Clinique psychiatrique

Je n'ai pas lu les pages précédentes mais ce que je lis là est complètement débile et d'une prétention sans borne. Les troubles de l'humeur, eux, peuvent altérer le jugement ; les traitements médicamenteux (adp) visent précisément à la restauration du bon fonctionnement des neuromédiateurs et par extension du jugement... Ta remarque est donc juste la preuve que tu n'y connais rien.

Encore une fois, je n'y connais rien ... PFFFF

Ouais ouais ouais...

Donc, quelqu'un va mal, il prend des médicaments pour aller mieux ?!

Exemple: Je suis à 80% de ma cohérence, je prends des médicaments après avoir consulté et m'être fait prescrit des médicaments, je serais à nouveau à 100% ?

Si moi je n'y connais rien et suis dangereux dans ma manière d'analyser les choses, tu y participes avec une extrême légerté sur le sujet d'une personne qui n'est plus elle même depuis des années et qui, justement voudrait pouvoir redevenir NORMALE !

Il est évident que quelque chose ne va pas... Et comment peut-on faire, Théia pour retrouver une Lily comme elle l'était quand tout allait bien ?

Si ce n'est repartir depuis le départ = Sevrée de tout médicament pour observer son fonctionnement naturel ?

Quelles seraient les autres solutions ?

@Pep-psy: normalment je suis d'accord avec ce que tu dis, ta façon de voir les choses vraiment très critique et tres lucide sur les enjeux des pharmas et de l'hyper-medicalisation de nos sociétes, la déresponsabilisation individuelle, etc...mais là, je trouve que c'est un peu le championnat de la mauvaise foi hein...comme le dit January avec sa grande patience : C'est une vision personnelle de chacun...

J'avais écrit une réponse, mais elle a été supprimée...

Suppression du dernier post. et puisque ce n'est pas clair, je la refais en rouge :

Toute incitation à mettre fin à un traitement médicamenteux sera sanctionnable car considéré comme exercice illégal de la médecine. Et ce, quelles que soient les bonnes intentions du conseilleur.

Suppression du dernier post. et puisque ce n'est pas clair, je la refais en rouge :

Toute incitation à mettre fin à un traitement médicamenteux sera sanctionnable car considéré comme exercice illégal de la médecine. Et ce, quelles que soient les bonnes intentions du conseilleur.

Je n'ai pas DU TOUT écrit d'arrêter quoi que ce soit ! Si tu interprêtes à ta sauce ce que les autres écrivent, autant que tu écrives toi-même les réponses à leurs places !

J'avais écrit une réponse, mais elle a été supprimée...

Refais-là sans la partie qu'on ne peut laisser en ligne. Si ton jugement est clair tu devrais être capable de faire le tri de ce qui est publiable et de ce qui ne l'est pas.

Je n'ai pas DU TOUT écrit d'arrêter quoi que ce soit ! Si tu interprêtes à ta sauce ce que les autres écrivent, autant que tu écrives toi-même les réponses à leurs places !

Euh si, précisément.

Refais-là sans la partie qu'on ne peut laisser en ligne. Si ton jugement est clair tu devrais être capable de faire le tri de ce qui est publiable et de ce qui ne l'est pas.

Euh si, précisément.

Chère madame ou mademoiselle, derrière les murs d'un établissement médical, on est censé être protégé et de là, parler d'un sevrage de médicament ne me semble pas être du même niveau que de dire à un patient ,en liberté, d'arrêter son traitement médical !

Si je dis qu'il faut qu'il y ait sevrage, ce n'est pas pour rien !

Sinon, la vie de Lily ne sera que bidouillage et essais de laboratoire !

Qui voudrait d'une telle vie ?

Ce que j'avais proposé clairement était un beau projet et je trouve extrêmement réducteur que vous l'ayez, si simplement, supprimé !

Bref, l'agacement a remplacé mon plaisir d'intervenir dans ce sujet...

Je vous laisserai donc, entre spécialistes des médicaments, des traitements et de la psychiatrie !

5. Désolée d'être aussi rigoureuse mais un siècle c'est cent ans j'y peux rien

Tu te rends compte toutes les structures alternatives qu'on a ouvert ? La psychiatrie est de moins en moins "hospitalo-centrée". Les CMP sont les structures pivots et tout autour se coordonne toute une gamme de services ambulatoires qui permettent aujourd'hui aux patients de vivre avec leur maladie. Il s'est créé des unités spécialisées dans certaines prises en charge, elle n'existaient pas (les personnes âgées, les adolescents..) pluss toutes les unités spécialisées dans certaines pathologies.

Tu confonds psychiatrie et neurosciences. Des découvertes en neurosciences il y en a et pas qu'un peu ! On est déjà loin dans les nouveaux enjeux : décrypter l’organisation du système nerveux au niveau cellulaire (biologie moléculaire et cellulaire, biophysique), modéliser les réseaux neuronaux incluant les cellules gliales, comprendre le rôle des neuro-transmetteurs et de la communication électrochimique en général ;- définir les règles d’intégration qui sous-tendent les grandes fonctions sensorielles, motrices, cognitives et comportementales, en développant les approches systémiques incluant par exemple la génétique du comportement, l’éthologie, l’évo-dévo (analyse évolutive et développementale intégrée) ;

- identifier les règles d’interactions de l’esprit humain avec le monde qui l’entoure. Comment le cerveau construit-il les inférences, perçoit-il le temps et l’espace, élabore-t-il les représentations mentales, les idées verbales ou non verbales, construit-il via les motivations et les émotions son expérience et prend-il les décisions ? Ces problématiques nécessitent des analyses comparatives entre le cerveau humain et celui de l’animal. Le défi est ici d’intégrer les neurosciences cognitives et les approches psychologiques, linguistiques, philosophiques, économiques.

(Inserm)

2. Non. Si tu vas voir ton généraliste il peut tout à fait t'orienter auprès d'un psychologue. Il y a encore du progrès à faire mais ça vient doucement.

3. Il n'y a pas besoin d'être chimiquement modifié. Crois-tu que quand j'ai perdu mon fils j'avais toute ma tête ? Soyons sérieux.

4.Evidemment ne sois pas bête, tu ne crois quand même pas que je discuterais ici si ce n'était pas le cas ? Et pourquoi on attendrait d'aller mal pour aller mieux ? Toi perspicace et observateur comme tu te décris, tu ne saurais pas qu'il n'y a pas que quand des mots te sortent de la bouche que tu "parles" ?

1. Tu as oublié le paramètre "mélange". Moi je ne suis pas pharmacienne ni médecin, je n'y connais rien, mais peut être que certaines associations de médicaments changent radicalement ta formule de calcul...

Edit : oh bah s'est passé plein de choses entre temps

Chère madame ou mademoiselle, derrière les murs d'un établissement médical, on est censé être protégé et de là, parler d'un sevrage de médicament ne me semble pas être du même niveau que de dire à un patient ,en liberté, d'arrêter son traitement médical !

Si je dis qu'il faut qu'il y ait sevrage, ce n'est pas pour rien !

Sinon, la vie de Lily ne sera que bidouillage et essais de laboratoire !

Qui voudrait d'une telle vie ?

Ce que j'avais proposé clairement était un beau projet et je trouve extrêmement réducteur que vous l'ayez, si simplement, supprimé !

Bref, l'agacement a remplacé mon plaisir d'intervenir dans ce sujet...

Je vous laisserai donc, entre spécialistes des médicaments, des traitements et de la psychiatrie !

Je pense qu'il y a quelque chose qui t'échappe.

Lily n'a pas été mise sous traitement alors qu'elle allait bien. Ce n'est pas une nana à qui on a décidé un jour de prescrire des médicaments afin de l'aliéner totalement. C'est l'inverse.

Elle n'allait pas bien, et je suppose que progressivement son état s'est détérioré, elle a été diagnostiquée et mise sous traitement.

Si demain le traitement était totalement arrêté, elle ne pourrait pas aller mieux puisque ce n'est pas le traitement qui l'a rendu comme ça. En revanche il doit être affiné et personnalisé en plus d'un suivi pour qu'elle sente un réel mieux.

Chère madame ou mademoiselle, derrière les murs d'un établissement médical, on est censé être protégé et de là, parler d'un sevrage de médicament ne me semble pas être du même niveau que de dire à un patient ,en liberté, d'arrêter son traitement médical !

Si je dis qu'il faut qu'il y ait sevrage, ce n'est pas pour rien !

Sinon, la vie de Lily ne sera que bidouillage et essais de laboratoire !

Qui voudrait d'une telle vie ?

Ce que j'avais proposé clairement était un beau projet et je trouve extrêmement réducteur que vous l'ayez, si simplement, supprimé !

Bref, l'agacement a remplacé mon plaisir d'intervenir dans ce sujet...

Je vous laisserai donc, entre spécialistes des médicaments, des traitements et de la psychiatrie !

C'est bien beau ce que tu dis, je ne vais pas te contredire, mais si tu veux parler des traitements, pourquoi tu ne fais pas un nouveau sujet au lieu de faire du HS depuis quelque jours et pourrir celui de Lily.A qui ne demande seulement de parler des cliniques psy? Car là, ça devient plus que lourd à force et ne montre qu'un manque de sérieux sur les réponses que tu as donnés depuis tout ce temps...

Enfin, je te rappelle que toute incitation à mettre fin à un traitement médicamenteux sera considéré ici comme exercice illégal de la médecine,

Sauf si l'on a un diplôme délivré par l'Académie stroumpfique.

Que cette fatigue psychologique est épuisante !

Je suis vraiment fatiguée..

Et puis cette tristesse immense.. Ce vide, ce sentiment de coeur broyé, mutilé par toutes ces années de souffrances.

Demain, j'ai rendez vous chez mon médecin généraliste qui a eu mon ancien psychiatre au téléphone.

Apparemment ils auraient discuté au sujet de mon futur traitement !

J'ai aussi bientôt rendez vous au CMP, dans quelques jours.

En espérant que je puisse voir un psychiatre assez rapidement.. Mais que j'en ai assez de voir tous ces médecins pour parler de mes problèmes sans jamais avancer.

J'espère vraiment que la modification du traitement fasse quelque chose, car je ne vois que cette solution

Si rien ne change avec le traitement, je vais pas réussir à tenir le coup en ressentant tout ça !

Coup de blues ce soir

Bonsoir, lily regarde bien pour ton rdv car demain c férié

Oui oui, effectivement mon médecin me reçoit un jour férié.. Il est assez farfelu ^^

Alors la je crois que c toi qui nous prend pour des farfelus comme tu dis si bien :smile2: faute de dire pour des cons

4.Evidemment ne sois pas bête, tu ne crois quand même pas que je discuterais ici si ce n'était pas le cas ? Et pourquoi on attendrait d'aller mal pour aller mieux ? Toi perspicace et observateur comme tu te décris, tu ne saurais pas qu'il n'y a pas que quand des mots te sortent de la bouche que tu "parles" ?

1. Tu as oublié le paramètre "mélange". Moi je ne suis pas pharmacienne ni médecin, je n'y connais rien, mais peut être que certaines associations de médicaments changent radicalement ta formule de calcul...

1. J'ai parlé des mélanges et parfois certaines personnes ne sont pas très au clair sur les influances entre médicaments, déjà que seul, un médicament peut avoir de graves effets secondaires, alors mélangés, dieu sait ce que ça peut générer !

4. C'est pour cela que je parlais du comportement qu'on les gens lorsqu'ils vont voir leurs praticiens, tout est faussé, on est sous l'influence + on est différent que d'habitude parce que content d'aller voir celle ou celui qui est censé nous apporter des solutions !

Mais quant bien même, comment veux-tu lire une personne qui est sous influence ? Son comportement sera perturbé, alors bonjour les interprétations !

Ma particularité est justement l'observation du comportement des gens et surtout la lecture au travers de leurs yeux ! Je ne cherche pas à m'expliquer pourquoi j'y arrive, mais plutôt à quoi cela doit me servir vis à vis des personnes dans lesquelles je lis ?!

Hier, dans une personne qui devient de plus en plus proche de moi, j'ai découvert et expliqué un point de son comportement qui avait radicalement changé sans qu'elle ne puisse se l'expliquer !

C'est impressionnant comme le ressenti et les émotions peuvent influencer l'intelligence d'une personne au point qu'elle change de comportement par une sorte de "mode de sécurité"...

Donc, on devient quelqu'un autre, on acquiert un comportement nouveau, on agit d'une manière inconnue de nous-même, parfois, d'un coup et sans arriver à se l'expliquer !

Au point de se dire: "Mais je n'étais pas comme-ça, avant ?!"

C'est pour moi, de l'observer, plus qu'intéressant, c'est carrément captivant !

De mon point de vue, je pense que la psychiatire s'intéresse trop au mental en délaissant le sentimental et l'émotionnel, pensant que le cerveau les influence, alors que c'est très certainement l'inverse !

Alors la je crois que c toi qui nous prend pour des farfelus comme tu dis si bien :smile2: faute de dire pour des cons

Pardon? Pourquoi tu dis ça?

Avant de m'énerver, j'aimerais savoir si tu crois que je mens?

Si tu t'énerves ce sera dans ton coin, tout le monde, ici, va s'en foutre, alors ne gâche pas ton énergie pour ce genre de phrase à la noix !

Oui oui, effectivement mon médecin me reçoit un jour férié.. Il est assez farfelu ^^

Tu as donc eu un changement de traitement ? Est ce que ça correspond un peu à ce que la psy vu en urgence t'avait conseillé (régulateur d'humeur...) Même si cela vient un peu tard, ton médecin a contacté ton psy afin qu'il puisse modifier ton traitement.

Si tu t'énerves ce sera dans ton coin, tout le monde, ici, va s'en foutre, alors ne gâche pas ton énergie pour ce genre de phrase à la noix !

Oui tu as tout à fait raison !

Mais je n'aime pas qu'on me prenne pour une menteuse. Donc avant de répondre, j'attends d'avoir sa version.

Je ne vois pas du tout l’intérêt que j'aurais de dire que je vois mon médecin alors que ce n'est pas vrai !

Quoi ?! Elle a le droit de se poser la question !

Alors, comment ça s'est passé ?