteindre. Cela s'est d'ailleurs traduit par certains comportements compulsifs à une époque...... ce qui me fait bien prendre conscience qu'on ne peut etre heureux que par l'amour de soi d'abord.

Je vois plus ça sous la forme d'un équilibre, je suis toujours très réservé sur le fait de prôner l'amour de soi, particulièrement à notre époque. Je dirais même que souvent ce sont les autres qui nous y aide bien plus que nous même (ou l'inverse ^^) et donc cet équilibre dont je parlais, serait celui du degré d'inscription et de validation du regard de l'autre tout en essayant de garder une forme de lucidité et de capacité critique.

Citation

Le détachement de l'autre,  c'est couper les liens toxiques et non pas ne plus vouloir rien ressentir pour l'autre..... pas facile tout ça. 

Couper c'est quand on a pas réussi à les pacifier, ça arrive mais c'est toujours un échec.

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Membre, Biscotte, 38ans Posté(e)
zera Membre 6 818 messages
38ans‚ Biscotte,
Posté(e)
il y a 4 minutes, fx. a dit :

Couper c'est quand on a pas réussi à les pacifier, ça arrive mais c'est toujours un échec.

Je vois cela plus sous la forme de "posséder" l'autre. Couper ce lien qui nous enchaîne à l'autre pour nous soulager. Finalement, nous nous dépossédons de nous même à vouloir combler ce vide en nous à travers l'être aimé, les autres ou même les choses.

L'amour est un partage à la fois c'est une source inépuisable, tu parles d'équilibre... je pense que l'on parle de la même chose. Dans la relation à l'autre beaucoup d'autres paramètres rentrent en compte comme les valeurs...

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 35 900 messages
Grégairophobe...,
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il y a 7 minutes, fx. a dit :

Je vois plus ça sous la forme d'un équilibre, je suis toujours très réservé sur le fait de prôner l'amour de soi, particulièrement à notre époque. Je dirais même que souvent ce sont les autres qui nous y aide bien plus que nous même (ou l'inverse ^^) et donc cet équilibre dont je parlais, serait celui du degré d'inscription et de validation du regard de l'autre tout en essayant de garder une forme de lucidité et de capacité critique.

Plus que de l'amour de soi, j'y vois l'acceptation de ce que l'on est, au "détriment" de ce que l'on voudrait être. Et ce sont bien sûr les autres qui nous y mènent, si nous acceptons cette déception de nous...

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Invité fx.
Invités, Posté(e)
Invité fx.
Invité fx. Invités 0 message
Posté(e)
il y a 26 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Plus que de l'amour de soi, j'y vois l'acceptation de ce que l'on est, au "détriment" de ce que l'on voudrait être. Et ce sont bien sûr les autres qui nous y mènent, si nous acceptons cette déception de nous...

Il faut considérer que ce qu'on est n'est pas figé même si de grandes constantes perdurent presque toujours. Je crois que tout ça est très tributaire des époques, des contextes et expériences de nos vies. On est plus ou moins résistant au regard de l'autre ...

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Invité fx.
Invités, Posté(e)
Invité fx.
Invité fx. Invités 0 message
Posté(e)
il y a 27 minutes, zera a dit :

Je vois cela plus sous la forme de "posséder" l'autre. Couper ce lien qui nous enchaîne à l'autre pour nous soulager. Finalement, nous nous dépossédons de nous même à vouloir combler ce vide en nous à travers l'être aimé, les autres ou même les choses.

Je le vois comme une cohabitation, qui fonctionne ou pas, avec son émulation ou au contraire sa dose de repli. Et pour te prendre un peu à contre pied, je parlerais d'abandon, de soi mais parfois aussi de l'autre ou à l'autre. ^^ Mais finalement ça se rejoint.

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Colybris a dit :

La notion de vide a remplir me parle plus que celle d'une lumière qui attire sans jamais l'atteindre. Cela s'est d'ailleurs traduit par certains comportements compulsifs à une époque...... ce qui me fait bien prendre conscience qu'on ne peut etre heureux que par l'amour de soi d'abord. Le détachement de l'autre,  c'est couper les liens toxiques et non pas ne plus vouloir rien ressentir pour l'autre..... pas facile tout ça. 

Non, pas facile, disons surtout qu'on s'y prend en general trés mal, en croyant que l'on peut maîtriser ça par effort conscient , par volonté, ou en s'en remettant ce que desire l'autre. L'amour de soi il en faut un minimum, mais je pense que c'est plus d'indulgence qu'il s'agit. Indulgence envers nos failles humaines. En fait il s'agit plutôt d'accepter aussi ce qui en soi est detestable ou dérangeant. Mais la encore la volonté ne peut pas grand chose. Tout ce que l'on peut essayer de faire est d'être le plus honnête possible. Envers les autres et avec soi-même.

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Invité Colybris
Invités, Posté(e)
Invité Colybris
Invité Colybris Invités 0 message
Posté(e)
il y a une heure, zera a dit :

C'est comme un trou noir, on ne sait pas se que c'est. Et pourtant, je crois que c'est une grande force quand on l'accepte.

Oui tout à fait. Comme le dit ping c'est accepter nos failles.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Donc peut-être cultiver dans un premier temps l'amour de soi, comme une valeur positive , afin de restaurer une image de soi-même ternie ou même pas encore établie ...

Puis ensuite s'accepter, avec bienveillance , là encore de manière positive, sans avoir à renoncer à certaines facettes de nous-même . Et contenir certains aspects déplaisants, en les ayant bien identifié !

Je crois que ce chemin personnel peut nous permettre de rencontrer , d'aimer, avec joie et confiance .

Bisous à tous, jolie discussion !

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Invité Colybris
Invités, Posté(e)
Invité Colybris
Invité Colybris Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 1 heure, fx. a dit :

Je vois plus ça sous la forme d'un équilibre, je suis toujours très réservé sur le fait de prôner l'amour de soi, particulièrement à notre époque. Je dirais même que souvent ce sont les autres qui nous y aide bien plus que nous même (ou l'inverse ^^) et donc cet équilibre dont je parlais, serait celui du degré d'inscription et de validation du regard de l'autre tout en essayant de garder une forme de lucidité et de capacité critique.

Couper c'est quand on a pas réussi à les pacifier, ça arrive mais c'est toujours un échec.

Dans mon propos l'amour de soi n'est pas s'autocongratuler ou se regarder le nombril. Mais plus de la façon dont l'a exprimé zera et ping.  

D'une manière generale le regard de l'autre, lorsqu'il est bienveillant et constructif, est important dans ce qu'il peut nous apporter comme éclairage sur nous même . Cela aide à avancer. 

Par le terme validation du regard de l'autre, il y a quand même cette notion de dépendance, je ne sais pas s'il est possible (souhaitable ?) de s'en détacher surtout dans une relation amoureuse.

Par couper les liens toxiques, je ne parle pas forcément couper les liens relationnels avec une personne, quoique parfois cela soit nécessaire  (on ne peut forcer les autres). Mais oui pacifier ou mettre à plat les chose, enfin instaurer un dialogue vrai. 

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

En fait si l'on veut s'aimer soi-même, encore faut-il que ce soi-même ne se cache pas à lui même ce qu'il est. C'est assez facile d'aimer la part de soi qui est en fait le masque qu'on presente aux autres et à notre miroir. Mais en fait, se faisant, on aime une image de soi, pas soi. C'est en partant en quête de la connaissance de ce qu'il y a derrière le masque que l'on a des chance d'atteindre le soi. Reste à trouver ce qui peut nous y aider et ça, personne ne peut savoir pour un autre ce qui lui conviendrait comme méthode.

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, Colybris a dit :

Dans mon propos l'amour de soi n'est pas s'autocongratuler ou se regarder le nombril. Mais plus de la façon dont l'a exprimé zera et ping.  

D'une manière generale le regard de l'autre, lorsqu'il est bienveillant et constructif, est important dans ce qu'il peut nous apporter comme éclairage sur nous même . Cela aide à avancer. 

Par le terme validation du regard de l'autre, il y a quand même cette notion de dépendance, je ne sais pas s'il est possible (souhaitable ?) de s'en détacher surtout dans une relation amoureuse.

Par couper les liens toxiques, je ne parle pas forcément couper les liens relationnels avec une personne, quoique parfois cela soit nécessaire  (on ne peut forcer les autres). Mais oui pacifier ou mettre à plat les chose, enfin instaurer un dialogue vrai. 

Voila, y-a ce qui lie, et y-a ce qui relie.

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Membre, Chien Fou forumeur, 90ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
90ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
Il y a 10 heures, zera a dit :

Je comprends, j'ai cette tendance. Ce détacher de l'autre ne signifie pas ne plus l'aimer :)

Cela me fait pensé à cette BD qui illustre bien, je trouve, l'idée de combler un manque/un vide... L'illusion de le combler alors que nous avons tout ce dont nous avons besoin en nous. Rien qu'en étant conscient que nous avons ce trésor cacher en nous.

Je partage ce lien ici : https://fannys.fr/les-liens-dattachement/

Bonjour Zera, bisous

Pas mal du tout ta BD, elle résume assez bien un problème.

C'est le fameux problème du " gnothi seauton " connais toi toi même . Par ce que ce vide qui est en soi c'est la partie de sois que l'on refuse d'aborder pour des tas de raison fort légitimes, mais irrationnelles. Ce que l'on croit trouver chez l'autre qui nous comble ce vide, n'est jamais sois, mais l'illusion de soi l'illusion de ce que l'on voudrai que ce vide soit rempli par autrui. Ce vide véritable poison porte en lui son pharmacos, son traitement son médicament, afin de s'en guérir.

Ce vide est souvent liè a de vieilles, voir très vieille frustration souvent liées à l'enfance ou à la prime enfance, à une époque ou nous n'étions pas en mesure de comprendre, on découvrait le monde, le voyait ,cela amenant à avoir des penchants pour ceci ou cela, des désirs, mais ceux ci étaient soit rabroué voir interdit, simplement car nous n'étions pas équipé pour les affronter sereinement, en adultes que nous sommes devenu aujourd'hui, à même de reprendre nos frustration de les analyser de les comprendre. Faut retrouver l'enfant qui est en nous, le voir en adulte avec les ravissement que l'adulte à pour l'enfant, et on va s'aimer de plus en plus sois même. Suffit de voir nos propre enfants pour voir a quel point nous nous émerveillons devant eux, ils ont les même  tracas que nous avons eu à leur age, ce qu'ils sont nous l'avons vécu, et c'est notre vide, notre poison, qui nous fait tant souffrir, regardons en nous comme nous les voyons, comme on les aime, nous nous aimerons , en comprenant nos propre souffrances. Apprenons à nous accepter, à nous aimer comme nous sommes. Mais nous apprenons des autres aussi. 

J'ai ce problème, mais l'autre à le même ou un différent qui repose quand même sur le même socle ( bien que nos historiques personnel soit différents  ), reconnaissons l'autre aussi, aimons le ( amical ) pour ce qu'il est, comme il est , car l'autre est aussi un autre je, c'est une autre partie de ce que nous sommes en acceptant reconnaissons l'autre en acceptant de le voir, de l'entendre, de l'écouter, nous nous reconnaissons mieux nous même , nous nous aimons mieux nous même, nous nous libérons, de ce vide, qui va se remplir, nous rendre heureux, et nous permettant de le partager, car nous serons alors riche de ce que nous sommes et seul les riches peuvent donner.

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Membre, Chien Fou forumeur, 90ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
90ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Colybris a dit :

;;Merci zera pour le lien ;)

Ce vide, moi je le ressens comme un puit sans fond, on a beau chercher à le remplir, c'est inutile;  et sans fin et cela crée de la frustration. Déjà en avoir pris conscience, cela permet effectivement de prendre un certain détachement.... et peut être d'être se regarder avec plus de bienveillance.

Bonjour Colybris, bisous

La prise de conscience de ce vide,  qu'il ne faut pas craindre, c'est déjà le début de son élimination.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

On peut se passer d'amour, de la relation privillégiée et complémentaire a l'autre.

On peut vivre en ne s'occupant que de cultiver son jardin ( prendre soin de son corps et de son esprit ) mais alors il faut abandonner la notion de partage, accepter d'etre seul au monde, rien pour personne et inutile aux autres.

C'est faisable, mais ça ne donne pas beaucoup de sens a une vie, pour ne pas dire aucun.

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Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)
il y a 8 minutes, swam a dit :

On peut vivre en ne s'occupant que de cultiver son jardin ( prendre soin de son corps et de son esprit ) mais alors il faut abandonner la notion de partage, accepter d'etre seul au monde, rien pour personne et inutile aux autres.

Ce jardin peut-être immense et apporter beaucoup de bien-être, de réconfort, d'amour à beaucoup plutôt qu'à une seule personne, il peut être plus qu’utile : indispensable. pour les autres comme pour soi-même. Les personnes mondialement reconnues comme les plus actives dans le don à l'autre sont souvent les pires en famille à en croire le témoignage de leurs proches ( Gandhi en premier)

Et le sens de leur vie est là.

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