Vous vous cacherez…

Vous vous cacherez…

Non parce que vous ne comprenez pas, mais bien parce que vous le pouvez et le nier… parce que vous avez peur de vous confronter à cette vérité.

Mes Sœurs, mes Frères… vous ne devriez pas.

Elle n’existe pas cette réalité d’un Dieu qui punit ses sujets, ou qui demanderait d’eux qu’ils tuent ou oppressent d’autres êtres humains en son nom.

Il n’existe pas d’enfer ou de paradis dans l’après-vie/l’au-delà, bien qu’il ne faille tout de même pas être arrogant au point de rejeter la possibilité d’un au-delà… et, suivant la même ligne de pensée, aussi ne faut-il pas rejeter le concept de l’âme/l’esprit séparé du corps puisque, instinctivement, la majorité des humains ont ce sens de l’énergie d’« être » dans un corps.

Vous devriez plutôt concevoir le très-tangible, accessible et observable fait qu’il n’existe que la prison d’être privé d’une voix, privé de la liberté de penser, privé du droit de se réaliser, de questionner, d’argumenter, de partager, d’évoluer et d’avoir l’opportunité de rendre le monde meilleur en le comprenant, en le respectant et en l’offrant dans un meilleur état que nous l’avons nous-même connu pour les générations futures.

L’enfer, en ce sens, c’est vraiment une place sur Terre lorsqu’on oublie cela ; le paradis c’est ce que la Terre peut être si nous comprenons cela et agissons afin de prévenir le pire.

Vous devriez voir le monde pour ce qu’il est et pourrait devenir. Usant de la conscience, de la raison et d’ « amour », vous devriez agir pour rendre le monde meilleur pour tous les êtres humains et… le faisant, agir pour faire en sorte que toutes les frontières de la raison, ainsi que celles qui sont terrestres disparaissent.

Nous sommes tous des enfants de « l’amour » étant en vie, puisque l’amour est universel et infini en essence, tout comme l’est l'univers d’où nous sommes tous nés.

La quête de la vérité n’en est pas une facile, même si la plus grande vérité est tout autour de nous et à l’intérieur de nous.

À sa recherche, nous avons développé de complexes systèmes qui comportent plusieurs failles et qui, au lieu de nous unir, nous ont divisés. Et pourtant, la vérité, celle qui est absolue, est tout autour de nous, accessible, et nous habite tous.

Le monde est seulement meilleur si nous voulons qu’il le soit, et pire parce que nous n’agissons pas à le rendre meilleur.

Il n’y a aucune gloire dans l’après-vie puisque rien ne peut y être accompli pour améliorer le monde. Le plus grand accomplissement est seulement mesurable, observable et réalisable dans la vie elle-même.

Il faut se défaire de l’idée d’un Dieu qui demande quelque chose de nous, bien que nous ne devrions pas avoir l’arrogance de rejeter l’idée qu’il existe une force créatrice à la source de tout ce qui nous entoure et qui, je vous le rappelle, est en nous.

La science n’explique pas tout, mais elle est un des chemins à suivre pour accéder à ce « tout », et les principes à sa base nous permettrons d’atteindre ce « Tout » en ne rejetant pas ce qui en ce moment reste inexplicable.

Les croyants les plus fervents sont souvent les plus étroits d’esprit et se cacheront de la vérité. Cela dit, cela ne veut pas dire qu’ils n’ont pas la capacité de changer (s'améliorer). Ils auront peur de faire face à la vérité… peur de la reconnaître car, dans leurs croyances fermées, ils ne laissent tout simplement pas de place au doute et au questionnement. Ils auront peur de ne pas détenir toutes les réponses puisque que c’est réconfortant de penser qu’ils les ont toutes, ou qu’ils font partie d’un cercle qui prétend les détenir.

Être humble est une nécessité si nous cherchons à nous améliorer et atteindre la « grandeur ».

Être grand se mesure par l’addition de toutes les actions visant le bien de la collectivité et qui sont dépourvues de toute notion de cupidité et de profits personnel. Une « grande » nation devrait se définir ainsi.

Nous pouvons tous faire partie de ce qui est « grand ».

Il m'apparait que l’esprit est à l’image d’une matière argileuse, celle-ci durcit lorsqu’elle se retrouve exposée à l’air libre et qu’on ne la manie pas ( = de penser + questionner) et surtout si on y verse pas un peu d’eau ( = au doute + ouverture).

Comprenez-vous ?

Il est difficile de redonner forme à ce qui a durci et c’est ce qui explique que plusieurs personnes qui, dans certains cas, ont été conditionnées depuis l’enfance à croire certaines choses, auront beaucoup de difficultés à s’ouvrir à certaines évidences… d’autres manières de concevoir le monde. L’effort serait tel qu’on pourrait le comparer à l’image de se noyer et d’éventuellement renaître... de plonger et de s’ouvrir à un nouvel état de conscience, de volontairement faire ce choix, afin de ramollir, rétablir l’état et redonner forme à la structure de l’esprit. Même à forte dose d’amour cet objectif pourrait s’avérer impossible. Ainsi, un père qui aime sa fille de tout son cœur, pourrait se plier à faire le choix de renier celle-ci, si elle venait à adopter des principes progressistes qui seraient contraires aux principes que lui-même auraient adoptés et mis en pratique toute sa vie. Ils existent ces systèmes, modes de pensées humains, si fermés à toutes propositions, qu’ils pousseraient un père aimant à agir ainsi.

Ce qu’il faut arriver à faire pour changer le monde, libérer les esprits de milliards de gens qui n’ont qu’un seul désir : « Croire en quelque chose de grand », c’est de leur faire voir l’essentiel, la source, car les systèmes remplient de failles, d’incohérence, d’absurdité, d’injustices, qu’ils ont adoptés sont aussi imprégnés de valeurs qui font partie de la source… de l’absolu vérité à la base de tout. Des principes tels que : Le courage, la loyauté, la générosité, la ténacité et la sagesse, ne sont pas tributaires de ces systèmes, mais bien une partie des multiples éléments inscrits dans la vérité absolue qui est tout autour de nous et nous habite tous.

L’amour, c’est cette source.

… et c’est au nom de l’amour que je dis que tout système qui diminue l’être humain, l’empêche d’évoluer et de valoriser la vie… toutes formes de vies ; que tout système qui prétend tout savoir… tout prévoir ; que tout système qui juge et s’établit de manière immuable sans permettre l’introduction de nouvelles idées… qui interdit quiconque de le soumettre à la critique, ou de le réformer, et va même jusqu’à tuer ceux qui osent ou le proposent ; que tout système qui dit qu’un homme qui aime un homme et veut lui faire l’amour et partager sa vie avec celui-ci, ou qu’une femme qui aime une femme et porte le même désir ; que tout système qui dit que c’est un pêché, que ces êtres doivent être tués et que c’est contre-nature d’être ainsi ; et bien je crie haut et fort que tout système qui accepte et prône ceci est un système qui va contre la nature de l’être humain; est un système barbare, rétrograde, inhumain, cruel, assassin et loin de la vérité, et pourtant... il en est imprégné. Elles sont là les failles, les incohérences, les absurdités et les injustices.

Comprenez-vous ?

Rien n’est parfait, je l’admets, mais pourquoi perpétuer et s’attacher à des systèmes aussi injustes et rétrogrades ? Des systèmes qui classent la femme au rang inférieur. Des systèmes hypocrites où des gens choisissent d’ignorer certains énoncés de la doctrine plutôt que de les dénoncer au risque qu’on les traite « d’infidèle ». Pourquoi ? Pourquoi ? Cet acharnement, « INSULTE » profonde à l’intelligence humaine ???

Ne voyez-vous pas la gravité de la chose?

J’ai parfois l’impression que certains êtres humains sont des machines dans lesquelles on charge un programme qu’on exécute en appuyant sur la touche « Exécuter ». Ce programme se transfère de génération en génération sans passer par aucune révision ou mise à jour.

Décevant, vraiment... triste même.

Pierre

Écrit en décembre 2014

Vous vous cacherez…

Non parce que vous ne comprenez pas, mais bien parce que vous le pouvez et le nier… parce que vous avez peur de vous confronter à cette vérité.

Mes Sœurs, mes Frères… vous ne devriez pas.

Elle n’existe pas cette réalité d’un Dieu qui punit ses sujets, ou qui demanderait d’eux qu’ils tuent ou oppressent d’autres êtres humains en son nom.

Il n’existe pas d’enfer ou de paradis dans l’après-vie/l’au-delà, bien qu’il ne faille tout de même pas être arrogant au point de rejeter la possibilité d’un au-delà… et, suivant la même ligne de pensée, aussi ne faut-il pas rejeter le concept de l’âme/l’esprit séparé du corps puisque, instinctivement, la majorité des humains ont ce sens de l’énergie d’« être » dans un corps.

Vous devriez plutôt concevoir le très-tangible, accessible et observable fait qu’il n’existe que la prison d’être privé d’une voix, privé de la liberté de penser, privé du droit de se réaliser, de questionner, d’argumenter, de partager, d’évoluer et d’avoir l’opportunité de rendre le monde meilleur en le comprenant, en le respectant et en l’offrant dans un meilleur état que nous l’avons nous-même connu pour les générations futures.

L’enfer, en ce sens, c’est vraiment une place sur Terre lorsqu’on oublie cela ; le paradis c’est ce que la Terre peut être si nous comprenons cela et agissons afin de prévenir le pire.

Vous devriez voir le monde pour ce qu’il est et pourrait devenir. Usant de la conscience, de la raison et d’ « amour », vous devriez agir pour rendre le monde meilleur pour tous les êtres humains et… le faisant, agir pour faire en sorte que toutes les frontières de la raison, ainsi que celles qui sont terrestres disparaissent.

Nous sommes tous des enfants de « l’amour » étant en vie, puisque l’amour est universel et infini en essence, tout comme l’est l'univers d’où nous sommes tous nés.

La quête de la vérité n’en est pas une facile, même si la plus grande vérité est tout autour de nous et à l’intérieur de nous.

À sa recherche, nous avons développé de complexes systèmes qui comportent plusieurs failles et qui, au lieu de nous unir, nous ont divisés. Et pourtant, la vérité, celle qui est absolue, est tout autour de nous, accessible, et nous habite tous.

Le monde est seulement meilleur si nous voulons qu’il le soit, et pire parce que nous n’agissons pas à le rendre meilleur.

Il n’y a aucune gloire dans l’après-vie puisque rien ne peut y être accompli pour améliorer le monde. Le plus grand accomplissement est seulement mesurable, observable et réalisable dans la vie elle-même.

Il faut se défaire de l’idée d’un Dieu qui demande quelque chose de nous, bien que nous ne devrions pas avoir l’arrogance de rejeter l’idée qu’il existe une force créatrice à la source de tout ce qui nous entoure et qui, je vous le rappelle, est en nous.

La science n’explique pas tout, mais elle est un des chemins à suivre pour accéder à ce « tout », et les principes à sa base nous permettrons d’atteindre ce « Tout » en ne rejetant pas ce qui en ce moment reste inexplicable.

Les croyants les plus fervents sont souvent les plus étroits d’esprit et se cacheront de la vérité. Cela dit, cela ne veut pas dire qu’ils n’ont pas la capacité de changer (s'améliorer). Ils auront peur de faire face à la vérité… peur de la reconnaître car, dans leurs croyances fermées, ils ne laissent tout simplement pas de place au doute et au questionnement. Ils auront peur de ne pas détenir toutes les réponses puisque que c’est réconfortant de penser qu’ils les ont toutes, ou qu’ils font partie d’un cercle qui prétend les détenir.

Être humble est une nécessité si nous cherchons à nous améliorer et atteindre la « grandeur ».

Être grand se mesure par l’addition de toutes les actions visant le bien de la collectivité et qui sont dépourvues de toute notion de cupidité et de profits personnel. Une « grande » nation devrait se définir ainsi.

Nous pouvons tous faire partie de ce qui est « grand ».

Il m'apparait que l’esprit est à l’image d’une matière argileuse, celle-ci durcit lorsqu’elle se retrouve exposée à l’air libre et qu’on ne la manie pas ( = de penser + questionner) et surtout si on y verse pas un peu d’eau ( = au doute + ouverture).

Comprenez-vous ?

Il est difficile de redonner forme à ce qui a durci et c’est ce qui explique que plusieurs personnes qui, dans certains cas, ont été conditionnées depuis l’enfance à croire certaines choses, auront beaucoup de difficultés à s’ouvrir à certaines évidences… d’autres manières de concevoir le monde. L’effort serait tel qu’on pourrait le comparer à l’image de se noyer et d’éventuellement renaître... de plonger et de s’ouvrir à un nouvel état de conscience, de volontairement faire ce choix, afin de ramollir, rétablir l’état et redonner forme à la structure de l’esprit. Même à forte dose d’amour cet objectif pourrait s’avérer impossible. Ainsi, un père qui aime sa fille de tout son cœur, pourrait se plier à faire le choix de renier celle-ci, si elle venait à adopter des principes progressistes qui seraient contraires aux principes que lui-même auraient adoptés et mis en pratique toute sa vie. Ils existent ces systèmes, modes de pensées humains, si fermés à toutes propositions, qu’ils pousseraient un père aimant à agir ainsi.

Ce qu’il faut arriver à faire pour changer le monde, libérer les esprits de milliards de gens qui n’ont qu’un seul désir : « Croire en quelque chose de grand », c’est de leur faire voir l’essentiel, la source, car les systèmes remplient de failles, d’incohérence, d’absurdité, d’injustices, qu’ils ont adoptés sont aussi imprégnés de valeurs qui font partie de la source… de l’absolu vérité à la base de tout. Des principes tels que : Le courage, la loyauté, la générosité, la ténacité et la sagesse, ne sont pas tributaires de ces systèmes, mais bien une partie des multiples éléments inscrits dans la vérité absolue qui est tout autour de nous et nous habite tous.

L’amour, c’est cette source.

… et c’est au nom de l’amour que je dis que tout système qui diminue l’être humain, l’empêche d’évoluer et de valoriser la vie… toutes formes de vies ; que tout système qui prétend tout savoir… tout prévoir ; que tout système qui juge et s’établit de manière immuable sans permettre l’introduction de nouvelles idées… qui interdit quiconque de le soumettre à la critique, ou de le réformer, et va même jusqu’à tuer ceux qui osent ou le proposent ; que tout système qui dit qu’un homme qui aime un homme et veut lui faire l’amour et partager sa vie avec celui-ci, ou qu’une femme qui aime une femme et porte le même désir ; que tout système qui dit que c’est un pêché, que ces êtres doivent être tués et que c’est contre-nature d’être ainsi ; et bien je crie haut et fort que tout système qui accepte et prône ceci est un système qui va contre la nature de l’être humain; est un système barbare, rétrograde, inhumain, cruel, assassin et loin de la vérité, et pourtant... il en est imprégné. Elles sont là les failles, les incohérences, les absurdités et les injustices.

Comprenez-vous ?

Rien n’est parfait, je l’admets, mais pourquoi perpétuer et s’attacher à des systèmes aussi injustes et rétrogrades ? Des systèmes qui classent la femme au rang inférieur. Des systèmes hypocrites où des gens choisissent d’ignorer certains énoncés de la doctrine plutôt que de les dénoncer au risque qu’on les traite « d’infidèle ». Pourquoi ? Pourquoi ? Cet acharnement, « INSULTE » profonde à l’intelligence humaine ???

Ne voyez-vous pas la gravité de la chose?

J’ai parfois l’impression que certains êtres humains sont des machines dans lesquelles on charge un programme qu’on exécute en appuyant sur la touche « Exécuter ». Ce programme se transfère de génération en génération sans passer par aucune révision ou mise à jour.

Décevant, vraiment... triste même.

Pierre

Écrit en décembre 2014

J'aime bien ce passage la (en gras).

Et de toute façon, qu'il y ait un Dieu ou qu'il n'y en ait pas, la seule chose a retenir c'est l'amour.

.

Un tout petit peu longuet , mais c' est beau comme un nounours au milieu d' un champs de petits coeurs .

Et presque aussi bon que la tarte Tatin que me faisait ma maman .

Mais ça va être dur de faire comprendre ça à quelques 6/7 milliards d' humains qui ne rêve que plaies , bosses , et surtout $ ....

<< Les croyants les plus fervents sont souvent les plus étroits d’esprit et se cacheront de la vérité.>>

C' est sans doute vrai , mais je dirais que c' est tout aussi vrai pour les savants les plus savants .

Il n’existe pas d’enfer ou de paradis dans l’après-vie/l’au-delà, bien qu’il ne faille tout de même pas être arrogant au point de rejeter la possibilité d’un au-delà… et, suivant la même ligne de pensée, aussi ne faut-il pas rejeter le concept de l’âme/l’esprit séparé du corps puisque, instinctivement, la majorité des humains ont ce sens de l’énergie d’« être » dans un corps.

Bref, ça n'existe pas mais tu n'exclus pas la possibilité que ça existe, ça nous change des méchants comiques habituels.

Les croyants les plus fervents sont souvent les plus étroits d’esprit et se cacheront de la vérité. Cela dit, cela ne veut pas dire qu’ils n’ont pas la capacité de changer (s'améliorer). Ils auront peur de faire face à la vérité… peur de la reconnaître car, dans leurs croyances fermées, ils ne laissent tout simplement pas de place au doute et au questionnement. Ils auront peur de ne pas détenir toutes les réponses puisque que c’est réconfortant de penser qu’ils les ont toutes, ou qu’ils font partie d’un cercle qui prétend les détenir.

L'étroitesse d'esprit est réservée aux croyants ? Aucun croyant n'a de certitude, pas plus qu'un athée, à part les décérébrés, nombreux hélas. L'Abbé Pierre doutait avant de mourir, et combien d'athées doutent dans leurs derniers instants ? Et prient même au cas où...

Être humble est une nécessité si nous cherchons à nous améliorer et atteindre la « grandeur ».

Ah ben voilà, fallait commencer par là.

Nous sommes tous des enfants de « l’amour » étant en vie, puisque l’amour est universel et infini en essence, tout comme l’est l'univers d’où nous sommes tous nés.

La quête de la vérité n’en est pas une facile, même si la plus grande vérité est tout autour de nous et à l’intérieur de nous.

À sa recherche, nous avons développé de complexes systèmes qui comportent plusieurs failles et qui, au lieu de nous unir, nous ont divisés. Et pourtant, la vérité, celle qui est absolue, est tout autour de nous, accessible, et nous habite tous.

Le monde est seulement meilleur si nous voulons qu’il le soit, et pire parce que nous n’agissons pas à le rendre meilleur.

Pierre Lapalisse ?

Bienvenue à Bisounoursland.

Je crains que cette jolie prose un tantinet naïve n'atteigne jamais les oreilles ou le cerveau des malfaisants qui peuplent cette planète, croyants ou pas. En tous cas je salue l'effort d'écriture

*Ps, c'est trop long pour qu'on puisse répondre à tout

Oui, bizarre que proposer un univers concentrationnaire où rien existerait au delà de la matière pure, les causes, les conséquences, l'équilibre chimique de notre cerveau, les lois sociologiques, darwiniennes, les systèmes politiques totalitaires ne séduise pas plus que ça ceux qui ont eu la malchance infinie dans leur existence de trouver Dieu, la transcendance, l'absolu. Ils doivent être bêtes, c'est comme ça.