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Les courants de pensée Philosophique

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zenalpha

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zeugma Membre 670 messages
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il y a une heure, Blaquière a dit :

je ne relève que vos dernier mots. vous disiez que le croyant recherchait la vérité, je vous ai répondu que non, parce qu'il pensait l'avoir déjà. Et c'est exactement ce que vous confirmez :

mais la foi dans le christ n'ajoute rien à la connaissance humaine, car ce n'est pas une vérité pratique, comme l'est celle d'un savoir vrai...connaitre une personne est avant tout saisir sa présence et en vivre, c'est cela qui est donné dans la foi, l'espérance et la charité...

ensuite vous dites : "dieu.....Qui prend toute la place. Et le résultat c'est celui-là, qu'avec Dieu au milieu on ne se trouve plus soi-même. "

on ne dois pas en effet parler du même dieu, car le mien est si discret que je me demande des fois si il est encore près de moi, le votre est ce dieu morale et accusateur que vous avez inventé au fond de votre conscience, mais soyez raisonnable, c'est vous qui l'avez fabriqué celui là...

et vous dites ensuite :  "si vous n'aviez jamais entendu parler de Dieu en eussiez-vous eu la révélation ?" mais dieu se révèle par toutes sortes de présence à nous, et si personne ne n'en avait parlé, sa présence serait quand même celle que je cherche, car une dimension de ma personne est uniquement pour vivre de sa présence, alors qu'il se soit révélé par tels ou tels modes et moments de l'histoire humaine, chez telles ou telles personnes qui deviennent témoins, par telles ou telles épreuves qui nous font toucher notre dépendance à sa présente bonté, c'est une question qui se pose, dans d'autres termes que ceux que vous utilisez et qui sont une réduction critique d'un événement unique pour chacun de nous...

ensuite vous dites   :  "C'est une épopée ! C'est le condensé de toute l'épopée humaine. Et c'est vous le héros ! Et en plus vous en êtes le seul témoin ! "

il y a dans cette "tentation" d'auto-alimenter son propre désir de dieu, ou plutôt d'absolu, une tentative de devenir son propre créateur, sa propre source et sa propre fin, et de marquer son histoire au coin de sa propre lucidité à se conquérir soit même, c'est ce que me révèle aussi la recherche gnostique, une auto-suffisance et une auto-gestion de son aventure spirituelle...je respecte cette vision mais je sais que dieu s'est révélé en diverse temps et lieu et particulièrement en certain temps et lieu, pour celles et ceux qui justement ne sont pas "aventuriers"mais aussi pour les aventuriers...

ce qui semble vous échapper c'est que dieu se fait tout à tous, et que de confondre notre élan d'autonomisation avec notre désir de transcendance, revient à ne plus accepter notre condition de dépendance radical à son acte créateur comme présence d'amour...

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Posté(e)
Il y a 8 heures, zeugma a dit :

 

"Pour ce qui est des « héros, » je n’en ai point aussi bonne opinion que vous. Je reconnais que la condition de « héros » est la forme la plus acceptable de l’existence humaine, surtout lorsque l’on n’a pas d’autre choix. Mais voilà : nous prenons goût à quelque chose, et aussitôt le tyran qui est en nous (et que j’appellerais volontiers notre moi supérieur) nous dit : « Sacrifie-moi précisément ceci ! « Et nous le lui sacrifions, mais c’est comme si l’on nous torturait à long feu. Ce sont en vérité les problèmes de la cruauté que vous traitez là ! Se peut-il que vous y ayez plaisir ? Je vous l’avoue : j’ai, quant à moi, trop de cette complexion « tragique » dans le corps pour ne pas être souvent amené à la maudire. J’aspire à enlever à l’existence humaine une partie de son caractère douloureux et cruel. Mais pour pouvoir vous en dire davantage, j’aurais à vous révéler ce que je n’ai encore révélé à personne : la tâche qui se dresse devant moi, la tâche de ma vie. Or de cela nous ne pouvons pas nous entretenir ! Ou plutôt, tels que nous sommes l’un et l’autre, deux solitaires, nous ne pouvons pas nous taire ensemble de tout cela ! Votre reconnaissant et dévoué de tout cœur"

F. Nietzsche.

 

 

C est l histoire d un homme qui veut se garer. Il dit seigneur donne moi une place j ai un rdv. Le bondieu répond pas. Il continue seigneur donne moi une place de parking je vais être en retard. Le bondieu répond pas. Il continue seigneur si tu me donnes une place je donne 1000€ aux pauvres. Le bondieu lui donne une place devant la banque. L homme répond : j ai trouvé la place de parking tout seul.

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
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Tout ce que vous dites est magnifique !

Mais à mon sens, c'est magnifiquement faux. C'est un beau rêve :

 

Il y a 18 heures, zeugma a dit :

mais la foi dans le christ n'ajoute rien à la connaissance humaine, car ce n'est pas une vérité pratique, comme l'est celle d'un savoir vrai... connaître une personne est avant tout saisir sa présence et en vivre, c'est cela qui est donné dans la foi, l'espérance et la charité...

ensuite vous dites : "dieu.....Qui prend toute la place. Et le résultat c'est celui-là, qu'avec Dieu au milieu on ne se trouve plus soi-même. "

on ne dois pas en effet parler du même dieu, car le mien est si discret que je me demande des fois si il est encore près de moi, le votre est ce dieu morale et accusateur que vous avez inventé au fond de votre conscience, mais soyez raisonnable, c'est vous qui l'avez fabriqué celui là...

et vous dites ensuite :  "si vous n'aviez jamais entendu parler de Dieu en eussiez-vous eu la révélation ?" mais dieu se révèle par toutes sortes de présence à nous, et si personne ne n'en avait parlé, sa présence serait quand même celle que je cherche, car une dimension de ma personne est uniquement pour vivre de sa présence, alors qu'il se soit révélé par tels ou tels modes et moments de l'histoire humaine, chez telles ou telles personnes qui deviennent témoins, par telles ou telles épreuves qui nous font toucher notre dépendance à sa présente bonté, c'est une question qui se pose, dans d'autres termes que ceux que vous utilisez et qui sont une réduction critique d'un événement unique pour chacun de nous...

Dieu prend si peu de place, à votre avis : mais vous passez vôtre temps à le chercher ! C'est ce que je voulais dire il prend toute la place par, à cause, de son absence peut-être... Vous pensez être né pour le chercher, mais ce que je pense c'est que vous avez été entraîné, éduqué pour cette recherche tandis que vous, vous pensez que cette recherche était inscrite au fond de vous a priori. Avant tout enseignement.

Vous ne pouvez pas dire qu'il tient peu de place si vous dites que vous en vivez : "saisir sa présence et en vivre"."Sa présence que je cherche" "vivre de sa présence" "dépendance à sa présente bonté"... Vous ne pouvez nier que Dieu est partout chez vous. Je dis qu'il tient toute la place.

ensuite vous dites   :  "C'est une épopée ! C'est le condensé de toute l'épopée humaine. Et c'est vous le héros ! Et en plus vous en êtes le seul témoin ! "

il y a dans cette "tentation" d'auto-alimenter son propre désir de dieu, ou plutôt d'absolu, une tentative de devenir son propre créateur, sa propre source et sa propre fin, et de marquer son histoire au coin de sa propre lucidité à se conquérir soi-même, c'est ce que me révèle aussi la recherche gnostique, une auto-suffisance et une auto-gestion de son aventure spirituelle...je respecte cette vision mais je sais que dieu s'est révélé en diverse temps et lieu et particulièrement en certain temps et lieu, pour celles et ceux qui justement ne sont pas "aventuriers"mais aussi pour les aventuriers...

J'aime bien votre "auto-gestion de son aventure" ! Quant à "alimenter son propre désir de Dieu" cela ne me concerne en rien. Je suis totalement athée. J'essaie de VOUS comprendre et de vous décrire. Cela ne peut que s'appliquer à vous. Devenir son propre créateur est tout autre chose. Et vous voyez qu' auto-alimenter son propre désir est en contradiction avec sa propre lucidité ! Mais vous voyez ici aussi que ce Dieu "déborde" chez vous... Dans cette notion de créateur. Je n'ai pas à être créé, même par moi-même ! Je ne suis pas une créature ! (Quelle horreur !).

Je ne parlerai que de construction. Tout ce qui est en mon pouvoir, à partir d'une base biologique donnée et en prenant en compte mes conditionnements humains (langage par exemple) inévitable et même largement structurant pour moi, c'est d'essayer de me construire. Avec mes quelques faibles moyens. On est loin de l'aspect assez prétentieux que vous semblez deviner dans cette (ma) démarche presque présentée comme égocentrique : "propre créateur, propre source, propre fin, propre lucidité... auto suffisance." L'autogestion en revanche me convient : faire ce qu'on peu même si l'on peut peu, avec les moyens du bord.

Vos désir de Dieu seraient à mon avis à mettre au compte de nos "conditionnements humains et culturels, cultuels, et n'être traités qu'en tant que tels. C'est une transcendance parce que venue d'ailleurs, ne dépendant pas de nous, mais pas au sens de transcendance divine, extra humaine (La confusion vient-elle de là ?)

ce qui semble vous échapper c'est que dieu se fait tout à tous, et que de confondre notre élan d'autonomisation avec notre désir de transcendance, revient à ne plus accepter notre condition de dépendance radical à son acte créateur comme présence d'amour...

Le grand mot est jeté : Amour ! Dès qu'on parle d'Amour, on n'est plus réfutable ! J'ai dit nos conditions d'existence biologiques, nos conditionnements culturels, le langage, (la structure de notre esprit)... C'est largement suffisant comme dépendance et facteurs d'incertitudes. N'en rajoutez pas une de plus, encore plus radicale d'un acte créateur et d'Amour ! On ne ferait plus surface !

Pour moi, il n'y a pas de création, et l'Amour, c'est nous qui l'avons inventé ! C'est pas si mal. Mais c'est pas facile. Le tout petit amour que je recevrai d'autres gens, il me faudra le mériter pas à pas.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 481 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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C'est le problème du "surhomme" relevé par Nietzsche.

De celui qui passe son temps à exister pour un idéal qui existe définitivement dans sa tête, définitivement dans ses livres saints, inobservable... et qui s'étonne que l'homme sur Terre s'intéresse (aussi) à ce qui se passe sur Terre et dans l'Univers, expérimentalement...

Je pense que la science est un danger pour le dogme.

Elle a réfuté des évidences dans les têtes que l'église n'a pu que constater dans les faits car elle crève les yeux...

Elle est susceptible de réfuter uniquement au travers ce qui se passe dans le cosmos d'autres interventions divines miraculeuses qui prouveraient son existence...

A partir du moment où on s'appuie sur ce qui se passe dans l'univers pour expliquer la présence de Dieu, potentiellement, le dogme est alors réfutable par les sciences...

Hors le dieu du catho est un dieu personnel et ses prières sont suivies d'effets... ou pas... va savoir...

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
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Il y a 2 heures, Blaquière a dit :

Dieu prend si peu de place, à votre avis : mais vous passez vôtre temps à le chercher ! C'est ce que je voulais dire il prend toute la place par, à cause, de son absence peut-être... Vous pensez être né pour le chercher, mais ce que je pense c'est que vous avez été entraîné, éduqué pour cette recherche tandis que vous, vous pensez que cette recherche était inscrite au fond de vous a priori. Avant tout enseignement.

Vous ne pouvez pas dire qu'il tient peu de place si vous dites que vous en vivez : "saisir sa présence et en vivre"."Sa présence que je cherche" "vivre de sa présence" "dépendance à sa présente bonté"... Vous ne pouvez nier que Dieu est partout chez vous. Je dis qu'il tient toute la place.

ce que je peux admettre Blaquière, c'est qu'au plan psychologique ou vous semblez essayer de comprendre ce que je dis, vous ne perceviez que les retombés du vécu de la présence divine, et c'est bien normale, mais vouloir en faire l'origine, le centre et la fin de ma recherche, c'est aussi réducteur que si vous disiez que toutes recherches n'est motivés que pour le besoin de connaitre...

de votre point du vue déformant, et non-respectueux de la recherche qui est la mienne, vous suggérer que toutes recherches spirituelles est une quette de sa propre identité au mieux, et d'une perte de temps au pire... la précision que je vous ai donné sur la place que dieu à dans ma vie, vous conduit à établir cette phrase, "Dieu prend si peu de place, à votre avis : mais vous passez vôtre temps à le chercher"que je trouve stupide, pardon du terme mais je n'en vois pas d'autre, t'en elle dit juste l'inverse que ce qui fonde ma recherche...

et vous poursuivez avec une autre contorsion de signification de ce que je vous ai dis :  "Vous ne pouvez pas dire qu'il tient peu de place si vous dites que vous en vivez " car il est justement possible de vivre d'une présence qui tient lieu de perfection dans la simplicité, et pas d'extension dans son efficience...mais cela évidement vous passe au dessus ou au dessous selon votre lecture positive ou négative...

vous poursuivez avec cette déduction tellement symptomatique d'une personne qui essaie de tout comprendre par son petit bout de lorgnette :"Vous pensez être né pour le chercher, mais ce que je pense c'est que vous avez été entraîné, éduqué pour cette recherche tandis que vous, vous pensez que cette recherche était inscrite au fond de vous a priori. Avant tout enseignement."

ce que je vous ai dis et répète une fois encore, car avec certaines intelligences une imperméabilité semble les empêcher de percevoir le sens d'un langage, c'est que la présence de dieu se donne quoique soit le moyen qu'il choisi pour se communiquer, et que l'on soit touché par une grâce ou que nous recherchions l'absolu comme absolu, il y a une vertu en chaque humain qui est réceptive à cette présence divine...

vous poursuivez ensuite :   "Je suis totalement athée. " non pas seulement, vous êtes un athée qui porte son agnosticisme jusqu'à vouloir réfuter la recherche des croyant, c'est bien autre chose, ce que je ressent en vous lisant c'est une haine de ce que vous ne pouvez avoir, car votre volonté est auto-justificatrice de son propre jugement... vous n'essayez pas de comprendre la recherche de dieu, vous en faite autre chose qu'elle n'est, pour la réduire à ce qu'elle n'est pas...

cette phrase de vous en dit plus long sur votre projet volontaire de destruction du bien d'autrui :

Vos désir de Dieu seraient à mon avis à mettre au compte de nos "conditionnements humains et culturels, cultuels, et n'être traités qu'en tant que tels.  C'est une transcendance parce que venue d'ailleurs, ne dépendant pas de nous, mais pas au sens de transcendance divine, extra humaine (La confusion vient-elle de là ?)

ce mot conditionnement humain est à lui seul le résumé de toute votre pensée et c'est tout à fait logique pour une personne qui vit dans l'autosatisfaction de son ego, la seule confusion est celle qui vous teint lieu de règle absolu pour juger du bien fondé de la recherche des autres personnes, et qui n'est ni respectueuse, mais veut être tueuse, ni tolérante mais seulement aberrante comme je vous ai dis au début...

j'en conclus donc que votre volonté est motivé par la haine et le rejet de l'altérité, qui se retrouve in fie de votre texte

Le grand mot est jeté : Amour ! Dès qu'on parle d'Amour, on n'est plus réfutable ! J'ai dit nos conditions d'existence biologiques, nos conditionnements culturels, le langage, (la structure de notre esprit)... C'est largement suffisant comme dépendance et facteurs d'incertitudes. N'en rajoutez pas une de plus, encore plus radicale d'un acte créateur et d'Amour ! On ne ferait plus surface !

Pour moi, il n'y a pas de création, et l'Amour, c'est nous qui l'avons inventé ! C'est pas si mal. Mais c'est pas facile. Le tout petit amour que je recevrai d'autres gens, il me faudra le mériter pas à pas.

si j'ai dis amour, c'est pour donner le sens ultime de notre présence, pas pour le voir être réduit à ce que vous en faites, vous avez un mépris pour ce que l'amour révèle de la présence divine, en le faite provenir des conditions biochimiques et culturelles d'évolutions, mais ce que vous ne saurez admettre c'est la capacité première de l'amour comme cause d'unité et de dépendance acceptée, tout à fait positives, car vous dites : "On ne ferait plus surface !" c'est bien dans ce genre de phrase que l'on peut lire votre psychologie réfractaire à la qualité sur essentiel de l'amour en toute chose, ce qui est marquant enfin c'est cette phrase si vous dites : "Pour moi, il n'y a pas de création, l'Amour, c'est nous qui l'avons inventé" allez jusqu'au bout de la personnification de votre pensée et ne jugez pas au delà de vos limites d'opinions, de plus dire que l'humain à inventé l'amour serait un thèse intéressante à défendre dans les termes par lesquels vous la proposez...nous verrions bien vite ce que vous appelez "amour"et sa fonction sans l'évolution de l'humanité...faites donc de cette archéologie intérieure qui vous semble si importante, pour voir si ce que vous appelez amour n'est pas juste ce que votre conditionnement psychologique nomme : rétrocession du mérite...et qui est la forme la plus factuelle de notre vie en commun...

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 481 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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C'est quand je vois comment l'Amour prend forme dans la relation humaine au nom de l'Amour du Dieu suprême que je suis content d'aimer ma femme comme un homme.

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
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Il y a 2 heures, zenalpha a dit :

A partir du moment où on s'appuie sur ce qui se passe dans l'univers pour expliquer la présence de Dieu, potentiellement, le dogme est alors réfutable par les sciences...

encore une de ces confusions de significations qui mines votre réflexion de bout en bout et contient en passant un irrespect pour le droit de croire inscrit dans la constitution des droits de l'homme et du citoyen :

Article X

Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi. 

 

 il suit donc que votre acharnement à porter le débat dans une controverse d'opposition avec la foi "catho" comme vous dites, donne bien le but ultime de votre présence ici...chacun sait d'où vous venez et vers quoi vous allez, vous êtes si prévisible et tellement contre-productif, qu'il me semble vous oublier déjà...

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 481 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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On va être très clair.

Je suis pour la laicité telle qu'elle a été écrite en 1905 donc de manière encore plus ouverte que les révisions faites concernant les signes ostentatoires à l'école par exemple et ceci vous permet à la fois de faire du prosélytisme dans l'espace public et à la fois à la femme musulmane de circuler voilée

Mais on va être clair aussi, nulle part n'est écrit que votre droit à faire du prosélytisme s'affranchit de la critique et croyez moi que vous concernant, avec moi, vous allez être servi à plus soif

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a une heure, zenalpha a dit :

Je suis pour la laicité telle qu'elle a été écrite en 1905 donc de manière encore plus ouverte que les révisions faites concernant les signes ostentatoires à l'école par exemple et ceci vous permet à la fois de faire du prosélytisme dans l'espace public et à la fois à la femme musulmane de circuler voilée

Mais on va être clair aussi, nulle part n'est écrit que votre droit à faire du prosélytisme s'affranchit de la critique et croyez moi que vous concernant, avec moi, vous allez être servi à plus soif

vous sombrez dans ce que vous ne voudriez pas voir ou entendre, ceux qui veulent vraiment revendiquer la laïcité respectent ceux qui croient, mais ceux qui comme vous sont haineusement contre le fait de croire, cherche à dépouiller les oripeaux religieux en pensant ainsi détruire la foi...

 

quand vous dites : "votre droit à faire du prosélytisme s'affranchit de la critique" je n'ai fais que répondre honnêtement en mon âme et conscience à des questions sur la foi que d'autres ont posé, je n'ai jamais instauré un débat revendicateur, ni prosélyte comme vous dites, c'est votre premier mensonge ouvertement assumé...

surtout que je trouve personnellement que les questions touchant la croyances sont très faiblement philosophiques et ne mérite vraiment pas d'y passer des heures, mais je ne puis pas non plus vous laisser dires des contre-vérités sur le fait religieux qui doit être comprit comme tout fait de la la conscience humaine, ni plus ni moins...

cela rendrait surement service à votre sens critique, si j'avais fais du prosélytisme, mais ce n'est pas le cas alors le débat est clos pour moi sur le fait que d'affirmer l'existence de dieu n'appartient qu'au croyant et à la personne qui cherche  la voie contemplative...

 ce qui reste c'est votre anticléricalisme et votre nihilisme...que vous devrez gérer aussi tant que je serais là pour vous répondre...

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 481 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Voila, je suis anticlérical parce que je vous trouve à la masse.

ok

Fin du HS

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
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il y a 7 minutes, zenalpha a dit :

Voila, je suis anticlérical parce que je vous trouve à la masse.

ok

Fin du HS

oui mais c'est une erreur de jugement de votre part vu que je ne suis pas ecclésiastique...

si je vous apparaît " à la masse", c'est que votre méthode de référencement des autres inclus en effet ce mode de jugement, mais rien ne dit que cela vous profite de faire ainsi...

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 481 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Dans l'alphabet je vous voyais  pourtant bien AB mais vous etes surement davantage  azenalphabète

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
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Citation

voir si ce que vous appelez amour n'est pas juste ce que votre conditionnement psychologique nomme : rétrocession du mérite.

Votre argument est exceptionnel ! Et je n'ai rien à y répondre. Ou alors "peut-être ?!". Mais il ne s'agissait qu'une d'une description "extérieure". D'un avis. Dans la mesure où l'on voudrait que pour être aimé, il faille le mériter. Sans que cela me concerne si vous voulez : je ne cherche pas particulièrement à être aimé. Mais si à l'arrivée je le suis, tant mieux ! Je veux dire que je ne manque pas d'amour ! Peut-être à tord, d'ailleurs, et surtout sans sous entendre que c'est votre cas !

La réalité ou la nature de l'Amour est il faut le dire étonnante : L'Amour (le vrai, le grand, l'absolu) est-il si peu que ce soit lié à un quelconque mérite ?!

Ces jours-ci j'ai réécouté "la légende de ma nonne" de Victor Hugo et Brassens :

"Il était laid, les traits austères

La main plus rude que le gant

Mais l'amour a bien des mystères

Et la nonne aima le brigand..."

 

Mais vous êtes sur une fausse piste ! Vous me voyez haineux. (Et Zénalpha aussi, j'ai lu.) Ce mot de "haine" est bien lourd !

(Et comme disait Giscard, vous n'avez pas le monopole du coeur ! Et moi non plus, d'ailleurs !) Ce" que vous ne semblez ou ne voulez pas voir, c'est que ce que je vous dis, c'est tout le contraire de la haine.

Peut-être suis-je ridicule, mais c'est (à mon sens) une bouée de sauvetage que je "crois" vous envoyer !

Vous me suggérez d'appliquer une recherche archéologique dans mon cas ! Mais vous avez raison ! Je ne cesse pas ! Pour vous donner un exemple, je me demande souvent si mes désirs (au sens large de mes motivations) sont bien les miens.  Et s'ils ne seraient pas en fin d'analyse une ré-intériorisation, un emprunt de désirs d'autrui. D'autres personnes, de celles qui nous ont précédés ou qui nous entourent... C'est un vrai grave problème et l'on n'est jamais sûr. Est-ce que je ne m'intéresse pas à la musique parce qu'on m'a beaucoup parlé de cet arrière grand père qui était soliste dans un grand orchestre et parce que le grenier était plein de partitions ? N'aimé-je pas travailler de mes mains parce que tel autre arrière grand père, lui, était inventeur et savait tout faire de ses mains ? Et mon père, et ma mère qui avaient aussi leurs rêves que j'ai en partie intégrés... Et ma soeur ? Et mon grand père qui parlait si souvent provençal ?

Dans tout ça : "et moi et moi et moi ?!!!" Je suis où ? Est-ce que j'existe seulement ?

Mais comme disait ce même chanteur moins intellectuel mais pas si bête :

"J'y pense et puis j'oublie !

C'est la vie, c'est la vie !"

 

 

J'édite après avoir relu de vous : "une personne qui vit dans l'autosatisfaction de son ego"

Comme vous pouvez lire au dessus, on en est tellement loin !!!

 

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 22 minutes, zenalpha a dit :

Dans l'alphabet je vous voyais  pourtant bien AB mais vous etes surement davantage  azenalphabète

pour en revenir au courant de pensée philosophique, il y a quand même une distinction à faire dans ces courants, puisqu'il naissent soit d'un milieu historique fort, soit d'une école de pensée qui génère une unité de connaissance additionnelle, dirigée vers une vision du monde...

la différence entre ces deux modes pour philosopher se trouve assez déterminant pour la suite de leur incorporation à la conscience collective...

les courants issus des oppositions historiques seront tournés vers une répartition des idées dans la conscience collective, selon leurs forces critiques...

les courants issues des écoles de pensées ou influence de pensée, seront tournés vers une répartition des idées dans la conscience collectives, selon une co-régulation...

si nous savons ainsi que ce qui domine aujourd'hui dans la conscience collective c'est une forme dérivé de l'existentialisme, à savoir un individualisme assumé par beaucoup de personnes vivants dans des sociétés qui ont été formées culturellement, socialement et politiquement, par ce courant...

 

à suivre...

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 481 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Je ne sais pas pourquoi mais je suis certain de votre plantage au test des cartes

si c'est le cas tentez d'en tirer profit 

A suivre

 

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

je passe au deuxième point de réflexion sur la place de la pensée scientifique dans son dialogue avec la philosophie, mais tout d'abord existe-t-il une différence entre l'abstraction de la pensée du scientifique et celle du philosophe ? ou dit autrement y a-t-il une spécificité de l'intelligibilité scientifique et de celle du philosophe ?

pour ma part en essayant de répondre, j'aurais préférer la coopération avec des personnes qui ont acquis une intelligibilité scientifique, mais apparemment malgré de nombreux appels, ce débat n'a pas émergé, alors j'aurais pu convoquer des auteurs anciens et plus récents pour ouvrir cette recherche... mais là aussi, peut-on faire un patchwork historique des penseurs et scientifiques pour répondre à cette question ?

je préfère essayer de comprendre selon un autre mode d'analyse, qui sera de prendre, à partir de l'intelligence humaine évolutive, ce qui à suscité ces deux modalités d'intelligibilités, ainsi en recherchant leur bases communes, leurs spécificités devraient être plus évidentes...

pour ce faire quatre questions : 

1/  quelle est la nature du questionnement pour l'intelligence humain ?

2/ quelle est le sens ultime du vrai pour l'intelligence humaine ?

3/ pourquoi et comment les langages participes à l'élaboration de l'intelligence humaine ?

4/ l'intelligence humaine comme fonction vitale est-elle une conséquence de l'individuation ?

 

le questionnement :

si nous questionnons, c'est que notre expérience sensible est partielle, et que la succession de ces expériences fait se recouper dans notre mémoire, une possibilité d'autonomie...

le questionnement viendrait donc de cette possibilité d'autonomie du vivant...

mais il instaure aussi ce que l'on peut appeler "un débat intérieur",  comme première forme de délibération, qui lui même permet un choix, c'est-à-dire un positionnement de notre réel personnel dans et face au réel du monde, et face aux autres personnes bien sûr...

le questionnement serait donc un contact directionnel avec le réel, et là se trouve surement aussi la spécificité respective de la philosophie et de la science...

car la diversité de leurs intelligibilités proviendrait d'une diversité de contact directionnel avec le réel, pour le philosophe, le questionnement est dirigé vers une sagesse, qui est une maîtrise de sa conscience dans le monde, pour le scientifique vers une maîtrise du monde pour y stabiliser sa conscience...les deux se complètes même si elles prennent des chemins diverses...

2/ le sens ultime du vrai c'est la stabilisation de l'intelligence dans la connaissance du bien, et dans cette recherche, plusieurs causes sont à l'oeuvre...

tout d'abord le vrai, comme premier moment de l'intelligence se trouve être issu de la certitude, face à une évidence le "ceci est", mais comme "ceci" provient de notre sensibilisation corporel, l'intelligence là aussi procède par recoupement pour faire de plusieurs contact avec le réel, une synthèse, qui peut être acceptée comme "certaine" puisqu'elle à passée le test du devenir mouvant de la sensibilité, pour se stabiliser dans la conscience sous forme d'idées vraies...

ainsi, si je dis "chat", j'ai la certitude que je possède quelque chose de plus stable que si je regarde momentanément tel "chat"en telle circonstance, et avec telle intention...

ce vrai stable de l'idée ne remplace pas, ni ne supprime pas la qualité de la rencontre avec tel chat, mais elle lui donne une autre perspective, c'est là aussi donc que l'intelligibilité scientifique et philosophique ont puisé leurs distinctions, (peut être la plus évidente) puisque l'idée vraie pour le scientifique est la fin de sa démonstration, c'est à dire la cohérence interne et la signification qu'elle donne au réel...

alors que pour le philosophe l'idée vraie est ce qui lui donne une plus parfaite stabilité dans son jugement...

3/ la question du langage est centrale et pourtant pas déterminante dans l'élaboration de l'intelligence humaine, car si nous pouvons distinguer son pourquoi et son comment, nous pourrons aussi comprendre qu'elle est centrale et portant pas déterminante...

comme j'ai pris le mot chat tout à l'heure pour centrer la distinction entre le contact sensible distinct de l'idée comme stabilité, je poserais le comment du langage comme la continuité de ce contact sensible du corps avec le monde et le pourquoi comme recherche d'amplification de la représentation du monde dans notre conscience...

aussi bien nous comprenons dès lors que le langage est centrale puisqu'il est un mode de présence de la conscience du vivant dans le monde, c'est la performativité de la voix...mais pas déterminant dans l'élaboration de l'intelligence humaine, puisque qu'il ne fait qu'amplifier une représentation du monde dans notre conscience... c'est la spécificité symbolique du langage...

il suit donc que quelque soit le type de langage, pour le philosophie le langage vernaculaire étant son référent par la syntaxe et la sémantique qui s'y déploie, il va l'utilisé au mieux pour transcrire sa pensée...

pour le scientifique le langage qui est plus ancré dans une symbolique stricte et fonctionnelle, utilisera se langage propre pour transcrire le champs de son expérimentation...

les deux aillant pour "mission" de prendre la parole dans la société, pour donner à leurs contemporains cette amplification du monde, avec les risque de sur-amplification que nous connaissons tous...idéologie etc...

4/ maintenant essayons de voir si l'origine vitale et matérielle de l'intelligence serait l'individuation...

pour ce faire je donnerais deux pistes qui en fait se recouperont à la fin...

première piste : si la nécessité de l'intelligence est fondée comme recherche d'autonomie et de stabilité, c'est dans la distinction qu'elle opère entre toutes les réalités d'abord sensibles, puis idéelles...

deuxième piste : si l'intelligence est ce par quoi notre conscience est en présence subjective avec le monde, elle est une affirmation de cette présence, puisque c'est par elle que notre corporéité est intégré au monde...

aparté, c'est dans cette deuxième piste que nous voyons le mieux notre nature "animal" puisque tous les animaux participes corporellement au monde naturel, comme individu autonome...

l'intelligence animal que nous avons appelé très longtemps "instinct" est une des formes adaptatives de l'individuation, d'un vivant dans un milieu de vie...

 dans le cas de l'être humain, l'adaptabilité est devenu selon un point de bascule que je ne développerais pas ici, l'adaptation du milieu de vie à notre individualité...

ce renversement est "la spécificité humaine", et pose en passant les questions de sa prévalence sur les autres animaux, de la notion d'appropriation, et d'autodétermination collective...que je ne développe pas non plus...

ce qu'il faut mettre en parallèle c'est la finalité de chacune des deux pistes ouvertes, la première tend vers une gestion du conditionnement, la deuxième tend vers une contemplation du réel...

comme je l'ai dis elle se recoupe, mais pas de manière aléatoire et accidentelle, mais en ces point ou justement l'individuation est toujours en acte dans le réel, la procréation, l'autonomisation, la désignation du bien commun...

pour l'intelligence philosophique, l'individuation est source de l'élan et de la recherche d'équilibre dans la dynamique vitale de sa personne...

c'est la raison qui établis des rapports entre les diverses réalités...

mais aussi l'intelligence contemplative qui perçoit la place de la personne dans le tout...

pour l'intelligence scientifique, c'est la cause de l'ordonnancement de son savoir en partie co-extensibles...qui un jour peut-être fusionneront...

mais aussi une recherche à rendre compte du réel avec un niveau d'objectivité proche de ce que le réel à de plus stable, ses lois physiques...

sur ces points, la philosophie et la science trouve parfois une similarité de choix de réflexion, parfois non...

mais vouloir gérer le monde par l'une en excluant l'autre conduit inévitablement dans la négation d'une part de notre intelligibilité du réel... 

 

à suivre...

 

 

 

 

 

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 481 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

J'ai connu des violeurs qui appelaient la coopération de leur victime 

La coopération n'a jamais été de décharger sa sauce

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Membre, Posté(e)
zeugma Membre 670 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 31 minutes, zenalpha a dit :

 

J'ai connu des violeurs qui appelahors sujet ient la coopération de leur victime 

La coopération n'a jamais été de décharger sa sauce

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 481 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 2 heures, zeugma a dit :

pour ma part en essayant de répondre, j'aurais préférer la coopération avec des personnes qui ont acquis une intelligibilité scientifique, mais apparemment malgré de nombreux appels, ce débat n'a pas émergé, alors j'aurais pu convoquer des auteurs anciens et plus récents pour ouvrir cette recherche...

Vous avez raison, osef de vos préférences.

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

Je pense avoir compris où vous vouliez en venir :

L'intelligence philosophique, c'est l'intelligence du corps "équilibre, vital (vie), personne (corps physique)"

Curieux pour la philosophie, mais bon, intéressant ...

L'intelligence scientifique, c'est l'intelligence de l'esprit : "ordonnancement (ordre) savoir, objectivité, lois physiques".

 

Votre conclusion est qu'il ne faut pas utiliser l'une sans l'autre :

"mais vouloir gérer le monde par l'une en excluant l'autre conduit inévitablement dans la négation d'une part de notre intelligibilité du réel"

Et l'union des deux intelligences, c'est ?

L'intelligence religieuse, l'intelligence du St Esprit, L'intelligence de Dieu, l'intelligence... mystique ?

J'ai bon ?!

 

 

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