Brexit :"Nous pouvons survivre en dehors de l'UE"

La presse se mobilise, tiens ce n'est pas comme nos lèche-c.l!

http://www.francetvi...ti_1508509.html

Et on y retrouve la division traditionnelle selon le niveau d'étude. Les classes britanniques éduquées, qu'elles soient pauvres ou riches, sont unanimement anti Brexit, tandis que le prolo anglais de base (de droite comme de gauche également), de préférence un peu raciste et xénophobe et qui n'y comprend surtout rien de rien, préfère faire chier l'establishment histoire de se sentir enfin exister et choisit systématiquement d'opter pour des solutions simplistes. Ce en quoi il est aidé par quelques milliardaires arrivistes et démagogues dépourvus eux aussi d'éducation supérieure mais qui croient ainsi tenir leur revanche sur la gentry formée traditionnellement dans les universités supérieures.

Cela, et l'aide des capitaux russes et autres cadeaux de Poutine bien entendu (qui finance l'UKIP comme il finance le FN).

C'est très intéressant comme découpage social car il dépasse la préférence idéologique au sens traditionnel du terme, ou même la classe sociale selon les tranches de revenus.

Voilà j'ai trouvé

http://fr.euronews.c...uy-verhofstadt/

Intéressant, mais j'ai quand même trouver le premier intervenant parlait de choses moins connues et qui ne se disent pas dans nos médias, et pour cause.

Le second je trouve défend bien son point de vue, mais ce sont des choses répétées souvent en boucle dans nos médias, non? Puis sa petite chute sur Poutine préméditée...

Le sentiment en écoutant cette émission est quand même, pour moi, également l'espoir d'un changement de cap pour ces deux personnes, mais sans réelles convictions du second.

Et on y retrouve la division traditionnelle selon le niveau d'étude. Les classes britanniques éduquées, qu'elles soient pauvres ou riches, sont unanimement anti Brexit, tandis que le prolo anglais de base (de droite comme de gauche également), de préférence un peu raciste et xénophobe et qui n'y comprend surtout rien de rien, préfère faire chier l'establishment histoire de se sentir enfin exister et choisit systématiquement d'opter pour des solutions simplistes. Ce en quoi il est aidé par quelques milliardaires arrivistes et démagogues dépourvus eux aussi d'éducation supérieure mais qui croient ainsi tenir leur revanche sur la gentry formée traditionnellement dans les universités supérieures.

Cela, et l'aide des capitaux russes et autres cadeaux de Poutine bien entendu (qui finance l'UKIP comme il finance le FN).

C'est très intéressant comme découpage social car il dépasse la préférence idéologique au sens traditionnel du terme, ou même la classe sociale selon les tranches de revenus.

toujours dans le mépris...et la caricature!

toujours dans le mépris...et la caricature!

En quoi ces simples constats sont-ils méprisants ?

Au contraire, ils sont très intéressants à analyser. Ils témoignent du décrochage grandissant d'une portion importante de la société par rapport à un monde globalisé, dynamique et fluide dont ils comprennent de moins en moins le sens.

Mais cette division de la société en fonction du niveau d'étude atteint est fascinante, car elle transcende nombre de concepts sociologiques classiques et est susceptible de diviser même des noyaux familiaux autrefois relativement unis. Je pense que par les études, ce qui est mesuré, c'est principalement le degré d'adaptation à la société contemporaine. Les votes populistes proviennent presque exclusivement de gens qui se sentent mis à l'écart, abandonnés ou dépassés, pour une raison ou une autre -et ils n'ont pas forcément tort sur ce point-.

Et c'est bien pour cela qu'on ne peut plus parler d'extrême droite au sens traditionnel, mais de mouvements rouges-bruns combinant et mixant des idéologies autrefois en apparence opposées. Comment a t-on pu penser associer ensemble démocratie directe, lutte pour la liberté d'expression avec une bonne dose de racisme et d'autoritarisme... Tous ces mouvements hybrides sont troublants et fascinants de nouveauté, à la fois anciens et radicalement contemporains !

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Toi, tu y vois du mépris... Moi, j'y vois juste de nouvelles remises en question.

Pour Donald Tusk, le Brexit est un "signal d'alarme" pour l'Union européenne

Il a martelé que "quel que soit le résultat, nous devons porter un regard profond sur l'avenir de l'Union".

"Ma plus grande crainte est qu'un éventuel résultat négatif puisse encourager d'autres eurosceptiques en Europe", a-t-il souligné. "Il y a davantage de signaux de mécontentement avec l'UE qui arrivent de partout en Europe, pas seulement du Royaume-Uni", a prévenu le président du Conseil européen.

les derniers sondages suggèrent un glissement en faveur d'un maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne, suite au meurtre jeudi de la députée pro-UE Jo Cox.

"Je voudrais lancer un appel aux citoyens britanniques, au nom de presque tous les responsables européens: restez avec nous, nous avons besoin de vous", a insisté Donald Tusk, mettant en garde contre les conséquences "complètement imprévisibles" d'un Brexit.

http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/pour-donald-tusk-le-brexit-est-un-signal-d-alarme-pour-l-union-europeenne_1804166.html

En quoi ces simples constats sont-ils méprisants ?

Au contraire, ils sont très intéressants à analyser. Ils témoignent du décrochage grandissant d'une portion importante de la société par rapport à un monde globalisé, dynamique et fluide dont ils comprennent de moins en moins le sens.

Mais cette division de la société en fonction du niveau d'étude atteint est fascinante, car elle transcende nombre de concepts sociologiques classiques et est susceptible de diviser même des noyaux familiaux autrefois relativement unis. Je pense que par les études, ce qui est mesuré, c'est principalement le degré d'adaptation à la société contemporaine. Les votes populistes proviennent presque exclusivement de gens qui se sentent mis à l'écart, abandonnés ou dépassés, pour une raison ou une autre -et ils n'ont pas forcément tort sur ce point-.

Il y a quantité de questions à se poser.

Dans le fait de diviser la société en deux.

La société est une, et c'est peut être ça le problème, laisser sur le bord de la route une moitié pendant que l'autre fait des affaires. Dans le fait de considérer les populistes comme ayant forcément tort et ne comprenant rien à l'enjeu européen, je dirais que c'est peut être le fait que les travers de l'union ce sont eux qui les prennent de plein fouet. Et je ne pense pas que ce soit un décrochage, c'est la politique Européenne qui oublie volontairement une partie de la population qui doit se contenter des miettes. Donc si dire, qu'une grande partie d'européens ne se reconnaît pas dans ce projet, qu'elle n' y croit pas parce que chaque jour le lui prouve, ça fait d'elle une populiste , je dirais que c'est juste un mot qui est détourné de son véritable sens et est dit de façon méprisante.

Le véritable populisme que pour le coup je méprise, c'est celui qui a fait croire justement à toute cette partie grandissante que l'Europe allait les rendre heureux et les protéger.

Le Brexit est justement l'occasion pour ces gens de dire leurs doléances, et les restreindre de façon encore méprisante à celle et seule des migrants est une aberration, ça c'est juste encore" du populisme de bas étage.

Il est évident que si tout allait bien, il n' y aurait pas de problème d'accueil, les gens ne sont pas racistes, mais ils sont écœurés de la politique européenne, et ça c'est mon sentiment.

"Je voudrais lancer un appel aux citoyens britanniques, au nom de presque tous les responsables européens: restez avec nous, nous avons besoin de vous", a insisté Donald Tusk, mettant en garde contre les conséquences "complètement imprévisibles" d'un Brexit.

http://lexpansion.le...ne_1804166.html

Et plus il martèlera que les conséquences risquent d'être "complètement imprévisibles", et puis les pro Brexit voteront dans ce sens car c'est justement ce qu'ils recherchent.

Une partie de nos élites politiques n'ont pas l'air de comprendre, elles n'ont plus, que l'un des plus irrésistibles attraits du vote populiste c'est justement le pouvoir de dire merde, de cracher dans la soupe ou de tout casser (quitte à aller faire flamber sa propre bagnole si nécessaire).

Pour tous ces laissés pour compte, ces votes sont l'occasion de se sentir à nouveau exister, et ils ne peuvent le faire qu'en exprimant leur dégoût et leur haine.

Ce n'est pas encore une vote tout à fait révolutionnaire (puisqu'il y a absence de véritable contre projet), mais il y a quelque chose en germe.

Pour Donald Tusk, le Brexit est un "signal d'alarme" pour l'Union européenne

Il a martelé que "quel que soit le résultat, nous devons porter un regard profond sur l'avenir de l'Union".

"Ma plus grande crainte est qu'un éventuel résultat négatif puisse encourager d'autres eurosceptiques en Europe", a-t-il souligné. "Il y a davantage de signaux de mécontentement avec l'UE qui arrivent de partout en Europe, pas seulement du Royaume-Uni", a prévenu le président du Conseil européen.

les derniers sondages suggèrent un glissement en faveur d'un maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne, suite au meurtre jeudi de la députée pro-UE Jo Cox.

"Je voudrais lancer un appel aux citoyens britanniques, au nom de presque tous les responsables européens: restez avec nous, nous avons besoin de vous", a insisté Donald Tusk, mettant en garde contre les conséquences "complètement imprévisibles" d'un Brexit.

http://lexpansion.le...ne_1804166.html

Il défend ses intérêts, ce qui serait intéressant, c'est que ces gens appliquent ce qu'ils disent.

Mais dés le lendemain de la victoire du bremain, tout repartira comme de plus belle en attendant de retenir encore le prochain domino qui déséquilibre l'ensemble.

Je voudrais lancer un appel aux citoyens britanniques, au nom de presque tous les responsables européens: restez avec nous, nous avons besoin de vous",

Vous y croyez vous à ce genre de phrase creuse!

Moi pas, tant que derrière il n' y a pas d'actes visibles, je reste profondément sceptique.

On a déjà eu des précédents.....

Et on y retrouve la division traditionnelle selon le niveau d'étude. Les classes britanniques éduquées, qu'elles soient pauvres ou riches, sont unanimement anti Brexit, tandis que le prolo anglais de base (de droite comme de gauche également), de préférence un peu raciste et xénophobe et qui n'y comprend surtout rien de rien, préfère faire chier l'establishment histoire de se sentir enfin exister et choisit systématiquement d'opter pour des solutions simplistes. Ce en quoi il est aidé par quelques milliardaires arrivistes et démagogues dépourvus eux aussi d'éducation supérieure mais qui croient ainsi tenir leur revanche sur la gentry formée traditionnellement dans les universités supérieures.

Cela, et l'aide des capitaux russes et autres cadeaux de Poutine bien entendu (qui finance l'UKIP comme il finance le FN).

C'est très intéressant comme découpage social car il dépasse la préférence idéologique au sens traditionnel du terme, ou même la classe sociale selon les tranches de revenus.

Le mépris des classes populaire, habituel chez les bobos parisiens.

Pas besoin d'être très éduqué pour se rendre compte que l'UE est une oligarchie qui favorise les plus riches au détriment de la majorité populaire. D'ailleurs elle s'en cache même pas.

En plus prétendre que il faut avoir des diplômes pour être cultivé... sans commentaires.

Et plus il martèlera que les conséquences risquent d'être "complètement imprévisibles", et puis les pro Brexit voteront dans ce sens car c'est justement ce qu'ils recherchent.

Une partie de nos élites politiques n'ont pas l'air de comprendre, elles n'ont plus, que l'un des plus irrésistibles attraits du vote populiste c'est justement le pouvoir de dire merde, de cracher dans la soupe ou de tout casser (quitte à aller faire flamber sa propre bagnole si nécessaire).

Pour tous ces laissés pour compte, ces votes sont l'occasion de se sentir à nouveau exister, et ils ne peuvent le faire qu'en exprimant leur dégoût et leur haine.

Ce n'est pas encore une vote tout à fait révolutionnaire (puisqu'il y a absence de véritable contre projet), mais il y a quelque chose en germe.

Un pauvre, c'est forcément con, ça fait cramer sa bagnole.....ça ne vaut pas vraiment une réponse.

Pas besoin d'être très éduqué pour se rendre compte que l'UE est une oligarchie qui favorise les plus riches au détriment de la majorité populaire. D'ailleurs elle s'en cache même pas.

Non justement, la division ne se fait pas en fonction des revenus, mais apparemment bien en fonction du niveau d'éducation atteint.

Il y a de nombreux oligarques et milliardaires qui soutiennent le mouvement du Brexit, et ils ne le font pas par philanthropie. Trump est un milliardaire, Poutine est l'homme le plus riche de Russie, et Rupert Murdoch (propriétaire des journaux pro-Brexit) n'est pas non plus quelqu'un de particulièrement pauvre etc...

Toutefois, le point commun entre ces trois gusses c'est qu'ils ont arrêté très tôt leurs études ou bien les ont complètement foirées. Etrange, non ?

Idem pour Nigel Farage: ce dernier a refusé de s'inscrire à l'université, ce qui ne l'a pas empêché de devenir par la suite courtier en bourse (en travaillant pour plusieurs banques), l'un des requins les plus redoutés de la City londonienne, et donc de disposer d'un capital très confortable. Un capital qu'il planque intégralement dans des paradis fiscaux histoire de ne payer aucun impôt... Et ses excuses et ses contradictions ont été plutôt pathétiques sur ce point: http://www.bbc.com/news/uk-politics-23001529

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Inversement, il existe de nombreux pauvres ayant malgré réalisé des études supérieures -tous les bobos ne sont pas riches, posez la question aux profs de collège-, mais ces classes ne semblent pas vouloir voter pour le Brexit pour autant.

Un pauvre, c'est forcément con, ça fait cramer sa bagnole.....ça ne vaut pas vraiment une réponse.

Pour la quatrième fois:

Je ne parle pas des pauvres vs riches. Cette division est dépassée et n'est pas pertinente lorsqu'on analyse sociologiquement le vote populiste britannique.

Le mépris des classes populaire, habituel chez les bobos parisiens.

Pas besoin d'être très éduqué pour se rendre compte que l'UE est une oligarchie qui favorise les plus riches au détriment de la majorité populaire. D'ailleurs elle s'en cache même pas.

En plus prétendre que il faut avoir des diplômes pour être cultivé... sans commentaires.

"Pas besoin d'être très éduqué pour se rendre compte que l'UE est une oligarchie qui favorise les plus riches au détriment de la majorité populaire. D'ailleurs elle s'en cache même pas."

Et qui ne respecte même pas ses citoyens.

Quand au populisme, ce sont les premiers à s'en servir pour gagner les élections.

Non justement, la division ne se fait pas en fonction des revenus, mais apparemment bien en fonction du niveau d'éducation atteint.

Il y a de nombreux oligarques et milliardaires qui soutiennent le mouvement du Brexit, et ils ne le font pas par philanthropie. Trump est un milliardaire, Poutine est l'homme le plus riche de Russie, et Rupert Murdoch (propriétaire des journaux pro-Brexit) n'est pas non plus quelqu'un de particulièrement pauvre etc...

Inversement, il existe de nombreux pauvres ayant malgré réalisé des études supérieures -tous les bobos ne sont pas riches, posez la question aux profs de collège-, mais ces classes ne semblent pas vouloir voter pour le Brexit pour autant.

Une population ne se divise pas en deux partis. Prétendre que se sont les plus éduqués qui sont pour l'UE et les plus cons (parce que tu prétend clairement que l'on est con quand on est pas diplômé) qui sont contre, faut vraiment être déconnecté des réalités pour sortir cela.

Une population ne se divise pas en deux partis. Prétendre que se sont les plus éduqués qui sont pour l'UE et les plus cons (parce que tu prétend clairement que l'on est con quand on est pas diplômé) qui sont contre, faut vraiment être déconnecté des réalités pour sortir cela.

Non, je n'ai pas mentionné le mot "con". C'est toi qui projette.

J'ai en revanche parlé de gens qui ne semblent plus à même de comprendre le type de monde globalisé dans lequel nous vivons, qui se sentent déconnectés de la façon dont ce monde évolue malgré eux.

Ce n'est pas du tout la même chose.

Non, je n'ai pas mentionné le mot "con". C'est toi qui projette.

J'ai en revanche parlé de gens qui ne semblent plus à même de comprendre le type de monde globalisé dans lequel nous vivons, qui se sentent déconnectés de la façon dont ce monde évolue malgré eux.

Ce n'est pas du tout la même chose.

Tu prend clairement les gens pour des cons.

Et tu considère bizarrement que se sont les pro Brexit les plus limités. Comme si les pro UE était tous des pros de la politique.

Et tu considère bizarrement que se sont les pro Brexit les plus limités. Comme si les pro UE était tous des pros de la politique.

Rédiger les réponses de son interlocuteur à sa place est un des sophismes rhétoriques les plus classiques.

Mais si tu y crois.

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Si tu veux vraiment le fond de ma pensée, je dirais qu'il y a une véritable détresse dans une bonne partie du vote populiste, une détresse absolument sincère mais qui est hélas le plus souvent exploitée par des gens cyniques et très dangereux.

Farage, Trump ou Poutine me semblent des personnes très dangereuses, manipulatrices au dernier degré car dénuées du moindre scrupule ou de la plus petite parcelle de moralité.

En ce qui concerne leurs électorats, c'est très différent bien entendu.

Et cela ne signifie pas non plus que tous les leaders pro-UE ou pro-Establishment soient exempts de reproches, bien entendu également.

Je n'y peu rien si tu n'assume pas tes propos.

Non justement, la division ne se fait pas en fonction des revenus, mais apparemment bien en fonction du niveau d'éducation atteint.

Il y a de nombreux oligarques et milliardaires qui soutiennent le mouvement du Brexit, et ils ne le font pas par philanthropie. Trump est un milliardaire, Poutine est l'homme le plus riche de Russie, et Rupert Murdoch (propriétaire des journaux pro-Brexit) n'est pas non plus quelqu'un de particulièrement pauvre etc...

Toutefois, le point commun entre ces trois gusses c'est qu'ils ont arrêté très tôt leurs études ou bien les ont complètement foirées. Etrange, non ?

Idem pour Nigel Farage: ce dernier a refusé de s'inscrire à l'université, ce qui ne l'a pas empêché de devenir par la suite courtier en bourse, l'un des requins les plus redoutés de la City londonienne.

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Inversement, il existe de nombreux pauvres ayant malgré réalisé des études supérieures -tous les bobos ne sont pas riches, posez la question aux profs de collège-, mais ces classes ne semblent pas vouloir voter pour le Brexit pour autant.

Pour la quatrième fois:

Je ne parle pas des pauvres vs riches. Cette division est dépassée et n'est pas pertinente lorsqu'on analyse sociologiquement le vote populiste britannique.

Et toujours ce mot populisme.

Ce ne serait pas plus simple de parler de ceux qui ne trouvent aucun intérêt au contraire à rester dans l'union , qui en donnent les raisons et ceux qui veulent rester pour des raisons évidentes.

D'ailleurs certains préfèreraient un pays uni et rassemblé qu'un pays divisé en deux catégories dans une union qui leur dicte ses lois. Je ne vois pas ce qu'il y a de populiste là dedans, c'est un mode de vie qui a fonctionné et ça n'empêche pas d'échanger avec les autres au contraire, dans l'émission de Menon, le premier interlocuteur l'expliquait très bien, ce ne sont pas les politiques qui décident, mais l'offre et la demande, pour acheter du pétrole ou du gaz, il faut être membre de l'ue?Non et même si c'est un pays qui n'est pas démocratique, on fera du commerce avec, on appelle ça l'offre et la demande. Le politique n'est pas indispensable il semblerait que le pétrole et le gaz pour l'instant oui. Pourquoi fait on du commerce avec la chine?

C'est simple certains européistes confirmés trouvent simplement plus juteux d'acheter dans ce pays et multiplier leurs marges par dix ,laisser le poids du chômage sur la population. On voit bien que l'Europe politique ne favorise pas le travail chez nous.

Non, je n'ai pas mentionné le mot "con". C'est toi qui projette.

J'ai en revanche parlé de gens qui ne semblent plus à même de comprendre le type de monde globalisé dans lequel nous vivons, qui se sentent déconnectés de la façon dont ce monde évolue malgré eux.

Ce n'est pas du tout la même chose.

Peut être au contraire qu'ils comprennent parfaitement que la mondialisation va les laminer s'ils ne s'y opposent pas . Je pense que les autres ont la trouille et pratiquent une fuite en avant qui ne durera qu'un temps et plus on attendra plus dure sera la chute. La spéculation va bon train, certains vont encore se faire du blé sur le Brexit ou le Bremain. Comment le type qui n'a rien voit ça?

C'est simple (blablabla)

Non, rien n'est simple justement.

Et si tu penses avoir tout "parfaitement compris" de la mondialisation et de ses mécanismes, je te propose pour le prochain prix Nobel d'économie.

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Nous vivons dans une époque avec de fortes marges d'incertitudes. Il y a ceux qui les acceptent, et ceux qui pensent avoir tout compris, que tout est simple notamment lorsqu'il s'agit d'expliquer à quel point ce même monde semble ligué contre eux.

Non, rien n'est simple justement.

Pour toi si , il ya les populistes que tu méprises et les gens bien, le reste dont je suppose tu t'inclus.:smile2:

Moi je vois seulement un pays qui va mal, et je ne crache pas sur ceux qui veulent se maintenir, même si je ne suis pas d'accord avec leurs raisons. La nuance est de taille, les gens qui sont pour la mondialisation finalement le font au mépris des autres.

Peut être au contraire qu'ils comprennent parfaitement que la mondialisation va les laminer s'ils ne s'y opposent pas .

Et on s'y oppose comment ?