smic un rapport préconise la fin de la revalorisation automatique?

il y a 51 minutes, Scrongneugneu a dit :

Popole emploi ne sont que des glandeurs qui cultivent davantage leur carrière plon-plon que faire un travail sérieux. Un mec ou une nana qui veut réellement un boulot se reporte vers le privé pour avoir une chance d'avoir quelque chose.

Ce n'est pas vrai, les glandeurs on les trouve dans les banques françaises, de ce que j'ai entendu

il y a 54 minutes, Scrongneugneu a dit :

Donc, si t'attend dans ton coin de rue à avoir un boulot, sans te fouler, je comprend pourquoi MACRON veut réformer le chômage.

On a le droit de pas vouloir faire de boulot de merde qui ne rapportent pas assez pour vivre 

il y a 49 minutes, PLS maker a dit :

On vous entend beaucoup disserter sur la volonté, les glandeurs et toutes ces conneries, vous comprendrez que ça manque de consistance. J'ai donné mes chiffres, on attend les vôtres

J'avoue moi aussi j'attends des chiffres qui montrent que l'emploi en France permet de résorber le chômage en France. 

Il y a 19 heures, PLS maker a dit :

Donc vous contestez les chiffres présentant une impossibilité structurelle d'avoir une occasion d'absorber toute la masse de chômeurs par l'emploi ? 

Vous parlez du privé. Combien d'offres, concrètement ? Quelle pourcentage des chômeurs les boîtes privées peuvent-elle caser ? 

On vous entend beaucoup disserter sur la volonté, les glandeurs et toutes ces conneries, vous comprendrez que ça manque de consistance. J'ai donné mes chiffres, on attend les vôtres  

Mes chiffres sont les mêmes en matière de chômage et sans doute de précarité ( moins de 900€ par mois ) qui sont de l'ordre de plus de 9 millions. Ce que je conteste, c'est faire gérer la recherche d'emploie par des fonctionnaires, à l'efficacité douteuse, même si certains se décarcassent vraiment. Que se passera-t-il si "par chance" le chômage descend sous la barre des 2 millions ? Pôle emploie sera en sur-effectif comme la poste et devra garder à vie ses titulaires, donc payer des gens qui regarderons le temps passer, en attendant la retraite et la médaille des 25 ans de bons et loyaux services.

Il y a 18 heures, zebusoif a dit :

Ce n'est pas vrai, les glandeurs on les trouve dans les banques françaises, de ce que j'ai entendu

On a le droit de pas vouloir faire de boulot de merde qui ne rapportent pas assez pour vivre 

C'est sûr, c'est un droit d'attendre, mais ne vient pas critiquer ceux qui se font du fric, ou qui vivent dans le le luxe.

Il y a 2 heures, Scrongneugneu a dit :

C'est sûr, c'est un droit d'attendre, mais ne vient pas critiquer ceux qui se font du fric, ou qui vivent dans le le luxe.

la situation n'est pas la même pour qui a un bac pro menuiserie et un autre qui sort d'une école de commerce.

Egalité des chances ? bizarement c'est pas ce qu'on retrouve dans les statistiques, les études des enfants étant très liées au statu social et revenus des parents.

Il y a 6 heures, Scrongneugneu a dit :

Mes chiffres sont les mêmes en matière de chômage et sans doute de précarité ( moins de 900€ par mois ) qui sont de l'ordre de plus de 9 millions. Ce que je conteste, c'est faire gérer la recherche d'emploie par des fonctionnaires, à l'efficacité douteuse, même si certains se décarcassent vraiment. Que se passera-t-il si "par chance" le chômage descend sous la barre des 2 millions ? Pôle emploie sera en sur-effectif comme la poste et devra garder à vie ses titulaires, donc payer des gens qui regarderons le temps passer, en attendant la retraite et la médaille des 25 ans de bons et loyaux services.

Les agents de pôle emploi ne sont pas fonctionnaires mais relèvent du statut privé.

Ce ne sont pas eux qui cherchent des emplois à la place des chômeurs, ils ne font que les accompagner, collecter les offres, les indemniser après contrôle de leur situation.

En cas de sureffectif il faudra craindre un plan social comme ailleurs.

Il y a 15 heures, bibifricotin a dit :

Les agents de pôle emploi ne sont pas fonctionnaires mais relèvent du statut privé.

Ce ne sont pas eux qui cherchent des emplois à la place des chômeurs, ils ne font que les accompagner, collecter les offres, les indemniser après contrôle de leur situation.

En cas de sureffectif il faudra craindre un plan social comme ailleurs.

Superbe mic-mac à la Française ! Leurs salaires sont bien versé par de l'argent public, donc par les contribuables. Avec Sarko, qui lui aussi voulait ses réformes 10% sont des agents de service public, les autres ont un fonctionnement dépendant du code du travail, avec revalorisation des salaires, mais en aucun cas précarisé en matière de sécurité d'emploie comme ceux du privé. L'Etat s'est engagé à les reclasser si toutefois des réductions d'effectifs sont prévues. Leurs véritable contrainte est de travailler comme le privé en rendant des comptes sur leur travail, et droit à retraite, comme le privé. Si plan social il y a, ils ont droit à formation, avec maintien du salaire, pour changer de métier.

Au moment de la fusion, ces 10%, craignant d'être viré, ont voulu rester fonctionnaire, avec ce fameux statut protecteur. Moins payé, ils ont un remarquable taux d'absentéisme. 

Il y a 20 heures, zebusoif a dit :

la situation n'est pas la même pour qui a un bac pro menuiserie et un autre qui sort d'une école de commerce.

Egalité des chances ? bizarement c'est pas ce qu'on retrouve dans les statistiques, les études des enfants étant très liées au statu social et revenus des parents.

Je suis fils de "pecnot" et je vivais dans la "cambrouse". Ce qui n'a pas empêcher, avec mon frangin et les copains d'infortune, suite au déclin de l'agriculture dans notre bled, de réussir nos parcours professionnels. Un seul copain d'enfance est devenu riche, mais nous vivons tous correctement, car nous n'avons pas passer notre temps à nous plaindre, mais à bosser.

il y a 53 minutes, Scrongneugneu a dit :

Je suis fils de "pecnot" et je vivais dans la "cambrouse". Ce qui n'a pas empêcher, avec mon frangin et les copains d'infortune, suite au déclin de l'agriculture dans notre bled, de réussir nos parcours professionnels. Un seul copain d'enfance est devenu riche, mais nous vivons tous correctement, car nous n'avons pas passer notre temps à nous plaindre, mais à bosser.

Moi aussi je suis fils de "pecno" mais j'ai plus qu'un bac pro. Maintenant je te parle de statistiques et non de "parcours individuels". En vérité tu ne peux pas exclure le facteur chance qui t'a amené à vivre une vie confortable. Mais si tu avais été moins chanceux, ça tient à tellement peu de choses :

Tu serais prêt à accepter de bosser pour moins de ce que tu as besoin pour vivre, ou d'être salarié et de vivre dans ta voiture ? C'est de ça que je parle, il faut des salaires décents et ça passe par une appréciation du SMIC. 

Il y a 4 heures, zebusoif a dit :

Moi aussi je suis fils de "pecno" mais j'ai plus qu'un bac pro. Maintenant je te parle de statistiques et non de "parcours individuels". En vérité tu ne peux pas exclure le facteur chance qui t'a amené à vivre une vie confortable. Mais si tu avais été moins chanceux, ça tient à tellement peu de choses :

Tu serais prêt à accepter de bosser pour moins de ce que tu as besoin pour vivre, ou d'être salarié et de vivre dans ta voiture ? C'est de ça que je parle, il faut des salaires décents et ça passe par une appréciation du SMIC. 

A chacun son parcours. Etant éloigné de tout, j'ai même galéré pour mes loisirs d'ado. Quand à mes études supérieures, je n'ai eu d'autres choix que de bosser pour me loger à 230 km de chez moi et queue dalle au niveau bourse. Pas de bagnole ni de mob, trop cher pour mes parents. Décharger des camions et nettoyer des hangars, je connais. Mes copains ont fait de même.

il y a 30 minutes, Scrongneugneu a dit :

A chacun son parcours. Etant éloigné de tout, j'ai même galéré pour mes loisirs d'ado. Quand à mes études supérieures, je n'ai eu d'autres choix que de bosser pour me loger à 230 km de chez moi et queue dalle au niveau bourse. Pas de bagnole ni de mob, trop cher pour mes parents. Décharger des camions et nettoyer des hangars, je connais. Mes copains ont fait de même.

et moi aussi. Et je pense que nous sommes chanceux, en tous cas je ne mets pas ma situation personnelle aujourd'hui sur le compte de mon mérite seulement. Ca aurait pu très mal tourner de multiples fois. Pourquoi ça n'a pas mal tourné, pourquoi je suis pas devenu ju,ky, alcoolique, accroc aux jeux, etc..., ça s'est souvent joué à un chouya. Et je dis pas que c'est fini, demain il pourrait m'arriver de sombrer, les aléas de la vie.

Et c'est pour ça que je souhaite plus de protection, plus de salaire minimum, c'est très égoïste : moi aussi demain je peux trébucher, tomber, et connaître des difficultés à me relever. Je souhaite que notre société ne soit pas qualibrée seulement pour les plus compétitifs, les mieux armés, mais aussi pour ceux qui tombent et n'arrivent pas à sortir la tête de l'eau. Sinon c'est la jungle, et nous humains ne sommes quand même pas sorti de la jungle pour y revenir maintenant, enfin je pense pas.

Il y a 6 heures, zebusoif a dit :

et moi aussi. Et je pense que nous sommes chanceux, en tous cas je ne mets pas ma situation personnelle aujourd'hui sur le compte de mon mérite seulement. Ca aurait pu très mal tourner de multiples fois. Pourquoi ça n'a pas mal tourné, pourquoi je suis pas devenu ju,ky, alcoolique, accroc aux jeux, etc..., ça s'est souvent joué à un chouya. Et je dis pas que c'est fini, demain il pourrait m'arriver de sombrer, les aléas de la vie.

Et c'est pour ça que je souhaite plus de protection, plus de salaire minimum, c'est très égoïste : moi aussi demain je peux trébucher, tomber, et connaître des difficultés à me relever. Je souhaite que notre société ne soit pas qualibrée seulement pour les plus compétitifs, les mieux armés, mais aussi pour ceux qui tombent et n'arrivent pas à sortir la tête de l'eau. Sinon c'est la jungle, et nous humains ne sommes quand même pas sorti de la jungle pour y revenir maintenant, enfin je pense pas.

Je peut être d'accord sur le fond. Néanmoins, que l'on aide les démunis, mais pas les profiteurs du système.

Il y a 7 heures, Scrongneugneu a dit :

Je peut être d'accord sur le fond. Néanmoins, que l'on aide les démunis, mais pas les profiteurs du système.

certains aiment partager l'argent des autres, mais pas trop le leur.

Le 07/12/2017 à 01:31, zebusoif a dit :

C'est vraiment une blague, pourquoi la fin de la revalorisation automatique du SMIC ? Voici leur réponse, citée dans le Monde :

Depuis sa création, en 2008, le groupe d’experts s’était, le plus souvent, borné à dire s’il convenait d’accorder ou pas un tel « bonus » – et sur la période récente, sa réponse était « non », généralement. Cette fois-ci, il est allé beaucoup plus loin en ouvrant la « réflexion à des pistes de réformes possibles ». Deux préoccupations l’ont guidé : « réduire le chômage » et « lutter efficacement contre la pauvreté ».

http://www.ifrap.org/la-fondation-ifrap-0

I FRAP ! Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques .

http://www.ifrap.org/emploi-et-politiques-sociales/le-smic-un-mauvais-instrument-de-lutte-contre-les-inegalites

il y a 35 minutes, LouiseAragon a dit :

http://www.ifrap.org/la-fondation-ifrap-0

I FRAP ! Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques .

http://www.ifrap.org/emploi-et-politiques-sociales/le-smic-un-mauvais-instrument-de-lutte-contre-les-inegalites

Comme s'ils en avaient quelque chose à foutre des inégalités ceux-là. Leur solution c'est quoi, baisser le SMIC pour augmenter les aides des ménages les plus pauvres ? Je n'y crois pas un instant. 

Le 2017/12/19 à 06:09, Scrongneugneu a dit :

 Ce que je conteste, c'est faire gérer la recherche d'emploie par des fonctionnaires, à l'efficacité douteuse, même si certains se décarcassent vraiment.

Et on attend toujours de savoir en quoi le privé gérerait mieux la situation suivante : 6 millions de chômeurs pour 500 000 emplois dispo. 

Vous pouvez tourner autour du pot et rester dans votre délire, si vous voulez, ça répondra pas à la question. 

il y a 2 minutes, PLS maker a dit :

Et on attend toujours de savoir en quoi le privé gérerait mieux la situation suivante : 6 millions de chômeurs pour 500 000 emplois dispo. 

Vous pouvez tourner autour du pot et rester dans votre délire, si vous voulez, ça répondra pas à la question. 

Je dois avouer que je ne vois pas non plus comment 6 millions d'emplois peuvent sortir de 500 mille emplois dispos.

Peut-être Jésus à Pôle Emploi ?

Le 21/12/2017 à 10:25, PLS maker a dit :

Et on attend toujours de savoir en quoi le privé gérerait mieux la situation suivante : 6 millions de chômeurs pour 500 000 emplois dispo. 

Vous pouvez tourner autour du pot et rester dans votre délire, si vous voulez, ça répondra pas à la question. 

Pourquoi donc, dois-je délirer ? Ce n'est qu'un point de vue et une pensée différente de la tienne. A moins que tu sois un descendant d'Einstein, dont ses visions n'étaient pas délirantes au vu des résultats.

On ne saura donc jamais en quoi le recours au privé permettrait de mieux aider les chômeurs à retrouver un travail ? 

C'est triste. 

Le plus triste, c'est que malgré votre incapacité à répondre à cette simple question, vous croyez (à ce niveau, c'est de la croyance) en vos "solutions"... 

il y a 25 minutes, Scrongneugneu a dit :

Pourquoi donc, dois-je délirer ? Ce n'est qu'un point de vue et une pensée différente de la tienne. A moins que tu sois un descendant d'Einstein, dont ses visions n'étaient pas délirantes au vu des résultats.

la question qu'on se pose, c'est comment on donne 1 emploi à 6 millions de personnes quand 500 000 sont disponibles à tout casser ?

Le 23/12/2017 à 06:50, zebusoif a dit :

la question qu'on se pose, c'est comment on donne 1 emploi à 6 millions de personnes quand 500 000 sont disponibles à tout casser ?

Mais aussi, comment se sortir de là avec les recettes utilisées depuis 40 ans ? Hollande a vu les premiers effets de ses mini-recettes commencer cette année, Macron a demander 2 ans depuis son élection...attendons mai 2019. Que je sache, personne ne meurt de faim ni de soif dans notre pays, ni même les aides qui n'ont absolument pas baissées.