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Iran, des femmes enlèvent leurs voiles et arrestations !


Anatole1949

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Les femmes iraniennes, le foulard, et le pétrole ... l'ingérence ...

La découverte du pétrole en Iran en 1908 ouvre certes de nouvelles opportunités au pays mais elles sont surtout exploitées par les Britanniques… Après la Seconde Guerre mondiale, si l’influence britannique se réduit dans la région, l’Anglo-Iranian Oil Company, rebaptisée BP en 1954, reste un acteur majeur de l’économie du pays.

image.png.b489b48b38063f69c0199bbf98899830.png les femmes votent en 1963 pour la 1° fois 

:ange2: L’émergence d’un nouvel acteur : les États-Unis  :ange2:

En pleine guerre froide contre l’Union Soviétique, et à une époque où le Moyen-Orient connaît d’importantes perturbations, la superpuissance occidentale (USA) ne peut en effet se désintéresser d’un pays stratégique comme l’Iran. C’est elle qui organise le renversement de Mohamed Mossadegh en 1953, le Premier ministre ayant cherché à nationaliser le pétrole iranien. Le coup d’État contre cet Mossadegh, patriote et laïque, est une étape cruciale de l’histoire du pays au XXe siècle et explique en partie l’anti-américanisme à l’origine de la Révolution de 1979....

:witch:

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Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)
Le 02/02/2018 à 18:25, Anatole1949 a dit :

En Iran, une trentaine de femmes arrêtées pour avoir enlevé leur voile en public...

Et alors l'Iran est un pays souverain, le peuple Iranien y fait ce qu'il veut, y en a marre de ces ingérences qui sous prétexte de bon sentiment (affiché) nous amène à des situations pire que celle initiale, voir par exemple l'Irak avec "le rêve" des Bush d'en faire une démocratie ou encore la Lybie pour laquelle BHL "rêver" de démocratie,  aujourd'hui on connait le résultat et il est pire qu'avant, pour les populations locales et même pour nous (ici en occident avec l'apparition de Daesh).

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 670 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a 5 minutes, contrexemple a dit :

Et alors l'Iran est un pays souverain, le peuple Iranien y fait ce qu'il veut, y en a marre de ces ingérences qui sous prétexte de bon sentiment (affiché) nous amène à des situations pire que celle initiale, voir par exemple l'Irak avec "le rêve" des Bush d'en faire une démocratie ou encore la Lybie pour laquelle BHL "rêver" de démocratie,  aujourd'hui on connait le résultat et il est pire qu'avant, pour les populations locales et même pour nous (ici en occident avec l'apparition de Daesh).

 

Et tu te crois crédible avec ta bafouille ?

Et je te fais remarquer que la contestation en Iran vient de l'intérieur du pays.

Et pour ce qui est de la Libye, l'Irak, etc,  l'occident peut effectivement aider à se libérer des tyrans mais si par la suite ces peuples sont trop cons (et le terme est faible) pour instaurer des démocraties, à qui la faute ?

Je rappelle aussi que l'Occident n'est pas intervenu réellement contre un autre tyran nommé Assad, on en est aujourd'hui à un pays ruiné, 400.000 syriens massacrés par son propre dirigeant et des millions ont quitté le pays, est-ce mieux ?

 

il y a 11 minutes, contrexemple a dit :

Et alors l'Iran est un pays souverain, le peuple Iranien y fait ce qu'il veut, y en a marre de ces ingérences qui sous prétexte de bon sentiment (affiché) nous amène à des situations pire que celle initiale, voir par exemple l'Irak avec "le rêve" des Bush d'en faire une démocratie ou encore la Lybie pour laquelle BHL "rêver" de démocratie,  aujourd'hui on connait le résultat et il est pire qu'avant, pour les populations locales et même pour nous (ici en occident avec l'apparition de Daesh).

Un pays souverain qui soutient des dictatures sanguinaires comme la Syrie de Assad, qui livre des armes au Yémen et excite le Hamas contre Israël...

Question ingérence, tu repasseras !

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Membre, 58ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 58ans‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, Anatole1949 a dit :

 

Et tu te crois crédible avec ta bafouille ?

Et je te fais remarquer que la contestation en Iran vient de l'intérieur du pays.

Et pour ce qui est de la Libye, l'Irak, etc,  l'occident peut effectivement aider à se libérer des tyrans mais si par la suite ces peuples sont trop cons (et le terme est faible) pour instaurer des démocraties, à qui la faute ?

Je rappelle aussi que l'Occident n'est pas intervenu réellement contre un autre tyran nommé Assad, on en est aujourd'hui à un pays ruiné, 400.000 syriens massacrés par son propre dirigeant et des millions ont quitté le pays, est-ce mieux ?

 

Un pays souverain qui soutient des dictatures sanguinaires comme la Syrie de Assad, qui livre des armes au Yémen et excite le Hamas contre Israël...

Question ingérence, tu repasseras !

il y a deux supers puissances, les usa et les russes. ce sont eux qui mènent la danse dans le monde.

 

voici ce qu'on pouvait lire sur le remodelage du proche orient par bush après le 11/9

 

extrait:

 

Damas sous haute surveillance

L’assassinat de l’ancien premier ministre libanais Rafic Hariri le 14 février 2005 a précipité le départ des troupes syriennes du Liban et ravivé l’attention de la Syrie sur la scène internationale. Depuis les attentats du 11 septembre 2001 et plus particulièrement encore depuis le début de la guerre en Irak -à laquelle la Syrie s’est opposée- le régime de Bachar el- Assad est en ligne de mire directe des Etats-Unis. Cet Etat est en effet au cœur de centres d’intérêts  cruciaux pour les Etats-Unis  comme la lutte contre le terrorisme (avec notamment le passage de terroristes en Irak par la frontière syrienne), les tensions au Liban et la lutte contre la prolifération. Le président Bush a par ailleurs interpellé directement la Syrie dans son discours sur l’Etat de l’Union du janvier 2005 et martèle que « la liberté avance au Moyen-Orient mais [que] la Syrie n’avance pas dans le sens du mouvement démocratique en cours. » L’assassinat de l’ancien premier ministre libanais, imputé à la Syrie, a eu pour conséquence un véritable retournement de situation stratégique pour Damas qui aurait pu avoir les cartes en main pour ramener le calme en Irak et en Palestine et qui depuis le 11 septembre 2001 avait cherché à se rapprocher de Washington, en menant la lutte contre le réseau Al Qaida et espérait disparaître de la liste noire du Département d’Etat [xlvii]

 

Le régime syrien, tout comme dans la configuration iranienne, est limité dans sa marge de manœuvre par l’ancienne garde d’Hafez el-Assad, toujours au pouvoir, plus conservatrice et plus autocratique que le jeune chef d’Etat au pouvoir depuis 2000. Le soutien actif au Hezbollah a rendu toute tentative de rapprochement de Bachar el-Assad avec l’administration Bush infructueuse[xlviii] et les efforts déployés par la Syrie avant le déclanchement de la guerre en Irak -et même après, le régime syrien livrant aux Etats-Unis les Baasistes irakiens interpellés sur son territoire- furent anéantis par ce lien à un groupe considéré comme terroriste par les Etats-Unis et opposé à Israël. Les néoconservateurs présents dans l’entourage du président américain dans la première administration Bush furent parmi les plus fervents conseillers à plaider pour une aggravation des sanctions à l’égard du régime syrien. Ce qui fut fait le 20 novembre 2003, le Congrès américain votant en faveur de la Loi sur la Responsabilité de la Syrie (Syria Accountability Act, P.L. 108-175, qui autorise le président à imposer des sanctions économiques contre ce pays accusé notamment de violer l’embargo contre l’Irak) et la Loi sur la Restauration de la Souveraineté Libanaise (Lebanese Sovereignty Restoration Act, P.L. 108-175).

 

La mise à l’ de la Syrie s’est aggravée  le 2 septembre 2004 avec la résolution 1559 votée au Conseil de sécurité des Nations Unies à l’initiative de la France et des Etats-Unis. Cette résolution, désormais acceptée par Bachar el-Assad, demandait le respect de la souveraineté politique et militaire du Liban, c'est-à-dire une véritable alternance du pouvoir[xlix], le retrait des troupes militaires étrangères et le démantèlement des milices armées libanaises (Hezbollah) et non libanaises (factions armées palestiniennes).

 

Selon une étude menée par le Congressional Research Service[l], les effets des sanctions contre la Syrie pourraient être limités, au moins à court terme, peu de firmes américaines opérant à ce jour en Syrie et le volume des échanges commerciaux entre les deux pays étant relativement restreint. Le CRS étudie plusieurs cas de figure relatifs à la politique à mener envers la Syrie :

- Processus de réforme interne ou changement de régime : cette option inquiète ceux qui craignent le remplacement de Bachar el-Assad par un régime islamique fondamentaliste encore plus hostile aux Etats-Unis.

- Action militaire américaine envers la Syrie : c’est notamment ce que préconisent certains des néoconservateurs de l’American Enterprise Institute qui titraient récemment dans un article du Los Angeles Times que « la communauté internationale doit se débarrasser du tyran Assad. »[li]  

- Soutien américain aux mouvements internes promouvant les réformes et la démocratisation du pays. La Syrie ne peut prétendre à recevoir une aide financière américaine en raison de sa présence sur la liste du Département d’Etat des Etats soutenant le terrorisme mais un financement parallèle par le FY2005 Consolidated Appropriation Act qui soutient l’avancement de la démocratie et des droits de l’homme en Syrie pourrait permettre de contourner les sanctions américaines.[lii]

- Une coopération des Etats-Unis avec l’Union européenne à travers notamment le Partenariat Euro-Méditerranéen pourrait enfin être approfondie.

 

La ligne menée par l’administration américaine depuis la victoire de George W. Bush  aux élections de novembre 2004 est celle de la diplomatie critique et de la dissuasion. La rencontre de Terje Roed-Larsen, l’émissaire des Nations Unies, avec Bachar el-Assad le 13 mars 2005 a débouché sur un accord de retrait complet des troupes syriennes (dont une grande partie sont redéployées dans la plaine de la Bekka depuis le mois de mars) et le rapatriement des services secrets syriens. L’agenda de retrait total est prévu pour le 30 avril 2005. Le 15 avril 2005, Najib Mikati, désigné par le parlement libanais, a succédé à Omar Karamé démissionnaire. Le nouveau premier ministre sunnite est présenté comme modéré, et malgré ses liens avec le régime syrien, sont mis en avant sa participation au gouvernement de Rafic Hariri. Mais la communauté internationale s’inquiète des possibles conséquences malheureuses qu’un retrait syrien précipité pourrait entraîner au Liban et en Syrie car la chute du régime de Bachar el-Assad, tout au moins sa fragilisation, pourrait agir comme force déstabilisatrice sur l’Irak. Il existe par ailleurs un risque concernant le grand nombre de syriens vivant au Liban. La situation actuelle – de nombreux attentats ont touché la communauté maronite de Beyrouth en quelques jours- incite donc à la prudence. En attendant les élections législatives prévues au Liban en mai 2005, les Etats-Unis appellent au désarmement du Hezbollah, devenu une force politique majeure et répugnent à l’idée que ce dernier puisse devenir un parti politique sans un désarmement complet préalable[liii] : un enjeu de taille, alors même que Wallid Jumblat, l’une des principales figures de l’opposition libanaise se dit prêt au dialogue avec le Hezbollah.

 

La politique américaine de remodelage du Grand Moyen-Orient relève donc de stratégies diversifiées, la difficulté étant de répondre à un vaste panel de situations (politiques, économiques, sécuritaires, communautaires…). A l’heure actuelle, George W. Bush dispose d’un certain crédit, côté occidental, à la lumière des avancées démocratiques récentes, en dépit d’une politique somme toute assez confuse et de « double standard ». Mais les troubles récents liés à la publication deNewsweek d’un article sur la profanation du Coran à Guantanamo, désavoué quelques jours plus tard sous la pression du gouvernement américain pourraient remettre en cause les intentions des Etats-Unis dans la zone « grand Moyen-Orient » et finir de ternir leur image déjà très affaiblie dans le monde arabe. Faut-il alors parler d’une révolution Bush dans le Grand Moyen-Orient ? C’est le débat qui fait rage depuis le mois de janvier 2005 à Washington comme dans toutes les grandes capitales du monde.     
 

il y a plus sur d'autres pays que tu cites dans el lien

 

https://www.diploweb.com/forum/croisier1.htm

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Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)
il y a 4 minutes, Anatole1949 a dit :

Et je te fais remarquer que la contestation en Iran vient de l'intérieur du pays.

Manifestations contre la politique "libérale" de Macron : 80 000 participants en France, selon le ministère de l'Intérieur

Et si l'Iran aidait et encourageait ses manifestants contre Macron, puis en ferait des rebelles en les armants ?

Trouverais-tu cela normale ?

Si oui, je n'aurais rien de plus à ajouter.

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 670 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a 1 minute, azed1967 a dit :

il y a deux supers puissances, les usa et les russes. ce sont eux qui mènent la danse dans le monde.

 

voici ce qu'on pouvait lire sur le remodelage du proche orient par bush après le 11/9

 

extrait:

 

Damas sous haute surveillance

L’assassinat de l’ancien premier ministre libanais Rafic Hariri le 14 février 2005 a précipité le départ des troupes syriennes du Liban et ravivé l’attention de la Syrie sur la scène internationale. Depuis les attentats du 11 septembre 2001 et plus particulièrement encore depuis le début de la guerre en Irak -à laquelle la Syrie s’est opposée- le régime de Bachar el- Assad est en ligne de mire directe des Etats-Unis. Cet Etat est en effet au cœur de centres d’intérêts  cruciaux pour les Etats-Unis  comme la lutte contre le terrorisme (avec notamment le passage de terroristes en Irak par la frontière syrienne), les tensions au Liban et la lutte contre la prolifération. Le président Bush a par ailleurs interpellé directement la Syrie dans son discours sur l’Etat de l’Union du janvier 2005 et martèle que « la liberté avance au Moyen-Orient mais [que] la Syrie n’avance pas dans le sens du mouvement démocratique en cours. » L’assassinat de l’ancien premier ministre libanais, imputé à la Syrie, a eu pour conséquence un véritable retournement de situation stratégique pour Damas qui aurait pu avoir les cartes en main pour ramener le calme en Irak et en Palestine et qui depuis le 11 septembre 2001 avait cherché à se rapprocher de Washington, en menant la lutte contre le réseau Al Qaida et espérait disparaître de la liste noire du Département d’Etat [xlvii]

 

Le régime syrien, tout comme dans la configuration iranienne, est limité dans sa marge de manœuvre par l’ancienne garde d’Hafez el-Assad, toujours au pouvoir, plus conservatrice et plus autocratique que le jeune chef d’Etat au pouvoir depuis 2000. Le soutien actif au Hezbollah a rendu toute tentative de rapprochement de Bachar el-Assad avec l’administration Bush infructueuse[xlviii] et les efforts déployés par la Syrie avant le déclanchement de la guerre en Irak -et même après, le régime syrien livrant aux Etats-Unis les Baasistes irakiens interpellés sur son territoire- furent anéantis par ce lien à un groupe considéré comme terroriste par les Etats-Unis et opposé à Israël. Les néoconservateurs présents dans l’entourage du président américain dans la première administration Bush furent parmi les plus fervents conseillers à plaider pour une aggravation des sanctions à l’égard du régime syrien. Ce qui fut fait le 20 novembre 2003, le Congrès américain votant en faveur de la Loi sur la Responsabilité de la Syrie (Syria Accountability Act, P.L. 108-175, qui autorise le président à imposer des sanctions économiques contre ce pays accusé notamment de violer l’embargo contre l’Irak) et la Loi sur la Restauration de la Souveraineté Libanaise (Lebanese Sovereignty Restoration Act, P.L. 108-175).

 

La mise à l’ de la Syrie s’est aggravée  le 2 septembre 2004 avec la résolution 1559 votée au Conseil de sécurité des Nations Unies à l’initiative de la France et des Etats-Unis. Cette résolution, désormais acceptée par Bachar el-Assad, demandait le respect de la souveraineté politique et militaire du Liban, c'est-à-dire une véritable alternance du pouvoir[xlix], le retrait des troupes militaires étrangères et le démantèlement des milices armées libanaises (Hezbollah) et non libanaises (factions armées palestiniennes).

 

Selon une étude menée par le Congressional Research Service[l], les effets des sanctions contre la Syrie pourraient être limités, au moins à court terme, peu de firmes américaines opérant à ce jour en Syrie et le volume des échanges commerciaux entre les deux pays étant relativement restreint. Le CRS étudie plusieurs cas de figure relatifs à la politique à mener envers la Syrie :

- Processus de réforme interne ou changement de régime : cette option inquiète ceux qui craignent le remplacement de Bachar el-Assad par un régime islamique fondamentaliste encore plus hostile aux Etats-Unis.

- Action militaire américaine envers la Syrie : c’est notamment ce que préconisent certains des néoconservateurs de l’American Enterprise Institute qui titraient récemment dans un article du Los Angeles Times que « la communauté internationale doit se débarrasser du tyran Assad. »[li]  

- Soutien américain aux mouvements internes promouvant les réformes et la démocratisation du pays. La Syrie ne peut prétendre à recevoir une aide financière américaine en raison de sa présence sur la liste du Département d’Etat des Etats soutenant le terrorisme mais un financement parallèle par le FY2005 Consolidated Appropriation Act qui soutient l’avancement de la démocratie et des droits de l’homme en Syrie pourrait permettre de contourner les sanctions américaines.[lii]

- Une coopération des Etats-Unis avec l’Union européenne à travers notamment le Partenariat Euro-Méditerranéen pourrait enfin être approfondie.

 

La ligne menée par l’administration américaine depuis la victoire de George W. Bush  aux élections de novembre 2004 est celle de la diplomatie critique et de la dissuasion. La rencontre de Terje Roed-Larsen, l’émissaire des Nations Unies, avec Bachar el-Assad le 13 mars 2005 a débouché sur un accord de retrait complet des troupes syriennes (dont une grande partie sont redéployées dans la plaine de la Bekka depuis le mois de mars) et le rapatriement des services secrets syriens. L’agenda de retrait total est prévu pour le 30 avril 2005. Le 15 avril 2005, Najib Mikati, désigné par le parlement libanais, a succédé à Omar Karamé démissionnaire. Le nouveau premier ministre sunnite est présenté comme modéré, et malgré ses liens avec le régime syrien, sont mis en avant sa participation au gouvernement de Rafic Hariri. Mais la communauté internationale s’inquiète des possibles conséquences malheureuses qu’un retrait syrien précipité pourrait entraîner au Liban et en Syrie car la chute du régime de Bachar el-Assad, tout au moins sa fragilisation, pourrait agir comme force déstabilisatrice sur l’Irak. Il existe par ailleurs un risque concernant le grand nombre de syriens vivant au Liban. La situation actuelle – de nombreux attentats ont touché la communauté maronite de Beyrouth en quelques jours- incite donc à la prudence. En attendant les élections législatives prévues au Liban en mai 2005, les Etats-Unis appellent au désarmement du Hezbollah, devenu une force politique majeure et répugnent à l’idée que ce dernier puisse devenir un parti politique sans un désarmement complet préalable[liii] : un enjeu de taille, alors même que Wallid Jumblat, l’une des principales figures de l’opposition libanaise se dit prêt au dialogue avec le Hezbollah.

 

La politique américaine de remodelage du Grand Moyen-Orient relève donc de stratégies diversifiées, la difficulté étant de répondre à un vaste panel de situations (politiques, économiques, sécuritaires, communautaires…). A l’heure actuelle, George W. Bush dispose d’un certain crédit, côté occidental, à la lumière des avancées démocratiques récentes, en dépit d’une politique somme toute assez confuse et de « double standard ». Mais les troubles récents liés à la publication deNewsweek d’un article sur la profanation du Coran à Guantanamo, désavoué quelques jours plus tard sous la pression du gouvernement américain pourraient remettre en cause les intentions des Etats-Unis dans la zone « grand Moyen-Orient » et finir de ternir leur image déjà très affaiblie dans le monde arabe. Faut-il alors parler d’une révolution Bush dans le Grand Moyen-Orient ? C’est le débat qui fait rage depuis le mois de janvier 2005 à Washington comme dans toutes les grandes capitales du monde.     
 

il y a plus sur d'autres pays que tu cites dans el lien

 

https://www.diploweb.com/forum/croisier1.htm

La Russie n'est plus une super puissance, son PIB est très en retard sur celui de la France et de bien d'autres pays.

il y a 4 minutes, contrexemple a dit :

Manifestations contre la politique "libérale" de Macron : 80 000 participants en France, selon le ministère de l'Intérieur

Et si l'Iran aidait et encourageait ses manifestants contre Macron, puis en ferait des rebelles en les armants ?

Trouverais-tu cela normale ?

Si oui, je n'aurais rien de plus à ajouter.

L'Iran aide des mouvements terroristes comme par exemple le Hetzbollah islamiste....

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Membre, 58ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 58ans‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, Anatole1949 a dit :

La Russie n'est plus une super puissance, son PIB est très en retard sur celui de la France et de bien d'autres pays.

militairement ils niquent l'europe.

c'est une super puissance nucléaire. tu vas encore nier ça ???

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 670 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a 2 minutes, azed1967 a dit :

militairement ils niquent l'europe.

c'est une super puissance nucléaire. tu vas encore nier ça ???

Le nucléaire ne veut rien dire, c'est une arme de dissuasion et donc défensive et si on te suit dans ton raisonnement, le Pakistan, l'Inde, Israël, la Corée du Nord , etc, seraient donc des super puissances ?

Une super puissance c'est le puissance économique et le pouvoir d'intervenir militairement au 4 coins du monde et ce n'est pas demain que la Corée du Nord même nucléarisée pourra intervenir en Syrie ou en Ukraine.

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Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)
il y a 8 minutes, Anatole1949 a dit :

L'Iran aide des mouvements terroristes comme par exemple le Hetzbollah islamiste....

Le Hezbollah (en défendant le Liban contre Israël) est ennemi d'Israël, en France, on est en guerre contre Daesh et pas le Hezbollah, capito.

Alors trouverais-tu cela normale, que l'Iran aide les rebelles contre Macron pour le renverser ?

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Membre, 58ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 58ans‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, Anatole1949 a dit :

Le nucléaire ne veut rien dire, c'est une arme de dissuasion et donc défensive et si on te suit dans ton raisonnement, le Pakistan, l'Inde, Israël, la Corée du Nord , etc, seraient donc des super puissances ?

Une super puissance c'est le puissance économique et le pouvoir d'intervenir militairement au 4 coins du monde et ce n'est pas demain que la Corée du Nord même nucléarisée pourra intervenir en Syrie ou en Ukraine.

les usa et l'urss pendant la guerre froide avaient de quoi faire sauter 20 fois la planète. il y a une différence entre super puissance et puissance.

qui a réglé le conflit en ex yougoslavie ? les usa pas l'europe.

 

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 670 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a 2 minutes, contrexemple a dit :

Le Hezbollah (en défendant le Liban contre Israël) est ennemi d'Israël, en France, on est en guerre contre Daesh et pas le Hezbollah, capito.

Alors trouverais-tu cela normale, que l'Iran aide les rebelles contre Macron pour le renverser ?

On est en guerre contre tous les mouvements islamistes et terroristes et le Hetzbollah est reconnu internationalement comme un mouvement terroriste !

Que fait donc les Hezbollah au Liban et en Syrie, n'est-ce pas une ingérence iranienne ?

il y a 2 minutes, azed1967 a dit :

les usa et l'urss pendant la guerre froide avaient de quoi faire sauter 20 fois la planète. il y a une différence entre super puissance et puissance.

qui a réglé le conflit en ex yougoslavie ? les usa pas l'europe.

 

Ah bon ?

Chacun agit en fonction de sa puissance, la France a été très présente et active militairement en ex Yougoslavie.

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Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)
à l’instant, Anatole1949 a dit :

On est en guerre contre tous les mouvements islamistes et terroristes et le Hetzbollah est reconnu internationalement comme un mouvement terroriste !

Que fait donc les Hezbollah au Liban et en Syrie, n'est-ce pas une ingérence iranienne ?

Ok, donc tu trouves cela normale, alors je n'ai rien de plus à ajouter.

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 670 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a 2 minutes, contrexemple a dit :

Ok, donc tu trouves cela normale, alors je n'ai rien de plus à ajouter.

Tu trouves normal que le Hezbollah à la solde des iraniens intervienne en Syrie ou contre Israël et que dire des russes qui aident un des pires dictateur nommé Assad, par contre tu  critiques les interventions occidentales...

Faut être cohérent !

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Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)
il y a 1 minute, Anatole1949 a dit :

Tu trouves normal que le Hezbollah à la solde des iraniens intervienne en Syrie ou contre Israël et que dire des russes qui aident un des pires dictateur nommé Assad, par contre tu  critiques les interventions occidentales...

Faut être cohérent !

Je ne défend ni le Hezbollah, ni la Syrie...

J'essaie de comprendre ton point de vue.

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 670 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a 5 minutes, contrexemple a dit :

Je ne défend ni le Hezbollah, ni la Syrie...

J'essaie de comprendre ton point de vue.

Il est simple, non à tout ce qui est terrorisme, religieux ou non et non à tout ce qui est dictature religieuse ou non !

C'est le devoir des démocraties d'aider les peuples sous régime dictatorial et qui veulent s'en sortir, on peut aider mais ce n'est pas à nous à instaurer des nouveaux pouvoirs sous risque de se faire traiter de nouveaux colonialistes.

Ces peuples une fois libérés souvent à leur demande (ex:la Libye), c'est à eux à se prendre en main, malheureusement beaucoup en sont incapable.

Intervenir apporte parfois la désolation, c'est le risque,  ne pas intervenir apporte à coup certain la désolation (ex: la Syrie).

Aujourd'hui les russes ont sauvé la peau de Assad, mais tôt ou tard, les massacres recommenceront.

Les US on eu le tort de ne pas virer Saddam du pouvoir après sa défaite suite à son intervention au Koweit, on a vu la suite.

 

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Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)
il y a 3 minutes, Anatole1949 a dit :

ne pas intervenir apporte à coup certain la désolation (ex: la Syrie).

Les opérations aériennes de la coalition internationale en Syrie interviennent depuis le 22 septembre 2014 lors de la guerre civile syrienne. (source wiki)

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 670 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a 2 minutes, contrexemple a dit :

Les opérations aériennes de la coalition internationale en Syrie interviennent depuis le 22 septembre 2014 lors de la guerre civile syrienne. (source wiki)

Oui mais pas contre l'armée syrienne, mais bien contre daech !!!

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Membre, 75ans Posté(e)
Denis825 Membre 823 messages
Baby Forumeur‚ 75ans‚
Posté(e)
Le 02/02/2018 à 12:25, Anatole1949 a dit :

Là-bas elles veulent l'enlever en Europe elles veulent le porter, bientôt en Iran les femmes musulmanes seront plus "évoluées" que chez nous en Europe, un comble !

Tu as jugé que les femmes qui portent un voile sont moins évoluées que celles qui n'en portent pas. Mais à l'origine de tout cela, il y a l'ingérence de la France en Algérie, il me semble avoir lu quelque part que c'était pour contrer l'influence étrangère qu'en Algérie les gens ont commencé à vouloir se reconnaitre entre eux et elles avec des signes ostentatoires.

Il y a une chaine ininterrompu de révolutions et de contre-révolutions et les terroristes sont parfois appelés des résistants. Les grandes puissances agissent parfois pour déstabiliser d'autres pays ou un ensemble d'autres pays même s'ils s'entendent bien parfois. Par exemple, De Gaulle qui vient crier "Vive le Québec libre au Canada".

 

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 670 messages
76ans‚ Debout les morts...,
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il y a 4 minutes, Denis825 a dit :

Tu as jugé que les femmes qui portent un voile sont moins évoluées que celles qui n'en portent pas. Mais à l'origine de tout cela, il y a l'ingérence de la France en Algérie, il me semble avoir lu quelque part que c'était pour contrer l'influence étrangère qu'en Algérie les gens ont commencé à vouloir se reconnaitre entre eux et elles avec des signes ostentatoires.

Il y a une chaine ininterrompu de révolutions et de contre-révolutions et les terroristes sont parfois appelés des résistants. Les grandes puissances agissent parfois pour déstabiliser d'autres pays ou un ensemble d'autres pays même s'ils s'entendent bien parfois. Par exemple, De Gaulle qui vient crier "Vive le Québec libre au Canada".

 

" Tu as jugé que les femmes qui portent un voile sont moins évoluées que celles qui n'en portent pas."

Forcément, question de bon sens !

"Mais à l'origine de tout cela, il y a l'ingérence de la France en Algérie, etc..."

Et c'est reparti pour l'éternel refrain, c'est la faute autres !

Maintenant le voile c'est la faute des français, demain on va nous reprocher aussi d'avoir inventé Allah, sauf que le voile était en Algérie et ailleurs bien avant que la France ne colonise, quand est-ce que vous allez assumer une fois pour toutes vos comportements et vos responsabilités ?

La France a quitté l'Algérie en 1962 et la Jordanie sous protectorat anglais a été créée en 1920 et les voiles étaient bien là !

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