n'ose pas faire..... à cause d'une peur

Salut tout le monde :p

Un représentant crève un pneu en rase campagne.

Il ouvre son coffre cherche son cric... en vain.

Pas de cric.

Comme il est sur une petite route de campagne, en plein mois de juillet il se dit que personne ne va passer par là pour le secourir.

Il décide de se rendre au village le plus proche, dont il voit le haut du clocher au loin, pour emprunter un cric.

Le chemin est long, il fait chaud, et en route, il se dit:

"Est-ce qu'il vont seulement avoir un cric à me prêter ?"

Il avance encore, et, tout transpirant, se dit :

"Et je connais les gens du coin, ils n'aiment pas les étrangers !"

Il marche encore, et se dit :

"Ils ne me connaissent pas, vont-ils seulement vouloir me le prêter, ce cric ?"

Et il continue ainsi, s'imaginant les scénarios les plus désagréables, étant pris à parti par les villageois qui trouvent louche qu'il

veuille emprunter un cric, proposant de l'acheter, personne ne voulant lui en vendre un, etc. etc.

Il s'approche du village, de plus en plus énervé intérieurement, se met sur la place du village, et hurle :

"Eh bien, puisque c'est comme ça, votre cric, vous pouvez vous le garder !!!"

o 0 o

Combien de fois nous imaginons-nous ainsi des objections qui ne

seront jamais levées, des craintes sans fondement, et combien de

fois, n'osons-nous pas demander par peur d'être

rejeté ?

Bien amicalement,

Eagles

Ça s'appelle " Se monter la tête soi-même " !

Se monter le 'bourrichon' ! ... se foutre les abeilles tout seul ... se monter la mayonnaise ... et parfois se foutre la pression !

Parfois c'est plus fort que soi ! Il faut que notre colère ou notre rencoeur ( surtout au boulot) sorte d'une manière ou d'une autre ... alors on se monte un scénario des plus fumeux et on éclate !!!! .... mais, comme on se sent ridicule après !!! car rien de colle à la réalité des faits !!!

Alors, ensuite ... c'est là qu'intervient notre mauvaise foi la plus profonde !!! Belle manifestation de notre orgueil blessé et notre lâcheté la plus flagrante !!!

Et on court se cacher dans un coin, s'effondrer sur soi même, fuir la triste de notre personnalité !

:blush: :blush: :blush: :blush:

Et combien de fois sommes-nous perçus complètement fous ?

La peur d'être rejeté est basée sur des faits réels, antérieurs à la situation que nous nous apprêtons à vivre, jamais sans fondement. Lorsque la crainte ne repose sur rien de concret, cela sera davantage de l'ordre de l'angoisse.

Ah ouais, la belle folie que voilà !

Salut tout le monde :p

Un représentant crève un pneu en rase campagne.

Il ouvre son coffre cherche son cric... en vain.

Pas de cric.

Comme il est sur une petite route de campagne, en plein mois de juillet il se dit que personne ne va passer par là pour le secourir.

Il décide de se rendre au village le plus proche, dont il voit le haut du clocher au loin, pour emprunter un cric.

Le chemin est long, il fait chaud, et en route, il se dit:

"Est-ce qu'il vont seulement avoir un cric à me prêter ?"

Il avance encore, et, tout transpirant, se dit :

"Et je connais les gens du coin, ils n'aiment pas les étrangers !"

Il marche encore, et se dit :

"Ils ne me connaissent pas, vont-ils seulement vouloir me le prêter, ce cric ?"

Et il continue ainsi, s'imaginant les scénarios les plus désagréables, étant pris à parti par les villageois qui trouvent louche qu'il

veuille emprunter un cric, proposant de l'acheter, personne ne voulant lui en vendre un, etc. etc.

Il s'approche du village, de plus en plus énervé intérieurement, se met sur la place du village, et hurle :

"Eh bien, puisque c'est comme ça, votre cric, vous pouvez vous le garder !!!"

o 0 o

Combien de fois nous imaginons-nous ainsi des objections qui ne

seront jamais levées, des craintes sans fondement, et combien de

fois, n'osons-nous pas demander par peur d'être

rejeté ?

Bien amicalement,

Eagles

Peut-être a-t-il vu une scène du film "les nouveaux sauvages".

Un humoriste ( je ne sais plus qui ) en a fait un sketch de cette histoire de cric !

Sa crainte était la somme d'argent qu'allait lui demander le garagiste pour lui louer le cric.

A la fin du sketch, le gars lui dit qu'il pouvait se foutre son cric dans le c**l !!!

Ici raconté par Pierre Bellemare !!

Il la fait "bonne", ce Bellemare ! ^^

C'est pas parce-que je ne suis pas parano qu'ils ne sont pas tous après moi...