eloge animale

il y a ce que nous revele les sciences, la richesse, l'etrangeté, l'extraordinaire diversité de ces modalités de perception, d'expression de representation qui ont émergé, évolué chezd'innombrables animaux, qui les rendent sensibles des dimensions du monde qui nous sont entièrement inconnues et qui leur permettent d'inventer LEUR réalité- une realité differente de la nôtre; mais en dehors de nous humains, combien d'autres façons de faire surgir et ressentir le monde? la vision , la perception, l'audition,dans la symphonie du monde, la conscience de soi, la capacité a exprimer des émotions,a partager celle des autres,la fabrication et l'usaged'outils,le langage du regne animal,leurs mutations adaptatives,la capacité a aider les plus faibles menbres, tout cela non seulement prouve a inserer le monde animal dans une continuité,mais offre une reflexion sur les interférences, les connections du monde du vivant;la seule et unique difference est celle de la nature, et non celle du degré entre nous et le regne animal;

j'ai omis de préciser m'être inspirée du délicieux dernier ouvrage de JEAN CLAUDE AMEISEN "les chants mêlès de la terre et de l'humanité"

Je crois qu'en horde, les animaux faibles sont abandonnés aux prédateurs, ils servent de fusibles.

Ils prennent au premier degré la notion de mâle/femelle dominants.

Du coup, si une description animalière des gens -comme dans les Fables- provoque un effet burlesque, toutefois une description organique -comme la Fable de l'estomac racontée sous l'Antiquité à la plèbe par un Patricien- provoque une sensation de nos jours de vague dégoût.

Ce qui fait fonctionner une fourmilière, reste depuis des millénaires une grande capacité d'abnégation des membres, et cela ne présente rien de transcendant chez l'humain, lequel éprouve le besoin de se dépasser lui-même, mais pour fusionner et transformer en cela la communauté, et non se soumettre à elle.

... la richesse, l'étrangeté, l'extraordinaire diversité de ces modalités de perception, d'expression, de représentation qui ont émergé, évolué chez d'innombrables animaux...

Ce n'est pas par manque de bonne volonté, mais une fois encore, je ne vois pas comment réagir, puisque votre sujet ne semble pas avoir le moindre rapport avec la religion ou le culte.

Hé bien Scénon, si tu ne vois pas, c'est que tu es aveugle.

On te montre que l'homme, soit disant créé à l'image d'un dieu quelconque, n'a strictement rien inventé. On te montre que de nobles sentiments, tels la charité, l'amour, la pitié, existaient déjà dans les gènes des espèces animales dont nous sommes les héritiers, et on te montre enfin que ces nobles sentiments, colportés par les prophètes de tous poils et attribués à dieu, ne sont en aucun cas des inventions divines mais des garde-fous inventés par la nature.

Ma chienne écrit mieux le français que vous. Bourré de fautes. Connexion ?

Hé bien Scénon, si tu ne vois pas, c'est que tu es aveugle.

On te montre que l'homme, soit disant créé à l'image d'un dieu quelconque, n'a strictement rien inventé. On te montre que de nobles sentiments, tels la charité, l'amour, la pitié, existaient déjà dans les gènes des espèces animales dont nous sommes les héritiers, et on te montre enfin que ces nobles sentiments, colportés par les prophètes de tous poils et attribués à dieu, ne sont en aucun cas des inventions divines mais des garde-fous inventés par la nature.

tout a fait cela; le lien est par trop évident sans doute !!!!! l'animalité pregnante en l'humain se reduisant chez ce dernier a pretendre LUI être superieur; un orgueil que nul animal possede;

On te montre que l'homme... n'a strictement rien inventé.

Merci, je dois être aveugle, ou bien je ne sais pas lire entre les lignes.

... qui leur permettent [aux animaux] d'inventer leur réalité – une réalité différente de la nôtre...

J'ai omis de préciser m'être inspirée du délicieux dernier ouvrage de JEAN CLAUDE AMEISEN, “Les chants mêlés de la terre et de l'humanité”.

J'avoue ne pas l'avoir lu, mais le site de la maison d'édition “L'Aube” en propose un bref résumé, où il est dit notamment:

Un autre rapport à la nature, c’est-à-dire à notre propre humanité, doit s’inven­ter. Pas si éloigné que cela du regard émerveillé et inquiet que Charles Darwin portait sur ces espèces aux espaces désormais menacés.

Le livre est classé dans la catégorie «changement climatique/environnement planétaire», ce qui, à en juger aussi d'après le reste du résumé, exclut tout rapport avec celle intitulée «religion et culte».

À moins que l'ouvrage démontre que les religions et les cultes contribuent largement au changement climatique?...

tout a fait cela; le lien est par trop évident sans doute !!!!! l'animalité pregnante en l'humain se reduisant chez ce dernier a pretendre LUI être superieur; un orgueil que nul animal possede;

bonsoir

en fait ,l'humain est un animal comme les autres dans la branche des mammifères .seulement , il à développé une intelligence hors du commun dans le monde animal .l'intelligence et le pouvoir de dominer les autres espèces et même son évolution et l'évolution en général .

l'orgueil est né de cela et de bien d'autres choses . l'orgueil irai jusqu'à le conduire à scier la branche ou il est assis .

seulement , il n'est pas seul sur cette branche et là serait le problème .

bonne soirée

J'avoue ne pas l'avoir lu, mais le site de la maison d'édition “L'Aube” en propose un bref résumé, où il est dit notamment:

Le livre est classé dans la catégorie «changement climatique/environnement planétaire», ce qui, à en juger aussi d'après le reste du résumé, exclut tout rapport avec celle intitulée «religion et culte».

À moins que l'ouvrage démontre que les religions et les cultes contribuent largement au changement climatique?...

scenon bonjour: vous etes sacrement rigide là, pourtant ce que je formule est bien dans l'esprit de la CONTINUITE, je n'ai pas pris la partie du livre qui évoque les changements climatiques, j'ai choisi celle qui nous implique dans une relation universelle, une spiritualité du vivant ou le monde des animaux ne peut s'exclure sous pretexte qu'il n'est point de même nature;

Je n'ai pas pris la partie du livre qui évoque les changements climatiques, j'ai choisi celle qui nous implique dans une relation universelle, une spiritualité du vivant où le monde des animaux ne peut s'exclure sous prétexte qu'il n'est point de même nature.

Sabine, loin de moi de vouloir jouer au triste censeur, mais que veut dire “une spiritualité du vivant”? et qui parle d'exclure les animaux? et de quoi?

Le fait est que ces derniers n'ont ni religion ni culte, et que d'autre part, dans toute religion, l'homme est précisément d'une autre nature que les animaux; ou plus exactement: l'homme a quelque chose que l'animal n'a pas.

Ce n'est pas être “rigide” (et encore moins “sacrément”, malgré la rubrique ) que de ne pas voir où situer la religion dans le sujet par vous abordé.

Sabine, loin de moi de vouloir jouer au triste censeur, mais que veut dire “une spiritualité du vivant”? et qui parle d'exclure les animaux? et de quoi?

Le fait est que ces derniers n'ont ni religion ni culte, et que d'autre part, dans toute religion, l'homme est précisément d'une autre nature que les animaux; ou plus exactement: l'homme a quelque chose que l'animal n'a pas.

Ce n'est pas être “rigide” (et encore moins “sacrément”, malgré la rubrique ) que de ne pas voir où situer la religion dans le sujet par vous abordé.

bonjour scenon, je comprends mieux le pourquoi de votre interrogation; vous dissociez le monde animal du nôtre; ce qui n'est pas mon cas; l'homme est né d'une évolution lente, tres lente même d'un milieu aquatique; on a mis du temps pour se relever sur nos deux pattes; nous sommes le produit d'une continuité, et c'est en ce sens que je persiste sur mon petit sujet, si vous me le permettez; bonne journée a vous

Je comprends mieux le pourquoi de votre interrogation; vous dissociez le monde animal du nôtre.

Je ne dissocie rien du tout, vous m'avez mal compris.

J'ai écrit que selon les religions l'homme a quelque chose que les autres animaux n'ont pas, et c'est en ce sens que je ne comprends pas ce que vient faire votre sujet dans “Religion et culte”.

Ce n'est pas parce que personnellement, vous ne dissociez pas le monde animal de celui de l'homme, et que je ne les dissocie pas non plus, que votre sujet en devient plus religieux ou cultuel. Vous auriez placé le sujet dans “Arts et culture” ou dans “Jeux vidéo”, que je n'en verrais pas mieux la raison.

Mais soit! je n'insisterai pas. D'autres intervenants sont, paraît-il, plus lucides que moi et se feront un plaisir de discuter avec vous. Au plaisir de vous lire.

Scénon…. Bonjour.

Quand à mon intervention, elle ne visait qu'à laisser apparaître une relation entre le panthéisme ( tel que le concevait Spinoza) et la ligne générale de l'ouvrage en question. J'en conviens, j'ai une certaine propension à généraliser un peu vite. Mais si l'on accepte cette généralisation, alors on se retrouve en plein débat susceptible de s'accorder avec les thèmes "religions et croyances".

Je ne dissocie rien du tout, vous m'avez mal compris.

J'ai écrit que selon les religions l'homme a quelque chose que les autres animaux n'ont pas, et c'est en ce sens que je ne comprends pas ce que vient faire votre sujet dans “Religion et culte”.

Ce n'est pas parce que personnellement, vous ne dissociez pas le monde animal de celui de l'homme, et que je ne les dissocie pas non plus, que votre sujet en devient plus religieux ou cultuel. Vous auriez placé le sujet dans “Arts et culture” ou dans “Jeux vidéo”, que je n'en verrais pas mieux la raison.

Mais soit! je n'insisterai pas. D'autres intervenants sont, paraît-il, plus lucides que moi et se feront un plaisir de discuter avec vous. Au plaisir de vous lire.

ok scenon, je ferai plus attention la prochaine fois; le domaine de la spiritualité m'interesse sous tous les angles que celle ci puisse revetir;

bonsoir

en fait ,l'humain est un animal comme les autres dans la branche des mammifères .seulement , il à développé une intelligence hors du commun dans le monde animal .l'intelligence et le pouvoir de dominer les autres espèces et même son évolution et l'évolution en général .

l'orgueil est né de cela et de bien d'autres choses . l'orgueil irai jusqu'à le conduire à scier la branche ou il est assis .

seulement , il n'est pas seul sur cette branche et là serait le problème .

bonne soirée

Ce n'est pas que le problème SERAIT là, mais le problème EST là. Et ça fait un bout de temps qu'il la scie, la branche. Elle doit être très grosse ou la scie très mal affutée ! Il n'empêche qu'elle est prête à casser et on n'a pas de parachutes.