Qu'est-ce qui vous satisfait dans la vie ?

il y a une heure, pep-psy a dit :

C'est l'overdose...

KILEKON !

C'est clair que les alcooliques ne diront pas le contraire, avec le pinard on voit tellement flou qu'on n'est plus emmerdé par ce qui nous dérangeait avant de commencer à boire !

Disons que ça va dans les deux sens... Si tu sais qu'il y a de la merde partout, mais que tu ne te forces qu'à voir le petit bout de positif qui reste, c'est aussi se forcer à regarder ailleurs...

Je préfère sauter un noël pour que les pauvres n'aient pas froid, que de ne pas regarder les pauvres avec comme volonté de passer un bon noël !

Tu comprends ?

On a l'impression d'être sur une plaque de glace de bonheur qui fond toujours un peu plus...

Pourquoi ?

Parce que justement, nous adaptons notre regard plutôt que de regarder la totalité !

Tout ne va pas bien et il serait temps de s'en occuper...

Pourquoi se forcer à regarder ailleurs ?

Je suis concient de la chance que j'ai tout en étant réaliste sur le monde.

Je sais pas où je suis passé avant d'en être où je suis.

J'ai vu ce qu'était la misère ici et ailleurs.

Alors oui je profite des petits trésors de la vie sans attendre de gagner au loto ni me morfondre en culpabilité d'avoir sourit en ramassant mes mûres, parce que ça ne sert à rien, ni pour soi, ni pour les autres.

En fin de matinée, nous sommes allés vider nos deux sacs de recyclage aux containers qui se trouvent à 800 mètres.

On aurait pu prendre la voiture, on aurait pu se plaindre et critiquer le système, ... nous on a fait une ballade en faisant un grand détour, en discutant avec les gens que l'on a croisé, en goutant encore quelques mûres parce que celles d'hier ne nous ont pas suffit visiblement. Puis nous sommes rentrés, après une heure et demi de ballade à pieds, tranquillement pour se mettre à table dans notre jardin.

Ouaip, c'était une ballade très satisfaisante.

Les détails, les synchronicités, les coïncidences, l'ironie du sort, les sensations, les sentiments, les prises de conscience, les intuitions, la précision... *liste non exhaustive*

Si je devais en choisir un seul, je crois que c'est ce moment de plénitude quand on a réussi à se sortir d'une situation difficile voire dangereuse. On a l'impression d'être à la fois vide par la fatigue physique et/ou émotionnelle qu'on a enduré, et à la fois totalement rempli de soulagement et d'un certain sentiment de puissance, sans pensée polluante. 

Ça et fumer une clope sur mon balcon toute seule au milieu de la nuit, réveillée par un énorme orage, avec les trombes de pluie juste à portée de main. Ça me met sensiblement dans le même état de jubilation que la descente d’adrénaline.  

salut

je me contente de très peu pour être satisfaite,

un rayon de soleil, un bisou de mon tendre, un bon petit plat, un petit coucou des potes, un weekend  détente, un nouveau fring, une bonne musique... bref la liste est longue, mais déjà au départ je suis d'un naturel joyeux, y'a tellement de  contrariété dans la vie qu'il faut saisir au vol les petits bonheurs de la vie aussi futile soit il et profiter de ces instants.

Il y a 2 heures, pep-psy a dit :

C'est l'overdose...

KILEKON !

C'est clair que les alcooliques ne diront pas le contraire, avec le pinard on voit tellement flou qu'on n'est plus emmerdé par ce qui nous dérangeait avant de commencer à boire !

 

On t'a jamais appris à boire sans te péter la gueule, le modération c'est comme le forum , ça s'apprend. 

On peut apprécier une bonne bouteille sans pour ça devenir alcolo, enfin faut se surveiller quand même avec l'âge

Il y a 3 heures, Nephalion a dit :

Pourquoi se forcer à regarder ailleurs ?

Je suis concient de la chance que j'ai tout en étant réaliste sur le monde.

Je sais pas où je suis passé avant d'en être où je suis.

J'ai vu ce qu'était la misère ici et ailleurs.

Alors oui je profite des petits trésors de la vie sans attendre de gagner au loto ni me morfondre en culpabilité d'avoir sourit en ramassant mes mûres, parce que ça ne sert à rien, ni pour soi, ni pour les autres.

 

En fin de matinée, nous sommes allés vider nos deux sacs de recyclage aux containers qui se trouvent à 800 mètres.

On aurait pu prendre la voiture, on aurait pu se plaindre et critiquer le système, ... nous on a fait une ballade en faisant un grand détour, en discutant avec les gens que l'on a croisé, en goutant encore quelques mûres parce que celles d'hier ne nous ont pas suffit visiblement. Puis nous sommes rentrés, après une heure et demi de ballade à pieds, tranquillement pour se mettre à table dans notre jardin.

Ouaip, c'était une ballade très satisfaisante.

Tu as un bon état d'esprit et si ces petites choses t'apportent réellement du bonheur, c'est tout ce qui compte !

Mais je trouve que de nos jours, les gens sont tellement centrés sur eux-mêmes, justement pour ne pas être gêné dans leur propre bonheur !

Il y a 2 heures, CLIC a dit :

salut

 

je me contente de très peu pour être satisfaite,

un rayon de soleil, un bisou de mon tendre, un bon petit plat, un petit coucou des potes, un weekend  détente, un nouveau fring, une bonne musique... bref la liste est longue, mais déjà au départ je suis d'un naturel joyeux, y'a tellement de  contrariété dans la vie qu'il faut saisir au vol les petits bonheurs de la vie aussi futile soit il et profiter de ces instants.

Tu as tout dit...

Pourquoi dès que les autres vivent des trucs autre, ce serait futile ?

Pleins de choses me satisfait à vrai dire

Les moments de calme le soir dans mon lit à lire ou à regarder des vidéos, le shopping, les moments en famille ou entre amis, les bons petits plats, le chant, les études etc

Quand on a vécu des choses très difficiles on est obligé de s'accrocher à des moments qui nous font ressentir un peu de bonheur,et là on se sent léger !

Il y a 9 heures, Lily.A a dit :

Pleins de choses me satisfait à vrai dire

Les moments de calme le soir dans mon lit à lire ou à regarder des vidéos, le shopping, les moments en famille ou entre amis, les bons petits plats, le chant, les études etc

Quand on a vécu des choses très difficiles on est obligé de s'accrocher à des moments qui nous font ressentir un peu de bonheur,et là on se sent léger !

C'est ce que j'allais dire en lisant ta première ligne...

Beaucoup de gens apprécient certains moment qui sont en opposition totale avec les choses qu'ils ont à subir !

Tu souffres, c'est dur, la vie pèse, etc... Tu retrouves ton chien et tu vas dire que ton chien est ton bon moment de la journée !

Donc ainsi, on donne de grandes valeurs à de toutes petites choses à cause du poids de la vie

Satisfait de me situation actuelle, matériellement je ne manque de rien et j'arrive sans peine a subvenir à mes besoins.

J'aurais bien sûr aimé pouvoir en dire autant de ma vie personnelle...

Il y a tant de choses que j'aurais aimé vivre, aimé connaître, désormais hors de portés.

Je devrais m'estimer heureux d'avoir un toit sous lequel dormir et de quoi manger, heureux d'avoir une excellente santé.

...mais alors dites-moi pourquoi aurais-je préféré finir clochard, malade mais avoir vécu ce dont il m'a été privé ?

À croire qu'on court sans cesse après ce dont ou ne possède pas.

il y a 32 minutes, CM07591 a dit :

Il y a tant de choses que j'aurais aimé vivre, aimé connaître, désormais hors de portés.

Du genre ?

il y a une heure, Hyaden a dit :

Du genre ?

 

J'aurais aimé profiter d'avantage de ma jeunesse.

À l'école je n'étais jamais invité aux anniversaires et j'ai eu très peu d'amis, amitié que j'ai d'ailleurs été incapable de conserver.

J'aurais aimé avoir un groupe d'amis avec lequels m'amuser, sortir et rire mais aussi faire du camping et à peu près ce qu'on vécus la plupart des ados.

Cette solitude ainsi que ma vie jusqu'à présent m'ont rendu inapte à rendre cela possible aujourd'hui.

Je suis un p'tain d'handicapé sociale...

Je fais pourtant des efforts, j'essaie d'aller au contact des autres et d'être gentil avec eux, serviable et attentif mais je me plante toujours inlassablement.

Je ne crois pas trop en la destinée, quelques part ça m'arrangerait bien si ma vie était déjà toute tracée parce que je culpabiliserais moins quand à mon incompétence relationnelle.

Je me sens tellement minable, toutes ces choses de la vie si simples et courantes qui pour moi me paraissent être d'une difficulté infranchissable.

il y a 34 minutes, CM07591 a dit :

J'aurais aimé profiter d'avantage de ma jeunesse.

À l'école je n'étais jamais invité aux anniversaires et j'ai eu très peu d'amis, amitié que j'ai d'ailleurs été incapable de conserver.

J'aurais avoir un groupe d'amis avec lequel m'amuser, sortir et rire mais aussi faire du camping et à peu près ce qu'on vivre la plupart des ados.

Cette solitude ainsi que ma vie jusqu'à présent m'ont rendu inapte à rendre cela possible aujourd'hui.

Je suis un p'tain d'handicapé sociale...

Je fais pourtant des efforts, j'essaie d'aller au contact des autres et d'être gentil avec eux, serviable et attentif mais je me plante toujours inlassablement.

Je ne crois pas trop en la destiné, mais quelques part ça m'arrangerait bien si ma vie était déjà toute tracée parce que je culpabiliserais moins quand à mon incompétence relationnelle.

Je me sens tellement minable, des choses de la vie si simple et si courante qui pour moi me paraissent être d'une difficulté infranchissable.

Tu ne peux pas modifier le passé, alors pourquoi y rester bloqué ? Puis, ces activités adolescentes décrites, tu peux les vivre à ton âge. Et tu as aussi la possibilité de découvrir plein d'autres choses encore. On peut toujours commencer/recommencer, même quand on s'est esquintés ou qu'on nous a esquintés.

La solitude relationnelle empêche sûrement de vivre certains instants agréables, mais elle préserve également (enfin, souvent). Et je pense qu'on peut en sortir, seul ou en se faisant aider (en suivant par exemple des conseils objectifs et bienveillants), si on le désire vraiment : il "suffit" peut-être d'ouvrir les yeux, devenir conscient, saisir les opportunités et accepter la nouveauté/l'inconnu, accepter de tout bouleverser si besoin, y compris si cela entraîne des douleurs, perturbations et déstabilisations momentanées.

Parce qu'elles sont mal influencées, ignorantes ou craintives d'échouer, des personnes mal dans leur peau que je connais se bloquent et s'isolent au point de se faire souffrir et de faire souffrir ceux qui les aiment et sont présents à leurs côtés. Du coup, ça n'évolue pas positivement. Voire ça régresse car ça fait nawak. Et finalement ça cause des dégâts majeurs partout.

Mais bon, comme suggéré paragraphe 2, il faut p'être aussi posséder une force de tempérament pour se tirer vers le haut (ou accepter qu'on nous tire vers le haut). Du moins, c'est ainsi que je le conçois. Probablement parce que j'ai une certaine faculté de régénération, même lorsqu'on me met à terre sans que je ne l'aie cherché/provoqué. Quoi qu'il en soit, si tu choisis de gâcher ton existence en t'enfermant dans un schéma malheureux, nul ne pourra te contraindre à avancer.

Quant à "minable", je comprends le sens de l'utilisation de ce qualificatif, mais pense qu'il devrait être réservé aux individus ayant réellement des attitudes lamentables, pitoyables, détestables.

Il y a 1 heure, Hyaden a dit :

Quant à "minable", je comprends le sens de l'utilisation de ce qualificatif, mais pense qu'il devrait être réservé aux individus ayant réellement des attitudes lamentables, pitoyables, détestables.

J'ai passé ma vie à décevoir les gens et à les faire souffrir par mon comportement ou mes choix, qu'ils soient égoïstes ou dictés par mes faiblesses physiques ou psychologiques.

Un gars qui s'apprête à mettre un terme à sa relation avec sa petite amie alors qu'il lui avait promis de ne jamais l'abandonner et de ne jamais la faire souffrir et indéniablement une personne lamentable, pitoyable et détestable.

Toute ma vie j'ai espérer connaître un jour l'amour et voilà maintenant un peu plus de cinq mois qu'il m'est donné la possibilité de vivre une relation, pourtant aujourd'hui je me retrouve confronter à d'autres soucis, je parviens pas à croire aux sentiments de celle que j'aime et je ne trouve même pas la force pour essayer de résoudre ce problème avec elle.

J'ai tellement envie d'en finir, j'y pense sans cesse mais dernièrement la santé de mère s'est grandement détériorée et il m'est impensable de partir maintenant et de lui infliger cette peine dans ces conditions, aillant des problèmes cardiaques ma mort pourrait précipiter la sienne et ça c'est inenvisageable.

J'en viens presque à souhaiter qu'elle parte au plus vite pour me libéré de cette contrainte d'avoir à rester dans un monde où je n'ai plus rien à y faire.

Alors oui, ce qualificatif de minable me va à ravir, je suis même un déchet pour la société parce que dans notre monde seul les plus forts survivent et de toute évidence je suis profondément faible.

J'enrage d'entendre ces noirs et ces arabes appeler les blancs : "ces babtous fragiles" mais dans le fond ma médiocrité convient à merveille à cette expression.

J'ai honte, pourtant je pourrais essayer de m'en sortir d'autant que matériellement j'ai déjà toutes les cartes en mains, il faut juste croire que je n'ai plus assez de force pour continuer à garder la tête hors de l'eau.

C'est le problème avec les regrets, les souvenirs qui pèsent dans nos têtes...

Pas évident de les oublier et de se consacrer au présent et faire des projets futurs !

Il y a 9 heures, pep-psy a dit :

C'est ce que j'allais dire en lisant ta première ligne...

Beaucoup de gens apprécient certains moment qui sont en opposition totale avec les choses qu'ils ont à subir !

Tu souffres, c'est dur, la vie pèse, etc... Tu retrouves ton chien et tu vas dire que ton chien est ton bon moment de la journée !

Donc ainsi, on donne de grandes valeurs à de toutes petites choses à cause du poids de la vie

Oui c'est exactement ça !
D'ailleurs, mes animaux aussi me font beaucoup de bien. Heureusement qu'ils sont là mes bébés

Il y a 3 heures, CM07591 a dit :

J'ai passé ma vie à décevoir les gens et à les faire souffrir par mon comportement ou mes choix, qu'ils soient égoïstes ou dictés par mes faiblesses physiques ou psychologiques.

Un gars qui s'apprête à mettre un terme à sa relation avec sa petite amie alors qu'il lui avait promis de ne jamais l'abandonner et de ne jamais la faire souffrir et indéniablement une personne lamentable, pitoyable et détestable.

Toute ma vie j'ai espérer connaître un jour l'amour et voilà maintenant un peu plus de cinq mois qu'il m'est donné la possibilité de vivre une relation, pourtant aujourd'hui je me retrouve confronter à d'autres soucis, je parviens pas à croire aux sentiments de celle que j'aime et je ne trouve même pas la force pour essayer de résoudre ce problème avec elle.

J'ai tellement envie d'en finir, j'y pense sans cesse mais dernièrement la santé de mère s'est grandement détériorée et il m'est impensable de partir maintenant et de lui infliger cette peine dans ces conditions, aillant des problèmes cardiaques ma mort pourrait précipiter la sienne et ça c'est inenvisageable.

J'en viens presque à souhaiter qu'elle parte au plus vite pour me libéré de cette contrainte d'avoir à rester dans un monde où je n'ai plus rien à y faire.

Alors oui, ce qualificatif de minable me va à ravir, je suis même un déchet pour la société parce que dans notre monde seul les plus forts survivent et de toute évidence je suis profondément faible.

J'enrage d'entendre ces noirs et ces arabes appeler les blancs : "ces babtous fragiles" mais dans le fond ma médiocrité convient à merveille à cette expression.

J'ai honte, pourtant je pourrais essayer de m'en sortir d'autant que matériellement j'ai déjà toutes les cartes en mains, il faut juste croire que je n'ai plus assez de force pour continuer à garder la tête hors de l'eau.

D'accord. Donc là, il m'est très difficile de réagir objectivement car, bien que les paramètres soient probablement différents, je pâtis actuellement du comportement éprouvant de quelqu'un ayant, je pense, pas mal de points communs avec toi.

Hm, cette coïncidence est parfaitement déstabilisante.

Que répondre ? Peut-être que tu as besoin de faire une pause et de te faire aider par des personnes dont c'est le métier. Non pas que je pense que tu sois aliéné, mais il est évident que ce mal-être profond te plombe, te saborde et risque de te faire passer à côté de ton existence, de chances nouvelles se présentant à toi et de jolies choses que tu n'imagines point. Tout ça parce que tu es englué dans un mauvais système de pensée et de vie. Voilà, te faire aider, ne serait-ce que pour sortir de cette routine néfaste, changer totalement d'air et de perspective(s), reprendre petit à petit des forces neuves et confiance. A moins que tu ne sois vicié jusqu'à la moelle, il y a certainement du bon en toi. Sauf que tu l'as peut-être oublié tant tu es parasité, alourdi et malheureux. Accepte d'évoluer, de te libérer et de prendre le risque d'être heureux en bouleversant tous tes repères actuels si nécessaire (en gérant proprement et non lâchement par contre). Quitte à revenir vers certaines choses ultérieurement, une fois que tu seras réparé. Là, il te sera sûrement plus facile de suivre ta tête et ton cœur sans risque de te duper toi-même (tellement de gens se mentent à eux-mêmes sans le réaliser) par petit confort, habitude, confusion, pétoche ou autre.

Enfin, concernant la honte, personne n'est toujours super fort, super solide, super au top. Tu as le droit d'être faible, de t'écrouler, de pleurer et de l'avouer.

Il y a 8 heures, Hyaden a dit :

D'accord. Donc là, il m'est très difficile de réagir objectivement car, bien que les paramètres soient probablement différents, je pâtis actuellement du comportement éprouvant de quelqu'un ayant, je pense, pas mal de points communs avec toi.

Hm, cette coïncidence est parfaitement déstabilisante.

Que répondre ? Peut-être que tu as besoin de faire une pause et de te faire aider par des personnes dont c'est le métier. Non pas que je pense que tu sois aliéné, mais il est évident que ce mal-être profond te plombe, te saborde et risque de te faire passer à côté de ton existence, de chances nouvelles se présentant à toi et de jolies choses que tu n'imagines point. Tout ça parce que tu es englué dans un mauvais système de pensée et de vie. Voilà, te faire aider, ne serait-ce que pour sortir de cette routine néfaste, changer totalement d'air et de perspective(s), reprendre petit à petit des forces neuves et confiance. A moins que tu ne sois vicié jusqu'à la moelle, il y a certainement du bon en toi. Sauf que tu l'as peut-être oublié tant tu es parasité, alourdi et malheureux. Accepte d'évoluer, de te libérer et de prendre le risque d'être heureux en bouleversant tous tes repères actuels si nécessaire (en gérant proprement et non lâchement par contre). Quitte à revenir vers certaines choses ultérieurement, une fois que tu seras réparé. Là, il te sera sûrement plus facile de suivre ta tête et ton cœur sans risque de te duper toi-même (tellement de gens se mentent à eux-mêmes sans le réaliser) par petit confort, habitude, confusion, pétoche ou autre.

Enfin, concernant la honte, personne n'est toujours super fort, super solide, super au top. Tu as le droit d'être faible, de t'écrouler, de pleurer et de l'avouer.

 

Il y a des gens dont c'est le métier d'aider les gens à atteindre leurs rêves et de vivre enfin comme ils veulent ?

Ah non... Ce sont des gens qui sont là pour t'aider à accepter ta vie de merde pour qu'elle te soit moins difficile à vivre...

LOL

Tu as un choix de mots plutôt lourds... Chaque mot crée une réaction lorsqu'il est assimilé par un cerveau déjà fatigué de ne trouver aucune porte de sortie...

La première chose dans la vie, le premier absolu... C'est le rythme et son contrôle !

Contrôler son rythme et ne pas se le faire imposer.

A partir de là, on peut commencer à imaginer l'étape suivante -> La stabilité !

La stabilité va pouvoir permettre à une multitude de choses de se mettre en place.

Penser, réfléchir, observer, analyser... Se reposer... Avoir une meilleure lecture de la situation, de la vie en général, de ce que l'on est au milieu de tout ça.

Les interactions avec les gens, comment fonctionnent-ils, est-il important d'interagir avec des gens, dans quel but, pour en retirer quoi ?

Trouver des domaines qui suscitent notre intérêt, apprécier (mesurer) ce que cela nous procure et savoir s'en détourner si la satisfaction n'est pas au rendez-vous.

Prendre le temps de s'intéresser à soi, de se parler, de s'écouter, pour arriver à s'entendre et ne plus être en conflit avec soi-même !

Alors par quoi on commence ?

Il y a 1 heure, pep-psy a dit :

Il y a des gens dont c'est le métier d'aider les gens à atteindre leurs rêves et de vivre enfin comme ils veulent ?

Ah non... Ce sont des gens qui sont là pour t'aider à accepter ta vie de merde pour qu'elle te soit moins difficile à vivre...

LOL

Tu as un choix de mots plutôt lourds... Chaque mot crée une réaction lorsqu'il est assimilé par un cerveau déjà fatigué de ne trouver aucune porte de sortie...

La première chose dans la vie, le premier absolu... C'est le rythme et son contrôle !

Contrôler son rythme et ne pas se le faire imposer.

A partir de là, on peut commencer à imaginer l'étape suivante -> La stabilité !

La stabilité va pouvoir permettre à une multitude de choses de se mettre en place.

Penser, réfléchir, observer, analyser... Se reposer... Avoir une meilleure lecture de la situation, de la vie en général, de ce que l'on est au milieu de tout ça.

Les interactions avec les gens, comment fonctionnent-ils, est-il important d'interagir avec des gens, dans quel but, pour en retirer quoi ?

Trouver des domaines qui suscitent notre intérêt, apprécier (mesurer) ce que cela nous procure et savoir s'en détourner si la satisfaction n'est pas au rendez-vous.

Prendre le temps de s'intéresser à soi, de se parler, de s'écouter, pour arriver à s'entendre et ne plus être en conflit avec soi-même !

Alors par quoi on commence ?

Tu biaises mes propos pour attirer l'attention et parvenir à semer ta pseudo science de l'humain, comme tu le fais constamment sur ce forum. La dignité, tu connais ?

J'ai vu ma copine hier soir, si je n'étais vraiment pas bien en début de soirée elle a su m'apaiser et trouver les mots pour me mettre en confiance.

Quelle chance pour moi de connaître une fille si formidable, elle est tout simplement parfaite pour moi.

En fait je suis dois tout simplement être accro à elle et ne pas l'avoir vu ces dernières semaines m'a abattu et fait perdre mes moyens.

Finalement je dois aussi être satisfait d'avoir dans ma vie une personne qui m'accepte tel que je suis avec mes faiblesses et mes blessures.

Aujourd'hui je n'ai qu'une envie c'est de travailler sur moi pour ne pas lui imposer un quelconque poids et pour pouvoir prendre soin d'elle.

C'est fou comme je l'aime...

J'ai vraiment une chance incroyable.

Le 20/08/2017 à 09:23, querida13 a dit :

La tranquillité, en ce moment de vacances, me satisfait énormément.

idem,ne plus voir mes collègues,mon abruti de chef,me lever quand  je veux,manger quand je veux,faire ce que je veux quoi

Il y a 2 heures, Hyaden a dit :

Tu biaises mes propos pour attirer l'attention et parvenir à semer ta pseudo science de l'humain, comme tu le fais constamment sur ce forum. La dignité, tu connais ?

 

Avec ... moins de 40 messages au compteur... Tu viens parler de MA science ?

As-tu au moins compris sur quelle partie je t'ai répondu ?

Il y a 1 heure, CM07591 a dit :

J'ai vu ma copine hier soir, si je n'étais vraiment pas bien en début de soirée elle a su m'apaiser et trouver les mots pour me mettre en confiance.

Quelle chance pour moi de connaître une fille si formidable, elle est tout simplement parfaite pour moi.

En fait je suis dois tout simplement être accro à elle et ne pas l'avoir vu ces dernières semaines m'a abattu et fait perdre mes moyens.

Finalement je dois aussi être satisfait d'avoir dans ma vie une personne qui m'accepte tel que je suis avec mes faiblesses et mes blessures.

Aujourd'hui je n'ai qu'une envie c'est de travailler sur moi pour ne pas lui imposer un quelconque poids et pour pouvoir prendre soin d'elle.

 

C'est fou comme je l'aime...

 

J'ai vraiment une chance incroyable.

C'est surtout joli, mais attention, là on sentirait presque le déséquilibre, si elle en a marre, tu seras à ramasser à la petite cuillère !

Donc il faut aussi, tant que vous êtes ensemble, penser à lui faire des surprises, la surprendre, être attentif à elle, etc...

il y a 50 minutes, cry baby a dit :

idem,ne plus voir mes collègues,mon abruti de chef,me lever quand  je veux,manger quand je veux,faire ce que je veux quoi

Plus dur est le retour...