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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Introduction :

Salut. Depuis des temps immémoraux, depuis que l'Homme a la faculté de l'abstraction la Nature et l'Univers attire son attention de façon irrésistible. Il essaye d'y trouver un sens, une intelligibilité, un sens mécaniste... Les anciens philosophes ont élaboré des moyens d'observation de plus en plus précis et émis des hypothèses de plus en plus sophistiquées. La naissance de la démarche scientifique exigeant une rigueur mathématique strictement réfutable a conduit à l'élaboration de deux théories soeurs d'apparence mutuellement exclusives, à savoir la Relativité Générale (RG) et la Mécanique Quantique (MQ). Depuis maintenant un siècle, chaqune des deux théories a gagné en puissance et pris sa place d'honneur comme science dure sans être pris en défaut. Mais, malgré maints tentatives de les dépasser par une théorie plus fondamentale, entre paradigmes et modèles en grand nombre, inflationnaires, cordistes, bouclistes, MOND, ..., aucun modèle ne semble parvenir à unir ou dépasser les deux théories scientiques.

Une idée étrange, une intuition d'abord vague puis de plus en plus troublante me travaillait depuis des années, que je voulais partager dans le forum... Et si la MQ semblait étrange du fait des effets de la dilatation de l'espace y compris à l'échelle quantique ? Si la dualité onde-particule s'expliquait par l'effet de l'expansion de l'espace à l'échelle quantique ? Sans prétendre être capable, du moins pour l'heure, de formuler cela mathématiquement, le concept me semblant être une piste pour le moins intéressante, je vais donc partager mes avancées certes très modestes ici.

L'espace serait simplement constitué d'une forme d'énergie variant topologiquement en densité, et s'étendant suivant une vitesse ponctuelle variable initiée lors de la fluctification de densité primordiale avec une conservation d'échelle relative. Ce dégradé serait ce que nous percevons comme une courbure de l'espace (n'est-elle pas relative à la masse d'énergie). La conservation d'échelle relative subirait un écart selon une topologie ainsi initiée aux débuts du big bang. L'illusion d'attraction magique à distance serait due au grossissement d'échelle ponctuellement variable initié lors de la fluctuation de densité primordiale.

De cette façon, l'énergie des particules serait transportée en permanence dans un volume d'espace suivant une forme d'inertie des particules. L'espace physique étant cet espace empli d'énergie, et celui-ci se déformant l'espace-temps serait non-local.

La dualité onde-particule serait due à la variation d'échelle dans le lapse du temps de la mesure. De même que les unités de Planck correspondraient à cette variation d'échelle sur le lapse du temps minimal requis pour leur mesure fine.

Cela pourrait-il aussi susciter à très grande échelle une inertie conduisant à un écart d'échelle à l'échelle cosmique, de par l'extension à vitesse topologique variable, que nous interpréterions comme de la matière noire ; et l'effet de l'expansion ponctuelle dans le vide intergalactique cumulé à l'échelle cosmique expliquerait-il l'accélération de l'expansion que nous interprétons comme une énergie noire ?

Dualité onde-particule :

expansion-quantique.png

Représentation de l'effet de l'expansion de l'espace à l'échelle quantique, et les fentes d'Young. La zone de densité occupée par l'électron étant plus étendue avant la mesure (la dernière induisant une illusion de dimension inférieure de la particule du fait de l'écart d'échelle sur le lapse de temps de la mesure) l'électron semble se propager suivant une densité de probabilité plus étendue.

Intrication quantique et non localité :

sans-titre.png

Représentation de l'intrication quantique en rapport à l'expansion spatiale quantique : les deux particules se retrouvent dans le même volume d'espace qui ne fait ensuite que transporter l'espace local avec lui en deux directions distinctes. Ainsi quoi que séparés par un intestice d'espace différent, les particules intriquées se retrouvent dans un même volume d'espace transporté partiellement par chacune des particules intriquées jusqu'au moment de la double mesure.

Energie noire, matière noire...

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L'effet d'inertie conduirait à une forme d'accélération dans les zones libres de matière baryonique.

Mieux, les lieux soumis à une déclélération inertielle relative par la matière comme les étoiles, les galaxies et autres induiraient une effet d'accrétion supérieure à la valeur estimée sur base des propriétés des particules (lors de leur mesure et leur environnement ayant varié dans le délai de la mesure) d'une part, et l'effet inverse d'accélération à l'échelle cosmique par un écart similaire induit par le changement d'échelle à topologie variable, qui se ferait resentir à cette échelle comme une masse manquante. L'espace occupé par la matière baryonique se dilaterait avec une inertie légèrement supérieure à celle du vide, produisant une accélération relative dans les zones allégées de matière dispensées de cette inertie et conduisant à une illusion de surgravité dans les zones plus denses occupées par la matière.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Expansion spatiale et conservation d'échelles :

ngc6946_subaru-rgendler.jpg

Et si lors du big bang, un point d'energie parfaitement homogène s'était simplement mis à se disperser dans un sous espace euclidien tel un gaz qui cherche à occuper tout le volume d'espace disponible... Cela pourrait expliquer nombre de propriétés de l'espace comme l'expansion, l'isotropie, la compression et la dilatation.

D'autre parts, si nous concevons arbitrairement la matière baryonique comme des points de turbulences, il devient possible de les imaginer comme des zones tourbillonants qui se dilateraient au gré de l'expansion spatiale tout en se conformant à une conservation d'échelles. En sorte que nous les mesurerions comme stables tandis que tout grandirait à une certaine vitesse insensible pour nous autres qui grandirions en parrallèle. Cela pourait expliquer toute une série d'observations contre-intuitives comme la distorsion de l'espace autours des objets massifs (appel d'air etc.).

Relativité du temps et de l'espace :

La relativité du temps et de l'espace découlerait de ce que la vitesse d'expansion de l'energie fixerait des critères de stabilité comme la célérité de la lumière.

Concrètement, si nous comprenons que la lumière a une vitesse limite liée à l'expansion de l'energie du big bang tel un ether, et acceptons que celle-ci est la vitesse absolue permise à travers l'espace en expansion proportionellement à sa propre vitesse d'expansion, plusieurs observations relativistes s'élucident tout naturellement.

Par exemple prenons un atome d'hydrogène. Il est composé d'un noyau et d'un seul électron. Propulsons notre atome dans le vide à une vitesse proche de celle de la lumière que se passera-t-il, compte tenu que la célérité de la lumière est la vitesse maximale possible compte tenu de la vitesse d'expansion de l'espace (en tenant en compte la conservation d'échelles) ? Le noyau de l'atome s'approchant de la vitesse maximale possible l'electron se rapprochera de celui-ci en passant devant lui en sorte de parvenir à le contourner dans un effet de tourbillonement puisqu'il ne pourra jamais dépasser la vitesse de la lumière. Ainsi, le rayon de mon atome rétrécira. Et si mon atome atteignait la vitesse de la lumière mon électron ne pourrait que sembler rester à une distance stable par rapport à lui compte tenu qu'il ne pourra pas s'en approcher ni s'en éloigner (le temps s'arrêterait localement).

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Membre, 76ans Posté(e)
vertgandazert Membre 281 messages
Baby Forumeur‚ 76ans‚
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Bonjour,

Vous placez la barre très haut,c'est bien le défi de la physique, la RG fonctionne, la MQ aussi mais pas aux mêmes échelles d'espace temps alors?

Voici une autre théorie:

"actualite.housseniawriting.com/science/2015/11/18/la-source-quantique-"

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Cher vertgandazert, en effet, ce papier dont tu parles m'a aussi beaucoup intéressé. L'idée était audacieuse. En fait, l'idée que les champs de forces et les forces physiques puissent consister en une illusion me travaille depuis plusieurs années. Quand j'ai un peu de temps libre, je vaques à essayer de simuler des moyens intuitifs qui pourraient donner un sens simple à l'attraction de deux objets entre eux. Cela me semble une telle aberration que je ne parviens pas à y donner un sens. La théorie relativiste, en soutenant avec puissance l'idée de courbure d'espace est très palpitante, mais reste tant contre-intuitive, avec la nécessité de recourir à un espace comportant des dimensions invisibles que cela me fascine et me trouble jusque dans mon ame.

Je me dis donc qu'une approche intuitive qui pourrait conduire à cette illusion d'attraction entre objets à distance serait interressante. Au début, quand j'ai imaginé cette idée que ces champs de force pouraient être une illusion qui serait causée par une expansion isotropique universelle unique, mais à vitesses ponctuelles variables avec conservation relative d'échelles de grandeur cela m'est apparu si vilain que j'ai presque immédiatement cherché inconsciemment à oublier une telle idée.

Mais une telle idée, si laide, me travaillait et revenait à chaque fois comme une solution de plus en plus pertinente. En effet, et si rien n'attirait rien : si les objets grossissaient à des vitesses proportionelles avec une conservation relative d'échelle en même-temps que l'espace en entier ? Ainsi, tout semblait redevenir intuitif vu depuis l'intérieur de l'univers. La dilatation ou la contraction de l'espace (la variation de la densité de l'energie emplissant l'espace en expansion), l'entropie (tendence de la conservation d'échelle à se dégrader), la flèche du temps (l'expansion de l'espace sans aucune contraction à contre-sens), les forces attirant les objets à toutes les échells (conservation proportionelles relative des ordres de grandeurs conduisant à cette illusion)...

J'ai donc souhaité partager cette idée si étrange et dérangeante ici, pour voir la réaction des internautes.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Par exemple, la position (plus) ponctuelle des particules entre la mesure et l'évaluation de leur position avant impact apparait d'une évidence infantile du fait que la particule montre de l'inertie relative. En effet, si il y a un léger écart entre l'expansion de l'espace qui le contient et la sienne, elle apparait plus ponctuelle au moment de l'impact simplement. :D

J'ai plus haut soutenu l'idée de micro-turbulence pour qualifier la matière baryonique, mais une autre idée peut-être plus élégante est de les envisager comme du vide taoiste. Si il s'agissait de volumes d'espace vraiment vides et sphériques ? Des genres de bulles ponctuelles ? Ou au contraire de boules d'energie plus inertes que leur environement immédiat ? La sphéricité de nos particules vides serait ainsi le résultat de la stabilité quasi parfaite de l'expansion de notre ether dans tout l'espace qui lui est offert de façon isotropique à l'échelle ponctuelle. Tout serait ainsi empli d'energie sauf la matière. Une expansion à vitesses relatives permet en théorie d'aboutir à tout ce que nous observons depuis l'échelle atomique à l'échelle cosmique, du moins dans ma simulation mentale. :D

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Un autre aspect intriguant de cette théorie est que l'accélération de l'expansion, plus exactement ce que nous percevons en tant que tel ressurgit d'un coté tout à fait inattendu : du fait que la conservation d'échelle ne peut pas se conserver à très grande échelle sans conduire à la nécessité de violer la relativité générale, il devient naturel que les objets les plus éloignés de tout observateur situé en chaque point de l'Univers deviennent proportionnellement grands ou petits selon la distance qui les en sépare. Ainsi, les galaxies lointaines sembleront d'autant plus petites et la distance relative qui nous en sépare proportionnelle à la dilatation relative de l'espace le temps du parcours de son image lumineuse jusqu'à nous. Cela explique donc l'effet que nous percevons comme une accélération. L'accélération devient ainsi inversement proportionnelle à la conservation d'échelle à l'échelle cosmique.

Imaginons un élastique pour simplifier, traçons deux traits A et B séparés de 1mm. Et traçons un trait C du coté du trait A à 1cm de distance. Lorsque nous étirons l'élastique la distance AB, la distance AC et la distance CD varient proportionellement à l'extension uniforme de l'élastique. Les proportions sont respectées...

A présent imaginons que C émette de la lumière durant l'extension de l'élastique en sorte que sa lumière parvienne à A et à B avec un certain écart de temps. L'extension serait mesurée naturellement.

Finalement, prenons en considération l'épaisseur de nos traits. Chaque trait devrait être considéré comme de taille stable. Si nous tenons arbitrairement que l'épaisseur de nos traits était de longueur identique avant l'étirement, ce paramètre produira un effet proportionel à la distance de C décalé entre CA et CB que nous percevrions comme une accélération.

Ce qui est frustrant, et amusant à la fois c'est que selon la vitesse relative ponctuelle de la dilatation de l'espace dans le vide spatial (chargé d'energie diffuse) et dans le volume occupé par la matière baryonique (des boules d'energie possédant une certaine inertie) : on peut en quelque sorte calibrer l'effet de ce décalage selon les observations.

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Invité Lorrain27
Invités, Posté(e)
Invité Lorrain27
Invité Lorrain27 Invités 0 message
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Introduction :

Salut. Et si la MQ semblait étrange du fait des effets de la dilatation de l'espace à l'échelle quantique ? Si la dualité onde/particule s'expliquait par l'effet de l'expansion de l'espace à l'échelle quantique ?

De cette façon, les informations des particules seraient transportées en permanence dans un volume d'espace suivant une forme d'inertie des particules. En sorte que, tandis que la particule se trouve continuellement dans un espace plus étendu, une quelconque interaction la forcerait à ne se manifester qu'en un seul point donné. Ainsi, toute particule pourrait interférer avec elle-même du fait que toute l'information des observables se trouverait dans un volume d'espace plus étendu.

Cela pourrait-il aussi susciter à très grande échelle une inertie des particules interférant de proche en proche de par l'extension de leurs informations dans un espace continuellement plus étendu, que nous interpréterions comme de la matière noire ; et l'effet de l'expansion ponctuelle dans le vide intergalactique cumulé à l'échelle cosmique expliquerait-il l'accélération de l'expansion que nous interprétons comme une énergie noire ?

Dualité onde-particule :

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Représentation de l'effet de l'expansion de l'espace à l'échelle quantique, et les fentes d'Young.

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Intrication quantique et non localité :

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Représentation de l'intrication quantique en rapport à l'expansion spatiale quantique : les deux particules se retrouvent dans le même volume d'espace qui ne fait ensuite que transporter l'information avec lui en se dilatant. Ainsi, quoi que séparés par un intestice d'espace différent, les particules intriquées se retrouvent dans un même volume d'espace dilaté jusqu'au moment de la double mesure.

Du fait que chaque particule se trouve en permanence dans un espace se dilatant, expliquerait qu'elle interfère avec elle-même en traversant les fentes d'Young, qu'elle demeure néanmoins en un point précis lors de sa mesure. Deux particules intriquées qui se touchent en un volume d'espace donné transporteraient ainsi le même espace local en dilatation avec elles, en sorte de se trouver au même "endroit" jusqu'au moment de la double mesure...

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Energie noire, matière noire...

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L'effet d'inertie conduirait à une forme d'accélération dans les zones libres de matière baryonique.

Mieux, les lieux tourmentés par la matière comme les étoiles, les galaxies et autres subiraient à très grande échelle l'effet de l'inerférence multiple des mêmes particules transportant leurs informations au-delà de leur position ponctuelle, qui se ferait resentir à cette échelle comme une masse manquante. Tandis que l'espace vide de matière baryonique se dilaterait sans résistence ou inertie, produisant une accélération relative dans les zones allégées de matière dispensées de cette inertie informationelle.

Bonjour,

L'intuition ne suffit pas et il faut la soumettre à un raisonnement rigoureux c'est--à-dire mathématique.

L'expansion de l'Univers ne se manifeste pas du tout à notre échelle !

En effet, cette expansion, mesurée, est de 70 km/s et par mégaparsec. (Un mégaparsec est égal à un million de parsecs et un parsec est égal à 3,3 années lumière.)

Pour une distance d'un millième d'années lumière (en gros un milliard de kilomètres), le calcul donne une vitesse d'expansion de 0,000000007 km/s (7 millièmes de millimètres par seconde !). Imaginez ce qu'elle peut être sur un kilomètre et sur un 10 millionième de millimètre qui est le diamètre d'un atome !,

C'est dire combien cette vitesse à l'échelle de l'atome est tout simplement inexistante et toute votre théorie est flanquée par terre.

Mais rassurez vous, vous n'êtes pas le seul a vous être trompé, cela est arrivé à d'illustres scientifiques qui ont, d'ailleurs, reconnu leur erreur.

Cordialement.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Cher Lorain27, tu n'as soit pas lu mes posts jusqu'au bout, soit pas compris ce que j'entends par expansion universelle à vitesse ponctuelle variable avec conservation relative d'échelles.

L'expansion dont tu parles est selon mon modèle un écart observable malgré la conservation d'échelles relative. Autrement dit, je soutiens bien que cette mesure est une partie émergente de l'iceberg. Si l'espace grandit en même-temps que le volume des particules la mesure relative indexée sur une longueur standard devient obsolète. Merci pour ton intervention.

Cordialement.

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Voici ce qui est observé lors de l'expérience des fentes d'Young. Exactement en adéquation avec un effet d'expansion quantique relatif.

225px-Double_slit_simulated.jpg

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Bonsoir. Pour illustrer visuellement ce que j'entends par expansion générale à variation de vitesse ponctuelle avec conservation d'échelles relative, voici un schéma exagérant l'effet

.

expansion%2Bet%2Bgravit%25C3%25A9.png

Illustration de l'effet d'expansion à vitesse ponctuelle variable : d'en haut vers le bas à gauche représentation de trois particules avec grossissement d'échelle stable à gauche, et avec extension de l'espace vide de matière baryonique légèrement plus rapide (moin d'inertie) à droite.

Cette illustration, supra figure notre modèle d'expansion généralisée avec conservation absolue ou relative d'échelle respectivement à gauche et à droite. L'effet qui dirige cette variation inertielle demeure indéterminée par ma théorie. Mais dès lors que nous posons comme condition une telle variation de l'inertie des sphères occupées par la matière baryonique et l'espace qui en est séparé, nous retrouvons toute la gamme des effets observés et mesurés : reste alors à calquer les vitesses requises pour aboutir exactement aux observations.

effet%2Bd%2527agitation%2Bde%2Bparticules.png

Illustration de l'effet de l'écart de la vitesse d'expansion des particules en regard de l'espace extérieur. Un écart de vitesse conduit à une illusion de déplacement des particules les unes en regard des autres. A gauche agrandissemnt avec conservation parfaite d'échelle, à droite agrandissement avec effet de variation de vitesse ponctuelle relative.

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Invité Lorrain27
Invités, Posté(e)
Invité Lorrain27
Invité Lorrain27 Invités 0 message
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Cher Lorain27, tu n'as soit pas lu mes posts jusqu'au bout, soit pas compris ce que j'entends par expansion universelle à vitesse ponctuelle variable avec conservation relative d'échelles.

L'expansion dont tu parles est selon mon modèle un écart observable malgré la conservation d'échelles relative. Autrement dit, je soutiens bien que cette mesure est une partie émergente de l'iceberg. Si l'espace grandit en même-temps que le volume des particules la mesure relative indexée sur une longueur standard devient obsolète. Merci pour ton intervention.

Cordialement.

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Voici ce qui est observé lors de l'expérience des fentes d'Young. Exactement en adéquation avec un effet d'expansion quantique relatif.

225px-Double_slit_simulated.jpg

Bonjour,

Toute théorie, pour être prise au sérieux, doit nécessairement être à même de faire des prédictions CHIFFREES. Or, pour pouvoir prédire avec précision, la théorie doit nécessairement s'appuyer sur un modèle mathématique. Ce modèle mathématique est absent de votre théorie.

De plus, et là c'est rédhibitoire, si votre théorie était juste, TOUTE la physique actuelle serait fausse et l'Univers serait différent de ce qu'il est et nous ne serions pas là pour le constater.

Non, cher ami, on ne révolutionne pas la physique avec des idées non mathématiquement précisées.

Mais je vous conseille de faire part de votre idée à un physicien. Ils ne manquent pas sur le WEB et certains donnent leur e-mail afin de pouvoir les contacter.

N'hésitez pas et c'est à ce prix que vous pourrez juger ma réaction.

Sachez toutefois que vous avez toute ma sympathie pour vos efforts. Mais vous faites fausse route.

Amicalement.

P.S.

Je voudrais bien préciser les points suivants :

- Quand un physicien propose une théorie nouvelle, il ne la publie jamais sur un forum mais l'adresse à ses pairs pour vérification et critique.

- Vous pouvez donc, je l'ai déjà mentionné, communiquer votre travail à un physicien dont vous trouverez l'adresse e-mail sur le WEB par Google. (Par exemple vous pourriez essayer de contacter Etienne Klein, Thibault D'AMOUR, Jean-Pierre Luminet, Christian Magnan et bien d'autres encore. Eux SEULS sont à même d'apprécier votre travail.)

- Habituellement les physiciens publient leurs travaux ici : http://arXiv.org/. Vous pouvez vous adresser à l'Université Cornell que vous trouverez sur le site indiqué.

Ceci est la SEULE méthode à suivre, je vous répète qu'un forum, si sérieux soit-il comme celui-ci, ne convient pas à ce genre de communication.

Je vous prie de croire à mon sincère désir de vous aider.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Bonjour,

Toute théorie, pour être prise au sérieux, doit nécessairement être à même de faire des prédictions CHIFFREES. Or, pour pouvoir prédire avec précision, la théorie doit nécessairement s'appuyer sur un modèle mathématique. Ce modèle mathématique est absent de votre théorie.

De plus, et là c'est rédhibitoire, si votre théorie était juste, TOUTE la physique actuelle serait fausse et l'Univers serait différent de ce qu'il est et nous ne serions pas là pour le constater.

Non, cher ami, on ne révolutionne pas la physique avec des idées non mathématiquement précisées.

Mais je vous conseille de faire part de votre idée à un physicien. Ils ne manquent pas sur le WEB et certains donnent leur e-mail afin de pouvoir les contacter.

N'hésitez pas et c'est à ce prix que vous pourrez juger ma réaction.

Sachez toutefois que vous avez toute ma sympathie pour vos efforts. Mais vous faites fausse route.

Amicalement.

Juger ta réaction ? Non, certainement pas. Tout comme je n'attend pas que ma théorie soit une révolution. Quand aux faits chiffrés, sans un supercalculateur les calculs prendraient sans doute une éternité. :sleep:

Depuis quand est-ce la source qui va vers les gens ? Si donc c'est une théorie intéressante, on la trouvera bien où elle est. Merci en tout cas pour tes interventions.

:bave:

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Invité Lorrain27
Invités, Posté(e)
Invité Lorrain27
Invité Lorrain27 Invités 0 message
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Juger ta réaction ? Non, certainement pas. Tout comme je n'attend pas que ma théorie soit une révolution. Quand aux faits chiffrés, sans un supercalculateur les calculs prendraient sans doute une éternité. :sleep:

Depuis quand est-ce la source qui va vers les gens ? Si donc c'est une théorie intéressante, on la trouvera bien où elle est. Merci en tout cas pour tes interventions.

:bave:

Bonjour,

Juste une petite précision qui semble vous avoir échappée : On ne peut faire des calculs que sur un modèle mathématique préalablement conçu. Or, ce modèle semble bien absent de votre "théorie" !

Vous dîtes aussi que vous ne pensez pas que votre théorie soit une révolution ! Mâtin !! Si elle était exacte, elle flanquerait par terre TOUTE la physique actuelle !

Mais pourquoi refusez vous de soumettre votre idée aux physiciens, voilà bien ce que je trouve anormal ! TOUS les physiciens procèdent ainsi !

Enfin, je ne comprends cette remarque : "Depuis quand est-ce la source qui va vers les gens ?"

Cordialement

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
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Cher Lorrain27, je ne soutiens nullement renverser la RG ou la MQ, tout au contraire, mon modèle propose un mécanisme sous-jascent intuitif qui rend toute une série d'étrangeté telles que la courbure de l'espace-temps, la dualité onde-particule, l'intrication quantique, en élucidant potentiellement d'autre part le mystère d'attraction à distance sans connaitre la position des objets environants qui plus est "à l'infini"... Mon idée ne fait que fonder une idée charnière que tout dérive de l'expansion isotropique à vitesse ponctuelle variable avec une conservation d'échelle relative. Par conséquent, mis à part calquer ce paradigme aux fondations de la physique, je ne remets nullement en question la RG ou la MQ.

Concrètement, ce paradigme donne un sens spontané à l'illusion de l'attraction à distance entre objets. Que nous retrouvons comme un changement ponctuel dans l'expansion spatiale locale des baryons qui les rapproche les uns des autres... Or, c'est donc la topologie d'échelle locale qui conduit à cet effet, vu de l'intérieur. Et non un déplacement dans un espace inerte des objsets.

ku-medium.png

Ainsi, deux particules que nous percevons comme s'approchant l'un de l'autre grossisent plus vite du fait de la dynamique de leur environement local, qui lui grandit proportionellement moins vite... Il n'y a aucun effet de magie à distance, juste une équilibre stochastique dérivant de la variation ponctuelle de la vitesse d'expansion.

Il faut bien clarifier qu'en l'absence de toute contrainte exotique, tout point d'energie qui se dissipe se dissipe de façon parfaitement sphérique, et que cette perfection absolue, et les fronts d'ondes qui ont du générer ce que nous interprétons comme le champs de Higgs devaient d'être d'une perfection parfaite mais obéir à des lois non linéaires.

Pour l'intrication quantique, cette perfection justifie le transport de la stochastique non linéaire des particulles intriquées indiféramment de la distance qui les sépare.

Je sais que c'est délicat de visualiser cela, mais tout ce que nous qualifions comme moment magnétique, vitesse, spin, etc, sont in fine une combinaison d'algorithmes dérivées de pures coordonées topologiques de cet environement quantique mathématique.

Ainsi, l'état de deux particules intriquées ponctuellement à un moment de leur vie leur affère une stochastique non linéaire miroir, qui du fait de l'expansion quantique et la non linéarité fait varier l'état des observables toujours en deçà de la partie observable, verrouillant et censurant la région. La corrélation à 100% sans décalage malgré la non prédictibilité absolue gagne ainsi tout son sens. Ainsi, les inégalités sont violées de façon non-locale en conformité à la MQ.

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Frelser Membre 5 507 messages
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Fluctuation_primordiale_de_densité

Dans l'article wiki sur la fluctuation primordiale de la densité, on traite très sommairement des conditions initiales (gaussianité) qui ont structuré l'espace-temps aux origines de l'Univers.

Selon mon modèle, on peut représenter la variation de densité qui a initié l'émergence de la matière comme les zones de recoupements des frondes d'énergie en chaque point de l'espace qui conduira très progressivement à la fluctuation et aux brisures de symétries qui dirigent la naissance de la matière de manière probabiliste.

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Invité Lorrain27
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Invité Lorrain27
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Cher Lorrain27, je ne soutiens nullement renverser la RG ou la MQ, tout au contraire, mon modèle propose un mécanisme sous-jascent intuitif qui rend toute une série d'étrangeté telles que la courbure de l'espace-temps, la dualité onde-particule, l'intrication quantique, en élucidant potentiellement d'autre part le mystère d'attraction à distance sans connaitre la position des objets environants qui plus est "à l'infini"... Mon idée ne fait que fonder une idée charnière que tout dérive de l'expansion isotropique à vitesse ponctuelle variable avec une conservation d'échelle relative. Par conséquent, mis à part calquer ce paradigme aux fondations de la physique, je ne remets nullement en question la RG ou la MQ.

Concrètement, ce paradigme donne un sens spontané à l'illusion de l'attraction à distance entre objets. Que nous retrouvons comme un changement ponctuel dans l'expansion spatiale locale des baryons qui les rapproche les uns des autres... Or, c'est donc la topologie d'échelle locale qui conduit à cet effet, vu de l'intérieur. Et non un déplacement dans un espace inerte des objsets.

ku-medium.png

Ainsi, deux particules que nous percevons comme s'approchant l'un de l'autre grossisent plus vite du fait de la dynamique de leur environement local, qui lui grandit proportionellement moins vite... Il n'y a aucun effet de magie à distance, juste une équilibre stochastique dérivant de la variation ponctuelle de la vitesse d'expansion.

Il faut bien clarifier qu'en l'absence de toute contrainte exotique, tout point d'energie qui se dissipe se dissipe de façon parfaitement sphérique, et que cette perfection absolue, et les fronts d'ondes qui ont du générer ce que nous interprétons comme le champs de Higgs devaient d'être d'une perfection parfaite mais obéir à des lois non linéaires.

Pour l'intrication quantique, cette perfection justifie le transport de la stochastique non linéaire des particulles intriquées indiféramment de la distance qui les sépare.

Je sais que c'est délicat de visualiser cela, mais tout ce que nous qualifions comme moment magnétique, vitesse, spin, etc, sont in fine une combinaison d'algorithmes dérivées de pures coordonées topologiques de cet environement quantique mathématique.

Ainsi, l'état de deux particules intriquées ponctuellement à un moment de leur vie leur affère une stochastique non linéaire miroir, qui du fait de l'expansion quantique et la non linéarité fait varier l'état des observables toujours en deçà de la partie observable, verrouillant et censurant la région. La corrélation à 100% sans décalage malgré la non prédictibilité absolue gagne ainsi tout son sens. Ainsi, les inégalités sont violées de façon non-locale en conformité à la MQ.

Bonjour,

Vous parlez de votre modèle comme intuitif ! TOUT EST LA !

Toute théorie en physique est partie soit d'une observation ou d'une intuition.

Mais si une "théorie" restait à l'état d'intuition, elle n'aurait aucune valeur :

Il est absolument indispensable d'encadrer cette intuition dans un modèle mathématique cohérent sans lequel il est rigoureusement impossible de vérifier cette intuition !

En effet, ce modèle doit tout d'abord retrouver les phénomènes et lois connus. Il doit aussi proposer aux expérimentateurs des expériences afin de confirmer ou d'infirmer les prédictions de ce modèle car, si ce modèle ne peut faire la moindre prédiction de phénomènes nouveaux, alors il ne sert à rien.

Voilà pourquoi je vous ai fortement conseillé de montrer votre idée à un physicien. Je suis absolument certain qu'il vous dira que votre idée ne tient aucun compte de nos connaissances actuelles et entre de plus en contradiction avec elles. Bien sûr, il vous fera remarquer que votre idée n'a rigoureusement aucune valeur faute d'être épaulée par un modèle mathématique ainsi que doit l'être toute nouvelle théorie.

L'intuition seule est totalement dépourvue de valeur en physique. C'est ce que vous devez absolument comprendre.

Cordialement.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

J'ai déjà répondu, mais manifestement, tu n'as pas compris ce que je soutiens. Je ne remets pas en question la physique théorique actuelle. Je pose un paradigme qui se calque sur les deux théories (RG et MQ).

MON PARADIGME : UNE EXPANSION ISOTROPIQUE A VITESSE PONCTUELLE VARIABLE AVEC CONSERVATION RELATIVE D'ECHELLES

1/ L'impression de distorsion et de courbure de l'espace devient une variation en densité modifiant la topologie des événements,

2/ La dualité onde-particule et les inégalités de Heisenberg deviennent un effet de modification de la topologie locale des particules lors des mesures : la particule qui s'imprime sur une cellule photoélectrique respecte une proportion d'échelle et apparait ponctuelle, tandis que l'environnement des fentes d'Young induisent une variation topologique qui dirige la particule à une variation de densité relative que nous interprétons comme de nature ondulatoire.

3/ Les champs de force qui n'ont aucune contrepartie intelligible acquièrent une solution et une explication toute simple : c'est la variation proportionelle de la densité d'énergie qui se dissipe plus ou moins vite ou lentement selon la topologie des événements (oui, la terminologie doit encore être mieux fixée je concède) qui induit une telle impression.

4/ etc.

>> Pour ce qui est du plan mathématique, j'ai expliqué que sans une simulation dans un supercalculateur, il m'est simplement impossible de savoir quelle vitesse standard attribuer à la moyenne de l'expansion REELLE et quelles vitesses relatives attribuer à l'inertie ponctuelle.

>> J'ai précisé qu'un très léger déséquilibre dans cette régulation aura l'avantage d'expliquer l'effet de la matière noire et de l'énergie noire.

-- > Si tu as suivi mes explications, tu as compris comment on peut controler la pertinence de ma théorie.

Cordialement.

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Invité Lorrain27
Invités, Posté(e)
Invité Lorrain27
Invité Lorrain27 Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour,

Vous déclarez une fois de plus :

"ce qui est du plan mathématique, j'ai expliqué que sans une simulation dans un supercalculateur, il m'est simplement impossible de savoir quelle vitesse standard attribuer à la moyenne de l'expansion REELLE et quelles vitesses relatives attribuer à l'inertie ponctuelle."

Tout d'abord, cette phrase n'a aucun sens !

De plus, je vous ai répondu que pour confier un calcul à un ordinateur, encore faut-il que ce calcul porte sur un modèle mathématique !

Où est votre modèle ? Pouvez vous le montrer ? Sinon, sur QUOI porteraient les calculs de l'ordinateur ?

Enfin, je vous signale que c'est fini de nos jours le petit génie qui révolutionne à lui seul la physique ! Consultez donc le site http://arXiv.org/ là où les physiciens publient leurs travaux (profitez en pour comparer ce qu'est une VRAIE théorie avec la vôtre !). Vous pourrez vérifier le nombre important de co-auteurs pour un article !

Mais je vous répète encore une fois que tant que vous n'aurez pas soumis votre idée à au moins un physicien, cette idée n'aura AUCUNE valeur. Il est pourtant évident que l'on ne peut être à la fois juge et partie.

Admettez quand même que votre incompréhensible refus à communiquer votre "théorie" à un spécialiste est pour le moins troublante ! TOUS les physiciens soumettent leurs travaux à la critique de leurs collègues !

Cordialement.

P.S. J'ajoute, à la lecture de vos textes, que vous ignorez la théorie de la Relativité générale ainsi que la mécanique quantique. (J'entends en dehors de toute lecture d'ouvrages de vulgarisation !)

La Relativité générale exige, pour être comprise, une totale maîtrise de la géométrie de Riemann ainsi que celle de l'analyse tensorielle.

Pour ce qui concerne la mécanique quantique, sa connaissance passe obligatoirement par la maîtrise des espaces de Hilbert, par la théorie quantique des champs, par les équations de Schrödinger, de Dirac, de Klein-Gordon, de la notion d'opérateur quantique, de la chromodynamique quantique et une foultitude d'autres concepts indispensables !

Maîtrisez-vous vraiment tout cela ?

Attention je ne veux pas vous accabler mais seulement vous rendre service en attirant votre attention sur quelques points importants montrant la faiblesse de vos arguments.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Cher Lorrain27, tu insiste sur un modèle mathématique et je comprend bien cela. Mais, il est question d'établir un rapport entre deux variables : point. La première est la vitesse d'expansion standard de l'énergie surgissant au mur de Planck et de déterminer la courbe de vitesse ponctuelle qui va spontanément aboutir aux observations. Donc, on devrait simuler un volume de densité inconnue en expansion avec une vitesse donnée et chercher la courbe d'inertie à attribuer pour aboutir exactement aux observations. Je pense que les données de Planck nous donneront une idée sur la marge d'écart et de variation ponctuelle à obtenir.

Cette théorie peut sembler fantaisiste, mais elle a l'atout de conduire à rendre un très large faisseau d'observations d'apparence inintelligible intuitifs.

Donc, toutes les bases mathématiques sont d'emblée fournies par la RG et la MQ. Il faut pour tester mon modèle chercher la courbe de variation de vitesse ponctuelle relative idéale qui aboutit à l'émergence de l'énergie noire et de la matière sombre. Désolé, plus simple encore je ne parviens pas à formuler.

Amicalement.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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P.S. : Pour visualiser un peu ce que l'on devrait simuler, imaginons deux points a et b séparés d'une distance de 1cm. Nous voulons que a qui est plus gros que b attire b avec une vitesse directement proportionnelle au produit de leurs tailles respectives, et inversement proportionnelle au carré de la distance qui les séparent. Le jeu consistera à un changement de la taille de a, de b et de la distance avec une vitesse de grossissement légèrement supérieur de b et de a comparativement à la distance qui les sépare.

Si nous maintenons ensuite la taille de a et de b stables (conservation d'échelle relative) nous obtiendrons un effet de gravitation ou de courbure de l'espace et b s'approchera de a conformément à la vitesse recherchée.

Là ou cela nécessite le recours obligé à un supercalculateur c'est quand on rajoute d'autres points de tailles variables à des distances aléatoires... Si mon modèle est pertinent, on n'aura pas besoin d'autre dimension invisible et tout apparaitra naturellement. Et l'énergie noire et la dite matière noire émergeront spontanément comme une illusion.

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Invité Lorrain27
Invités, Posté(e)
Invité Lorrain27
Invité Lorrain27 Invités 0 message
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Cher Lorrain27, tu insiste sur un modèle mathématique et je comprend bien cela. Mais, il est question d'établir un rapport entre deux variables : point. La première est la vitesse d'expansion standard de l'énergie surgissant au mur de Planck et de déterminer la courbe de vitesse ponctuelle qui va spontanément aboutir aux observations. Donc, on devrait simuler un volume de densité inconnue en expansion avec une vitesse donnée et chercher la courbe d'inertie à attribuer pour aboutir exactement aux observations. Je pense que les données de Planck nous donneront une idée sur la marge d'écart et de variation ponctuelle à obtenir.

Cette théorie peut sembler fantaisiste, mais elle a l'atout de conduire à rendre un très large faisseau d'observations d'apparence inintelligible intuitifs.

Donc, toutes les bases mathématiques sont d'emblée fournies par la RG et la MQ. Il faut pour tester mon modèle chercher la courbe de variation de vitesse ponctuelle relative idéale qui aboutit à l'émergence de l'énergie noire et de la matière sombre. Désolé, plus simple encore je ne parviens pas à formuler.

Amicalement.

Bonjour,

Mais, mon cher, loin de moi l'idée d'attendre une simplification d'un modèle mathématique inexistant.

Je vous signale que votre déclaration : "Il faut pour tester mon modèle chercher la courbe de variation de vitesse ponctuelle relative idéale qui aboutit à l'émergence de l'énergie noire et de la matière sombre." n'a rigoureusement aucun sens !

Je prétends tout simplement que vous n'avez aucune connaissance de la Relativité générale et de la mécanique quantique et qu'en conséquence de quoi, vous ne pouvez évidemment pas me fournir EXPLICITEMENT les calculs à donner à un "super-computer" !

Voici, à titre d'exemple, l'équation fondamentale de la Relativité générale :

Rij -(1/2)gijR = 8piG/c4Tij

Voilà un exemple d'équation à développer pour en tirer, une fois développée, des calculs pour théoriciens et ordinateurs ! La connaissez vous ? Sinon, vous ignorez tout de la Relativité générale et, dans ce cas, par quel extraordinaire miracle pouvez la réconcilier avec la mécanique quantique dont vous ignorez tout également ?

Voilà la raison pour laquelle vous refusez avec une rare obstination absolument UNIQUE de confier pour analyse votre "théorie" à un physicien.

Et ce refus, vous ne le pouvez justifier.

Donc, et tant que vous ne l'aurez pas fait, toute prolongation de cet échange sera vain.

Avec regret, j'abandonne.

Cordialement.

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