Cinquième République française ou République des juges ?

Rencontre avec Jean-Claude Magendie, ancien Premier président de la Cour d'appel de Paris et expert auprès de l'Institut pour la Justice

La justice est pas si efficace que ça, puisque Fillon va quand même se présenter aux présidentielles! Autrefois on l'aurait envoyé à la Bastille ou au bagne, au moins on en aurait été débarrassés!

il y a 3 minutes, Gouderien a dit :

La justice est pas si efficace que ça, puisque Fillon va quand même se présenter aux présidentielles!

C'est vous qui jugez, la justice non efficace!

En toute suite logique, comme observé en Italie, nous devrions avoir des juges qui présentent leur candidature à la présidence de la République, la prochaine fois ?

Il n'est pas certain que la République soit mieux servit pour autant.

il y a 17 minutes, Gouderien a dit :

La justice est pas si efficace que ça, puisque Fillon va quand même se présenter aux présidentielles! Autrefois on l'aurait envoyé à la Bastille ou au bagne, au moins on en aurait été débarrassés!

On condamne les gens après un jugement et pas en fonction de l'opinion de quelques uns..

A ce jour Fillon, n'est pas condamné !

Perso j'en peux plus d'entendre parler de Fillon, et de voir sa tête de croque-mort sur tous les écrans! Le comble a été lundi, quand il a dit que le but de sa politique c'était de plaire à Angela Merkel. Au fou!

Un membre des RP qui tente de défendre sa chapelle : rien de neuf sous le soleil.

Tout le monde est pour "la transparence" sauf quand ça concerne son poulain idéologique. C'est d'un pathétique.

En 2005, alors que Jean-Claude Magendie dirigeait le tribunal de grande instance de Paris, le futur président l'avait sollicité, dit-on, pour s'occuper de sa séparation à l'amiable avec son épouse de l'époque, Cécilia. Finalement, le divorce n'avait pas eu lieu à ce moment-là, mais le président avait apprécié la discrétion et la délicatesse du magistrat. 

Quatre ans plus tard, son estime demeure intacte. A tel point que Jean-Claude Magendie s'est mis à croire, à 64 ans, en ses chances de succéder à Rachida Dati après les élections européennes. L'hypothèse semble exclue, le président souhaitant confier les clefs du ministère de la Justice à un "politique", surtout en raison des chantiers parlementaires des prochains mois, dont la suppression du juge d'instruction. A l'approche de ces débats, Magendie défendra sans doute la réforme. L'un de ses collègues assure pourtant, avec une pointe d'ironie, qu'il s'affichait il y a peu comme un défenseur acharné du magistrat instructeur. (G.G.) 

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/les-hommes-du-president_763258.html