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Malaisant, un mot malaisé à accepter ?


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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 48 086 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

 

Avec un verbe adéquat on se passe d'employer mettre plus un adjectif à l'origine douteuse,à toutes les sauces ce qui alourdit la phrase, on trouve dans les grammaires des tas d'exercices qui font travailler les méninges et qui poussent à la recherche du terme précis.

Selon toute vraisemblance, il y a un boulot qui n'a pas été approfondi en cours de français ce qui pousse une frange de la population à inventer un mot pour que l'idée passe quand même!

Dans ce cas là, on peut même utiliser des verbes passifs:

Je suis déconcertée par qqn

je suis interloquée

et aussi:

il est déroutant

il est dérangeant (en voilà de beaux adjectifs attributs du sujet ,toi qui y tiens tant!)

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Membre, Posté(e)
tison2feu Membre 3 100 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)

Ce néologisme aura du mal à passer parce qu'il transgresse notre logique de la langue française : nous ne formons pas un participe présent à partir d'un verbe qui n'existe pas en français : *malaiser (= mettre mal à l'aise).

J'ai découvert ce mot il y a seulement quelques jours sur ce forum, employé dans la bouche d'une personne qui ne maîtrise pas du tout le français, ceci expliquant cela !

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 33 minutes, querida13 a dit :

Selon toute vraisemblance, il y a un boulot qui n'a pas été approfondi en cours de français ce qui pousse une frange de la population à inventer un mot pour que l'idée passe quand même!

 

il y a 21 minutes, tison2feu a dit :

employé dans la bouche d'une personne qui ne maîtrise pas du tout le français, ceci expliquant cela !

C'est absolument incroyable ça... le néologisme (qui ne vous a pas attendu pour d'ores et déjà s'imposer ;) ), même s'il est intelligent et bien pensé, est systématiquement frappé par une frange de la population (notamment celle des transmetteurs de norme) d'un jugement dépréciatif sur sa conception et ses utilisateurs.

On peut associer le recours à un nouveau mot avec un manque perçu que le vocabulaire présent échoue à combler (Querida : encore des exemples soit composés soit d'un niveau de langue proche du soutenu !), mais là, c'est tout simplement du bon gros jugement de valeur. Le mot malaisant est apparu en contexte francophone (et même, anglophobe), il a probablement émergé chez des natifs etest utilisé par des personnes dont la langue française est bien la langue française. L'association avec une mauvaise maîtrise du français est dès lors fortement contestable.

Plutôt que de voir le verre à moitié vide, ne vous est-il pas venu à l'idée que ce néologisme est au contraire la preuve d'une maîtrise convenable de la langue ? Après tout, le suffixe choisi est bien un des suffixes adjectivaux possibles en français ;) 

Alors oui, on n'a pas, en français contemporain de verbe "malaiser". Mais... On en a eu un (cf. dictionnaire de Huguet du XVIe siècle), mais aussi on a à la base un adjectif qui a toutes les caractéristiques d'un participe passé (malaisé, aisé) et a pu être réanalysé comme tel. C'est, encore une fois, contrairement à ce que vous laissez entendre, la preuve d'une très bonne compréhension de la langue. D'autant plus que, effectivement, aisé et malaisé sont des participes passés d'anciens verbes ^^ (aiser, disparu fin du Moyen Âge, et malaiser qui en est dérivé). 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 597 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, PLS maker a dit :

Ah ça non :D vous n'en faites pas ce qu'en pense : la langue française identifie les types de mot suivant, entre autres, un système de suffixe qui les rend reconnaissable : ainsi, les mots en -ant se classe dans la classe des participe présents adjectivés, donc des adjectifs :p tandis que les mots porteurs du suffixe -ment se reconnaissent comme étant des adverbes.

Un mot existe dès qu'il est utilisé. Dans le cas de "malaisant", si, il est trèèèèèès clair que désormais, il existe :D 

Perso, c'est la première fois que je le lis....et je ne l'ai jamais entendu dire....

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Invité Yokkie
Invités, Posté(e)
Invité Yokkie
Invité Yokkie Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 1 heure, tison2feu a dit :

Ce néologisme aura du mal à passer parce qu'il transgresse notre logique de la langue française : nous ne formons pas un participe présent à partir d'un verbe qui n'existe pas en français : *malaiser (= mettre mal à l'aise).

Je te rejoins sur ce point... à titre d'exemple, le terme "déconnant" provenant du verbe "déconner" est actuellement pas mal usité dans le sens négatif "il n'est pas déconnant de"... 

Perso, je trouve que le néologisme "malaisant" peut amener à une expectative quant à son sens, un mix de "malaisé et gênant", embarrassant, je suppose et une certaine lourdeur à la teneur du propos. 

Il existe pléthore de participes présents dans la langue française permettant de nuancer ou préciser le fait de mettre mal à l'aise.

Après chacun est libre d'en faire usage ou pas.

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Membre, Posté(e)
tison2feu Membre 3 100 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)
il y a 12 minutes, PLS maker a dit :

 

C'est absolument incroyable ça... le néologisme (qui ne vous a pas attendu pour d'ores et déjà s'imposer ;) ), même s'il est intelligent et bien pensé, est systématiquement frappé par une frange de la population (notamment celle des transmetteurs de norme) d'un jugement dépréciatif sur sa conception et ses utilisateurs.

On peut associer le recours à un nouveau mot avec un manque perçu que le vocabulaire présent échoue à combler (Querida : encore des exemples soit composés soit d'un niveau de langue proche du soutenu !), mais là, c'est tout simplement du bon gros jugement de valeur. Le mot malaisant est apparu en contexte francophone (et même, anglophobe), il a probablement émergé chez des natifs etest utilisé par des personnes dont la langue française est bien la langue française. L'association avec une mauvaise maîtrise du français est dès lors fortement contestable.

Plutôt que de voir le verre à moitié vide, ne vous est-il pas venu à l'idée que ce néologisme est au contraire la preuve d'une maîtrise convenable de la langue ? Après tout, le suffixe choisi est bien un des suffixes adjectivaux possibles en français ;) 

Alors oui, on n'a pas, en français contemporain de verbe "malaiser". Mais... On en a eu un (cf. dictionnaire de Huguet du XVIe siècle), mais aussi on a à la base un adjectif qui a toutes les caractéristiques d'un participe passé (malaisé, aisé) et a pu être réanalysé comme tel. C'est, encore une fois, contrairement à ce que vous laissez entendre, la preuve d'une très bonne compréhension de la langue. D'autant plus que, effectivement, aisé et malaisé sont des participes passés d'anciens verbes ^^ (aiser, disparu fin du Moyen Âge, et malaiser qui en est dérivé). 

Je te dis simplement que ce néologisme passe nettement mieux dans la bouche de personnes ne maîtrisant pas le français. Et je t'en ai donné les raisons linguistiques. Une personne apprenant le français ne sait pas que le verbe *malaiser n'existe pas, elle n'a donc aucune raison de suspecter un problème morpho-syntaxique. Mon jugement dépréciatif est parfaitement justifié, fondé sur une connaissance de la langue française et non sur sa non-maîtrise, et je l'assume. D'ailleurs en découvrant ce mot au détour d'une phrase, je n'en comprenais même pas le sens exact, et pour cause ! 

Sur la question de la création d'un néologisme lorsqu'il y a un vide à combler, en quoi cette explication proposée par Querida serait un jugement dépréciatif ?! Et pourquoi penses-tu que de nouveaux mots apparaissent sans arrêt sinon pour combler des vides ! Or il se trouve qu'il y a bien un gros vide en français pour exprimer en un seul mot le fait de mettre mal à l'aisene pas inspirer confiance, etc.

Ce mot est utilisé au Québec, même si le verbe *malaiser n'existe pas non plus : http://oreilletendue.com/2012/09/10/au-carre/

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Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 29 minutes, Morfou a dit :

Perso, c'est la première fois que je le lis....et je ne l'ai jamais entendu dire....

Peut-être parce que dans votre environnement linguistique, personne ne l'utilise. Moi, dans le mien, ça fait plusieurs mois que je l'entends. 

il y a 2 minutes, tison2feu a dit :

Je te dis simplement que ce néologisme passe nettement mieux dans la bouche de personnes ne maîtrisant pas le français. Et je t'en ai donné les raisons linguistiques.

J'ai donné les raisons linguistiques montrant le contraire. Je répète : 

- mot surgit en contexte francophone natif ;

- réanalise de l'adjectif "malaisé" comme participe passé (ce qu'étymologiquement il est !), puis remplacement de la terminaison "é" par celle du participe présent. 

Je suis francophone natif, j'ai immédiatement saisi le sens véhiculé par le mot "malaisant". Après, je suis pas non plus très âgé et ait un rapport nettement distancié par rapport aux considérations normatives. Cela peut faire que. Mais un jugement de valeur tel que celui que vous avez formulé est difficilement justifiable puisque limité à une considération empirique. Or, un exemple ne fais pas l'analyse. 

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 13 minutes, tison2feu a dit :

Sur la question de la création d'un néologisme lorsqu'il y a un vide à combler, en quoi cette explication proposée par Querida serait un jugement dépréciatif ?! 

Parce qu'il suppose que le recours à malaisant se ferait par des personnes ne connaissant pas le vocabulaire qu'il tend à remplacer. Or, cela, rien ne l'indique : il apparaît peut-être juste plus aisé à utiliser que ses équivalents qui, comme je l'ai rappelé, sont soit associés à un registre de langue assez soutenu, soit des mots composés (principe d'économie)... 

cf. dans votre lien : 

Citation

Bovet retrace le parcours historique de malaisant et réfléchit à son sens. Conclusion : «Il n’y a pas de doute, malaisant est un mot utile; plus rapide, plus expressif qu’une périphrase du genre de “qui crée un malaise” ou “qui met mal à l’aise”.

 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 597 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)

C'est tellement plus difficile de dire "cette chose ou ce truc, me met mal à l'aise" alors que ce mot "malaisant" simpliste et hideux autant à lire que sans doute à entendre, pas encore eu cet "honneur"..

Dans un pays où le baiser/bisous est devenu un terme sexuel....faut s'étonner de rien!

 

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
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Posté(e)
il y a 6 minutes, Morfou a dit :

C'est tellement plus difficile de dire "cette chose ou ce truc, me met mal à l'aise" alors que ce mot "malaisant" simpliste et hideux autant à lire que sans doute à entendre, pas encore eu cet "honneur"..

Après, effectivement, c'est une histoire d'affect et de mode. Et d'habitudes langagières. Chaque générations a eu son lot, et vous-même, certains des mots que vous utilisez présentement devaient constituer des sacrilèges à la norme quand vous étiez petite, avant d'entrer dans le langage courant ;) 

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Membre, Posté(e)
tison2feu Membre 3 100 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, PLS maker a dit :

Peut-être parce que dans votre environnement linguistique, personne ne l'utilise. Moi, dans le mien, ça fait plusieurs mois que je l'entends. 

J'ai donné les raisons linguistiques montrant le contraire. Je répète : 

- mot surgit en contexte francophone natif ;

- réanalise de l'adjectif "malaisé" comme participe passé (ce qu'étymologiquement il est !), puis remplacement de la terminaison "é" par celle du participe présent. 

Je suis francophone natif, j'ai immédiatement saisi le sens véhiculé par le mot "malaisant". Après, je suis pas non plus très âgé et ait un rapport nettement distancié par rapport aux considérations normatives. Cela peut faire que. Mais un jugement de valeur tel que celui que vous avez formulé est difficilement justifiable puisque limité à une considération empirique. Or, un exemple ne fais pas l'analyse. 

Travail de réflexion trop hâtif. Il conviendra d'en savoir davantage sur les dates exactes d'apparition de ce mot dans la langue.

Sur la question des normes, étant linguiste de formation, je sais comme toi que le travail du linguiste n'est point normatif. Seulement dans la vie de tous les jours, je ne me limite pas comme toi, à une conception distanciée, voire négative des normes. Et la conception positive des normes, qu'en fais-tu ? La norme ne réglemente pas seulement, elle régularise le pathologique. (Cf. De Canguilhem à Foucault, la force des normes, par Pierre Macherey). Mais ceci est une autre histoire.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 1 minute, tison2feu a dit :

Seulement dans la vie de tous les jours, je ne me limite pas comme toi, à une conception distanciée, voire négative des normes. 

Je ne parlais pas de mon rapport à la norme dans la vie de tous les jours, mais de mon rapport avec elle dans l'approche de ce néologisme, hein ^^" Et votre approche, sur laquelle se base votre jugement, est considérablement empreinte de prescriptivisme. 

Je sais très bien que seul des verbes peuvent admettre une terminaison en -ant, et que pour malaisant, ça crée une exception. D'où l'idée de la réanalyse de "malaisé" comme participe passé. A moins que cette explication ne vous paraisse pas valable, auquel cas je suis ouvert à la discussion (le pourquoi de la création de ce sujet) :) 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 597 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, PLS maker a dit :

Après, effectivement, c'est une histoire d'affect et de mode. Et d'habitudes langagières. Chaque générations a eu son lot, et vous-même, certains des mots que vous utilisez présentement devaient constituer des sacrilèges à la norme quand vous étiez petite, avant d'entrer dans le langage courant ;) 

Pas vraiment non!

On peut entendre des "bêtises" sans forcément les répéter...

Vous êtes plus près de "la fête du slip" que moi!

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Invité Yokkie
Invités, Posté(e)
Invité Yokkie
Invité Yokkie Invités 0 message
Posté(e)
il y a 19 minutes, Morfou a dit :

 

Dans un pays où le baiser/bisous est devenu un terme sexuel....faut s'étonner de rien!

 

:mef2: 

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

@tison2feu Surtout que je suis victime d'un biais considérable : je connais pas mal de choses dans certaines langues isolantes, du coup, je suis tout à fait à même d'accepter des mots passer du statut de verbe au statut de nom puis éventuellement au statut d'adjectif, avec pour moyen de distinction ou bien la place dans la phrase ou bien des indicateurs grammaticaux (présence d'un adverbe devant, présence d'une particule verbale...). Du coup, dans mon esprit, le passage de "malais-é"  à "malais-ant" est un passage tout à fait naturel et reproductible. 

(et aussi très révélateur de l'évolution du français vers une langue de type isolante, sur le chemin de l'anglais, conformément à ce que prévoit le cycle de Jespersen, mais là encore une fois, c'est une autre histoire :p )

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 8 minutes, Morfou a dit :

Pas vraiment non!

On peut entendre des "bêtises" sans forcément les répéter...

Votre âge vous situe pourtant dans une époque d'adoption de moults anglicissismes et de nombreux néologismes :hehe: Vous ne me ferez pas croire que ça s'est passé sans heurts. 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 597 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Yokkie a dit :

:mef2: 

Ca fait des siècles que je n'ai utilisé ni entendu utilisé "viens donner un baiser" à un enfant....particulièrement!

Un terme qui "faisait fureur" à mon époque....du style, en choeur "un baiser, un baiser, un baiser"!:mouai:

Essayez aujourd'hui pour voir....

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Membre, Posté(e)
tison2feu Membre 3 100 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)
il y a 12 minutes, Morfou a dit :

On peut entendre des "bêtises" sans forcément les répéter...

Pas mieux ! Telle est ma position sur ce néologisme "malaisant". Avant d'en arriver à utiliser "malaisant", il me faudra d'abord réutiliser cet ancien verbe français "malaiser"!

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Membre, Posté(e)
tison2feu Membre 3 100 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)
il y a 13 minutes, PLS maker a dit :

@tison2feu Surtout que je suis victime d'un biais considérable : je connais pas mal de choses dans certaines langues isolantes, du coup, je suis tout à fait à même d'accepter des mots passer du statut de verbe au statut de nom puis éventuellement au statut d'adjectif, avec pour moyen de distinction ou bien la place dans la phrase ou bien des indicateurs grammaticaux (présence d'un adverbe devant, présence d'une particule verbale...). Du coup, dans mon esprit, le passage de "malais-é"  à "malais-ant" est un passage tout à fait naturel et reproductible. 

(et aussi très révélateur de l'évolution du français vers une langue de type isolante, sur le chemin de l'anglais, conformément à ce que prévoit le cycle de Jespersen, mais là encore une fois, c'est une autre histoire :p )

Je fonctionne tout à fait comme toi, depuis des dizaines d'années (:p)

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Membre, Freak and geek, 46ans Posté(e)
Marla Membre 2 320 messages
46ans‚ Freak and geek,
Posté(e)

Malaisant, je l'ai lu assez souvent ces derniers temps. J'aime pas le mot en soi, je le trouve très moche (comme cisgenre, oui, j'ai bloqué) !

Mais en même temps, j'aime bien, justement parce que ça casse les codes , ça nous "titille "notre côté Grammar nazi... et c'est compréhensible malgré tout au premier abord.

Et j'aime aussi inventer des mots,  néologismes, en franglais, arabofranç, japanoïsant... Oui, victime, du multicul, Shame  :ange2: !

Et c'est pas pire que le langage sms et ceux qui confondent être et avoir, put... ! La base quoi ! :sleep:

 

Et enfin,  on ne va pas commencer sur "en PLS", ça mérite un sujet de débats passionnés...

 

Je voulais mettre un dab en conclusion, mais c'est peut-être un peu trop là.

 

 

 

 

 

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