. . . . . . Texte.

Peut-être comprendrez-vous à votre manière, peut-être pas. Je me comprends. Advienne que pourra.

J'ai senti qu'on m'ouvrait la poitrine, qu'une main sombre la touchait... C'était une belle main sombre, plus que les autres, différente ? 

Il y avait dans ses soirées, quelque chose de répétitif, lassant. Il rentrait dans ce cube que tout le monde appelait chambre, c'est vrai oui... Tout le monde est heureux de retrouver son cocon. Mais lui me répétait que ses murs étaient devenus ternes, que chaque parcelle de son cube lui rappelait ses nuits vides de sens qui ne commençaient qu'à l'heure où les autres se réveillaient. 

Je crois qu'il ne disait pas tout, mais que même lui ne savait pas ce qu'était "tout". Je crois aussi, qu'il aurait voulu par tous les moyens que quelqu'un arrive à lire dans ses petits yeux : Je suis malheureux. 

Dans les soirées d'été, lorsqu'une brise légère soufflait sur notre groupe, que les bougies donnaient l'ambiance aux discussions reposantes, je le voyais regarder le ciel, et en quelques secondes son regard changeait, comme rattrapait par la peine. Entravant les voix autour de lui, ne laissant toucher son esprit que la brise et l'infini autour des étoiles. 

Certain appelle ça des passades de jeunesse, d'autre une faiblesse, parfois la dépression. Il était malheureux et seul dans son cœur, c'est ça.

(Je m'excuse par avance pour les éventuelles fautes)

il y a 20 minutes, Naluue a dit :

Peut-être comprendrez-vous à votre manière, peut-être pas. Je me comprends. Advienne que pourra.

 

J'ai senti qu'on m'ouvrait la poitrine, qu'une main sombre la touchait... C'était une belle main sombre, plus que les autres, différente ? 

Il y avait dans ses soirées, quelque chose de répétitif, lassant. Il rentrait dans ce cube que tout le monde appelait chambre, c'est vrai oui... Tout le monde est heureux de retrouver son cocon. Mais lui me répétait que ses murs étaient devenus ternes, que chaque parcelle de son cube lui rappelait ses nuits vides de sens qui ne commençaient qu'à l'heure où les autres se réveillaient. 

Je crois qu'il ne disait pas tout, mais que même lui ne savait pas ce qu'était "tout". Je crois aussi, qu'il aurait voulu par tous les moyens que quelqu'un arrive à lire dans ses petits yeux : Je suis malheureux. 

Dans les soirées d'été, lorsqu'une brise légère soufflait sur notre groupe, que les bougies donnaient l'ambiance aux discussions reposantes, je le voyais regarder le ciel, et en quelques secondes son regard changeait, comme rattrapait par la peine. Entravant les voix autour de lui, ne laissant toucher son esprit que la brise et l'infini autour des étoiles. 

Certain appelle ça des passades de jeunesse, d'autre une faiblesse, parfois la dépression. Il était malheureux et seul dans son cœur, c'est ça.

 

(Je m'excuse par avance pour les éventuelles fautes)

Je ne sais pas pourquoi mais je me sent interpellé par ce que tu écrit et je trouve que c'est beau et très profond .

il y a 24 minutes, S.A.S a dit :

Je ne sais pas pourquoi mais je me sent interpellé par ce que tu écrit et je trouve que c'est beau et très profond .

Merci beaucoup.

Tu dis les choses sans les dire : c'est pas tout le monde qui est capable de ça !...

Merci.  Je suppose que c'est positif

Et ... Continue stp, 

Là tu effleures et intrigues . Allez, embarque-nous !

Le 08/03/2018 à 21:12, Naluue a dit :

Peut-être comprendrez-vous à votre manière, peut-être pas. Je me comprends. Advienne que pourra.

 

J'ai senti qu'on m'ouvrait la poitrine, qu'une main sombre la touchait... C'était une belle main sombre, plus que les autres, différente ? 

Il y avait dans ses soirées, quelque chose de répétitif, lassant. Il rentrait dans ce cube que tout le monde appelait chambre, c'est vrai oui... Tout le monde est heureux de retrouver son cocon. Mais lui me répétait que ses murs étaient devenus ternes, que chaque parcelle de son cube lui rappelait ses nuits vides de sens qui ne commençaient qu'à l'heure où les autres se réveillaient. 

Je crois qu'il ne disait pas tout, mais que même lui ne savait pas ce qu'était "tout". Je crois aussi, qu'il aurait voulu par tous les moyens que quelqu'un arrive à lire dans ses petits yeux : Je suis malheureux. 

Dans les soirées d'été, lorsqu'une brise légère soufflait sur notre groupe, que les bougies donnaient l'ambiance aux discussions reposantes, je le voyais regarder le ciel, et en quelques secondes son regard changeait, comme rattrapait par la peine. Entravant les voix autour de lui, ne laissant toucher son esprit que la brise et l'infini autour des étoiles. 

Certain appelle ça des passades de jeunesse, d'autre une faiblesse, parfois la dépression. Il était malheureux et seul dans son cœur, c'est ça.

Je te pose une seule question est-ce que réellement tu as 15 ans ? Si c’est le cas je te dirais ma fille tu as un très grand talent.

 Peut-être comprendrez-vous à votre manière, peut-être pas. Je me comprends. Advienne que pourra.

Cette phrase à elle seule nous permet de deviner une certaine sensibilité. La sensibilité  est primordiale pour un futur grand écrivain ou écrivaine (normalement ça se dit).

J'ai senti qu'on m'ouvrait la poitrine, qu'une main sombre la touchait... C'était une belle main sombre, plus que les autres, différente ? 

Tu as dit sombre et non noire, bien que ce soit une main. Le sombre on ne le voit pas alors que le noir si. Et pourtant toi tu la voie cette main, ou tu la sente. Peut-être que ce sont des souvenirs qui te reviennent.

Il y avait dans ses soirées, quelque chose de répétitif, lassant. Il rentrait dans ce cube que tout le monde appelait chambre, c'est vrai oui... Tout le monde est heureux de retrouver son cocon. Mais lui me répétait que ses murs étaient devenus ternes, que chaque parcelle de son cube lui rappelait ses nuits vides de sens qui ne commençaient qu'à l'heure où les autres se réveillaient. 

Ses soirées  c’est un  ses ou ces ?

Je crois qu'il ne disait pas tout, mais que même lui ne savait pas ce qu'était "tout". Je crois aussi, qu'il aurait voulu par tous les moyens que quelqu'un arrive à lire dans ses petits yeux : Je suis malheureux.

Un incompris qui est en déphasage par rapport à son milieu et qui trouve que son monde à lui  n’a pas de sens. Peut-être que cette belle main sombre, a pu lui adoucir un peu la vie, c’est l’espoir.

 

 

Dans les soirées d'été, lorsqu'une brise légère soufflait sur notre groupe, que les bougies donnaient l'ambiance aux discussions reposantes, je le voyais regarder le ciel, et en quelques secondes son regard changeait, comme rattrapait par la peine.

Très belle description, voyait-il l’inconnu, l’incompris, le lointain, si loin de notre conception de la vie sur terre.se pourrait-il qu’à cet âge on commence à se questionner sur la vie et sa fin?

 Entravant les voix autour de lui, ne laissant toucher son esprit que la brise et l'infini autour des étoiles.  Belle description.

Certain appelle ça des passades de jeunesse, d'autre une faiblesse, parfois la dépression. Il était malheureux et seul dans son cœur, c'est ça.

Cette fin je pense, me permet de dire que tu étais en train  de décrire tes propres sentiments. Je ne peux croire que cette description si précise, parle d’une autre personne. Moi je te dis qu’à ton âge, tu dois croquer la vie à plein dents et un de perdu, dix de retrouver, si cette description concerne un ami à toi.

C’est indéniable tu as du talent et bonne continuation.

 

(Je m'excuse par avance pour les éventuelles fautes)

Le 09/03/2018 à 22:47, Lastotchka a dit :

Et ... Continue stp, 

Là tu effleures et intrigues . Allez, embarque-nous !

Je ne sais pas comment je pourrais continuer, je n'aime pas paraphraser les mêmes choses. Lorsque j'ai dit ce que j'avais à dire, mais que je continue à rajouter je trouve que les sentiments que j'y ai mis deviennent faux. 

Néanmoins je retiens que tu aurais aimé en lire plus, merci.

Il y a 4 heures, youghortasalem a dit :

 

Merci d'avoir pris le temps de commenter mon texte. Je ne sais pas si j'ai l'étoffe d'une écrivaine, puisqu'au fond je n'écris que des petits textes approximatifs, ça ne fait pas un livre. 

"Ses soirées" parce que je parle de ses soirées à lui, non pas des soirées en générales.

(je n'ai pas d'intérêts à mentir sur mon âge)

@Naluue 

Ne t'inquiètes pas, tu sais très bien faire passer ce que tu veux dire. 

Par contre pour un écrit littéraire c'est mieux sans fautes : rattrapé, certains appellent, d'autres.

@Blaquière

Enfin si quand même, elle explicite : " malheureux, passades de jeunesse, dépression, seul dans son cœur " 

Non ? 

Oui 

Merci, je ne prends pas toujours le temps de me relire comme il le faudrait.

Il y a 2 heures, Naluue a dit :

Je ne sais pas comment je pourrais continuer, je n'aime pas paraphraser les mêmes choses. Lorsque j'ai dit ce que j'avais à dire, mais que je continue à rajouter je trouve que les sentiments que j'y ai mis deviennent faux. 

Néanmoins je retiens que tu aurais aimé en lire plus, merci.

Merci à toi et au plaisir de te lire !

Lire d'autres paysages de l'âme, petits instants volés qui devoilent tout ... Et n'hésite pas à incarner plus tes personnages, les faire vivre, pour notre plus grand plaisir .