La dépression en héritage

Les enfants de parents déprimés ont trois fois plus de risques de souffrir du même problème, et les récidives tardives sont toujours à redouter.

En cette période plutôt morose, les derniers résultats de travaux sur les troubles dépressifs repris par le Journal international de médecine (JIM) n'ont rien de bien engageant. En effet, ils confirment le fait que les enfants de parents déprimés risquent plus que les autres d'avoir le moral en berne. Qui plus est, des récidives tardives – vers la quarantaine – sont à redouter. Tels sont les enseignements de trois enquêtes successives, publiées dans les Archives of General Psychiatry en 1957 puis dans l'American Journal of Psychiatry en 2006 et en 2016.

L'étude, réalisée aux États-Unis, portait sur le devenir de 103 enfants de parents « modérément à sévèrement déprimés », par rapport à celui de 44 enfants de parents non déprimés (issus d'une communauté avec le même profil sociologique). Elle a permis de comparer ces deux populations pendant trois décennies (âge moyen : environ 47 ans en fin d'étude). Le JIM souligne que, « pour ne pas être influencés dans leurs évaluations cliniques, les praticiens examinant ces enfants restaient dans l'ignorance du statut des parents (déprimés ou non) plusieurs années auparavant ». Ce qui donne du poids à leurs conclusions.

suite de l'article

http://www.lepoint.fr/editos-du-point/anne-jeanblanc/la-depression-en-heritage-06-06-2016-2044724_57.php

Le JIM souligne que, « pour ne pas être influencés dans leurs évaluations cliniques, les praticiens examinant ces enfants restaient dans l'ignorance du statut des parents (déprimés ou non) plusieurs années auparavant ». Ce qui donne du poids à leurs conclusions.

Mouais.

SI on a des parent déprimés, ça se voit.

Les enfants sont de véritables aimants à émotions.

Il me parait peu probable qu'ils ne se rendent compte de rien.

De fait, il sont influencés.

D'où peut-être plus de risque qu'ils connaissent les mêmes affres.

F

Les psychiatres, putains des industries d' un complexe chimico pharmaceutique proxénète toujours plus gourmand dans sa quête de clientèle captive, et qui donc après s' être attaqué au segment déjà saturé des adultes, entreprennent depuis quelques décennies d' élargir le champ de leur bizeness avec celui de la descendance...

http://www.lemonde.fr/sciences/article/2013/05/13/dsm-5-le-manuel-qui-rend-fou_3176452_1650684.html

http://www.ccdh-aude.fr/wp-content/themes/mimbo2.2_%28niss%29/images/dechaine8.pdf

L'éducation parent-enfant n'est rien d'autre qu'une transmission de névrose .

D'accord avec BadKarma

Mouais.

SI on a des parent déprimés, ça se voit.

Les enfants sont de véritables aimants à émotions.

Il me parait peu probable qu'ils ne se rendent compte de rien.

De fait, il sont influencés.

D'où peut-être plus de risque qu'ils connaissent les mêmes affres.

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Donc on a le droit d'en vouloir à ses parents

Faux ! L'hérédité des maladies n'ont jamais existé. J'en suis la preuve vivante, je croyais pendant des années que j'allais rester soi-disant malade toute ma vie à cause de la biologie de mes parents, mais non. Je vous conseille de désapprendre ce que beaucoup de professionnels croient savoir ! J'ai guéris du jour au lendemain, en comprenant que la notion de maladie est imaginaire, imaginée par des croyances depuis plusieurs civilisations. Je ne prends zéro médicaments alors que j'en prenais quatre auparavant, je ne vois plus de psychiatre, je ne fais plus d'activité psychothérapeutique, et conclusion, je suis épanouis tous les jours ! Je sors tous les jours, je mange ce qui me plaît, je rigole avec des inconnus, je vois ma famille, je vois mes amis, je fais diverses activités, je voyage, ... incroyable mais véridique !

D'accord avec Badkarma...

Faux ! L'hérédité des maladies n'ont jamais existé. J'en suis la preuve vivante, je croyais pendant des années que j'allais rester soi-disant malade toute ma vie à cause de la biologie de mes parents, mais non. Je vous conseille de désapprendre ce que beaucoup de professionnels croient savoir ! J'ai guéris du jour au lendemain, en comprenant que la notion de maladie est imaginaire, imaginée par des croyances depuis plusieurs civilisations. Je ne prends zéro médicaments alors que j'en prenais quatre auparavant, je ne vois plus de psychiatre, je ne fais plus d'activité psychothérapeutique, et conclusion, je suis épanouis tous les jours ! Je sors tous les jours, je mange ce qui me plaît, je rigole avec des inconnus, je vois ma famille, je vois mes amis, je fais diverses activités, je voyage, ... incroyable mais véridique !

Vos soins vous ont réussis , il fallait peut-être passer par là pour être devenu la personne épanoui d'aujourd'hui ☺ Ravie pour vous .

Faux ! L'hérédité des maladies n'ont jamais existé. J'en suis la preuve vivante, je croyais pendant des années que j'allais rester soi-disant malade toute ma vie à cause de la biologie de mes parents, mais non. Je vous conseille de désapprendre ce que beaucoup de professionnels croient savoir ! J'ai guéris du jour au lendemain, en comprenant que la notion de maladie est imaginaire, imaginée par des croyances depuis plusieurs civilisations. Je ne prends zéro médicaments alors que j'en prenais quatre auparavant, je ne vois plus de psychiatre, je ne fais plus d'activité psychothérapeutique, et conclusion, je suis épanouis tous les jours ! Je sors tous les jours, je mange ce qui me plaît, je rigole avec des inconnus, je vois ma famille, je vois mes amis, je fais diverses activités, je voyage, ... incroyable mais véridique !

Etonnant

Donc on a le droit d'en vouloir à ses parents

Sauf qu'à un moment il faudrait se donner la possibilité de tenter de s'en sortir ......

Je ne pense en aucun point. Dès l'adolescence, je me posais régulièrement des questions, Pour la plupart existentielles, et je gagnais des réponses progressivement satisfaisante pour me comprendre et comprendre le monde. Je n'aurai jamais eu besoin de tomber soi-disant malade pour avancer dans mes quêtes de questions-réponses. Hihi !

Mais, bonne remarque !

+1

Ca me paraît être la palisse ce genre de truc. Et on ne parle pas d'hérédité mais d'un terrain plus fragile, bah ! Je me demande s'il y avait vraiment besoin d'une étude pour ça.

Les psychiatres, putains des industries d' un complexe chimico pharmaceutique proxénète toujours plus gourmand dans sa quête de clientèle captive, et qui donc après s' être attaqué au segment déjà saturé des adultes, entreprennent depuis quelques décennies d' élargir le champ de leur bizeness avec celui de la descendance...

http://www.lemonde.f...52_1650684.html

http://www.ccdh-aude...s/dechaine8.pdf

*Et sinon, j'ai un excellent bouquin : "Du chocolat à la morphine", Andrew Weil et Winifred Resen. A ne pas mettre en toutes les mains *

Donc on a le droit d'en vouloir à ses parents

Je ne suis pas d'accord avec toi Rasibus.. Les couples "en proie à la dépression" ne devraient pas faire d'enfant si tu veux (et encore, c'est très discutable) mais les couples "prédisposés" ne déclareront pas tous une dépression. Et heureusement parce-que ça ferait tellement de dépressifs qu'on n'est pas sûr de pouvoir survivre à côté !

OK, January