On jouait dans la rue...

La brûlure indienne et la frite j'ai connu.. effectivement des trucs de sadique. 

Il y a 4 heures, Petit pois a dit :

On faisait une cabane dans ma chambre avec des chaises et des draps et des nœuds tout mal foutus ou des pinces à linges ( qui ne tenaient pas)...

Ah bin nous, on voyait ça en grand, c'était dans la salle à manger, on se servait de la grande table qui pour nous était immense, et on utilisait les couvertures de l'armée de mon père. Quand ma mère rentrait la pièce était sans dessus dessous. 

à l’instant, Kahori a dit :

La brûlure indienne et la frite j'ai connu.. effectivement des trucs de sadique. 

Sinon, suis un peu comme toi Kahori... j'ai pas vraiment joué dans la rue car mes parents me lâchaient pas sauf pour la colo et là you ouh... vous raconte pas l'éclate que c'était pour moi ! 

à l’instant, Yokkie a dit :

Sinon, suis un peu comme toi Kahori... j'ai pas vraiment joué dans la rue car mes parents me lâchaient pas sauf pour la colo et là you ouh... vous raconte pas l'éclate que c'était pour moi ! 

J'ai jamais fait de colo  

aprés on se demande pourquoi j'aime bien être seule, jai pas eu l'habitude des gens moi  ou par intermittence seulement! 

Il y a 4 heures, January a dit :

J'viens de me rappeler : 

Oh purée alors ça c'était dangereux n'empêche...

Alors ça c'était pas bien. Mon frère aîné s'en servait pour  tuer des oiseaux, pour les faire cuire, et les manger. 

Et le pire, il  utilisait aussi la glue, qui depuis a été interdite à la vente.

Chuis pas fière, en repensant à ça.

Il y a 2 heures, elbaid a dit :

la confection des shadock et les bombes à eau en papier

utilisation du stylo bille sans la bille pour en faire une sarbacane

petite aiguille â tête ronde , coincé dans le bureau ça faisait une petite musique  "stoinnnnnnnnnnnnnng"  très haut dans les aigues pratiquement indécelable mais très dérangeant pendant le cours .

Des cocotes en papier un système de pliage  avec des lettres à l'intérieur qu'il fallait choisir .... me rappel plus exactement .

Ah oui, je m'en souviens. On donnait un chiffre, on faisait bouger les doigts autant de fois pour atteindre le nombre, on choisissait une couleur, on soulevait le papier, et on lisait ce qu'il y avait écrit. Style, tu es moche...

il y a 58 minutes, elbaid a dit :

Et le poil à gratter ??? quelqu'un a pensé au poil à gratter ?

Oui, moi, et on appelait ça le gratte-cul, c'était horrible, il fallait passer sous la douche.

À l'époque, on trouvait chez l'épicier des bonbons à un centime. Et il nous voyait défiler plusieurs fois dans la journée. On y allait à coup de cinq, dix ou vingt centimes. Quand j'y repense, mon dieu quelle patience ils avaient. 

il y a une heure, Tar Baby a dit :

À l'époque, on trouvait chez l'épicier des bonbons à un centime. Et il nous voyait défiler plusieurs fois dans la journée. On y allait à coup de cinq, dix ou vingt centimes. Quand j'y repense, mon dieu quelle patience ils avaient. 

Les coquillages qu'on lechait s'était mes préférés. Qu'est ce que s'était bon. 

à l’instant, bidibule1 a dit :

Les coquillages qu'on lechait s'était mes préférés. Qu'est ce que s'était bon. 

Oui, et à force de les lécher, on finissait pas avoir des coupures aux commissures des lèvres. 

il y a 14 minutes, Tar Baby a dit :

Oui, et à force de les lécher, on finissait pas avoir des coupures aux commissures des lèvres. 

Nous avions une épicerie tout près de l'école, je me rappelle que celle qui avait des " sous " régalait les copines . L'école n'était pas encore mixte en ce temps là. 

Et pour punition, si nous avions mal travaille en classe, pendant la récréation nous tournions autour d'une statue qui se trouvait au milieu de la cour. S'était la honte. J'aimais pas du tout ça.

Il y a 6 heures, Tar Baby a dit :

Alors ça c'était pas bien. Mon frère aîné s'en servait pour  tuer des oiseaux, pour les faire cuire, et les manger. 

Et le pire, il  utilisait aussi la glue, qui depuis a été interdite à la vente.

Chuis pas fière, en repensant à ça.

Ah oui, je m'en souviens. On donnait un chiffre, on faisait bouger les doigts autant de fois pour atteindre le nombre, on choisissait une couleur, on soulevait le papier, et on lisait ce qu'il y avait écrit. Style, tu es moche...

la fronde pour les pauvres , la carabine à plomb pour les riches , la fameuse Diana 4,5 mm avec la crosse en bois .

Il y a 9 heures, elbaid a dit :

un jeux avec un couteau aussi ....ça consistait à planter un couteau de plus en plus vite entre les doigts de main ouverte , avec les pieds aussi ....

et un autre jeux qui consisté à lancer un couteau le planter à terre et le suivre  à chaque coups en marquant d'un pas à l'endroit ou se plante le couteau.... mais je me rappel plus très bien .

C'était apparu dans une série qui s'appelait "Zora la rousse" et qu'on a revu dans le film ALIENS (le 2ème) quand l’androïde en fait la démonstration au début du film

Il y a 9 heures, Yokkie a dit :

Avec ses deux mains, on tourne en serrant le poignet de l'autre qui ne s'y attend pas... 

On tient n'importe quel partie du corps avec 2 mains, puis on tourne les mains dans des directions opposées ce qui crée une sensation de brûlure !

Les enfants adorent se faire du mal et découvrir des sensations nouvelles, avec le pouce et l'indexe, on appuie sur la peau qui fait la liaison entre le pouce et l'index et on appuie fort... Si on est bien positionnée, ça provoque une douleur intense et instantanée.

Les jeunes jouent à des jeux dangereux depuis quelques années, à se boucher le nez et à souffler en même temps ou a s'étrangler jusqu'à un certain point pour s'évanouir.

Sinon, quand je lis vos récits, ça m'en rappelle des conneries que j'ai faite ! Jouer dehors je connais, mais jouer dehors c'était surtout ne plus être sous la surveillance des parents et de là, tout était possible !

J'ai eu ma période pyromane, avec que je prenne peur et que je me calme définitivement !

Ma période: "Je démonte, parce que je veux savoir comment ça fonctionne" avec le "Rooh, ben j'ai tout remonté, c'est quoi ces vis là qui restent ?!"

Et toutes les "CHANCES" que l'on a eu de ne pas avoir d'accident, de ne pas tomber et se blesser, se faire shooter, etc...

Tout ces accidents pour lesquels d'autres n'ont pas eu les mêmes chances en terminant à l'hôpital avec plus ou moins de séquelles !

En particulier les chutes et les trucs que l'on prend dans les yeux !

Ca fait drôle quand on voit un copain se lancer dans un truc, tomber et ne plus se relever sans prévenir les parents qui ensuite doivent appeler l'ambulance.

Et je ne parlerais pas des sorties au ski...

Il y a 10 heures, Tar Baby a dit :

Le trou, c'est la clote non ? Nous on faisait carrément un parcours.

Le jeu conventionnel juste. Mais c'est vrai que c'était un mélange de conventionnel et de clotte puisqu'on y jouait à plusieurs et même en équipe.

Il y a 10 heures, bidibule1 a dit :

Les coquillages qu'on lechait s'était mes préférés. Qu'est ce que s'était bon. 

Oui, j'adorais et il y avait aussi la biberine et les colliers de bonbecs de toutes les couleurs... 

Et quand on balançait de la flotte (au mieux) par dessus la porte des wawas des "grands" et qu'on allait se planquer pour les voir sortir fou furieux. C'te pétoche quand ils nous avaient repérés et qu'ils nous coursaient !!

Dans mon ancien job, j'ai eu à photographier une vente Haribo. C'était la première fois qu'on en faisait une, 3 tables remplies de bonbons sur plusieurs étages.  Et interdit d'en prendre, la marque par sécurité ne voulait pas qu'on y touche. J'ai du faire tout dans les emballages, puis ouvrir et shooter quelques bonbons à chaque fois. La torture   C'est moi qui avait été missionné dessus parce que la chef savait que j'étais la seule qui ne succomberait pas à la tentation  

finalement les bonbons que j'avais photographié, vu qu'ils avaient pris un coup de chaud sous les torches on les a mangé plutôt que les mettre à la poubelle  et l'acheteuse, après une rude négociation avec eux, a pu partager toutes les boites dans l'entreprise. 

Enfin voila l'anecdote qui n'a rien à voir avec l'enfance mais on avait tous des yeux d'enfants devant le nombre de bonbons qui nous narguait.  

il y a 2 minutes, Kahori a dit :

Dans mon ancien job, j'ai eu à photographier une vente Haribo. C'était la première fois qu'on en faisait une, 3 tables remplies de bonbons sur plusieurs étages.  Et interdit d'en prendre, la marque par sécurité ne voulait pas qu'on y touche. J'ai du faire tout dans les emballages, puis ouvrir et shooter quelques bonbons à chaque fois. La torture   C'est moi qui avait été missionné dessus parce que la chef savait que j'étais la seule qui ne succomberait pas à la tentation  

finalement les bonbons que j'avais photographié, vu qu'ils avaient pris un coup de chaud sous les torches on les a mangé plutôt que les mettre à la poubelle  et l'acheteuse, après une rude négociation avec eux, a pu partager toutes les boites dans l'entreprise. 

Enfin voila l'anecdote qui n'a rien à voir avec l'enfance mais on avait tous des yeux d'enfants devant le nombre de bonbons qui nous narguait.  

On ne s'amuse pas, comme dans le monde de la glace, à fabriquer des bonbons avec des produits non comestible pour résister à la chaleur des projo ?

il y a 7 minutes, pep-psy a dit :

On ne s'amuse pas, comme dans le monde de la glace, à fabriquer des bonbons avec des produits non comestible pour résister à la chaleur des projo ?

Non ça c'est surtout dans les shoots spécialisés culinaire où on utilise du polystyrène ou autres parce que la "nourriture" reste vraiment longtemps sous les lumières, des heures voir plusieurs jours.  Nous on faisait très vite, les bonbons ne restait pas plus de 10min en dessous, c'était du packshot pas de la nature morte. On avait un rendement et une cadence à tenir. Pour te donner un exemple sur une journée ou faisait entre 500 et 1000 clichés, la moyenne basse étant sur les bijoux qui demande plus de temps à cause des reflets, de la matière etc. Et c'est déjà arrivé qu'on en fasse plus de mille. 

Fin du HS.