Ce que le tatouage dit de nous

il y a 18 minutes, PapesseJeanne a dit :

http://www.psychologies.com/Beaute/Image-de-soi/Relation-au-corps/Articles-et-Dossiers/Ce-que-le-tatouage-dit-de-nous

Et ?

il y a 21 minutes, titenath a dit :

Je ne peux pas parler vraiment d'aversion, mais j'avoue qu'un mec tatoué ne m'attire pas, ça pourrait même me refroidir. 

Je n'aime pas ça, je n'ai jamais aimé, ni sur moi, ni sur les autres. Même si j'en ai déjà vu qui sont magnifiques, je trouve ça vulgaire. Pas la peine de me taper, c'est juste mon ressenti, ça ne s'explique pas. 

 

Oh non pas de soucis 

Mais avec l'engouement actuel, je pensais qu'il y aurait plus de témoignage positif 

il y a 3 minutes, Marpletree a dit :

Oh non pas de soucis 

Mais avec l'engouement actuel, je pensais qu'il y aurait plus de témoignage positif 

Toi je sais que tu ne vas pas me taper, mais d'autres ne vont pas se priver

Y'a petit être aussi cet engouement qui m'énerve. Ça ressemble plus à une mode qu'à un état d'esprit   

D'ailleurs je lis de plus en plus de gens qui vont se faire détatouer, parce que fait sous le coup d'une mode et irréfléchi au final. 

il y a une heure, doug1991 a dit :

Et ?

Et rien, si tu ne sais pas lire...

Je vois juste pas pourquoi tu me met le lien de l'article.

Comme souvent avec M6 le reportage était trop caricatural et sensationnaliste à mon goût (  ça me rappelle une "Enquête Exclusive" sur le MMA).

L'intervention de Nabilla sur le détatouage en est l'exemple parfait.

Je suis tatoué sur l'avant-bras, un tatoo d'une dizaine de cm très symbolique et personnel.

Il y a bien longtemps que je suis attiré par cette forme d'expression. A l'internat, il y a plus de trente ans maintenant , je me suis auto-tatoué deux cochonneries sur le bras gauche... parce que je suis droitier .

Mais à cette époque :

- je n'avais aucun revenu et pas question de demander à mes parents de me financer

- un tatoueur dans une sous-préfecture rural... bin... il ne fallait pas y compter

- la pression sociale était forte à l'encontre des tatoués

Et j'ajouterai, avec le recul, que les conditions d'hygiène n'étaient pas forcément optimale à l'époque.

J'avoue qu'à la sortie de mon adolescence le tatouage n'était plus une priorité mais qu'il restait dans un coin de ma tête (forcément carrée, donc) comme un fantasme qu'on ne réalise pas de peur d'être déçu ou incapable de l'assumer.

Je suis passé à l'acte la quarantaine passée. Je n'aime pas l'idée d'un tatouage "effet de mode" mais je dois reconnaitre que sans la multiplication des boutiques et sans l'évolution des mentalités je n'aurais peut-être jamais franchi le pas.

Donc même si pour moi le tatoo est une forme d'expression forte et intime je ne peux pas critiquer ceux pour qui c'est juste pour faire joli ou pour faire genre.

enfin si, parce que j'aime bien dire du mal quand même.

autrefois les tatouages c'étaient pour les marins ou les gangsters !!!

 chez les Maoris ,par exemple ,c'est culturel !!!

trés peu pour moi !!!

certains voudront plus tard ,faire enlever les tatouages ,ça va leur couter les peau des fesses !!!!!!!!