Violences Conjugales: court-métrage de Coline Serreau

pauvre homme qui cherche la belle vie sans la femme et pauvre femme qui croit que on peut trouver le bonheur avec n'importe quel homme ...

Homme femme se sont complémentaire

J'interprète les intentions de Hawks,

Venez nous rejoindre, nous les musulmans, avec notre religion de paix et d'amour qu'est l'islam.

Les femmes battues dans le monde radical musulman, cela n'existe pas.

D'ailleurs, les femmes on les enferment et on les cache en leur mettant un voile intégrale pour cacher les coups et les cicatrices.

Pas vu , pas pris,pas de problème.

Vous les occidentaux, vous êtes vraiment trop stupide avec vos histoires d'amour et vos femmes auxquelles vous autorisez de se plaindre ?

non c est pas , l islam protege la femme tu parle seulment de qlq exeption

et aussi tout les femmes dans ma religon ne sont pas voilier

A hawks

j'ai dû mal à comprendre ce que tu dis, ça demande à être plus explcite ce que tu veux dire ou le message que tu veux passer. Bref rien en rapport avec la vidéo auquelle j'adhère

non c est pas , l islam protege la femme tu parle seulment de qlq exeption

et aussi tout les femmes dans ma religon ne sont pas voilier

Des femmes voiliers en mer d'Islam... Woaw !

Bon, au moins c'est poétique !

Ah !! Notez bien avec ce sujet quelque chose d'important !!!

Il n'y a de violence que de la part des hommes ! Jamais une femme sur cette terre n'a commis la moindre violence, pas même le début d'une pensée...

Voilà à quoi le féminisme français conduit. En 1995 la première enquête sur la violence conjugale était réalisé au Québec. Les féministes françaises n'avaient alors pas encore le temps de s'y attarder, trop occuper qu'elles étaient à se tailler une carrière, des postes bien rémunérés et de pouvoir entre femmes de la petite, moyenne et grande bourgeoisie...

Trop ignorantes également de l'anglais, puisque des enquêtes avaient aussi été faites auparavant aux usa.

En 2000 l'enquête ENVEFF était réalisée. Mais, féministe, elle ne prenait plus en compte les violences conjugales, mais les violences subies par les femmes (uniquement).

Ainsi les hommes en France ne sont victimes d'aucunes violences, ce ne sont que des bourreaux.

On se demande bien pourquoi chaque homme n'est pas encore équipé d'un collier inhibiteur ???

Comment peut-on laissé ces millions de monstres en liberté ? Comment laisser toutes ces femmes aussi, mères célibataires, continuer à élever ces montres qui se retourneront contre elles, toutes ! (on peut s'interroger sur l'éducat... Non pardon !, euh désolé).

Déjà, je trouve ça un peu déplacé de venir comparer les souffrances hommes/femmes et mêler le féminisme à tout ça (même si oui, il a très certainement joué un rôle dans la lutte contre les violences conjugales).

Ensuite, personne n'a nié que les hommes pouvaient aussi en être victime (il y avait un sujet d'ailleurs sur le forum, sur Maxime Gaget ).

Même si, là aussi, on parle généralement de la violence faite aux femmes, que les assocs comme SOS hommes battus sont assez récentes...

(...)

Pourtant, si les femmes restent, de loin, les premières victimes de violences conjugales, le cas des hommes battus ou maltraités est moins exceptionnel qu'on pourrait le croire.

149 000 hommes ont été victimes de violences au sein de leur couple en 2012 et 2013, selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (qui s'appuie l'enquête de victimisation « cadre de vie et sécurité »).

398 000 Sur la même période, les femmes étaient toutefois bien plus nombreuses à se déclarer victimes de violences physiques ou sexuelles de la part de leur conjoint et de leur ex-conjoint.

Un rapide calcul des victimes de violences conjugales montre que les hommes représentent donc 27 % des cas de violence conjugales et 17 % des cas mortels. La formule – tristement consacrée – : « Tous les trois jours, une femme décède sous les coups de son conjoint » peut toutefois son équivalent pour l’autre sexe : « Tous les 14,5 jours, un homme décède sous les coups de sa conjointe ».

Cette violence, plus taboue, est mal représentée par les statistiques. Les hommes en parlent moins, le déclarent moins. Quand 10 femmes sur 100 déposent plainte suite aux violences qu’elles ont subies, seuls 3 hommes sur 100 osent se tourner vers la justice, toujours selon l’ONDRP.

Alors que les violences faites aux femmes font – à raison – l'objet de plans et de campagnes très médiatisées, il existe peu de structures d’aide aux hommes battus. La première association fondée en 2009, SOS Hommes Battus, affirme recevoir environ 2 500 appels et mails chaque année.

(...)

En 2013, sur les 146 personnes décédées, 25 étaient des hommes. A chaque fois, il s’agissait de meurtre ou d’assassinat, et non pas d’homicide involontaire. Preuve que la violence délibérée est bien présente des deux côtés, que l’on soit homme ou femme.

http://www.lemonde.f...24_4355770.html

http://www.planetosc...-en-france.html

Merci de ces chiffres Maria.

J'aimerais simplement que l'apport du mouvement de libération des femmes ET des moeurs au 20 s. parce qu'il est une révolution anthropologique, ne se limite pas à une perception des seules femmes, dans des intérêts catégoriels. On a vu ça aussi sur la garde des enfants qui est devenue dans les années 80 / 90 l'apanage des seules femmes quasiment.

L'évolution doit être une évolution pour les hommes autant que pour les femmes, ensemble, et prenant en compte les hommes comme les femmes dans tout ce qui interroge cette révolution des rapports de sexe/genre.

Non, seulement c'est plus juste et réellement égalitaire, mais c'est aussi beaucoup plus efficace puisque ça ne pose pas les unes en victime des autres, mais tous en "victimes" d'une organisation à modifier ensemble.