Aller au contenu

"Plus rien ne s'oppose à la nuit"

Noter ce sujet


Invité soloandsolo

Messages recommandés

Invité soloandsolo
Invités, Posté(e)
Invité soloandsolo
Invité soloandsolo Invités 0 message
Posté(e)
L'iris violet est dans mon coeur
Comme le nénuphar blanc bat dans le tien
Assis emprunt de nous-mêmes sommes nulle part
En marchant la nuit nous trouvons, parfois, des endroits
Où mélanger nos couleurs
D'un lavis à la vie
Pour toi et moi bien loin
Aux lys enlacés de leurs feuilles larges
Pour écrire un peu de vert au nacre des pages
Dis-moi ?

images.jpg

Modifié par soloandsolo
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Invité soloandsolo
Invités, Posté(e)
Invité soloandsolo
Invité soloandsolo Invités 0 message
Posté(e)

Il y a plus de nuits et moins de rien.

tableau-noir-peinture-02.jpg

Modifié par soloandsolo
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
janacek2 Membre 252 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

On n'a rien vu venir

La lampe qui s'étiole

Ce noir qui étouffe même les étoiles

Les ombres, il ne reste que les ombres

 

Celle qui secoue le drapé des âmes comme une onde silencieuse

Alors il ne reste rien, juste un murmure dans le décor

Je tire mon visage par la fenêtre au regard glacial

Je me courbe en elle et m'apaise

 

J'entre en elle...

où tout se tisse en ce qui s'éclipse

Me presse à son présent là-bas au fond au plus noir

Et je laisse les souvenirs sans bavure me préparer à mon lever

 

Ce silence naissant comme une parenthèse à nos vies

On ne la pas vu venir....

 

..image.thumb.jpeg.f221ece35e62dfa3de379677b2ed5857.jpeg

 

 

 

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité soloandsolo
Invités, Posté(e)
Invité soloandsolo
Invité soloandsolo Invités 0 message
Posté(e)
On dirait qu'on tient tous les deux sur un trapèze
figure géométrique de la relation )?(
Au plus près de l'aplomb dans la verticale des tes prétentions.
 

SAM_2908.JPG

 

Modifié par soloandsolo
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
janacek2 Membre 252 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

J'allume un dernier feux, dernière fumée, dernière clope

Il s'en est fallu de peu que je casse le vase de nos souvenirs

L’entrebâillement de tes lèvres, à l’orée de ton ventre comme un cyclope

Tout ce ciel en promesse d'un passé sans avenir

 

Alors que vienne l'heure du jugement dernier

Si je plonge en de si gracieuses intentions

Cette lune en hardiesse et insolente finalité

Cette lune où mon regard caresse, croise de si beaux vallons

 

J'aurais brisé ma bouteille

Déchiré par la fenêtre les cris de mes maux

Si tout ce ciel peinturluré d'ombres en sommeil

Ne m'avait permis ces derniers mots...

 

_DSC0001_(2).thumb.JPG.c2905165305eb34b83010ba97fda4f25.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Modifié par janacek2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité soloandsolo
Invités, Posté(e)
Invité soloandsolo
Invité soloandsolo Invités 0 message
Posté(e)
Bascules, mouvement et vie.
Nuits plus longues A ^venir, cette nuit.
 
Modifié par soloandsolo
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité soloandsolo
Invités, Posté(e)
Invité soloandsolo
Invité soloandsolo Invités 0 message
Posté(e)

Mais qui est Samuel Hall ?
Samuel Hall est une chanson d'Alain Bashung parue sur l'album Fantaisie militaire. Elle a été écrite et composée par Rodolphe Burger et Olivier Cadiot. Elle s'inspire d'une vieille chanson country intitulée Sam Hall. La version originale daterait de 1850, mais elle a tellement évolué au fil du temps qu'il est impossible d'en fixer la création définitive[réf. nécessaire]. La version la plus connue est celle de Johnny Cash, enregistrée en 1965 pour son album Sings the Ballads of the True West.

Dans la version interprétée par Bashung, le style musique country de la chanson a été totalement effacé, au profit d'arrangements drum and bass. Le texte est plus parlé que chanté, ce qui l'éloigne encore plus de l'interprétation de Johnny Cash. Mais outre le titre très proche, on retrouve des passages similaires à la chanson originale. Ainsi, le refrain, Allez au Diable, J'm'appelle Samuel Hall, je vous déteste tous, se retrouve presque littéralement dans la version américaine.

 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité La transparente
Invités, Posté(e)
Invité La transparente
Invité La transparente Invités 0 message
Posté(e)

 

Le 25/10/2018 à 00:28, janacek2 a dit :

J'allume un dernier feux, dernière fumée, dernière clope

Il s'en est fallu de peu que je casse le vase de nos souvenirs

L’entrebâillement de tes lèvres, à l’orée de ton ventre comme un cyclope

Tout ce ciel en promesse d'un passé sans avenir

 

Alors que vienne l'heure du jugement dernier

Si je plonge en de si gracieuses intentions

Cette lune en hardiesse et insolente finalité

Cette lune où mon regard caresse, croise de si beaux vallons

 

J'aurais brisé ma bouteille

Déchiré par la fenêtre les cris de mes maux

Si tout ce ciel peinturluré d'ombres en sommeil

Ne m'avait permis ces derniers mots...

C'est beau... ça m'arrache "presque" des larmes...

 

Merci! 

Modifié par La transparente
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
janacek2 Membre 252 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Du jour en la nuit

 

Sans trouble, ni flagrance

Sans cri, ni vermeil

"Elle" ...la marée basse

S'épuisant de remonter le courant de nos jours

 

De l'horizon de son nid ce trou noir carrelé de gris

Elle est "cette" venu sans âge en visite de cauchemars visiteuse d'enfants en son giron noir

Elle est cette veuve sans âge, visiteuse du solitaire, de la vieille fille, ou des amants

Cette lie du fond des âges ... ou le nid secret d'intimes et brèves conjugaisons

 

Mais de quoi ?... avoir peur

Lorsque le jour se fane, quand ce tout se fond dans l'humilité et le silence

Elle est naît où tout s'enflamme, où tout s'embrase là où tout est permis

Attends de voir ses miettes d'étoiles qui la berce jusqu'au jour levé où ils se chevauchent comme des damnés...

 

 

...et donneront naissance à l'aurore

 

https://archive.org/details/earman033/04-2007-10-28-JamaisVu.mp3 

 

 

image.thumb.jpeg.f4c9a9840e800a7f8c48ae771ac356ff.jpeg

 

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 

Bonjour Soloandsolo. Il existe une version de cette chanson chanté par Rodolphe Burger lui-même, je te dépose ici le lien au cas où ... :

 

et puis puisque "plus rien ne s'oppose à la nuit", j'en profite pour lâcher un très bon moment de Rodolphe accompagné ici par le bassiste de Erik Truffaz, Marcello Giuliani, un très bon moment et une vidéo qui traduit très l'ambiance de ce moment.

Révélation

Merci La Transparente

 

Modifié par janacek2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité soloandsolo
Invités, Posté(e)
Invité soloandsolo
Invité soloandsolo Invités 0 message
Posté(e)

Oh, oui, après certaines nuits je garderai au fond du coeur, le temps des cerises à venir.

Quand nous en serons au temps des cerises
Et gai rossignol et merle moqueur
Seront tous en fête
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux du soleil au coeur
Quand nous chanterons le temps des cerises
Sifflera bien mieux le merle moqueur

Mais il est bien court le temps des cerises
Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant
Des pendants d'oreilles
Cerises d'amour aux robes pareilles
Tombant sous la feuille en gouttes de sang
Mais il est bien court le temps des cerises
Pendants de corail qu'on cueille en rêvant
Quand vous en serez au temps des cerises
Si vous avez peur des chagrins d'amour
Évitez les belles
Moi qui ne crains pas les peines cruelles
Je ne vivrai pas sans souffrir un jour

Quand vous en serez au temps des cerises
Vous aurez aussi des chagrins d'amour

J'aimerai toujours le temps des cerises
C'est de ce temps-là que je garde au coeur
Une plaie ouverte
Et Dame Fortune, en m'étant offerte
Ne saura jamais calmer ma douleur
J'aimerai toujours le temps des cerises
Et le souvenir que je garde au coeur

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité soloandsolo
Invités, Posté(e)
Invité soloandsolo
Invité soloandsolo Invités 0 message
Posté(e)

Serré à gauche dans le vide du bord du lit par ta présence.

Je ne suis plus tout à fait étanche
Au gré des années j'm'épanche
Ca nuit
Ca luit
Je fais le joint avec des calicots
Je ferme les fissures dénu(d)ées d'emphase
Sans assurer les liens ombilicaux
Juste une opération en métaphase
Lost
Post
Croqueliquot
 

bashung-13_6110294.jpg

Modifié par soloandsolo
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité soloandsolo
Invités, Posté(e)
Invité soloandsolo
Invité soloandsolo Invités 0 message
Posté(e)

Alors j'ai décidé de ne plus jamais manger du cornflakes et de retourner sur la terre lire du Prévert et de ne plus jamais vomir dans mon âme.

Et nous nous resterons sur la terre

Qui est quelquefois si jolie.

Avec ses mystères de New York

Et puis ses mystères de Paris

Qui valent bien celui de la Trinité

Avec son petit canal de l'Ourcq

Sa grande muraille de Chine

Sa rivière de Morlaix

Ses bêtises de Cambrai

Avec son océan Pacifique

Et ses deux bassins aux Tuileries

Avec ses bons enfants et ses mauvais sujets

Avec toutes les merveilles du monde

 

Qui sont là

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
janacek2 Membre 252 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

75d15ecf5abe6bb7e1e0cbc8bb60ebd1.thumb.jpg.a04fe08eaa2ba59705f3ca5101bddfc4.jpg

 

Fréquemment, lorsque mon esprit dort et que mes yeux attendent toujours que leurs paupières fatiguées s'abaissent et avalent le reste de la lumière,
je peux former une image mentale de choses différentes.


Parfois, je suis un samouraï calme combattant le mur électrique dans un peu de fumée perdue dans le Lood City.


Je peux être un énorme shaker allongé sur le sol, faisant de longs rythmes à chaque fois en tournant.


Parfois, je me vois moi-même comme une personne en caoutchouc dont le corps décline graduellement à cause d'une fuite sur mon côté droit.


Enfin je suis une femme, une femme regardant mon ombre ressemblant à un homme sortir prudemment par les fenêtres et m'ouvrir presque l'esprit...


J'attends toujours.... Je trouve et je me réveille et je suis en train de fumer.

 

 

"Un silence, un très long silence.


Une fois de plus, à travers "ses" charades, je cherche à définir quel genre d'être est ma visiteuse."
De cette nuit je ne garderai, une fois de plus, que l'ombre de sa silencieuse présence, comme un oiseau de nuit.

 

Modifié par janacek2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité soloandsolo
Invités, Posté(e)
Invité soloandsolo
Invité soloandsolo Invités 0 message
Posté(e)

L'itinérance mémorielle...
L'itinéraire rance mes mers d'hier
L'iti-errance d'aujourd'hui
Et la mémoire ?
Et l'histoire ?

Au vague à l'âme
Au ressac des approximations


"Dans la rue aux musiques mortes"

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
janacek2 Membre 252 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Alors la route, puis vint la mer de Rémi Checchetto

https://checchetto.com/

( Alors la route (...) puis vint la mer )

Alors


alors la route, celle des collines puis celle au-delà des collines, et la route ne fut plus celle de ma mémoire, aucun rossignol n’y était pour se souvenir de mon passage, aucune étoile, juste des bruits d’os, aucun vent clément, juste un cri, la route ne cessait de s’allonger, n’avait de cesse de me trahir, de me leurrer, de me heurter à des forêts, des fossés, des grillages, des fleuves gras et gros, des discours gorgés de fer et de fiel, les arbres qui la bordaient n’étaient plus mes arbres, le ciel était le ciel des exclusions, les pas étaient ceux des égarés, des éparpillés de la terre, pas qui ne foulent pas la poussière mais les cendres de l’Histoire, mes mots ? je les serrais fort dans ma tête, veillais à ne pas les laisser derrière moi comme petits cailloux de Petit Poucet, je me repliais dans mes mots, dans les sons de mes mots pour y trouver un peu d’air, et je me demandais si cet automne était le dernier, le dernier du monde, du monde mon monde, et si c’était le dernier, l’heure venait de sonner qui allait écourter mes vœux, signer mon désaveu, amplifier le feu


Puis

_DSC0140.thumb.JPG.90e32c9b385277cf4a131a1f71c623d7.JPG
puis vint la mer, la mer qui n’était pas la terre de mes appels, la mer non pas pour que j’y élise domicile mais afin que je m’y perde, la mer non pas mon étonnement et ma joie mais ma fragilité, ma fragile fragilité, la mer devant moi, autour de moi, devant, derrière, à droite, à gauche, au-dessus, oui, la mer était aussi au-dessus de moi, en moi aussi, entrant par la bouche, les narines, les yeux, les oreilles, chacun des pores de ma peau, par chacune de mes pensées d’alors


la mer et mon reflet brisé par elle, et mon monde morcelé, noyé dans son écume, la mer qui n’était pas pour moi, nulle mer n’est pour celui qui n’a pas de terre ferme


et j’étais une pierre, une pierre qui réclamait la mer pour ses obscurités, une pierre que sollicitait le monde afin que le monde m’oublie


je me suis tenu là, préparant ma mort

 

https://www.youtube.com/watch?v=5K0D3Ms4Wnw

 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité soloandsolo
Invités, Posté(e)
Invité soloandsolo
Invité soloandsolo Invités 0 message
Posté(e)

Que font-ils ?

Qui sont-ils ?

Ces gens qu'on tient en laisse
Dans les ports au shopping au bordel à la messe ?
(...) Ils ont voté ils voteront comme on prend un barbiturique
Et ils ont mis la République au fond d'un vase à reposer
Les experts ont analysé ce qu'il y avait au fond du vase
Il n'y avait rien qu'un peu de vase »

Words... Words... Words, 1980

 

The ocean is the ultimate solution. Aux confins de l'éternel intramarin et du sexe sublime, la longanimité du poète et l'eurythmie prennent le dessus, qui nous commandent de ne point durcir notre cœur. La mer se lève !... Il faut tenter de vivre. Et si t'as pas bien compris, tu peux toujours aller faire un tour en 1462, du côté de Montfaucon.

 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité soloandsolo
Invités, Posté(e)
Invité soloandsolo
Invité soloandsolo Invités 0 message
Posté(e)

Patrick Chamoiseau :

"Le langage n’est pas dans un absolu linguistique, il est le désir de toutes les langues du monde"

 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
janacek2 Membre 252 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

...Bonsoir soloandsolo. Je vais juste, un instant, faire un petit "arrêt" entre terre et mer et dédier ce moment à l'une d'entre nous qui hier soir nous a fait "voyager" avec Léo et "Cette Blessure" chanté par Vanessa...

Alors "Ta Source" ....

et pour certains La Source de nos Blessures...

le triangle parfait comme cette géométrie du hasard qui sans le vouloir s'est tissé ici ou là aux files de nos voyages poétiques et /ou musicales...

 

Elle naît tout en bas d'un lieu géométrique
À la sentir couler, je me crois à la mer
Parmi les poissons fous, c'est comme une musique
C'est le printemps et c'est l'automne et c'est l'hiver

 

 

 


Et tu fais de ma bouche un complice estuaire
Et tes baisers mouillés dérivant de ton cygne
Ne se retourneront jamais pour voir la Terre
Ta source s'est perdue au fond de ma poitrine

 

image.png.3a52e2b4eb1b5252bac13bbe92c28cba.png

 

Ta source...je l'ai bue

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 3 semaines après...
Invité soloandsolo
Invités, Posté(e)
Invité soloandsolo
Invité soloandsolo Invités 0 message
Posté(e)

¤bifurcation¤

Tu es venue le feu s'est alors ranimé
L'ombre a cédé le froid d'en bas s'est étoilé
Et la terre s'est recouverte
De ta chair claire et je me suis senti léger
Tu es venue la solitude était vaincue
J'avais un guide sur la terre je savais
Me diriger je me savais démesuré
J'avançais je gagnais de l'espace et du temps

J'allais vers toi j'allais sans fin vers la lumière
La vie avait un corps l'espoir tendait sa voile
Le sommeil ruisselait de rêves et la nuit
Promettait à l'aurore des regards confiants
Les rayons de tes bras entr'ouvraient le brouillard
Ta bouche était mouillée des premières rosées
Le repos ébloui remplaçait la fatigue
Et j'adorais l'amour comme à mes premiers jours.

Paul Éluard, La mort l'amour la vie, Le Phénix
 

Seuls les fous et les solitaires peuvent se permettre d'être eux-mêmes.

Les solitaires n'ont personne à qui plaire et les fous s'en foutent complétement de plaire ou pas.

Charles Bukowski

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×