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Reims : des migrants sur le campus de l'université, 8000 étudiants privés de cours

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Dan229

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Membre, Posté(e)
frunobulax Membre 17 798 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 20 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Bonne chose nous honorons nos engagements , mais du coup où sont vos 100 000 irréguliers :D ?

Là où vont tous les autres immigrés clandestins: où ils peuvent.
Mais certainement pas dans le logement social.

il y a 20 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Donc le migrant finit nécessairement par peser sur le parc immo . Merci de confirmer ma lapalissade , il nous aura fallu quelques posts pour converger .

Vos enfants aussi pèsent sur le logement social, comme absolument TOUS les résidents français pouvant en bénéficier.
Il ne me vient cependant pas à l'esprit de vous demander de les envoyer en Syrie.
:smile2:

Plus sérieusement, une fois de plus, ça ne concerne pas les migrants "non-régularisés" qui ne pèsent ni sur le logement social au quel ils n'ont pas droit ni sur vraiment le logement "normal" vu que les propriétaires louant leur biens à des personnes sans-papiers, sans revenus et sans garanties ne courent pas franchement les rues ...

il y a 20 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Donc merci une fois encore de confirmer mon propos, ce fut long, les migrants pèsent au final de façon importante sur le parc immo qui est ce qu'il est.

"Stratagème XIV
Il est un piège effronté que vous pouvez poser contre votre adversaire : lorsque votre adversaire aura répondu à plusieurs questions, sans qu’aucune des réponses ne se soient montrées favorables quant à la conclusion que vous défendez, présentez quand même votre conclusion triomphalement comme si votre adversaire l’avait prouvée pour vous."

L’Art d’avoir toujours raison - Arthur Schopenhauer

Essayez donc de trouver des stratagèmes un peu moins connus, merci.
;)

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 040 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 13 minutes, frunobulax a dit :

Là où vont tous les autres immigrés clandestins: où ils peuvent.
Mais certainement pas dans le logement social.

Vu que vos migrants comptaient dans les irréguliers , ce qu'ils ne sont pas nous l'avons conclu au tour précédent, vos 100 000 irréguliers , les vrais vous auriez une source ? Quiproquo ?

Et donc nos irréguliers ills ont de toute façon eux aussi vocation à être reconduit ou régularisé à un moment ou à un autre, et donc ils se logent eux aussi dans le parc immo mas pas en Lozère ...

 

Citation

Vos enfants aussi pèsent sur le logement social, comme absolument TOUS les résidents français pouvant en bénéficier.
Il ne me vient cependant pas à l'esprit de vous demander de les envoyer en Syrie.
:smile2:

Les migrants économiques ne sont pas des résidents français à ma connaissance .

Citation

"Stratagème XIV
Il est un piège effronté que vous pouvez poser contre votre adversaire : lorsque votre adversaire aura répondu à plusieurs questions, sans qu’aucune des réponses ne se soient montrées favorables quant à la conclusion que vous défendez, présentez quand même votre conclusion triomphalement comme si votre adversaire l’avait prouvée pour vous."

L’Art d’avoir toujours raison - Arthur Schopenhauer

Essayez donc de trouver des stratagèmes un peu moins connus, merci.
;)

Pourquoi il est inexact de dire que tout migrant finira ou reconduit ou régularisé tôt ou tard et pèsera donc sur le parc immo ( je vous invite à me relire, c'est bien le propos dès le départ et la conclusion que je défends ... ) ?

Nous en sommes à 20% de pression supplémentaire en dilué sur le sol national, bien plus sur les métropoles ( voir chiffres posts précédents ) .

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, Posté(e)
frunobulax Membre 17 798 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 26 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Vu que vos migrants comptaient dans les irréguliers , ce qu'ils ne sont pas nous l'avons conclu au tour précédent, vos 100 000 irréguliers , les vrais vous auriez une source ? Quiproquo ?

Je parlais de migrants non régularisés, donc des demandeurs d'asile.
80.000 places déjà occupées + 40% de demandeurs d'asile ne bénéficiant pas d'hébergement.
C'est un calcul assez simple à faire, je m'étonne que vous n'y parveniez pas ?

Après, c'est vous qui avez mentionné le chiffre de 100.000 concernant les clandestins en me demandant où ils allaient, merci donc de ne pas me demandez de prouver vos propres affirmations.
 

il y a 26 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Les migrants économiques ne sont pas des résidents français à ma connaissance .

Non, vous avez raison, ils sont des résident en France ... ce qui ne change rien au débat.
Ceci dit, puisque l'on est dans l'ergottage, les réfugiés ne sont pas non plus des migrants économiques.
;)

il y a 26 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Pourquoi il est inexact de dire que tout migrant finira ou reconduit ou régularisé tôt ou tard et pèsera donc sur le parc immo

En quoi un migrant expulsé pèsera t-il sur le parc immobilier ??

Ceci dit, si votre propos consiste à dire que, sur le long, voire TRES long terme, un migrant sera forcément reconduit ou régularisé un jour où l'autre, excusez moi, mais vous êtes encore un poil dans l'enfonçage de portes ouvertes.

Mais, j'ai une bonne nouvelle pour vous, sachez que tout migrant finira AUSSI par mourir un jour ou l'autre, ce qui devrait donc considérablement soulager le parc immobilier.
:smile2:

Et sur ce, je vais me coucher.
En plus, on a fait le tour, persévérer relèverait de l'obstination.
:cool:

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 040 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 7 heures, frunobulax a dit :

Je parlais de migrants non régularisés, donc des demandeurs d'asile.
80.000 places déjà occupées + 40% de demandeurs d'asile ne bénéficiant pas d'hébergement.
C'est un calcul assez simple à faire, je m'étonne que vous n'y parveniez pas ?

Nous avions conclu que ce n'était pas des irréguliers . Vos 100000 n'en etaient donc pas . Persévérer relèverait de l'obstination.

Il y a 7 heures, frunobulax a dit :

 



Après, c'est vous qui avez mentionné le chiffre de 100.000 concernant les clandestins en me demandant où ils allaient, merci donc de ne pas me demandez de prouver vos propres affirmations.

 

 

Tatata VOUS avez parlé de 100000 irréguliers en guise de preuve . Ce qu'ils n'étaient pas . Comme je craignais le quiproquo je levais l'incertitude , Ca se confirme vous confondez demandeur d'asile et irréguliers ce qu'ils ne sont pas .

Il y a 7 heures, frunobulax a dit :


 

Non, vous avez raison, ils sont des résident en France ... ce qui ne change rien au débat.

Si le résident en France et le résident français ne relèvent pas du meme droit et il paraît difficile de limiter le nombre de résident français sauf à adopter une politique chinoise de l'enfant unique ou abattre les vieux .

Il y a 7 heures, frunobulax a dit :


Ceci dit, puisque l'on est dans l'ergottage, les réfugiés ne sont pas non plus des migrants économiques.
;)

Je n'ai jamais dit le contraire c'est Vous qui commettez l'amalgame depuis 10 posts .

Il y a 7 heures, frunobulax a dit :

En quoi un migrant expulsé pèsera t-il sur le parc immobilier ??

Je n'ai jamais dit celà :crazy: 

celui qui pèse est dans la deuxième option le régularisé 

Il y a 7 heures, frunobulax a dit :


Ceci dit, si votre propos consiste à dire que, sur le long, voire TRES long terme, un migrant sera forcément reconduit ou régularisé un jour où l'autre, excusez moi, mais vous êtes encore un poil dans l'enfonçage de portes ouvertes.

Aucun long terme c'est comme nous venons de le démontrer tous les 2 , 55 000 personnes mini , bref 20% de l'augmentation de la demande au national beaucoup plus sur les métropoles . Ce n'est donc pas futur , c'est au present de l'indicatif 

Il y a 7 heures, frunobulax a dit :



Mais, j'ai une bonne nouvelle pour vous, sachez que tout migrant finira AUSSI par mourir un jour ou l'autre, ce qui devrait donc considérablement soulager le parc immobilier.
:smile2:

Quand la rhétorique est au service de la mauvaise foi . La porte ouverte que vous nous présentez comme fermee en pretendant que les migrants ne pèsent pas sur le parc Immo , c'est en fait une pression de mini 20% de l'augmentation de la demande sur le parc immo.

Il y a 7 heures, frunobulax a dit :

Et sur ce, je vais me coucher.
En plus, on a fait le tour, persévérer relèverait de l'obstination.
:cool:

J'ai de la suite dans les idées , surtout quand une lapalissade est niée par le tour de passe passe du migrant qui n'en est plus un sitôt transformé en résidant en France ( en résidant français paraît que ça ne change rien au probleme )  :smile2:

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 040 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Une fois dans le dur de la porte ouverte difficilement refermable c'est toujours mieux en chantant , " c'est plus marrant, c'est moins désespérant en chanson "

Le fils de jackie ;)

 

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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 278 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)

"Les cours dans une université de Reims, qui avaient été suspendus depuis lundi en raison de la présence d'une quarantaine de migrants sur le campus, reprendront jeudi, a annoncé mercredi l'Université de Reims-Champagne-Ardenne (URCA).

"La coopération entre l'université et les services de l'Etat a permis de trouver des solutions afin de garantir la sécurité de tous et permettre la réouverture du campus ce jour", indique l'université de Reims-Champagne-Ardenne (URCA) dans un communiqué. Ainsi, la réouverture administrative a lieu mercredi tandis que les cours reprendront jeudi.

"Plusieurs familles avec enfants ont été relogées, les 18 et 19 septembre et ce mercredi 20 septembre, les occupants restant ont été pris en charge et mis à l'abri par l'Armée du Salut", selon la même source.

Le syndicat étudiant Unef s'est félicité de cette réouverture.

"Nous saluons l'aide apportée par les institutions, les organisations, les bénévoles, les citoyens et membres de la communauté universitaire à ces demandeurs d'asile", déclare le syndicat dans un communiqué, souhaitant "des solutions de logement dignes et pérennes" pour les migrants.

La rentrée dans cette université de droit, sciences économiques, lettres et sciences sociales, où sont scolarisés environ 8.000 étudiants, a eu lieu début septembre."

https://www.afp.com/fr/infos/279/universite-de-reims-reprise-jeudi-des-cours-suspendus-en-raison-de-la-presence-de-migrants

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 040 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 11 minutes, ouest35 a dit :

"Les cours dans une université de Reims, qui avaient été suspendus depuis lundi en raison de la présence d'une quarantaine de migrants sur le campus, reprendront jeudi, a annoncé mercredi l'Université de Reims-Champagne-Ardenne (URCA).

"La coopération entre l'université et les services de l'Etat a permis de trouver des solutions afin de garantir la sécurité de tous et permettre la réouverture du campus ce jour", indique l'université de Reims-Champagne-Ardenne (URCA) dans un communiqué. Ainsi, la réouverture administrative a lieu mercredi tandis que les cours reprendront jeudi.

"Plusieurs familles avec enfants ont été relogées, les 18 et 19 septembre et ce mercredi 20 septembre, les occupants restant ont été pris en charge et mis à l'abri par l'Armée du Salut", selon la même source.

Le syndicat étudiant Unef s'est félicité de cette réouverture.

"Nous saluons l'aide apportée par les institutions, les organisations, les bénévoles, les citoyens et membres de la communauté universitaire à ces demandeurs d'asile", déclare le syndicat dans un communiqué, souhaitant "des solutions de logement dignes et pérennes" pour les migrants.

La rentrée dans cette université de droit, sciences économiques, lettres et sciences sociales, où sont scolarisés environ 8.000 étudiants, a eu lieu début septembre."

https://www.afp.com/fr/infos/279/universite-de-reims-reprise-jeudi-des-cours-suspendus-en-raison-de-la-presence-de-migrants

Finalement ce sont des demandeurs d'asile ou pas ?

L'article mis en ligne le contestait . 

En tout cas on ne peut que se réjouir pour eux .

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Pourquoi les réfugiés ne vont pas récupérer les logements sociaux des plus précaires ? 

Une avalanche de chiffres, un déferlement de moyens. Depuis plusieurs semaines, le gouvernement Valls tente de trouver une réponse à la crise migratoire qui touche la France. Les expulsions à répétition et les campements précaires au cœur de la capitale ont mis en lumière un dispositif d’hébergement d’urgence à bout de souffle. Et pour cause, la France comptabilise près de 60 000 demandes d’asile par an contre 25 000 places disponibles en centres d’accueil (CADA).

Les HLM de la discorde 

Pour y remédier, l’Etat a annoncé en juin la création de 1.500 places d’hébergement d’urgence, 4.000 places d’hébergement pour les demandeurs d’asile en attente, 5.000 places destinées à favoriser l’accès au logement autonome des réfugiés qui ont obtenu la protection de la France et 500 places en centre provisoires pour les réfugiés les plus vulnérables, soit près de 11.000 places supplémentaires.

L’effort est notable mais semble insuffisant au regard de l’engagement pris, le 7 septembre dernier, par François Hollande d’accueillir près de 24 000 migrants d’ici 2017. Si une majorité de Français se dit désormais « favorable » à l’accueil des réfugiés, un chiffre a semble-t-il heurté certains internautes : celui des HLM vacants qui pourraient être mis à disposition des demandeurs d’asile.

Dans une tribune publiée samedi, Marie Arlette Carlotti, ex-ministre socialiste déléguée aux Personnes handicapées et à la Lutte contre l’exclusion, propose à l’État de piocher parmi les 77.310 logements sociaux vacants pour loger les réfugiés. En quelques heures, l’information est relayée sur les réseaux sociaux par des politiques visiblement plus soucieux d’attiser la polémique que de vérifier ce chiffre.

Des secteurs désertés 

A quoi correspond ce chiffre et d’où sort-il ? Présidente du Haut comité pour le logement des personnes défavorisées (HCLPF), Marie Arlette Carlotti s’est appuyée sur la publication annuelle du « parc locatif social au 1er janvier 2014 » réalisé par le Commissariat Général au développement durable, soit les chiffres les plus récents en matière de parc social. Sur le fond, l’ex-ministre propose d’utiliser seulement une partie des logements sociaux vacants (et non sa totalité) et d’autre part, il s’agit de logements vacants structurels.

« Ces logements vacants existent principalement dans les petites et moyennes villes, dans lesquelles il n’y a pas de demande de location depuis au moins trois mois », insiste René Dutrey, secrétaire général du HCLPF. Quand aux accusations de mises en concurrence des publics précaires, mal-logés ou SDF contre réfugiés, il s’agit d’un non-sens pour Marie Aleth Grard, vice-présidente d’ATD-Quart Monde : « Il ne s’agit pas d’opposer la guerre à la misère. Cela peut être une formidable opportunité pour développer un élan de solidarité et des possibilités de logements que nous savons possible. »

Selon elle, des solutions différentes doivent être proposées à ces publics : « Proposer à des réfugiés, qui viennent d’arriver en France et qui ont tout à construire, d’aller vivre dans le Jura, c’est plus simple que de proposer à une famille française mal-logée, dont les enfants sont scolarisés à tel endroit, qui travaille à cet endroit, de tout quitter et de déménager. » Une vision que partage René Dutrey : « Quand on est mal logé et qu’on habite à Paris, on a un réseau familial, professionnel et on n’a pas forcément envie d’aller habiter à Châtellerault. C’est le choix de chacun de vouloir habiter là où l’on a des attaches. »

Une version toutefois nuancée par Christophe Robert, délégué général de la fondation Abbé Pierre : « Une des difficultés à prendre en compte, c’est justement ce que sous-entendent ces zones détendues : Si la demande en logement social est faible, c’est probablement parce que l’activité économique est faible ». Pour le sociologue les réponses en termes d’accès à l’hébergement doivent toucher tous les publics : « Il faut que cet élan serve autant les réfugiés que les mal-logés, sans faire de distinction ».

Des ressources difficiles à chiffrer

S’il ne s’agit aujourd’hui que d’une proposition, elle semble crédible. Les ministères de l’Intérieur et du Logement l’avaient déjà esquissée dans leur « plan pour les migrants » le 17 juin dernier. En parallèle de cette polémique, le quotidien Le Monde annonçait ce mercredi qu’Adoma, le premier opérateur de logements à destination des réfugiés, avait réalisé un état des lieux, à la demande des autorités, pour évaluer le nombre de places d’hébergement disponibles.

Le document ciblerait trois sources de places vacantes : le réseau Adoma lui-même (5.000 places), le réseau AFPA (7.500 places), qui se charge de loger ses stagiaires, et le ministère de la Défense (8.000 places). Au total, près de 20.500 places pourraient être mises à disposition de l’Etat pour accueillir les réfugiés.

Au sein de l’Association pour la formation professionnelle des adultes (AFPA), les chiffres diffèrent un peu : « Nous disposons aujourd’hui de 2.000 places disponibles réparties sur tout le territoire. Et nous avons également environ autant de chambres qui nécessitent des travaux de rénovation », détaille Anne Morrier, chargée de la communication de l’association. Pour ne pénaliser aucun stagiaire, ces chambres individuelles ne seront proposées de façon temporaire qu’aux demandeurs d’asile en attente du traitement de leur dossier par l’OFPRA.

Du côté du ministère de la Défense, le chiffre avancé par Le Monde et Adoma n’a pas été confirmé. Si la France dispose visiblement d’un certain nombre de ressources, la réhabilitation d’immeubles (voués initialement à la démolition par exemple) va nécessiter des investissements importants. Dans son discours prononcé hier à l’Assemblée nationale, Manuel Valls s’est engagé à verser 85 millions d’euros pour le dispositif de premier accueil et l’hébergement d’urgence et 114 millions d’euros pour financer les structures qui prendront le relais.

untitled-infographic.jpeg

http://www.20minutes.fr/societe/1688375-20150917-pourquoi-refugies-vont-recuperer-logements-sociaux-plus-precaires

Modifié par samira123
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Invité Aldegonde
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Il y a 1 heure, DroitDeRéponse a dit :

Finalement ce sont des demandeurs d'asile ou pas ?

C'est ainsi qu'ils sont désignés par le Collectif 51 qui les a pris en charge.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/marne/reims/reims-association-collectif-51-soutien-demandeurs-asile-1206039.html

Après, qu'en est-il exactement du point de vue administratif, je n'ai pas réussi à trouver de précisions.

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Migrants: les 4 engagements d'Emmanuel Macron à Orléans

Intransigeance face à l'immigration économique 

Face à un parterre essentiellement composé de personnes nouvellement naturalisées, il a assuré qu'il ne serait ni de ceux qui veulent "accueillir tout le monde", ni de ceux qui ne veulent "accueillir personne". Pour cela, le Président a souligné sa détermination à "protéger et accueillir" les personnes en danger dans leur pays. En revanche, il a réitéré sa fermeté à l'encontre des migrants économiques. "Parmi ceux qui nous appelons affreusement 'migrants', [...] tous ne relèvent pas du droit d'asile", a-t-il indiqué, ajoutant que certains viennent de pays où "ils ne risquent rien". 

Jugeant "inefficaces" les dispositifs existants de retour à la frontière, il affiche l’ambition de rendre "plus efficaces" les expulsions des déboutés du droit d'asile. Pour cela, le Président entend travailler, avec ses partenaires internationaux, dont le Niger, à des politiques de développement.

 La lutte contre les filières 

Toujours pour lutter contre l'immigration économique, le Président a affirmé qu'il fallait être "intraitable" avec les filières de passeurs qui font venir en Europe, dans des conditions très dangereuses, les candidats à l'immigration. Emmanuel Macron appelle ainsi ses voisins à travailler à un meilleur contrôle des frontières. Le chef de l'État a rappelé que la lutte contre les filières ne passerait pas sans la participation des pays européens et de la France à la stabilisation de la Libye. 

Plus personne dans les rues

"D'ici la fin de l'année, je ne veux plus personne dans les rues, dans les bois", a-t-il déclaré. La première bataille sera donc de "loger tout le monde dignement"."Je veux partout des hébergements d'urgence", a-t-il insisté, jugeant "indigne" la prise en charge actuelle des migrants. Dans ces centres, les personnes logées devront pouvoir bénéficier "dès la première minute" d'un traitement administratif adéquat. Pour les personnes éligibles au droit d'asile, l'intégration devra être renforcée, avec notamment le "doublement progressif" des heures d'enseignement du français.

Des procédures d'asile raccourcies et sur le sol africain

Cet accueil devra s'accompagner d'un raccourcissement de la durée des procédures d'asile. Le Président espère réduire à "six mois" le traitement des dossiers d'ici à la fin de l'année. Afin d'éviter que des milliers de personnes continuent à prendre des risques inconsidérés pour rejoindre l'Europe et en particulier la France, Emmanuel Macron s'engage à mettre en place les "voies et moyens" pour traiter les demandes d'asile "sur le sol africain plus tôt, dans de meilleures conditions pour éviter que des familles entières parfois perdent la vie" et ce notamment "en Libye".

"Nous développerons des missions de l'OFPRA (Office français de Protection des Réfugiés et Apatrides, NDLR) qui iront les unes en Italie pour améliorer la coopération avec l'Italie en termes de droit d'asile et les autres sur le sol africain dans des pays sûrs, où nous pourront organiser ces missions", a expliqué le chef de l'État. 

Le président a néanmoins conclu son discours en reconnaissant que, concernant les questions migratoires, les défis sont "nombreux" et que "tout ne se fera pas en un jour". De leur côté, près de 260 associations de défense des droits de l’homme ont déjà annoncé mardi la tenue d’une grande conférence à la fin de l’année pour repenser l’accueil des migrants en France. 

http://www.bfmtv.com/politique/migrants-les-4-engagements-d-emmanuel-macron-a-orleans-1225205.html

Pour l’heure, deux pistes sont à l’étude à l’Elysée : soit la création de camps de transit, hypothèse que porte la maire de Paris, Anne Hidalgo, soit la mobilisation de logements vides sur le territoire, option qui semble avoir pour l’heure la préférence de l’Elysée.
 

http://www.lemonde.fr/immigration-et-diversite/article/2017/07/27/emmanuel-macron-ne-veut-plus-de-migrants-dans-les-rues-d-ici-a-la-fin-de-l-annee_5165755_1654200.html

"L'idée d'établir des centres d'examen (hotspots) en Libye ou dans d'autres pays hors Europe n'est pas nouvelle. Mais elle porte en germe beaucoup de risques pour les droits et la dignité des personnes concernées", a cependant averti Judith Sunderland, de Human Rights Watch (HRW).

En 2016, 85.000 personnes ont déposé des demandes d'asile, et leur nombre devrait augmenter de 15% cette année. Sur ce total, environ 40% l'ont obtenu, soit quelque 36.000 personnes.

Mais pour les déboutés du droit d'asile et les illégaux, Emmanuel Macron veut des reconduites aux frontières systématiques. "Il n'existe pas, le pays qui peut accueillir tous les migrants économiques", a-t-il insisté.

http://www.ladepeche.fr/article/2017/07/27/2619074-migrants-macron-met-barre-tres-haut-regler-crise.html

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 040 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a une heure, Aldegonde a dit :

C'est ainsi qu'ils sont désignés par le Collectif 51 qui les a pris en charge.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/marne/reims/reims-association-collectif-51-soutien-demandeurs-asile-1206039.html

Après, qu'en est-il exactement du point de vue administratif, je n'ai pas réussi à trouver de précisions.

Plusieurs articles en amont précisent qu'ils sont très loin de tous être des demandeurs d'asile , du coup nous avons là des infos contradictoires .

Il y a 1 heure, samira123 a dit :

Pourquoi les réfugiés ne vont pas récupérer les logements sociaux des plus précaires ? 

Une avalanche de chiffres, un déferlement de moyens. Depuis plusieurs semaines, le gouvernement Valls tente de trouver une réponse à la crise migratoire qui touche la France. Les expulsions à répétition et les campements précaires au cœur de la capitale ont mis en lumière un dispositif d’hébergement d’urgence à bout de souffle. Et pour cause, la France comptabilise près de 60 000 demandes d’asile par an contre 25 000 places disponibles en centres d’accueil (CADA).

Les HLM de la discorde 

Pour y remédier, l’Etat a annoncé en juin la création de 1.500 places d’hébergement d’urgence, 4.000 places d’hébergement pour les demandeurs d’asile en attente, 5.000 places destinées à favoriser l’accès au logement autonome des réfugiés qui ont obtenu la protection de la France et 500 places en centre provisoires pour les réfugiés les plus vulnérables, soit près de 11.000 places supplémentaires.

L’effort est notable mais semble insuffisant au regard de l’engagement pris, le 7 septembre dernier, par François Hollande d’accueillir près de 24 000 migrants d’ici 2017. Si une majorité de Français se dit désormais « favorable » à l’accueil des réfugiés, un chiffre a semble-t-il heurté certains internautes : celui des HLM vacants qui pourraient être mis à disposition des demandeurs d’asile.

Dans une tribune publiée samedi, Marie Arlette Carlotti, ex-ministre socialiste déléguée aux Personnes handicapées et à la Lutte contre l’exclusion, propose à l’État de piocher parmi les 77.310 logements sociaux vacants pour loger les réfugiés. En quelques heures, l’information est relayée sur les réseaux sociaux par des politiques visiblement plus soucieux d’attiser la polémique que de vérifier ce chiffre.

Des secteurs désertés 

A quoi correspond ce chiffre et d’où sort-il ? Présidente du Haut comité pour le logement des personnes défavorisées (HCLPF), Marie Arlette Carlotti s’est appuyée sur la publication annuelle du « parc locatif social au 1er janvier 2014 » réalisé par le Commissariat Général au développement durable, soit les chiffres les plus récents en matière de parc social. Sur le fond, l’ex-ministre propose d’utiliser seulement une partie des logements sociaux vacants (et non sa totalité) et d’autre part, il s’agit de logements vacants structurels.

« Ces logements vacants existent principalement dans les petites et moyennes villes, dans lesquelles il n’y a pas de demande de location depuis au moins trois mois », insiste René Dutrey, secrétaire général du HCLPF. Quand aux accusations de mises en concurrence des publics précaires, mal-logés ou SDF contre réfugiés, il s’agit d’un non-sens pour Marie Aleth Grard, vice-présidente d’ATD-Quart Monde : « Il ne s’agit pas d’opposer la guerre à la misère. Cela peut être une formidable opportunité pour développer un élan de solidarité et des possibilités de logements que nous savons possible. »

Selon elle, des solutions différentes doivent être proposées à ces publics : « Proposer à des réfugiés, qui viennent d’arriver en France et qui ont tout à construire, d’aller vivre dans le Jura, c’est plus simple que de proposer à une famille française mal-logée, dont les enfants sont scolarisés à tel endroit, qui travaille à cet endroit, de tout quitter et de déménager. » Une vision que partage René Dutrey : « Quand on est mal logé et qu’on habite à Paris, on a un réseau familial, professionnel et on n’a pas forcément envie d’aller habiter à Châtellerault. C’est le choix de chacun de vouloir habiter là où l’on a des attaches. »

Une version toutefois nuancée par Christophe Robert, délégué général de la fondation Abbé Pierre : « Une des difficultés à prendre en compte, c’est justement ce que sous-entendent ces zones détendues : Si la demande en logement social est faible, c’est probablement parce que l’activité économique est faible ». Pour le sociologue les réponses en termes d’accès à l’hébergement doivent toucher tous les publics : « Il faut que cet élan serve autant les réfugiés que les mal-logés, sans faire de distinction ».

Des ressources difficiles à chiffrer

S’il ne s’agit aujourd’hui que d’une proposition, elle semble crédible. Les ministères de l’Intérieur et du Logement l’avaient déjà esquissée dans leur « plan pour les migrants » le 17 juin dernier. En parallèle de cette polémique, le quotidien Le Monde annonçait ce mercredi qu’Adoma, le premier opérateur de logements à destination des réfugiés, avait réalisé un état des lieux, à la demande des autorités, pour évaluer le nombre de places d’hébergement disponibles.

Le document ciblerait trois sources de places vacantes : le réseau Adoma lui-même (5.000 places), le réseau AFPA (7.500 places), qui se charge de loger ses stagiaires, et le ministère de la Défense (8.000 places). Au total, près de 20.500 places pourraient être mises à disposition de l’Etat pour accueillir les réfugiés.

Au sein de l’Association pour la formation professionnelle des adultes (AFPA), les chiffres diffèrent un peu : « Nous disposons aujourd’hui de 2.000 places disponibles réparties sur tout le territoire. Et nous avons également environ autant de chambres qui nécessitent des travaux de rénovation », détaille Anne Morrier, chargée de la communication de l’association. Pour ne pénaliser aucun stagiaire, ces chambres individuelles ne seront proposées de façon temporaire qu’aux demandeurs d’asile en attente du traitement de leur dossier par l’OFPRA.

Du côté du ministère de la Défense, le chiffre avancé par Le Monde et Adoma n’a pas été confirmé. Si la France dispose visiblement d’un certain nombre de ressources, la réhabilitation d’immeubles (voués initialement à la démolition par exemple) va nécessiter des investissements importants. Dans son discours prononcé hier à l’Assemblée nationale, Manuel Valls s’est engagé à verser 85 millions d’euros pour le dispositif de premier accueil et l’hébergement d’urgence et 114 millions d’euros pour financer les structures qui prendront le relais.

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http://www.20minutes.fr/societe/1688375-20150917-pourquoi-refugies-vont-recuperer-logements-sociaux-plus-precaires

https://www.interieur.gouv.fr/Archives/Archives-sous-sites/Accueil-des-demandeurs-d-asile/Livret-d-information-des-maires/Le-logement-des-refugies

 

Le logement des réfugiés

12 septembre 2015

Votre commune est disposée à offrir des solutions d’hébergement et de logement.


Cette page a pour objet de vous présenter l’ensemble des dispositifs proposés par l’État qui permettent de faciliter la mise en œuvre de cet accueil. Votre préfet de département  est mobilisé pour vous renseigner et vous accompagner.

Plusieurs solutions sont possibles pour orienter des réfugiés vers un logement classique :

  1. L’accès direct à un logement social, avec un accompagnement social ;
  2. L’hébergement dans un logement social, via un opérateur qui assure le portage du bail et l’accompagnement ;
  3. L’utilisation d’un logement du secteur privé en intermédiation locative, via un opérateur social ;
  4. L’hébergement et le logement dans des résidences sociales ;
  5. L’hébergement d’urgence.

1. L’accès direct dans un logement social avec un accompagnement social

En cas de vacance de logements sociaux, les réfugiés peuvent, en fonction de leurs ressources, accéder directement à un logement social. Des mesures d’accompagnement sont mises en place par l’Etat, les collectivités locales pouvant renforcer cette action avec leur propres dispositifs. Les ménages bénéficieront de l’aide personnalisée au logement.

2. L’hébergement dans le logement social

Si vous disposez de logements sociaux vacants, le code de la construction et de l’habitation prévoit la possibilité pour les organismes HLM de louer des logements, meublés ou non, en vue de fournir des places d’hébergement à toute personne ou famille éprouvant des difficultés particulières et dont les ressources financières sont faibles.

Les personnes peuvent être accueillies sans restriction de durée et rapidement avec le soutien d’une association prenant à bail le logement. Ce dispositif représente à ce titre une solution d’hébergement adéquate des réfugiés. 

Dans le cas où les logements proposés sont de grandes surfaces, il est possible d’organiser la cohabitation de plusieurs ménages ou personnes isolées.

Lorsque le logement est loué vide, de nombreuses associations mobilisent des partenariats avec des organisations caritatives pour procéder à un ameublement minimal (lits, tables, chaises, équipements divers).
S’agissant de places d’hébergement, les personnes accueillies n’ont pas droit aux aides au logement, mais l’association locataire du logement bénéficiera d’une allocation de logement temporaire équivalente à l’APL.

En pratique, des conventions de location sont conclues entre les associations prenant à bail le ou les logements, et le bailleur social, afin de définir les modalités et conditions de la location. Ces conventions doivent à minima définir le loyer, la durée de location et les surfaces mobilisées.

3. L’intermédiation locative (par exemple, le dispositif SOLIBAIL) et les différentes aides pour les particuliers (propriétaires bailleurs)

Ce dispositif peut permettre de concrétiser des initiatives individuelles de propriétaires souhaitant mettre leur bien à disposition des réfugiés sous le régime de la location.

En pratique, la gestion du logement est confiée à un organisme agréé qui loue l’appartement en son nom, pour y installer ensuite une ou plusieurs personnes. Chaque propriétaire privé qui acceptera de louer son bien à un tarif social à une association qui y logera des réfugiés, bénéficiera, en plus des avantages fiscaux offerts par les dispositifs de l’Agence nationale de l’habitat (ANAH), d’une prime de 1000€. Le système leur garantit le versement des loyers et une remise en état à l’expiration du bail.

La durée de présence dans l’appartement ne peut excéder 18 mois.

4. Les résidences sociales

Ce sont des résidences adaptées pour toute personne en situation d’exclusion, notamment les jeunes. Il s’agit d’hébergements collectifs ou en appartements éclatés regroupant des chambres ou des logements autour d’espaces collectifs. Ces structures sont essentiellement gérées par le réseau associatif.

Comme pour les autres types de résidences sociales, les personnes logées s’acquittent d’une redevance, et l’État finance l’accompagnement social assuré par le gestionnaire de la résidence.

5. Les centres provisoires d’hébergement

Il existe actuellement 1 136 places en centres provisoires d’hébergement (CPH) réparties dans 14 régions métropolitaines.

Il s’agit de centres d’hébergement et de réinsertion sociale dont les missions sont d’aider les bénéficiaires d’une protection (réfugiés ou bénéficiaires de la protection subsidiaire) à ouvrir leurs droits au revenu de solidarité active (RSA) et de les accompagner socialement, notamment vers l’emploi ou la formation, ainsi que vers le logement.

Des appels à projets ont été lancés par les préfets de département à partir d’août 2015 en vue de la création d’ici la fin d’année 2015 de 500 places en CPH dans le cadre du plan « répondre au défi des migrations : respecter les droits – faire respecter le droit » présenté le 17 juin 2015 par les ministres de l’Intérieur et du Logement.

Dans le cadre des appels à projets départementaux, il appartient aux opérateurs d’hébergement de déposer un projet d’ouverture de places de CPH. Le préfet autorise l’ouverture des places après instruction et décision favorable.

Pour toute éventuelle question sur les appels à projets départementaux visant à l’ouverture de places CPH, vous devez vous adressez au préfet de votre département.

6. Un accompagnement social spécifique pour chaque réfugié relogé

Chaque réfugié relogé bénéficiera d’un accompagnement social renforcé pour faciliter son intégration. L’objectif est de permettre à chacune des personnes prises en charge un retour rapide dans le droit commun.

L’organisme en charge de cet accompagnement organisera, en lien avec l’ensemble des partenaires et notamment les élus concernés :

  • la bonne installation dans le logement ;
  • l’établissement de l’ensemble des droits qui ne seraient pas encore ouverts ;
  • l’apprentissage de la langue française en complément de l’action menée par l’OFII ;
  • l'aide à l’inscription scolaire le cas échéant ;
  • et favorisera l’accès à l’emploi.

Cet accompagnement social global fera l'objet d'un suivi attentif sous la responsabilité des préfets qui feront un point régulier avec l'ensemble des acteurs et notamment les maires concernés.

Logement des réfugiés : comment faire connaître vos propositions ?

Il vous appartient de prendre connaissance des propositions existantes et de les transmettre au préfet de votre département pour assurer la bonne marche du dispositif.

Comment gérer les propositions des particuliers ?

Il est probable que vous ayez déjà été contacté par des particuliers qui souhaitent exprimer leur solidarité en mettant à disposition des logements, des chambres, ou des équipements. Ces engagements témoignent de la mobilisation de nos concitoyens et il importe autant d’y répondre que de les encadrer.

En effet, le relogement des réfugiés ayant obtenu leur statut s’inscrit dans la durée, sauf situation d’urgence. Toutes les garanties en termes de sécurité et de salubrité doivent être assurées. Il faut donc diriger les personnes volontaires vers des structures (associations assurant le portage de baux, agences immobilières à vocation sociale, etc.) qui seront à même d’évaluer les conditions de l’installation de réfugiés et d’assurer le portage de ce logement. Compte tenu de la durée d’installation et des nécessités de prise en charge des réfugiés, l’hébergement chez un particulier doit s’envisager avec prudence.

L’ensemble des dons matériels (équipements et autres) sont également à diriger vers des structures associatives ou autres qui pourront organiser leur mise à disposition aux réfugiés installés dans votre commune ou à proximité. Vos CCAS et vos CIAS peuvent bien évidemment, si vous le souhaitez, jouer un rôle central pour l’ensemble de ces questions.

En cas d’interrogation ou de difficultés, rapprochez-vous de votre préfecture.

 

 

 

=================================================================

Voilà voilà. Et comme le répète les assoces les zones désertées c'est juste le temps de la demande .... Car l'intégration par le travail nécessite du logement social sur les métropoles

 

Modifié par DroitDeRéponse
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Invité Aldegonde
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il y a 3 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Plusieurs articles en amont précisent qu'ils sont très loin de tous être des demandeurs d'asile , du coup nous avons là des infos contradictoires .

Pour avoir lus différents articles de presse, publications autres, etc. moi j'ai compris que 15 d'entre eux étaient demandeurs d'asile de manière certaine (ils évoquaient déjà ce chiffre quand les personnes étaient "hébergées" dans le parc). S'agit-il des 15 mêmes - tout ou en partie - , qu'en est-il pour les autres, je n'en sais fichtrement rien.

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Invité s
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Concernant les migrants, c’est à la base qu’il faut intervenir, comme par exemple, le projet de Macron, expulser ceux qui n’ont pas le droit à l’asile, les illégaux…

Dans la mesure où l’on accepte de garder certains migrants et que leur situation se régularise, ils ont autant de droit que les autres d’avoir un logement, ils n’ont pas à vivre indéfiniment dans des centres d’hébergements qui ne sont que temporaires ni à vivre dans la rue. Pour le logement social, les prioritaires sont  les personnes mal logées, défavorisées ou rencontrant des difficultés particulières de logement, par exemple les personnes reconnues prioritaires au titre du droit au logement opposable (DALO), les personnes victimes de violences conjugales, les personnes handicapées, hébergées ou logées temporairement, les personnes vivant dans des logements insalubres ou menacées d’expulsion. Il n’y a pas à se dire qu’une personne  qui a un logement  et qui cherche un autre logement doit être prioritaire parce qu'il est citoyen et passé avant celui qui se retrouve à la rue, cela serait de la discrimination.

Par contre, on peut toujours faire en sorte que personne ne soit lésé par exemple, pour des migrants dont cela ne fait pas longtemps qu’ils sont là, dans la mesure où ils n’ont pas de lieu fixe, c’est possible de pouvoir les loger dans d’autres villes où il y a des logements accessibles, loger les personnes dans les lieux où depuis trois mois, il n’y a pas de demandes…Et c’est bien le travail que fait la plupart de ces organismes, essayer de pouvoir  trouver des logements qui correspondent à la demande alors je ne remets pas en cause qu’il peut y avoir des exceptions à tous niveaux mais dans l’ensemble les organismes font le nécessaire pour trouver des logements à tous dans la mesure du possible.    

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Invité Aldegonde
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il y a 9 minutes, samira123 a dit :

Concernant les migrants, c’est à la base qu’il faut intervenir, comme par exemple, le projet de Macron, expulser ceux qui n’ont pas le droit à l’asile, les illégaux…

Oui mais bon, ça fait quand même longtemps qu'on nous dit "yaka fokon" et voilà....

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Invité s
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Invité s Invités 0 message
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à l’instant, Aldegonde a dit :

Oui mais bon, ça fait quand même longtemps qu'on nous dit "yaka fokon" et voilà....

Oui mais là, c'est autre chose, si les projets des gouvernements ne sont que des paroles en l'air...sinon concernant Macron, je ne sais pas si c'est le cas vu que  c'est un peu tôt pour savoir ce qu'il en sera. 

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Invité Aldegonde
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à l’instant, samira123 a dit :

Oui mais là, c'est autre chose, si les projets des gouvernements ne sont que des paroles en l'air...sinon concernant Macron, je ne sais pas si c'est le cas vu que  c'est un peu tôt pour savoir ce qu'il en sera. 

Nous sommes bien d'accord.

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itsmeagain Membre 3 509 messages
Baby Forumeur‚
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Le ‎20‎/‎09‎/‎2017 à 09:48, samira123 a dit :

Entre ressentir une injustice et dire que c'est une injustice, c'est très différent, bien sûr que certains vont y ressentir une injustice mais ça ne démontre pas que c'est une injustice. 

vous avez raison : qu on laisse les FRANCAIS vivrent dans des taudis et qu on loge les migrants dans des logements neufs , c est pas une injustice !!!

surtout avec l argument bien mensonger qu il N Y A PAS DE LOGEMENT !!!

Le ‎21‎/‎09‎/‎2017 à 13:08, Aldegonde a dit :

Oui mais bon, ça fait quand même longtemps qu'on nous dit "yaka fokon" et voilà....

oui, mais bon : y a des lois donc els appliquer serait bien quand meme !! donc "yaka fokon" respecter les lois !!!

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itsmeagain Membre 3 509 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Le ‎21‎/‎09‎/‎2017 à 12:57, samira123 a dit :

Concernant les migrants, c’est à la base qu’il faut intervenir, comme par exemple, le projet de Macron, expulser ceux qui n’ont pas le droit à l’asile, les illégaux…

Dans la mesure où l’on accepte de garder certains migrants et que leur situation se régularise, ils ont autant de droit que les autres d’avoir un logement, ils n’ont pas à vivre indéfiniment dans des centres d’hébergements qui ne sont que temporaires ni à vivre dans la rue. Pour le logement social, les prioritaires sont  les personnes mal logées, défavorisées ou rencontrant des difficultés particulières de logement, par exemple les personnes reconnues prioritaires au titre du droit au logement opposable (DALO), les personnes victimes de violences conjugales, les personnes handicapées, hébergées ou logées temporairement, les personnes vivant dans des logements insalubres ou menacées d’expulsion. Il n’y a pas à se dire qu’une personne  qui a un logement  et qui cherche un autre logement doit être prioritaire parce qu'il est citoyen et passé avant celui qui se retrouve à la rue, cela serait de la discrimination.

Par contre, on peut toujours faire en sorte que personne ne soit lésé par exemple, pour des migrants dont cela ne fait pas longtemps qu’ils sont là, dans la mesure où ils n’ont pas de lieu fixe, c’est possible de pouvoir les loger dans d’autres villes où il y a des logements accessibles, loger les personnes dans les lieux où depuis trois mois, il n’y a pas de demandes…Et c’est bien le travail que fait la plupart de ces organismes, essayer de pouvoir  trouver des logements qui correspondent à la demande alors je ne remets pas en cause qu’il peut y avoir des exceptions à tous niveaux mais dans l’ensemble les organismes font le nécessaire pour trouver des logements à tous dans la mesure du possible.    

""Et c’est bien le travail que fait la plupart de ces organismes, essayer de pouvoir  trouver des logements qui correspondent à la demande alors je ne remets pas en cause qu’il peut y avoir des exceptions à tous niveaux mais dans l’ensemble les organismes font le nécessaire pour trouver des logements à tous dans la mesure du possible. ""

 

vous revez ???

ils sont obligés de trouver des apparts aux migrants parce qu on leur en donne l ordre ! d ailleurs bientôt ils foutront les Français dehors pour loger les autres !!!

ils ont deja repere les vieux qui vivent seuls dans un 3 pièces !!!

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