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"Sans la musique la vie serait une erreur "

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Invité sera-angel
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Invité sera-angel
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Ce qui voudrait peut être dire que ce sont nos cellules qui réagissent à la musique, aux sons, aux fréquences et pas notre conscience ?

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Invité
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Invité
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Posté(e)

Ce qui voudrait peut être dire que ce sont nos cellules qui réagissent à la musique, aux sons, aux fréquences et pas notre conscience ?

Oui, c'est comme ça que je vois la chose en tout cas.

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Invité sera-angel
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Invité sera-angel
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Posté(e)

La musique est entrée dans la médecine : musicothérapie.

La fréquences 417 hertz permet de contrôler les réactions émotives et de casser les modèles émotifs cristallisés, la destruction de situations et permet de faciliter le changement. Elle correspond à la note Ré.

Elle nettoierait les expériences traumatisantes et dégagerait les influences destructrices d'évènements passés.

On peut partir du principe que tout a été calculé en vue de la "perfection-bien" et que dans ce cas, la musique pratiquée en vue de faire le "mal" reste encore à créér?

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tison2feu Membre 3 104 messages
Forumeur alchimiste ‚
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ça c'est le poete amoureux inconditionnel de la vie qui parle.

Et je ne pense vraiment pas que ce soit une question d'avoir de la cire dans les oreilles ou pas.

( cire dans les oreilles vs bandeau sur les yeux )

Détrompe-toi, cher Swam ; dans ma bouche, il n'est pas du tout question de "poésie" puisque celle-ci elle passe par les mots. Pour moi, la musique est une affaire de sons, uniquement de sons dans le silence des espaces infinis (Je n'ai d'ailleurs jamais écouté, une seule fois dans ma vie, les paroles d'une chanson... sauf par nécessité dans le cadre d'études thématiques). Sinon, oui : amour indescriptible, attraction mystérieuse pour ces sons sublimes.

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Membre, Posté(e)
tison2feu Membre 3 104 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)

Disons que c'est un moyen d'expression privilégié. A quel(s) autres moyens penses-tu ? Une poésie gestuelle ? smile.gif

(J'avais lu Swam trop vite, distrait par un topic d'à côté: A dire vrai, il faisait allusion à mon amour poétique de la vie, sous-entendant - possiblement à juste titre - que ma représentation du monde devait être poétique et forcément subjective)

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Don Juan Matus Membre 147 messages
Forumeur Débutant‚
Posté(e)

Oui, il est vrai que l'on a tendance à considérer généralement la poésie dans une forme verbale, mais cela ne signifie pas que c'est la forme la plus répandue, en dehors des salons ou des bibliothèques bien entendu. Pour moi une expression artistique est nécessairement poétique. Donc, tous les modes expressifs gestuels peuvent contenir une "âme" ou une intention, voire une structure poétique. la danse, le mime, l'art martial, la musique, la peinture et la sculpture, par exemple.

Mais encore beaucoup de comportements animaux, ou végétaux peuvent être habités, selon moi, par une dimension poétique. bref, je crois que l'on va être tenu de redéfinir la poésie. :)

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Invité sera-angel
Invités, Posté(e)
Invité sera-angel
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Posté(e)

Emotions vs sensations

Nos pensées, sont vibrations

Nos émotions, sont vibrations

Nos sentiments ou sensations, sont vibrations

Fréquences et vibrations sont des sons..

Quand on a des sentiments on créé des vibrations à l'intérieur et ses vibrations se font ressentir ou s'expriment même à l'extérieur.. L'eau vibre et nous sommes faits à 65%/70% d'eau.

On attribue une manifestation physique à chacune de nos émotions. (Le bonheur comme l'amour font rayonner).

Les émotions humaines sont ressenties physiquement dans le corps de la même manière par tous, quelque soit la culture d'origine de l'individu.

Ces émotions (ressenti des 5 sens qui s'expriment dans le corps) se caractérisent par une accélération des rythmes cardiaques, respiratoires.. par des vibrations.. et nous font ressentir des sensations (ressenti des 5 sens qui s'expriment dans le cerveau)..

C'est de cette sensation et état d'âme qui transporte, influence, bouleverse que naît l'émotion.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 989 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Parce que la vie est énergie, que nous sommes énergie et que nous vibrons à différentes fréquences, fréquences qui agissent sur nous (certaines peuvent tuer ou guérir), qui réconfortent nos cellules.

Que nos cellules soient sensibles à des actions mécaniques, n'est plus un scoop, qu'elles soient donc par le truchement des ondes à action mécanique, réactives, est entendable, les autres " types " de fréquences ont une action plutôt indirecte, comme produire de la chaleur pour détruire la cellule par exemple, mais attention, ce n'est pas la cellule elle-même qui capte ces fréquences, qui " résonne ", mais plutôt un composant particulier de celles-ci, très souvent l'eau qu'elles contiennent ( que ce soit l'IRM ou le four à micro-onde ou le traitement des tumeurs par laser ).

Attention aux dérives d'interprétation, dont le lien fourni laisse présager l'étendue... :sleep:

J'ai bien peur que ce ne soit qu'un ramassis d'âneries, de néo-astrolgues exotériques reconvertis en superstitieux pseudo-scientifiques !

La musique communique avec l'intelligence Divine du corps à un niveau cellulaire élevant la conscience de chacune de nos cellules.

Aïe !

? :gurp:

La fréquence de l'Univers est de 432 hertz .. Goebels l'a changé en 44O hertz

Ouille ! Ça fait mal aux oreilles... :D

https://fr.wikipedia.org/wiki/Diapason :

Hauteur du la du diapason

En 1859, la fréquence du « la » est normalisée d'abord en France à 435 Hz à la température de 18 °C, puis internationalement réglementée en 1885 à la Conférence de Vienne. Mais les instruments ont alors des cordes soumises à des contraintes de plus en plus fortes si bien que cette fréquence de référence est augmentée, variant même d'un pays à l'autre5.

La Conférence internationale de Londres en 1953 a fixé la fréquence du la3 à 440 Hz. Un diapason de référence avait toutefois déjà été établi en 1939 par la Fédération internationale des associations nationales de standardisation (ancêtre de l'Organisation internationale de normalisation), avec 440 Hz pour le la3 à une température de 20 °C. L'Orchestre philharmonique royal utilisait jusqu'alors une fréquence de 439 Hz pour l'accord. Le standard fut rapidement adopté par la BBC qui généra électroniquement le signal à la bonne fréquence via un cristal piézoélectrique6 et demanda à l'orchestre de se caler sur cette nouvelle référence. La norme a été rééditée en janvier 1975 (ISO 16:19757).

Cette norme est généralement adoptée par tous les instrumentistes, exception faite de beaucoup d’ensembles spécialisés dans la musique baroque, qui choisissent de nombreux diapasons, les plus courants allant de 392 à 415 Hz — ils nécessitent une tension moindre des cordes d’instruments tels que violes, luths, guitares, clavecins. Il faut noter que les écarts de fréquence entre 440 Hz et 415 Hz d'une part, entre 415 Hz et 392 Hz d'autre part correspondent à un intervalle de demi-ton. Certains clavecins possèdent deux la, que l'on obtient par un mécanisme de déplacement du clavier. Le « la 415 » est communément appelé « la baroque », mais il n'est qu'une convention et ne correspond en réalité à aucun diapason historique attesté.

Avant la normalisation de 1953, le la de référence a pris toutes sortes de valeurs aussi arbitraires qu'imprévisibles. En voici quelques-unes :[réf. nécessaire]

Année Hertz Lieu 1495 506 Orgue de la cathédrale de Halberstadt 1511 377 Schlick organiste à Heidelberg 1543 481 Sainte-Catherine Hambourg 1636 504 Mersenne ton de chapelle 1636 563 Mersenne ton de chambre 1640 458 Orgues des franciscains à Vienne 1648 403 Épinette Mersenne 1688 489 Saint-Jacques Hambourg 1700 404 Paris ton moyen 1750 390 Orgue Dallery de l'abbaye de Valloires 1751 423 Diapason Haendel 1766 370 Orgue Dubois de l'abbatiale de Wissembourg 1780 422 Diapason Mozart 1810 432 Paris diapason moyen 1819 434 Cagniard de La Tour 1823 428 Opéra comique Paris 1834 440 Scheibler congrès de Stuttgart 1856 449 Opéra de Paris Berlioz 1857 445 San Carlo Naples 1859 435 Diapason français arrêtés ministériels 1859 456 Vienne 1863 440 Tonempfindungen Helmholtz 1879 457 Pianos Steinway USA 1885 435 Conférence de Vienne (fréquence internationalement réglementée) 1899 440 Covent Garden 1939 440 Diapason international normal 1953 440 Conférence de Londres

https://fr.wikipedia...%A0_micro-ondes :

Le fond diffus cosmologique, ou de plus en plus souvent fond diffus micro-onde ou fond cosmique de micro-ondes1, est le nom donné au rayonnement électromagnétique issu, selon le modèle standard de la cosmologie, de l'époque dense et chaude qu'a connue l'Univers par le passé, le Big Bang. Bien qu'issu d'une époque très chaude, ce rayonnement a été dilué et refroidi par l'expansion de l'Univers et possède désormais une température très basse de 2,728 K (-270,424 °C). Le domaine de longueur d'onde dans lequel il se situe est celui des micro-ondes, entre l'infrarouge et les ondes radio. Plus précisément, les longueur d'onde et fréquence typiques du rayonnement sont respectivement 1,9 mm et 160 GHz.

https://fr.wikipedia...%A0_micro-ondes :

Action des micro-ondes sur la molécule d'eau

220px-Water_molecule_3D.svg.png Représentation schématique d'une molécule d'eau avec en rouge l'atome d'oxygène et en blanc les atomes d'hydrogène La molécule d'eau est formée d'un atome d'oxygène et deux atomes d'hydrogène (formule chimique : H2O). Elle est dipolaire, c'est-à-dire que le barycentre des charges négatives et celui des charges positives ne sont pas confondus ; cela est dû au fait que l'atome d'oxygène est plus électronégatif que celui d'hydrogène, et à la géométrie coudée de la molécule.

Les molécules d'eau d'un aliment à l'état normal sont dans le désordre : elles ne respectent aucun ordre d'orientation particulier. Mais lorsqu'elles sont soumises à un champ électrique continu, les pôles positifs des molécules d'eau ont tendance à s'orienter en direction de ce dernier.

Quand elles sont soumises aux micro-ondes, les molécules d'eau de l'aliment s'orientent en direction du champ électrique qui compose ces ondes. Ce champ étant tournant, les pôles tournent donc perpendiculairement à l'axe de symétrie de la molécule.

Si le four émettait en fréquence plus basse, il ferait tout autant osciller les molécules d'eau mais il n'y aurait pas d'absorption de l'énergie des ondes dans l'aliment et donc de dégagement de chaleur. En effet, ce n'est qu'au-delà de la fréquence de 1 GHz environ que l'oscillation de l'eau a du mal à suivre l'oscillation du champ électrique des micro-ondes. Il s'ensuit que pour des fréquences égales ou supérieures à celle-ci, un déphasage apparaît entre les orientations respectives de ce champ et de la molécule d'eau. La conséquence est ce que l'on appelle une perte diélectrique, génératrice de chaleur, et due à un phénomène que l'on appelle « relaxation » des molécules d'eau. Il ne s'agit donc pas d'un quelconque phénomène de résonance.

Le choix de la fréquence du micro-ondes ressort d'un juste compromis entre réchauffement de l'aliment et pénétration dans celui-ci. En effet, si l'on avait choisi une fréquence plus faible, l'onde traverserait l'aliment sans le réchauffer, puisque les molécules oscilleraient librement, permettant une conservation du champ électrique dans la matière, et donc sans causer de perte diélectrique. En revanche, si l'on avait choisi une fréquence plus élevée, l'onde serait totalement absorbée en surface de l'aliment, en raison de l'impossibilité de l'eau d'osciller en phase, et donc la localisation de la totalité des pertes diélectriques en surface.

Le magnétron est constitué d'une anode cylindrique, composée de cavités, celles-ci se trouvent dans l'axe d'une cathode chauffante. Plus il y a de cavités plus le rendement est élevé.

L'anode et la cathode sont séparées par un espace que l'on appelle l'espace d'interaction qui se trouve sous vide. Ces cavités dites « cavités résonantes » peuvent avoir des formes différentes selon le magnétron considéré. On trouve aussi deux aimants qui sont fixés perpendiculairement à l'axe du tube.

Un champ électrique continu est appliqué entre l'anode et la cathode. Ce champ a une valeur de l'ordre de plusieurs kilovolts pour un espace d'interaction de quelques millimètres. Les électrons libérés par la cathode sont accélérés par le champ électrique continu. En l'absence des aimants, les électrons iraient directement sur l'anode, la combinaison des deux champs crée un nuage d'électrons tournant entre l'anode et la cathode. Ces charges entrent en interaction avec les cavités résonnantes du bloc anodique qui deviennent le support d’oscillations électromagnétiques. Les dimensions de ces cavités sont calculées pour que les ondes aient une fréquence de 2 450 MHz. Une partie de ces ondes est acheminée vers le guide d'onde grâce à divers moyens de couplage.

Le guide d'onde transmet celles-ci dans la cavité du four et elles vont permettre de réchauffer l'aliment.

P.S.: Il n'empêche que j'ai apprécié tes autres interventions, sur d'autres sujets, disons plus classiques.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 989 messages
If you don't want, you Kant...,
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Je me permet de répondre meme si cela ne m'est pas adressé.

C'est l'effet catharsis, les grecs aimaient beaucoup les tragédies dans leur théatre, plus que les comédies.

Et je ne suis pas du tout géné par cela, seulement par le pouvoir de la musique qui peut nous faire basculer d'un etat triste ( avec toutes les raisons de l'etre ) a un etat joyeux, ou inversement.

Un peu l'effet de la pilule anti dépressive.

Aucun problème, nous sommes ici pour discuter.

Je vois cela, en terme d'influence, comme les odeurs si tu veux, c'est ce qui favorise certaines tendances, pas ce qui crée le phénomène. Que nous soyons sensibles aux couleurs, aux odeurs ou à la musicalité, est une chose, que ceux-ci soient les causes d'un changement c'est moins probable, sauf si il y a un conditionnement de types pavlovien ou skinnerien derrière, par contre, il est plus vraisemblable que leur concours puissent faciliter une évolution d'humeur par leur caractère agréable ou désagréable, toutefois, comme l'odeur, la musique finit par être transparente à notre attention au bout d'un temps assez court, puisqu'il y a le phénomène d'habituation qui opère, sauf peut-être à maintenir/forcer sa vigilance/écoute/attention au détriment d'autre chose, pendant un laps de temps plus ou moins long, mais en aucun cas continument et indéfiniment, car tout finit par s'émousser, ce n'est qu'une question de temps, alors une pilule anti-dépression à court terme en quelque sorte.

En fait, ce qu'il faudrait voir, c'est en quoi la musique a une action sur nous, par quel mécanisme, autre que spirito-mystique ?

Et bien, je répondrais par comparaison/similitude, et ce n'est pas tant le genre musical qui ferait évoluer notre état d'âme, mais le coté plaisant en concordance avec ce que nous vivons intérieurement, autrement dit, quand je suis triste j'aime à entendre des chansons mélancoliques, quand je suis gaie je préfère celles entrainantes, ou quand je " doute " celles ambivalentes/travaillées/riches, etc...

Et il est notable, qu'un dépressif n'aime pas écouter des musiques joyeuses, en désaccord avec lui-même donc, qui contrarie son état intérieur, augmentant plutôt son aversion envers ce style en déphasage avec lui, tout comme une personne voulant jouir de la vie ne désire pas entendre un morceau pessimiste.

Tu peux donc être rassuré, c'est en réalité l'inverse qui se produit, c'est à dire que ce n'est pas le genre humoral de la musique qui nous enjoint vers telle orientation, mais notre humeur qui nous conduit à écouter plutôt le style correspondant, et si changement il y a, c'est que nous l'avons par nous-même provoqué, en s'appuyant pourquoi pas sur la musique.

Ce n'est pas en faisant avaler, contre son gré, du sel à quelqu'un qui raffole du sucre, qu'on lui fera aimer celui-ci, mais on favorisera plus volontiers son dégoût, ce qui n'exclut pas de passer par des étapes intermédiaires pour y parvenir malgré tout, en évitant tant que faire ce peut, le forçage et le conditionnement " négatif ", l'effet arc-boutement.

Modifié par deja-utilise
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Invité sera-angel
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Invité sera-angel
Invité sera-angel Invités 0 message
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Bonjour Déjà-Utilisé

Oui je suis "bonne" pour le classique.. surtout la musique classique :)

Il y a des avis qui divergent, ce n'est pas pour autant que les uns auraient raison et les autres torts. Ils se complètent ..

Il y a toujours eu ceux qui pensent : "connais toi toi-même" et ceux qui disent : "Je te connais mieux que toi-même"..

http://openyoureyes.over-blog.ch/article-la-difference-entre-la-musique-jouee-a-432-hz-et-celle-jouee-a-440-hz-l-imposture-du-diapason-la-4-116065933.html

L'imposture du diapason , je vous invite à lire le lien fait sûrement aussi par des "illuminés non cartésiens" ?

Modifié par sera-angel
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Invité sera-angel
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Invité sera-angel
Invité sera-angel Invités 0 message
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Donc tout serait une question de fréquences, mais les différentes émotions n'ont certainement pas toutes les memes fréquences.

Et si on pouvait maitriser tous les secrets de ces fréquences, je trouverais ça trés effrayant.

Il suffirait de jouer les fréquences appropriées pour manipuler toutes les émotions recherchées.

Nous ne serions plus que des pantins sans ame.

« Si tu veux contrôler le peuple, commence par contrôler sa musique. »

Platon

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Invité
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« Si tu veux contrôler le peuple, commence par contrôler sa musique. »

Platon

Ah bah, rien que pour ça me voila bombardé platonicien.

Je n'écoute plus de musique, ou tout a fait fortuitement, je ne veux pas qu'elle me controle en modifiant mes émotions artificiellement.

C'est un peu comme lire trop de ( bonne ) littérature romantique, ça nous éloigne de la réalité, et je sais de quoi je parle.

Ceci dit, je ne suis pas sur non plus que coller a la réalité soit une si bonne chose, les idéalistes ont un role a jouer.

Cependant le theme de ce topic n'est pas vraiment la musique, mais la vie.

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tison2feu Membre 3 104 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)

Je n'écoute plus de musique, ou tout a fait fortuitement, je ne veux pas qu'elle me controle en modifiant mes émotions artificiellement.

C'est un peu comme lire trop de ( bonne ) littérature romantique, ça nous éloigne de la réalité, et je sais de quoi je parle.

Ceci dit, je ne suis pas sur non plus que coller a la réalité soit une si bonne chose, les idéalistes ont un role a jouer.

Cependant le theme de ce topic n'est pas vraiment la musique, mais la vie.

Dans un premier temps, j'avoue que ce topic passionnant m'a abasourdi, me trouvant à court d'argument devant une exigence qui t'honore : j'avoue comprendre tout à fait l'honnêteté de ta démarche t'incitant à te méfier grandement de l'empire de la musique. Après réflexion, je ne peux que t'opposer le fait que cette musique est pour moi une manifestation de la beauté formelle de la vie et du monde (formes géométriques, harmonies, etc.). Je ne connais pas suffisamment Nietzsche pour savoir ce qu'il entendait par "perfection", mais par la musique, je sens qu'il est possible d'atteindre, sinon de flirter, par mon seul rapport aux sons, avec une esthétique sublime du monde (cela est valable pour tous les sens : la seule vue d'une molécule d'eau figurant supra me subjugue). Se priver de la musique serait faire le deuil de toute tentative de dévoilement de cette énigme esthétique de la vie et du monde. Ce n'est plus une quête de l'émotion pour l'émotion, c'est tout autre chose. Quand j'écoute une belle musique, je philosophe (et c'est d'ailleurs ce qu'a écrit Nietzsche).

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 989 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Bonjour Déjà-Utilisé

Oui je suis "bonne" pour le classique.. surtout la musique classique :)

Il y a des avis qui divergent, ce n'est pas pour autant que les uns auraient raison et les autres torts. Ils se complètent ..

Il y a toujours eu ceux qui pensent : "connais toi toi-même" et ceux qui disent : "Je te connais mieux que toi-même"..

http://openyoureyes....-116065933.html

L'imposture du diapason , je vous invite à lire le lien fait sûrement aussi par des "illuminés non cartésiens" ?

Bonjour Sera-angel,

il est remarquable de noter que pour un numérologue, il est aisé à partir d'un nombre quelconque de trouver ce qui y correspond dans le monde physique, justifiant à ses yeux son nombre fétiche, mais c'est un leurre, une illusion, une tromperie sans nom, sans compter les diverses approximations introduites, ou calculs intermédiaires arbitraires, pour coller à sa réalité: le moyen justifiant la fin, en quelque sorte.

Il serait plus honnête, comme ce fût le cas pour le nombre d'or, de regarder avant quelles sont les nombres associés à chaque phénomène avec leur marge d'erreurs, puis ensuite de voir si il y a des correspondances éventuelles. Mais n'oublions pas, que vu le nombre de phénomènes naturels, il s'en trouvera toujours qui s'approcheront autant qu'on le veut de ce que l'on recherche, c'est le biais de confirmation, comme n'importe quel superstitieux peut user et abuser.

Imaginons que je me focalise sur le nombre 36, ce que j'ai déjà fait pour des raisons éducatives, et bien nous trouverions un nombre quasi-incalculable d'éléments de notre réalité culturelle qui coïncide avec lui, si l'on fait quelques approximations avantageuses parfois ou des calculs supplémentaires pour retomber dessus in fine. Autrement dit, en ce domaine, quand on cherche, on finit par trouver ! Mais c'est mettre la charrue avant les boeufs.

Mais sans doute que cet article sera plus parlant que mes considérations rationnelles et psychologiques, en prenant le contre-pied du précédent: http://www.medson.net/432hz-mythe.html

Respectueusement, D-U ;)

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Invité sera-angel
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Dans un premier temps, j'avoue que ce topic passionnant m'a abasourdi, me trouvant à court d'argument devant une exigence qui t'honore : j'avoue comprendre tout à fait l'honnêteté de ta démarche t'incitant à te méfier grandement de l'empire de la musique. Après réflexion, je ne peux que t'opposer le fait que cette musique est pour moi une manifestation de la beauté formelle de la vie et du monde (formes géométriques, harmonies, etc.). Je ne connais pas suffisamment Nietzsche pour savoir ce qu'il entendait par "perfection", mais par la musique, je sens qu'il est possible d'atteindre, sinon de flirter, par mon seul rapport aux sons, avec une esthétique sublime du monde (cela est valable pour tous les sens : la seule vue d'une molécule d'eau figurant supra me subjugue). Se priver de la musique serait faire le deuil de toute tentative de dévoilement de cette énigme esthétique de la vie et du monde. Ce n'est plus une quête de l'émotion pour l'émotion, c'est tout autre chose. Quand j'écoute une belle musique, je philosophe (et c'est d'ailleurs ce qu'a écrit Nietzsche).

Je partage votre avis !

à Swam !

Loin de moi l'idée de te cataloguer Platonicien, mais je répondais à ton questionnement en te montrant que d' autres, avant toi, s'étaient déjà posé la même question.

Les médias sont des outils(musique, paroles,images etc..) pour fabriquer le consentement de la masse. Il ne faut pas entrer dans le concept d'inconscient collectif.

La participation est le devoir de "l'homme responsable", il n'a pas à être le spectateur désintéressé de l'action et entrer dans le "troupeau perplexe" qui a besoin d'être guidé.

à déjà-utilisé ..

Je connais aussi ce lien .. lorsque je m'intéresse à quelque chose, j'ai pour habitude de prendre tous les avis en considération (même et surtout ceux qui font contre-pied), pas seulement le mien ou celui avec lequel je suis d'accord.

Ce que vous dîtes n'est pas faux non plus, libre à chacun de se forger sa propre opinion sur les choses et d'y croire.

"quand on cherche, on finit par trouver !".. Oui certes, encore faut il avoir envie de trouver .. et de chercher, ceci n'est pas donné à tout le monde .. et c'est pourtant le devoir de tout "homme responsable"

Modifié par sera-angel
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Dans un premier temps, j'avoue que ce topic passionnant m'a abasourdi, me trouvant à court d'argument devant une exigence qui t'honore : j'avoue comprendre tout à fait l'honnêteté de ta démarche t'incitant à te méfier grandement de l'empire de la musique. Après réflexion, je ne peux que t'opposer le fait que cette musique est pour moi une manifestation de la beauté formelle de la vie et du monde (formes géométriques, harmonies, etc.). Je ne connais pas suffisamment Nietzsche pour savoir ce qu'il entendait par "perfection", mais par la musique, je sens qu'il est possible d'atteindre, sinon de flirter, par mon seul rapport aux sons, avec une esthétique sublime du monde (cela est valable pour tous les sens : la seule vue d'une molécule d'eau figurant supra me subjugue). Se priver de la musique serait faire le deuil de toute tentative de dévoilement de cette énigme esthétique de la vie et du monde. Ce n'est plus une quête de l'émotion pour l'émotion, c'est tout autre chose. Quand j'écoute une belle musique, je philosophe (et c'est d'ailleurs ce qu'a écrit Nietzsche).

Bonjour Tison,

Je comprend ton point de vue également, meme si ce n'est pas le mien.

Sans doute si j'avais été musicien de formation j'aurais eu envie de composer de la musique qui parle a l'ame, mais je n'ai que les mots pour m'exprimer.

Dans la vie je ne cherche pas le coté esthétique des choses, il est trop évident, pour moi la beauté ne fait pas le sens ( on parle bien de la beauté du diable ).

En ce qui me concerne, la belle musique m'empeche plutot de philosopher, elle me plonge dans la nostalgie ou dans la resurgence du désir.

C'est plutot le silence qui me convient dans cette activité.

à Swam !

Loin de moi l'idée de te cataloguer Platonicien, mais je répondais à ton questionnement en te montrant que d' autres, avant toi, s'étaient déjà posé la même question.

Les médias sont des outils(musique, paroles,images etc..) pour fabriquer le consentement de la masse. Il ne faut pas entrer dans le concept d'inconscient collectif.

La participation est le devoir de "l'homme responsable", il n'a pas à être le spectateur désintéressé de l'action et entrer dans le "troupeau perplexe" qui a besoin d'être guidé.

Bonjour Sera,

J'appréçie de lire Platon.

D'ailleurs le fait que Nietzsche n'aimait pas du tout le personnage de Socrate m'a toujours interpellé.

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Invité sera-angel
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Invité sera-angel
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Posté(e)

Nietzsche était l'enfant terrible de la philosophie...

Socrate était le père de la philosophie ...(la Pythie disait de lui qu'il était le plus sage de tous les hommes parce qu'il savait qu'il ne savait pas)

Simple combat de coqs euh combat intellectuel.

Nietzsche n'a pas aimé grand monde, il avait une attitude fluctuante, il voulait inverser toutes les valeurs. Pour lui, l'homme était le seigneur et les femmes des êtres auxquels il est seulement concédé qu'elles peuvent "atteindre à la perfection dans une situation subalterne".

Il méprisait les faibles et préconisait la domination "des surhommes".. Certains le rendent même responsable, du moins en partie de l'utilisation que le nazisme a fait de sa pensée !

Il ne faut pas oublier sa citation :

"Vivre c'est essentiellement dépouiller, blesser, violenter le faible et l'étranger, l'opprimer, lui imposer durement ses formes propres, l'assimiler ou tout au moins l'exploiter".

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Totolasticot Membre 826 messages
Forumeur accro‚
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Nietzsche était l'enfant terrible de la philosophie...

Socrate était le père de la philosophie ...(la Pythie disait de lui qu'il était le plus sage de tous les hommes parce qu'il savait qu'il ne savait pas)

Simple combat de coqs euh combat intellectuel.

Nietzsche n'a pas aimé grand monde, il avait une attitude fluctuante, il voulait inverser toutes les valeurs. Pour lui, l'homme était le seigneur et les femmes des êtres auxquels il est seulement concédé qu'elles peuvent "atteindre à la perfection dans une situation subalterne".

Il méprisait les faibles et préconisait la domination "des surhommes".. Certains le rendent même responsable, du moins en partie de l'utilisation que le nazisme a fait de sa pensée !

Il ne faut pas oublier sa citation :

"Vivre c'est essentiellement dépouiller, blesser, violenter le faible et l'étranger, l'opprimer, lui imposer durement ses formes propres, l'assimiler ou tout au moins l'exploiter".

J'avoue ne pas être très calé en philosophie mais adorer Nietzsche justement parce qu'il parle de la VIE comme personne, avec une grande lucidité et dans un style bien particulier (la forme qui devient fond, l'humour omniprésent, le jeu sur les images, sa façon de chercher querelle tout en glissant ses idées les plus subtiles).

Nietzsche admirait Socrate (à mon avis) mais il aimait bien la lutte qui permet le dépassement de soi. La vie étant lutte pour la puissance plus que lutte pour la survie.

Lou Salomé le décrit comme un être souffreteux à la sensibilité quasi féminine, qui écrivait des poèmes sur la liberté et la maîtrise de soi quand ses petits camarades s'alcoolisaient. Alors tout son pataquès sur la virilité...

J'avoue buter sur son renversement des valeurs. Enfin pour moi c'est surtout une façon de dire qu'il faut "repeser le poids de toute chose". Il montre juste à sa façon qu'on peut aussi bien prouver une chose et son contraire, c'est sa façon à lui de dire que "tout ce qu'il sait c'est qu'il ne sait rien". Sa pensée se mord la queue. Mais certains le prennent au premier degré.

Il était radical mais c'était un rigolo, psychologue hors-pair et philosophe-artiste, son Zarathoustra est un poème en prose, il a exprimé avec des mots ce qu'il n'a pas su ou pu exprimer en musique.

C'est comme ça que je le vois tout du moins.

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C'est ce côté artificiel de la musique que je n'aime pas, elle peut susciter des émotions qui ne reposent sur rien de concret.

C’est-à-dire qu’une musique ne crée pas des émotions comme ça, ex nihilo ! C’est la rencontre d’une musique et d’un esprit qui engendre des émotions et des sentiments. Ceux-ci reposent donc sur les dispositions d’un esprit, sur sa structure, sur les expériences qu’il contient, sur les déchirements qui l’habitent, etc. Si par exemple une musique suscite en toi des sentiments de magnification de la vie qui avec le recul te paraissent veules ou insignifiants, alors ce n’est pas la musique qu’il faut blâmer, c’est l’esprit qui se laisse séduire par cette musique.

Même les musiques pop les plus sirupeuses ne sont pas artificielles : à leur façon, elles expriment des choses qui ont bien cours dans la culture : par exemple le besoin d’être rassuré, le besoin d’être gavé, la paresse, le besoin d’être mis en contact avec des visions simplistes de la vie et de la société, etc.

Et donc " la musique évaluant la vie", non, pas nécessairement, elle peut aussi "manipuler la vie".

C’est quoi manipuler la vie ? Y insérer des choses qui n’existent pas ? Mais la musique n’a pas ce pouvoir. La musique ne fait que mettre en exergue des sentiments, des déchirements, des émotions, des pensées, des intuitions, etc. À ce titre, elle n’est pas différente de la philosophie, de la littérature, et de toute forme de culture en général : il s’agit de mettre certains éléments de la vie en exergue.

On peut dire par contre qu’une mauvaise musique peut mettre en exergue des sentiments veules qui participent à une certaine décadence des esprits.

Si on ne voit rien de bon dans notre vie, et dans la vie en générale, mais qu'il suffit d'écouter de la bonne musique pour se sentir bien, je trouve cela très artificiel.

Qu’y aurait-il de mauvais à ce que par exemple une musique tienne bien allumé le restant de feu qui anime le cœur d’un homme en proie à la dépression ? Après tout, ce feu, même si la musique y participe, il n’en appartient pas moins à cet homme. En ce sens, ce n’est pas quelque chose d’artificiel.

La musique comme tentative de réaction face a l'imperfection de la vie.

En général, les outils de la culture nous sont des moyens d’adaptation aux difficultés de la vie sociale, et de la vie tout court.

Et comme tout outil, la musique peut bien entendu être mal utilisée. Mais cela ne signifie pas pour autant que l’outil n’est pas un bien formidable, si formidable que la vie puisse nous paraître inconcevable sans son existence.

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