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Cruauté de la vie

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querida13

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Invité Lowy
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Invité Lowy
Invité Lowy Invités 0 message
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Le suicidé se suicide pour la juste cause du suicide et non, il ne fait pas pareil que le bonze, encore moins que le kamikaze qui a cette envie de supprimer autant d’humains que lui-même, animé d’illusions ou pas ;

Le suicidé n’est pas toujours dans le brouillard de ses idées, il a aussi cette lucidité qui dépasse certains entendements qui paraissent ‘’évidents’’

Je ne considère pas le suicide comme un moyen de mettre fin à la vie et celui qui se suicide n’est pas toujours dans le mood de : je déteste la vie ; peut être au contraire qu’il aimerais tellement la vivre mais qu’il n’y arrive pas pour l’absurdité que cela représente, pour cette projection trop lourde, pour cette finalité commune, par peur de l’avenir, de vieillir aussi…par peur de la rater, par peur aussi d’un présent trop dur, d’un lourd secret à porter et pour toute cette souffrance qu’il en récolte et que justement, il n’y arrive plus ET peut être aussi qu'il y recherche un renouveau utopique d'une nouvelle vie...

Le suicide est captivant dans cette réflexion de pouvoir sur la vie ; je n’en fais pas l’apologie mais la mort est fascinante quoique la vie aussi est magique, malheureusement on en fait un enfer et c’est pour ça aussi que certains se suicident.

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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
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La vie est cruelle mais c'est le principe de la vie ; à peine avons-nous poussé notre premier cri que nous sommes déjà engagés dans la lutte pour la survie.

C'est parce-que sa vie est faite de luttes et de combats que l'homme est ce qu'il est.

Le suicide n'est pas forcément une envie de mourir, mais un moyen de mettre fin à sa souffrance à un moment donné.

Certains pratiquants ésotériques évoquent l'inutilité du suicide, car si on a trébuché sur une difficulté, il faudra malgré tout lui faire face et prendre en compte son enseignement ici ou dans une autre vie.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 740 messages
If you don't want, you Kant...,
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On doit donc lorsqu'on prend une décision, même pour soi-même, tenir compte des conséquences que cela pourrait avoir sur les autres pour assumer pleinement ses responsabilités à l'égard de nous-même et de la collectivité. Et d'autres peuvent aussi devoir décider pour nous et notre avenir dans un certain cadre (comme notre employeur par exemple) en devant là aussi en assumer les responsabilités sur nous-même (et l'entreprise par exemple) entre autres.

je m'immisce un tantinet dans cette conversation, pour pointer un éventuel oubli.

Si je comprends bien, tu dis que tout un chacun a des droits et des devoirs, pour résumé, y compris pour le suicidaire, il me semble pourtant, que tu suis le même travers que Demonax, en omettant que la dite société, peut être justement la source de tous les maux de l'individu, alors si il est redevable à celle-ci juridiquement, civilement, mais qu'en même temps, elle est identifiée comme agressive, pervertie, tyrannique, il est légitime de refuser de reconnaitre notre engagement, notre devoir de citoyen, on pourrait même parler de rupture de contrat, pour continuer avec ton analogie, pour faute grave, dans ce cas, il n'y a plus d'engagement et peut-être même aucun préavis.

En clair, si la collectivité dont tu parles ne fait non seulement pas ce pour quoi elle existe envers la personne concernée, et pire devient le principal centre émetteur des souffrances endurées, je ne vois pas pourquoi elle mériterait une attention particulière, d'être ménagée ou prise en compte dans l'équation sur les implications, car par symétrie au moins, elle ne se soucie pas outre mesure des siennes sur l'individu poussé à des pensées morbides.

Imagine l'enfant qui a besoin d'être cajolé, réconforté, parce que vivant des moments pénibles, insupportables, mais que le ou les tyrans sont justement ses propres parents, vers qui veux-tu qu'il trouve le soutien utile et nécessaire pour faire front, vers qui se tourner dans sa grande détresse ? Une famille d'accueil, un centre, des grands-parents, ce sera sans doute un pis-aller, mais quand le cercle lui-même est déjà le tout, n'est pas une simple cellule parmi tant d'autres, le plus grand ensemble, la fameuse société, quelle est le substitutif, le palliatif, le succédané ? Quelle issue ?

Si notre planète devait être inhospitalière/délétère subitement, vers quoi aller, comment s'en extraire demain ? ( par similitude avec le suicide, et donc l'état apathique, il faudrait envisager des humains déjà infectés ou malades, réduits, amoindris mais devant faire des choix, prendre des décisions critiques avec de sérieux handicapes assez rapidement, et non avec tout le temps et les moyens que nous disposons là maintenant, sans réel danger au-dessus de nos têtes )

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 740 messages
If you don't want, you Kant...,
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La vie est cruelle mais c'est le principe de la vie ; à peine avons-nous poussé notre premier cri que nous sommes déjà engagés dans la lutte pour la survie.

Voui !

C'est parce-que sa vie est faite de luttes et de combats que l'homme est ce qu'il est.

Comme tout organisme vivant, non !?

Le suicide n'est pas forcément une envie de mourir, mais un moyen de mettre fin à sa souffrance à un moment donné.

Souvent, en tout cas dans ceux que l'on a envisagé implicitement.

Certains pratiquants ésotériques évoquent l'inutilité du suicide, car si on a trébuché sur une difficulté, il faudra malgré tout lui faire face et prendre en compte son enseignement ici ou dans une autre vie.

Ce serait presque une question de tempérament, celui qui pense qu'il faut performer, se battre en tout, ne conçoit pas, ne peut pas envisager de ne pas tout mettre en oeuvre pour réussir, à l'image de la réussite sociale ou professionnelle, voire sportive.

Mais pour que ceci puisse avoir lieu, il y a un préambule, c'est celui de l'envie, c'est parce que ils ont envie de se battre, de réussir, de résoudre une difficulté, qu'ils se posent en challengers, mais lorsque l'on arrive à envisager que cette envie puisse s'estomper, comme la flamme d'une bougie peut s'éteindre, on se retrouve dans le noir, sans carburant pour alimenter toutes ses belles idées qui carburent intrinsèquement à l'envie.

Quand l'envie de vivre, et donc de se battre quitte l'individu, aucune recette miracle, aucune méthode habituelle chez celui qui en dispose ne fonctionne, ne peut réussir, le problème est plus profond, alors que les observateurs négligents ne regardent qu'en surface, le sabotage a déjà été consumé/consommé. Il reste peut-être pour certains encore la possibilité de les ramener à la vie, à la lumière, par la chaleur humaine qu'on leur témoigne, qui avec un peu de chance ravivera, rallumera leur propre bougie, cet élan vital, qui n'a rien de rationnel, mais plutôt viscéral, émotionnel, sentimental...

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Membre, 36ans Posté(e)
sirielle Membre 8 525 messages
Maitre des forums‚ 36ans‚
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je m'immisce un tantinet dans cette conversation, pour pointer un éventuel oubli.

Si je comprends bien, tu dis que tout un chacun a des droits et des devoirs, pour résumé, y compris pour le suicidaire, il me semble pourtant, que tu suis le même travers que Demonax, en omettant que la dite société, peut être justement la source de tous les maux de l'individu, alors si il est redevable à celle-ci juridiquement, civilement, mais qu'en même temps, elle est identifiée comme agressive, pervertie, tyrannique, il est légitime de refuser de reconnaitre notre engagement, notre devoir de citoyen, on pourrait même parler de rupture de contrat, pour continuer avec ton analogie, pour faute grave, dans ce cas, il n'y a plus d'engagement et peut-être même aucun préavis.

En clair, si la collectivité dont tu parles ne fait non seulement pas ce pour quoi elle existe envers la personne concernée, et pire devient le principal centre émetteur des souffrances endurées, je ne vois pas pourquoi elle mériterait une attention particulière, d'être ménagée ou prise en compte dans l'équation sur les implications, car par symétrie au moins, elle ne se soucie pas outre mesure des siennes sur l'individu poussé à des pensées morbides.

Imagine l'enfant qui a besoin d'être cajolé, réconforté, parce que vivant des moments pénibles, insupportables, mais que le ou les tyrans sont justement ses propres parents, vers qui veux-tu qu'il trouve le soutien utile et nécessaire pour faire front, vers qui se tourner dans sa grande détresse ? Une famille d'accueil, un centre, des grands-parents, ce sera sans doute un pis-aller, mais quand le cercle lui-même est déjà le tout, n'est pas une simple cellule parmi tant d'autres, le plus grand ensemble, la fameuse société, quelle est le substitutif, le palliatif, le succédané ? Quelle issue ?

Si notre planète devait être inhospitalière/délétère subitement, vers quoi aller, comment s'en extraire demain ? ( par similitude avec le suicide, et donc l'état apathique, il faudrait envisager des humains déjà infectés ou malades, réduits, amoindris mais devant faire des choix, prendre des décisions critiques avec de sérieux handicapes assez rapidement, et non avec tout le temps et les moyens que nous disposons là maintenant, sans réel danger au-dessus de nos têtes )

Je n'ai pas omis de préciser que la société (naturellement parlant) a elle aussi des devoirs à l'égard des individus la composant, et j'ajoute logiquement, d'autant plus si elle doit s'amender des nuisances dont elle est responsable. Mais la société n'est certainement pas la seule responsable des suicides. Et quand bien même ce serait le cas, on peut la changer, mais on ne peut pas s'en passer vraiment. Elle est avant tout une chance, pas dans le sens de ce qu'elle est mais de ce qu'elle représente, un ensemble d'individus unis pour une justice commune, quels que soient les défauts ayant pu se développer en son sein et dont j'ai bien conscience. Aucune faute n'en justifie vraiment une autre et tu te trompes lourdement si tu imagines à travers mes écrits que la société française par exemple est à mes yeux parfaite ou même uniquement bénéfique car je la juge malgré sa nécessité très nocive, cependant je crois qu'elle suit des objectifs très constructifs et utiles. ("L'enfer est pavé de bonnes intentions".) Quoi qu'il en soit et quoi qu'on veuille, œuvrer justement pour soi-même est bénéfique à la société et l'inverse est vrai aussi. Et tu peux à peu près autant te passer d'elle, dans l'état dans lequel elle est, que tu peux te passer de l'air pollué que tu respires et qui te rend malade. Si cet air te fait mourir, un de ses rôles n'en reste pas moins de te faire vivre et tu peux lui en être reconnaissant.

Chaque individu est relié aux autres qu'il le veuille ou non, et ensemble ils forment une autre unité, et cette unité possède elle aussi un instinct de survie même si certains de ses individus l'ont plus ou moins perdu. Cette unité a l'instinct de protéger chacun de ses membres si la situation le nécessite et ceux-ci peuvent lui en être reconnaissants. Plus ceux la composant ont l'instinct de survie, et plus celui de l'unité qu'ils forment est développé. Et ce, même si cette unité est malade, et qu'en conséquence elle infecte un peu chacun de ceux la composant, peux les mettre en danger et parfois les tuer.

Pour répondre brièvement à ta vaste et vague question concernant l'enfance malheureuse nombreux sont les êtres vivants pouvant apporter gratuitement ou pas réconfort et tendresse si l'occasion leur en est donnée, (la société n'a pas qu'un seul visage, elle en a beaucoup), et chacun d'eux peuvent aussi trouver cela partiellement au moins en eux-mêmes.

Au sujet d'une planète inhospitalière et délétère, pour faire simple il y a deux solutions possibles, tenter d'améliorer la situation sur place et trouver si possible un autre lieu de vie.

Modifié par sirielle
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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
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Cruauté de la vie n'est pas absurdité de la vie.

La vie peut etre extrémement cruelle, en effet, vous écraser ou vous prendre en un instant tout ce que vous chérissez le plus au monde.

Dans le premier cas cela peut vous pousser a devenir plus fort ( " tout ce qui ne nous tue pas nous rend pus fort" ), dans le deuxième cas plutot a devenir un philosophe qu'un guerrier, vivre pour ceux qui restent, vivre pour avoir confirmation que " la vie ne vaut rien" ( Cioran je crois )

L'absurdité de la vie c'est le problème de l'amour, est ce que ça existe en dehors des liens familiaux, donc biologiques ?

Est-il possible de trouver sa place, de s'intégrer dans une société ou l'amour est absent ?

Peut-on s'épanouir, ou avoir envie de s'épanouir, dans la froide indifférence du monde ?

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 740 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Je n'ai pas omis de préciser que la société (naturellement parlant) a elle aussi des devoirs à l'égard des individus la composant, et j'ajoute logiquement, d'autant plus si elle doit s'amender des nuisances dont elle est responsable. Mais la société n'est certainement pas la seule responsable des suicides. Et quand bien même ce serait le cas, on peut la changer, mais on ne peut pas s'en passer vraiment. Elle est avant tout une chance, pas dans le sens de ce qu'elle est mais de ce qu'elle représente, un ensemble d'individus unis pour une justice commune, quels que soient les défauts ayant pu se développer en son sein et dont j'ai bien conscience. Aucune faute n'en justifie vraiment une autre et tu te trompes lourdement si tu imagines à travers mes écrits que la société française par exemple est à mes yeux parfaite ou même uniquement bénéfique car je la juge malgré sa nécessité très nocive, cependant je crois qu'elle suit des objectifs très constructifs et utiles. ("L'enfer est pavé de bonnes intentions".)

Par collectivité ou société, je n'entendais pas uniquement une entité étatique, d'où mes exemples plus proches de groupe ou claniques. Ce qui par conséquent n'avait pas trait à une supposition de ma part sur ton engagement du cas de la France.

Sinon, si on croit au contrat social, je suis plutôt d'accord, même si rien n'est parfait, et surtout pas ceux qui font vivre le système entier, y compris tout un chacun.

Quoi qu'il en soit et quoi qu'on veuille, œuvrer justement pour soi-même est bénéfique à la société et l'inverse est vrai aussi. Et tu peux à peu près autant te passer d'elle, dans l'état dans lequel elle est, que tu peux te passer de l'air pollué que tu respires et qui te rend malade. Si cet air te fait mourir, un de ses rôles n'en reste pas moins de te faire vivre et tu peux lui en être reconnaissant.

Oui malgré tout, je te le concède, mais parce que j'ose dire que j'ai su ou eu la chance de pouvoir tirer mon épingle du jeu, toutefois je reste conscient que tout le monde ne jouit pas de la place qu'est la mienne dans notre société, même si elle n'est en rien glorieuse ou célèbre, à vrai dire très banale selon moi.

Chaque individu est relié aux autres qu'il le veuille ou non, et ensemble ils forment une autre unité, et cette unité possède elle aussi un instinct de survie même si certains de ses individus l'ont plus ou moins perdu. Cette unité a l'instinct de protéger chacun de ses membres si la situation le nécessite et ceux-ci peuvent lui en être reconnaissants. Plus ceux la composant ont l'instinct de survie, et plus celui de l'unité qu'ils forment est développé. Et ce, même si cette unité est malade, et qu'en conséquence elle infecte un peu chacun de ceux la composant, peux les mettre en danger et parfois les tuer.

Oui.

Il n'y a même pas besoin de faire appel à l'unité de la société, il suffit de vivre un évènement suffisamment perturbateur pour être détraqué, comme ceux qui sont revenus d'Afghanistan, et plus particulièrement ceux qui sont dans un environnement délétère, milieu qui se trouve être celui où ils vivent sans pouvoir s'en extraire, y échapper, les laisser pour compte, comme les histoires de famille peu reluisantes, etc, la société recouvre plusieurs visages, pas que celui d'une nation, la société d'un banlieusard n'a certainement rien à voir avec celui d'un châtelain, tout comme la Terre semble centrée sur l'Univers, l'individu se voit au centre de son microcosme inévitablement, et tout le monde n'a pas la compétence de s'extraire de l'équation, de rendre abstrait son existence, pour le pire comme pour le meilleur.

Pour répondre brièvement à ta vaste et vague question concernant l'enfance malheureuse nombreux sont les êtres vivants pouvant apporter gratuitement ou pas réconfort et tendresse si l'occasion leur en est donnée, (la société n'a pas qu'un seul visage, elle en a beaucoup), et chacun d'eux peuvent aussi trouver cela partiellement au moins en eux-mêmes.

Au sujet d'une planète inhospitalière et délétère, pour faire simple il y a deux solutions possibles, tenter d'améliorer la situation sur place et trouver si possible un autre lieu de vie.

Mais faut-il que l'information ou la communication soit disponible récip. possible !

Tu le dis toi-même, nous ne sommes pas des êtres auto-suffisants, la force on la trouve bien souvent à l'extérieur, mais lorsque cet extérieur est la source de nos maux, et que l'on va mal, la recherche d'une solution, même triviale devient particulièrement difficile, les grains de sable s'élèvent comme des montagnes, ce qui est évident de notre position ne l'est très certainement pas pour ceux qui vivent l'enfer, de même pour faire la parallèle avec Demonax, si tu as déjà été privé de sommeil, ne serait-ce qu'une nuit, tu te rendras compte à quel point il est périlleux ensuite d'avoir les idées claires, si cette situation se renouvelle, on imagine facilement la causticité, par analogie, que les gens ( enfants compris ) endurent.

C'est pourquoi j'ai parlé d'évènement prompt, pour mettre dans l'urgence d'agir, se rapprochant de la situation vécue de ceux qui souffrent intérieurement, leur malêtre est omniprésent, donc en l'état actuel nous ne serions pas fichu de trouver une solution, hormis celle naturelle, darwinienne de la survie du plus apte, en cas de pépin sur notre planète !

Modifié par deja-utilise
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