Comment lutter contre le fondamentalisme ?

Connaissance et morale

Si l’enseignant n’a pas pour mission d’être un directeur de conscience et encore moins un maître à penser en la matière, il semble toutefois illusoire d’envisager que l’étude des événements brutaux de notre histoire commune puisse tenir les élèves à distance de ses effets moraux. Cette dimension morale constitue à la fois un écueil, par les difficultés qu’elle soulève, tant du point de vue scientifique que didactique, et une justification : la confrontation répétée de ces violences, la part horaire consacrée à les étudier se justifieraient-elles véritablement si elles n’avaient pour finalité plus ou moins affichée d’armer les consciences en décrivant les mécanismes criminels ?

Cette perspective peut conduire, on le sait, à des dérives moralisantes, parfois simplistes, où le poids émotionnel est mal contrôlé, comme elle peut nourrir finement l’intellect et la conscience des jeunes citoyens. L’intelligibilité et la sensibilité aux faits sont au centre de la construction de l’individu. Le doute joue son rôle dans ce processus, à condition qu’il soit effectivement constructif et non destructeur.

Prévenir la désillusion ?

La destinée cruelle d’Aylan, figée par l’objectif du photographe, est un défi de plus à l'enseignement dont on attend qu’il soit, tout particulièrement en cette rentrée 2015, moral et civique. Il y a le passé et ses leçons implicites, la distribution des responsabilités et la répartition des charges de culpabilité, révélant avec justesse la passivité des uns, l’égoïsme des autres, l’indifférence, l’absence de volonté, le manque de fermeté… L'Histoire offre des éclairages fructueux mais elle est porteuse en retour, en toute logique, de doutes, potentiellement dévastateurs, quant au présent. Chaque nouveau drame, dans sa violence crue, sa proximité immédiate et sa réalité accablante, n’est-il pas un coup porté à une éducation humaniste ? La cohérence, la légitimité et le sens profond de celle-ci ne risquent-t-ils pas de ployer toujours plus sous le poids de l’épreuve et de la désillusion ? L’Éducation nationale fait face à bien des défis, dont celui qui inclut les crimes de masse et leur prévention au cœur de l’apprentissage n’est pas le moindre.

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"Comment lutter contre le fondamentalisme ? "

En commençant par lutter contre tes propos...

Idem concernant les palestiniens désolé, avant de t'en prendre à nous, qu'est-ce que tu attends pour aller sut les forums égyptiens hurler qu'ils ne devraient pas fermer les frontières avec Gaza ? Putain un peu de couilles mon pote !

Comment lutter contre le fondamentalisme ?

L’organisation des nations unies lance un cri d’alarme Ghaza Pourrait devenir invivable d’ici 2020

Lorsqu’on évoque la bande de Ghaza, les qualificatifs n’encouragent personne à la visiter ni penser à y resider.

On dit de la bande de Ghaza que c’est «la plus grande prison à ciel ouvert au monde», «l’enclave palestinienne» ou encore «l’étroite et pauvre bande côtière». Dans son rapport publié mardi, la Cnuced, organe des Nations unies chargé des questions de développement et de commerce, est allé plus loin en estimant que ce territoire palestinien pourrait devenir «inhabitable d’ici 2020».

Théâtre de trois guerres sanglantes et destructrices en moins de 6 ans et soumise à un blocus israélien sévère depuis 2006, la bande de Ghaza pourrait devenir invivable dans un délai de 5 ans, si les tendances économiques actuelles persistent, estime la Cnuced.

Enclave entre la mer Méditerranée, Israël et l’Egypte, le minuscule territoire palestinien de 360 km2 est habité par plus de 1,8 million de citoyens, ce qui en fait l’une des régions à plus forte densité au monde. Cette forte démographie et ses conséquences sociales, sanitaires et sécuritaires risquent, selon les experts de la Cnuced, de faire de la bande de Ghaza un lieu invivable d’ici 2020.

«Les efforts de la reconstruction sont extrêmement lents face à l’ampleur des dévastations et l’économie locale de Ghaza n’a pas les moyens de se redresser», dit le rapport de la Cnuced, dont les experts estiment que la situation socioéconomique est à son plus bas niveau depuis 1967, année au cours de laquelle Israël a occupé ce territoire palestinien.

Contrôler les frontières

En 2005, sans accord avec l’Autorité palestinienne, l’ancien Premier ministre israélien, Ariel Sharon, avait décidé un désengagement unilatéral en redéployant les troupes israéliennes qui occupaient la bande de Ghaza et en les positionnant en bordure de l’enclave palestinienne, pour mieux contrôler ses frontières, ainsi que son espace maritime et aérien. Un acte nécessaire a l’imposition du blocus décidé en 2006 après la capture du soldat israélien Gilaad Shalit par des résistants palestiniens. Bien que libéré en 2011, le blocus étouffe encore la bande de Ghaza.

La Cnuced note que les perspectives pour 2015 sont peu encourageantes en raison de l’instabilité des conditions politiques de la réduction des flux d’aides, de la lenteur de la reconstruction et des effets persistants de la retenue par Israël des recettes douanières palestiniennes au cours des quatre premiers mois de 2015.

Bien que l’on évoque des tractations secrètes entre le mouvement Hamas, qui contrôle en solo la bande de Ghaza depuis l’été 2007 et Israël sur l’établissement d’une longue trêve contre une levée du blocus et un port maritime, le spectre d’une nouvelle guerre pèse fortement sur l’enclave palestinienne. En cas de nouvelle guerre après celle de l’été 2014 où 2200 Palestiniens, en majorité des civils, ont été tués et des dizaines de milliers de foyers détruits, la bande de Ghaza pourrait devenir invivable bien avant l’an 2020.

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quote name='Gouderien' timestamp='1441272439' post='9823136']

On ne fera jamais un "procès de Nuremberg" aux leaders de Daesh : pourquoi offrir une tribune à ces barbares?

Quelques missiles et/ou un peloton d'exécution, ça sera amplement suffisant

(enfin, quand on se sera décidé à bouger, naturellement.)

Il faut être bien lâche pour refuser un procès en justice

selon les NORMES DEMOCRATIQUES des DROITS de l'HOMME à un homme !

N'avoir pour le combattre que la force des bombes, c'est un aveu de faiblesse !

Non, il n'y aura jamais de procès. Et j'ajoute une raison supplémentaire : on aurait trop peur de révélations gênantes, concernant divers pays qui se trouvent théoriquement "dans le bon camp".

Tiens, puisqu'on est dans le HS à fond là, si jamais les Russes interviennent militairement contre Daesh, à votre avis que vont faire les Américains? Pour moi ils vont menacer très fort Poutine de représailles, prouvant ainsi qu'ils sont bien plus hostiles à la Russie qu'aux islamistes (mais je peux me tromper, bien sûr).

Comment lutter contre le fondamentalisme ?

Nous vivons sous le règne de l'Argent ROI qui librement circule à travers

la planète sans soucis des frontières, des langues, des cultures et des

religions !

L'argent Roi peut tout et achète tout ! C'est facile !

Tu soumets un peuple à la pénurie et au chaos que cela entraîne,

et puis, pour pas cher du tout, tu te l'achètes !

L'argent n'a pas de morale, pas de conscience, pas de patrie,

l'argent n'a qu'une religion : Le PROFIT à court terme !

Oui, c'est un fondamentalisme puissant qui peut se payer des mercenaires

à travers le monde entier !

Il n'y a qu'à voir le nombre de bases militaires disséminées à travers

un monde unipolaire depuis 1990 ! Aucun ennemi, le monde entier acquis à la dite

DEMOCRATIE de la concurrence libre et non faussée ! Et pourtant, on surarme !

Oui, Bena, comment lutter contre ces faux démocrates, ces faux laïques

ces faux humanistes, ces faux droitsdel'homiste...

Comment les démasquer à la face du monde ?

Le monde entier s'est il converti au dogme de l'argent Roi ?

L'humanité n'est-elle qu'une secte en adoration devant le roi puissantArgent ?

Comment lutter contre le fondamentalisme ?

L’organisation des nations unies lance un cri d’alarme Ghaza Pourrait devenir invivable d’ici 2020

Lorsqu’on évoque la bande de Ghaza, les qualificatifs n’encouragent personne à la visiter ni penser à y resider.

On dit de la bande de Ghaza que c’est «la plus grande prison à ciel ouvert au monde», «l’enclave palestinienne» ou encore «l’étroite et pauvre bande côtière». Dans son rapport publié mardi, la Cnuced, organe des Nations unies chargé des questions de développement et de commerce, est allé plus loin en estimant que ce territoire palestinien pourrait devenir «inhabitable d’ici 2020».

Théâtre de trois guerres sanglantes et destructrices en moins de 6 ans et soumise à un blocus israélien sévère depuis 2006, la bande de Ghaza pourrait devenir invivable dans un délai de 5 ans, si les tendances économiques actuelles persistent, estime la Cnuced.

Enclave entre la mer Méditerranée, Israël et l’Egypte, le minuscule territoire palestinien de 360 km2 est habité par plus de 1,8 million de citoyens, ce qui en fait l’une des régions à plus forte densité au monde. Cette forte démographie et ses conséquences sociales, sanitaires et sécuritaires risquent, selon les experts de la Cnuced, de faire de la bande de Ghaza un lieu invivable d’ici 2020.

«Les efforts de la reconstruction sont extrêmement lents face à l’ampleur des dévastations et l’économie locale de Ghaza n’a pas les moyens de se redresser», dit le rapport de la Cnuced, dont les experts estiment que la situation socioéconomique est à son plus bas niveau depuis 1967, année au cours de laquelle Israël a occupé ce territoire palestinien.

Contrôler les frontières

En 2005, sans accord avec l’Autorité palestinienne, l’ancien Premier ministre israélien, Ariel Sharon, avait décidé un désengagement unilatéral en redéployant les troupes israéliennes qui occupaient la bande de Ghaza et en les positionnant en bordure de l’enclave palestinienne, pour mieux contrôler ses frontières, ainsi que son espace maritime et aérien. Un acte nécessaire a l’imposition du blocus décidé en 2006 après la capture du soldat israélien Gilaad Shalit par des résistants palestiniens. Bien que libéré en 2011, le blocus étouffe encore la bande de Ghaza.

La Cnuced note que les perspectives pour 2015 sont peu encourageantes en raison de l’instabilité des conditions politiques de la réduction des flux d’aides, de la lenteur de la reconstruction et des effets persistants de la retenue par Israël des recettes douanières palestiniennes au cours des quatre premiers mois de 2015.

Bien que l’on évoque des tractations secrètes entre le mouvement Hamas, qui contrôle en solo la bande de Ghaza depuis l’été 2007 et Israël sur l’établissement d’une longue trêve contre une levée du blocus et un port maritime, le spectre d’une nouvelle guerre pèse fortement sur l’enclave palestinienne. En cas de nouvelle guerre après celle de l’été 2014 où 2200 Palestiniens, en majorité des civils, ont été tués et des dizaines de milliers de foyers détruits, la bande de Ghaza pourrait devenir invivable bien avant l’an 2020.

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Ces fanatiques du Hamas islamique n'ont qu'à reconnaitre l'Etat d'Israël et tout ira nettement mieux, malheureusement le Hamas préfère l'état de guerre actuel pour continuer à trafiquer et à s'enrichir sur le dos du peuple !

Pour chaque produit livré à Gaza il faut verser une dîme au Hamas, vous pouvez tout obtenir malgré le blocus y compris un 4x4 BWM X5 neuf, que vous payerez 4 fois son prix et dont la moitié ira dans les poches des dirigeants du Hamas, c'est à cause de cette corruption et parce que la guerre rapporte à certains, que la paix n'arrive pas !

Nous vivons sous le règne de l'Argent ROI qui librement circule à travers

la planète sans soucis des frontières, des langues, des cultures et des

religions !

L'argent Roi peut tout et achète tout ! C'est facile !

Tu soumets un peuple à la pénurie et au chaos que cela entraîne,

et puis, pour pas cher du tout, tu te l'achètes !

L'argent n'a pas de morale, pas de conscience, pas de patrie,

l'argent n'a qu'une religion : Le PROFIT à court terme !

Oui, c'est un fondamentalisme puissant qui peut se payer des mercenaires

à travers le monde entier !

Il n'y a qu'à voir le nombre de bases militaires disséminées à travers

un monde unipolaire depuis 1990 ! Aucun ennemi, le monde entier acquis à la dite

DEMOCRATIE de la concurrence libre et non faussée ! Et pourtant, on surarme !

Oui, Bena, comment lutter contre ces faux démocrates, ces faux laïques

ces faux humanistes, ces faux droitsdel'homiste...

Comment les démasquer à la face du monde ?

Le monde entier s'est il converti au dogme de l'argent Roi ?

L'humanité n'est-elle qu'une secte en adoration devant le roi puissantArgent ?

Bravo c'est super d'enfin découvrir que l'argent (monnaie) existe depuis +/- 711 ans avant JC...

Peut-on rappeler à la gauchiste de service, que les $$$ étaient très appréciés des pays communistes vu que leur propres monnaies ne valait strictement rien...

Pas d'état d'âme pour posséder la bonne devise capitaliste...

Et quand ces pays communistes devaient se fournir en technologie de pointe ou en produits qu'ils étaient incapables de produire eux mêmes ou alors de si mauvaise qualité qu'eux mêmes n'en voulaient pas, ils étaient heureux d'avoir des $$$ ou autres monnaies capitalistes pour se fournir...

Louise A,

Peau/Aime :p

« J’écris dans un pays dévasté...»

J’écris dans un pays dévasté..

Qui semble un cauchemar attardé de Goya

Où les chiens n’ont d’espoir que la manne céleste

Et des squelettes blancs cultivent le soya

Un pays en tous sens parcouru d’escogriffes

À coups de fouet chassant le bétail devant eux

Un pays disputé par l’ongle et par la griffe

Sous le ciel sans pitié des jours calamiteux

Un pays pantelant sous le pied des fantoches

Labouré jusqu’au cœur par l’ornière des roues

Mis en coupe réglée au nom du Roi Pétoche

Un pays de frayeur en proie aux loups-garous

J’écris dans ce pays où l’on parque les hommes

Dans l’ordure et la soif le silence et la faim

Où la mère se voit arracher son fils comme

Si Hérode régnait quand Laval est dauphin

J’écris dans ce pays que le sang défigure

Qui n’est plus qu’un monceau de douleurs et de plaies

Une halle à tous vents que la grêle inaugure

Une ruine où la mort s’exerce aux osselets

J’écris dans ce pays tandis que la police

À toute heure de nuit entre dans les maisons

Que les inquisiteurs enfonçant leurs éclisses

Dans les membres brisés guettent les trahisons

J’écris dans ce pays qui souffre mille morts

Qui montre à tous les yeux ses blessures pourprées

Et la meute sur lui grouillante qui le mord

Et les valets sonnant dans le cor la curée

J’écris dans ce pays que les bouchers écorchent

Et dont je vois les nerfs les entrailles les os

Et dont je vois les bois brûler comme des torches

Et sur les blés en feu la fuite des oiseaux

J’écris dans cette nuit profonde et criminelle

Où j’entends respirer les soldats étrangers

Et les trains s’étrangler au loin dans les tunnels

Dont Dieu sait si jamais ils pourront déplonger

J’écris dans un champ clos où des deux adversaires

L’un semble d’une pièce armure et palefroi

Et l’autre que l’épée atrocement lacère

À lui pour tout arroi sa bravoure et son droit

J’écris dans cette fosse où non plus un prophète

Mais un peuple est parmi les bêtes descendu

Qu’on somme de ne plus oublier sa défaite

Et de livrer aux ours la chair qui leur est due

J’écris dans ce décor tragique où des acteurs

Ont perdu leur chemin leur sommeil et leur rang

Dans ce théâtre vide où les usurpateurs

Ânonnent de grands mots pour les seuls ignorants

J’écris dans la chiourme énorme qui murmure

J’écris dans l’oubliette au soir qui retentit

Des messages frappés du poing contre les murs

Infligeant aux geôliers d’étranges démentis

Comment voudriez-vous que je parle des fleurs

Et qu’il n’y ait des cris dans tout ce que j’écris

De l’arc-en-ciel ancien je n’ai que trois couleurs

Et les airs que j’aimais vous les avez proscrits

Louis Aragon, Le Musée Grévin, VII, vers 1 à 56, 1943

Mon dieu, c'est peut-être le début d'une grande histoire d'amour...?

Mon dieu, c'est peut-être le début d'une grande histoire d'amour...?

On n'est jamais tout à fait mal/heureux. :blush:

L'Etranger de Albert Camus

Est-ce ainsi que les hommes vivent ?

Tout est affaire de décor

Changer de lit changer de corps

À quoi bon puisque c'est encore

Moi qui moi-même me trahis

Moi qui me traîne et m'éparpille

Et mon ombre se déshabille

Dans les bras semblables des filles

Où j'ai cru trouver un pays.

...

La pièce était-elle ou non drôle

Moi si j'y tenais mal mon rôle

C'était de n'y comprendre rien

Est-ce ainsi que les hommes vivent

Et leurs baisers au loin les suivent

...

Louis Aragon

Le Roman inachevé

:p

Louise A,

Peau/Aime :p

« J’écris dans un pays dévasté...»

J’écris dans un pays dévasté..

Qui semble un cauchemar attardé de Goya

Où les chiens n’ont d’espoir que la manne céleste

Et des squelettes blancs cultivent le soya

Un pays en tous sens parcouru d’escogriffes

À coups de fouet chassant le bétail devant eux

Un pays disputé par l’ongle et par la griffe

Sous le ciel sans pitié des jours calamiteux

Un pays pantelant sous le pied des fantoches

Labouré jusqu’au cœur par l’ornière des roues

Mis en coupe réglée au nom du Roi Pétoche

Un pays de frayeur en proie aux loups-garous

J’écris dans ce pays où l’on parque les hommes

Dans l’ordure et la soif le silence et la faim

Où la mère se voit arracher son fils comme

Si Hérode régnait quand Laval est dauphin

J’écris dans ce pays que le sang défigure

Qui n’est plus qu’un monceau de douleurs et de plaies

Une halle à tous vents que la grêle inaugure

Une ruine où la mort s’exerce aux osselets

J’écris dans ce pays tandis que la police

À toute heure de nuit entre dans les maisons

Que les inquisiteurs enfonçant leurs éclisses

Dans les membres brisés guettent les trahisons

J’écris dans ce pays qui souffre mille morts

Qui montre à tous les yeux ses blessures pourprées

Et la meute sur lui grouillante qui le mord

Et les valets sonnant dans le cor la curée

J’écris dans ce pays que les bouchers écorchent

Et dont je vois les nerfs les entrailles les os

Et dont je vois les bois brûler comme des torches

Et sur les blés en feu la fuite des oiseaux

J’écris dans cette nuit profonde et criminelle

Où j’entends respirer les soldats étrangers

Et les trains s’étrangler au loin dans les tunnels

Dont Dieu sait si jamais ils pourront déplonger

J’écris dans un champ clos où des deux adversaires

L’un semble d’une pièce armure et palefroi

Et l’autre que l’épée atrocement lacère

À lui pour tout arroi sa bravoure et son droit

J’écris dans cette fosse où non plus un prophète

Mais un peuple est parmi les bêtes descendu

Qu’on somme de ne plus oublier sa défaite

Et de livrer aux ours la chair qui leur est due

J’écris dans ce décor tragique où des acteurs

Ont perdu leur chemin leur sommeil et leur rang

Dans ce théâtre vide où les usurpateurs

Ânonnent de grands mots pour les seuls ignorants

J’écris dans la chiourme énorme qui murmure

J’écris dans l’oubliette au soir qui retentit

Des messages frappés du poing contre les murs

Infligeant aux geôliers d’étranges démentis

Comment voudriez-vous que je parle des fleurs

Et qu’il n’y ait des cris dans tout ce que j’écris

De l’arc-en-ciel ancien je n’ai que trois couleurs

Et les airs que j’aimais vous les avez proscrits

Louis Aragon, Le Musée Grévin, VII, vers 1 à 56, 1943

Aragon a vécu avec sa compagne URSS.

Là-bas, il montre sans conteste dans plusieurs textes une approbation de la terreur organisée par le régime stalinien.

Il écrit notamment en 1931 Vive le Guépéou (police politique stalinienne), hymne aux méthodes totalitaires paru dans le recueil, "Persécuté persécuteur".

Il compose des poèmes qui seront publiés sous le titre Hourra l'Oural, etc...

Wiki

Merci pour ton bel exemple !

Aragon a vécu avec sa compagne URSS.

Là-bas, il montre sans conteste dans plusieurs textes une approbation de la terreur organisée par le régime stalinien.

Il écrit notamment en 1931 Vive le Guépéou (police politique stalinienne), hymne aux méthodes totalitaires paru dans le recueil, "Persécuté persécuteur".

Il compose des poèmes qui seront publiés sous le titre Hourra l'Oural, etc...

Wiki

Merci pour ton bel exemple

« Les réfugiés d’aujourd’hui me rappellent mon père fuyant le nazisme »

Il est parfois nécessaire de comparer ce qui n’est pas comparable. Ne serait-ce que pour éveiller les consciences anesthésiées. Entre 1933 et 1940, plusieurs millions de réfugiés échappés d’Allemagne, de Pologne, des pays baltes, fuyant le nazisme, se heurtèrent à des frontières fermées. Ils s’appelaient Nathan, Samuel ou Rachel. Nathan, par exemple, prescient, fuit l’Allemagne dès l’été 1933, cinq mois après la prise de pouvoir d’Adolf Hitler. Il veut partir pour les Etats Unis : refus de visa. Il tente l’Espagne, également refusée. Un peu par hasard, il échoue en France qui ne l’accueille pas mais ne le refoule pas non plus. Ce n’est qu’à partir de 1938 que le gouvernement Daladier, issu de la chambre du Front populaire, livra aux Allemands les juifs qui tentaient de passer en France.

Nathan survécut au régime de Vichy, en rejoignant dans les Pyrénées les rangs – clairsemés – de la Résistance, aux côtés de républicains espagnols, rescapés de la guerre civile. Nathan avait dix frères et sœurs, tous assassinés dans les camps de concentration nazis et sa mère, morte de faim dans le ghetto de Varsovie. Ces six millions de victimes de la Shoah ne suscitèrent pas – en dehors du peuple juif – une grande émotion, jusqu’au procès d’Adolf Eichmann à Jérusalem en 1961.

...

Auparavant, l’extermination des juifs avait été immergée dans l’inconscient collectif, comme une sorte d’accident collatéral de la guerre mondiale. Franklin Roosevelt et Winston Churchill, informés de leur situation, dès 1933, avaient toujours refusé que ce que l’on n’appelait pas encore la Shoah, ne les détourne de leur stratégie globale, la défaite des nazis et l’alliance avec le régime de Joseph Staline.

Les réfugiés d’aujourd’hui

Venons-en à ce qui n’a aucun rapport avec ce qui précède : la fuite, par millions, des réfugiés de Syrie, d’Irak et d’Erythrée. Sans rapport parce que Latifa, Ali et Ahmed ne sont pas massacrés avec la même efficacité industrielle que le furent Samuel, Nathan et Rachel ? Sans rapport pourquoi ? Devrait-on croire que ceux-là courent le risque de se noyer dans la Méditerranée, de mourir étouffés dans un camion, de crever de soif sur une route grecque, parce qu’Ali, Latifa et Ahmed sont des touristes ou trivialement à la recherche d’un emploi en Angleterre ?

Non, eux aussi fuient l’extermination : ils prennent le risque de mourir noyés parce qu’ils savent que l’alternative c’est d’être gazé, mitraillé, bombardé, affamé. Ce n’est pas la Shoah. Ou n’est-ce pas encore la Shoah ? Comment, d’ici quelques années, nommera-t-on cette marée humaine qui déferle vers l’Europe ? Comment justifiera-t-on dans nos livres d’histoire et nos lamentations officielles cet exode que les Européens, les peuples et leurs gouvernements, tentent de réduire à une « crise » technique qui exigerait seulement quelques ajustements légaux dans la définition du statut de réfugié ?

Si Nathan était encore en vie, je ne doute pas un instant de ce qu’il reconnaîtrait en Ali ou Ahmed, son propre visage, son propre destin, sa propre détresse. Nathan reconnaîtrait tous les arguments qui, en son temps, lui furent opposés à ces mêmes frontières : la situation économique en Europe de l’Ouest ne permettait pas de l’intégrer, l’opinion publique n’était pas favorable aux étrangers, les juifs et autres métèques étaient déjà trop nombreux pour qu’un gouvernement se risque à en accueillir plus. Nathan n’exagérait-il pas la menace qui pesait sur lui et les siens ? Ce M. Hitler finirait bien par devenir raisonnable

...

Il me revient qu’un ancien premier ministre, Michel Rocard, confronté à une immigration moindre, venue d’Afrique, avait cru régler le problème en déclarant que « l’Europe ne pouvait pas accueillir toute la misère du monde ». On rétorquera qu’à ce jour, la Jordanie, le Liban et la Turquie ont accueilli 3 millions de « réfugiés » et l’Europe… 300 000. Voici pourquoi j’ai honte pour l’Europe, son égoïsme, sa myopie historique et son arrogance de petit-bourgeois satisfait. Voici pourquoi, Ahmed est aujourd’hui mon frère ou Latifa ma sœur.

Car Nathan, voyez-vous, était mon père.

La police hongroise tente de forcer les quelques 500 passagers d'un train en direction de la frontière autrichienne à regagner un camp de réfugiés, en gare de Bicske vendredi 4 septembre. | LEONHARD FOEGER / REUTERS

Par Guy Sorman (Essayiste)

:bad:

« Les réfugiés d’aujourd’hui me rappellent mon père fuyant le nazisme »

Tes larmes sont des larmes de crocodile, Bena11.

Un chiffre en passant : les monarchies du Golfe ont accueilli... zéro réfugié. Ca c'est de la solidarité!

« Les réfugiés d’aujourd’hui me rappellent mon père fuyant le nazisme »

Il est parfois nécessaire de comparer ce qui n’est pas comparable. Ne serait-ce que pour éveiller les consciences anesthésiées. Entre 1933 et 1940, plusieurs millions de réfugiés échappés d’Allemagne, de Pologne, des pays baltes, fuyant le nazisme, se heurtèrent à des frontières fermées. Ils s’appelaient Nathan, Samuel ou Rachel. Nathan, par exemple, prescient, fuit l’Allemagne dès l’été 1933, cinq mois après la prise de pouvoir d’Adolf Hitler. Il veut partir pour les Etats Unis : refus de visa. Il tente l’Espagne, également refusée. Un peu par hasard, il échoue en France qui ne l’accueille pas mais ne le refoule pas non plus. Ce n’est qu’à partir de 1938 que le gouvernement Daladier, issu de la chambre du Front populaire, livra aux Allemands les juifs qui tentaient de passer en France.

Nathan survécut au régime de Vichy, en rejoignant dans les Pyrénées les rangs – clairsemés – de la Résistance, aux côtés de républicains espagnols, rescapés de la guerre civile. Nathan avait dix frères et sœurs, tous assassinés dans les camps de concentration nazis et sa mère, morte de faim dans le ghetto de Varsovie. Ces six millions de victimes de la Shoah ne suscitèrent pas – en dehors du peuple juif – une grande émotion, jusqu’au procès d’Adolf Eichmann à Jérusalem en 1961.

...

Auparavant, l’extermination des juifs avait été immergée dans l’inconscient collectif, comme une sorte d’accident collatéral de la guerre mondiale. Franklin Roosevelt et Winston Churchill, informés de leur situation, dès 1933, avaient toujours refusé que ce que l’on n’appelait pas encore la Shoah, ne les détourne de leur stratégie globale, la défaite des nazis et l’alliance avec le régime de Joseph Staline.

Les réfugiés d’aujourd’hui

Venons-en à ce qui n’a aucun rapport avec ce qui précède : la fuite, par millions, des réfugiés de Syrie, d’Irak et d’Erythrée. Sans rapport parce que Latifa, Ali et Ahmed ne sont pas massacrés avec la même efficacité industrielle que le furent Samuel, Nathan et Rachel ? Sans rapport pourquoi ? Devrait-on croire que ceux-là courent le risque de se noyer dans la Méditerranée, de mourir étouffés dans un camion, de crever de soif sur une route grecque, parce qu’Ali, Latifa et Ahmed sont des touristes ou trivialement à la recherche d’un emploi en Angleterre ?

Non, eux aussi fuient l’extermination : ils prennent le risque de mourir noyés parce qu’ils savent que l’alternative c’est d’être gazé, mitraillé, bombardé, affamé. Ce n’est pas la Shoah. Ou n’est-ce pas encore la Shoah ? Comment, d’ici quelques années, nommera-t-on cette marée humaine qui déferle vers l’Europe ? Comment justifiera-t-on dans nos livres d’histoire et nos lamentations officielles cet exode que les Européens, les peuples et leurs gouvernements, tentent de réduire à une « crise » technique qui exigerait seulement quelques ajustements légaux dans la définition du statut de réfugié ?

Si Nathan était encore en vie, je ne doute pas un instant de ce qu’il reconnaîtrait en Ali ou Ahmed, son propre visage, son propre destin, sa propre détresse. Nathan reconnaîtrait tous les arguments qui, en son temps, lui furent opposés à ces mêmes frontières : la situation économique en Europe de l’Ouest ne permettait pas de l’intégrer, l’opinion publique n’était pas favorable aux étrangers, les juifs et autres métèques étaient déjà trop nombreux pour qu’un gouvernement se risque à en accueillir plus. Nathan n’exagérait-il pas la menace qui pesait sur lui et les siens ? Ce M. Hitler finirait bien par devenir raisonnable

...

Il me revient qu’un ancien premier ministre, Michel Rocard, confronté à une immigration moindre, venue d’Afrique, avait cru régler le problème en déclarant que « l’Europe ne pouvait pas accueillir toute la misère du monde ». On rétorquera qu’à ce jour, la Jordanie, le Liban et la Turquie ont accueilli 3 millions de « réfugiés » et l’Europe… 300 000. Voici pourquoi j’ai honte pour l’Europe, son égoïsme, sa myopie historique et son arrogance de petit-bourgeois satisfait. Voici pourquoi, Ahmed est aujourd’hui mon frère ou Latifa ma sœur.

Car Nathan, voyez-vous, était mon père.

La police hongroise tente de forcer les quelques 500 passagers d'un train en direction de la frontière autrichienne à regagner un camp de réfugiés, en gare de Bicske vendredi 4 septembre. | LEONHARD FOEGER / REUTERS

Par Guy Sorman (Essayiste)

:bad:

« Les réfugiés d’aujourd’hui me rappellent mon père fuyant le nazisme »

Comparaison foireuse !

"Il me revient qu’un ancien premier ministre, Michel Rocard, confronté à une immigration moindre, venue d’Afrique, avait cru régler le problème en déclarant que « l’Europe ne pouvait pas accueillir toute la misère du monde ». On rétorquera qu’à ce jour, la Jordanie, le Liban et la Turquie ont accueilli 3 millions de « réfugiés » et l’Europe… 300 000. Voici pourquoi j’ai honte pour l’Europe, son égoïsme, sa myopie historique et son arrogance de petit-bourgeois satisfait. Voici pourquoi, Ahmed est aujourd’hui mon frère ou Latifa ma sœur."

3 millions de réfugiés au total en Jordanie, Liban et Turquie, faut-il applaudir ?

Il existe 1,5 milliard de musulmans dans le monde et forcément de nombreux pays musulmans, que représentent donc ces 3 millions de réfugiés pour cette masse, ce n'est pas la place qui manque dans le monde terrestre d'Allah !

L'Europe c'est 500 millions d'habitants et rien que la France à déjà 5 millions de musulmans sur son territoire, l'Allemagne s'apprête à en recevoir 800.000 de plus !!!

Fuir comme en 1940 !!!

Allons donc, en 1940 on fuyait un envahisseur et une fois l'armistice signée ceux qui étaient parti en exode sont rentrés chez eux.

Aujourd'hui on assiste en Europe non pas uniquement à un exode suite à un conflit mais bien à une migration économique (la guerre servant alibi), pour la plupart d'entre eux ces migrants une fois installés en Europe, n'auront aucune envie de rentrer au pays une fois les conflits terminés.

A Bruxelles on constate que des tas d'Irakiens (hommes seuls comme par hasard) viennent de Bagdad, il y a la guerre à Bagdad ?

Il y a la guerre à Kaboul, il y a la guerre au Bangladesh, il y a la guerre au Pakistan, etc ?

De plus les conflits en Syrie comme en Libye à été causés par les syriens et libyens eux mêmes, que je sache il n'y a pas une armée étrangère qui envahi l'Irak et la Syrie, Daesch se compose essentiellement d'irakiens, de syriens et de libyens !!!

"Gazés, bombardés, mitraillés, affamés", par qui, sinon par les leurs, s'ils ont eu du courage pour prendre la mer pour arriver en Europe en prenant de gros risques, tous ces migrants mais aussi TOUS ces hommes qui sont majoritairement seuls, n'ont pas eu le "courage" de prendre avec femmes, enfant et parents, ils n'ont pas eu le courage de s'opposer a ces mouvements extrémistes qu'eux même avaient bien souvent contribué à naître !

Pourquoi ne se dirigent-ils pas vers l'Indonésie (le plus grand pays musulman du monde...), vers les pays du Golf, vers l'Amérique latine, les USA, la Russie, la Chine, pourquoi l'Europe alors que déjà les problèmes inhérents à l'immigration y deviennent insurmontables ?

Quand à la comparaison avec les juifs, elle est scandaleuse, ces derniers étaient spécifiquement exterminés par les nazis de façon quasi industrielle et les juifs qui ont immigré aux USA ou ailleurs se sont parfaitement adaptés aux pays d'accueil est-ce le cas avec certains musulmans qui parfois après 3 générations en sont encore à vivre avec croyances et coutumes comme s'ils étaient toujours dans village isolé de l'Atlas ?

La HONTE, ce n'est pas nous qui devons l'avoir, mais bien tous ceux qui là-bas s'entretuent pour des conneries religieuses moyenâgeuses, pour un carré de sable, pour un peu de pouvoir, par haine entre sunnites et chiites, sans compter ceux qui un jour adoraient des dictateurs comme Assad, Hussein, Kadhafi, Ben Ali, Moubarak (un fou de Khomeini en Iran) puis ont retourné leurs vestes pour adorer les Frères-Musulmans, les djihadistes de toutes tendances, Daesch, etc...

Dans ces pays là, on passe d'une dictature à une autre comme on change de chemise !

La honte c'est d'être encore aujourd'hui endoctrinés par la religion et de massacrer les autres au nom d'un dieu comme au temps des croisades et ça c'est typique au monde musulman, c'est eux qui doivent évoluer !

Et puisque l'on par de fondamentalisme ...

Maroc : percée du parti islamiste PJD aux élections locales

"Le parti islamiste du Premier ministre Abdelilah Benkirane a tiré son épingle du jeu vendredi lors des élections locales au Maroc. Selon des résultats partiels communiqués dans la nuit de vendredi à samedi par le ministre de l'Intérieur, le parti Justice et développement (PJD) a pris en effet la deuxième place avec 17,1% des voix, derrière son rival du parti Authenticité et modernité (PAM/libéral, opposition), crédité de 20,7%."

Le Parisien.

On va encore nous dire, "surtout pas d'amalgame",

Avec tout ce que l'on voit au Moyen-Orient aujourd'hui, il y a encore 17% des Marocains qui votent pour des islamistes, incroyable mais vrai !!!

Incroyable aussi, qu'un parti se déclarant islamiste, puisse encore se présenter aux élections car on sait parfaitement bien que si celui-ci accède au pouvoir, c'est la dictature religieuse assurée !

Tes larmes sont des larmes de crocodile, Bena11.

Un chiffre en passant : les monarchies du Golfe ont accueilli... zéro réfugié. Ca c'est de la solidarité!

Les monarchies du golfe, amies et alliées de la France et de l'OTAN

financent et organisent EI, Alkaida... et propagent la guerre et le chaos !

Tout le monde le sait ! Ce sont elles qui poussent des millions de gens dans la guerre

et la misère !

Le mieux serait d'arrêter la guerre...et pour cela, l'ONU doit juger

les coupables ! Exigeons de l'ONU qu'elle fasse son travail !

Exigeons la paix, jugeons tous les coupables, et aidons ceux qui fuient

ce désastre à reconstruire ce que nous détruisons !

Avec tout ce que l'on voit au Moyen-Orient aujourd'hui, il y a encore 17% des Marocains qui votent pour des islamistes, incroyable mais vrai !!!

Incroyable aussi, qu'un parti se déclarant islamiste, puisse encore se présenter aux élections car on sait parfaitement bien que si celui-ci accède au pouvoir, c'est la dictature religieuse assurée !

Bizaremment si on remplace "Maroc" par "France", "islamiste" par "antidémocratique" et "dictature religieuse" par "dictature fasciste" ça marche aussi avec le FN.

Bizaremment si on remplace "Maroc" par "France", "islamiste" par "antidémocratique" et "dictature religieuse" par "dictature fasciste" ça marche aussi avec le FN.

En effet...

Ça marche aussi.

Comparaison foireuse !

"Il me revient qu’un ancien premier ministre, Michel Rocard, confronté à une immigration moindre, venue d’Afrique, avait cru régler le problème en déclarant que « l’Europe ne pouvait pas accueillir toute la misère du monde ». On rétorquera qu’à ce jour, la Jordanie, le Liban et la Turquie ont accueilli 3 millions de « réfugiés » et l’Europe… 300 000. Voici pourquoi j’ai honte pour l’Europe, son égoïsme, sa myopie historique et son arrogance de petit-bourgeois satisfait. Voici pourquoi, Ahmed est aujourd’hui mon frère ou Latifa ma sœur."

Je me souviens : Crevettes Bigeard !

Pendant la guerre d'Algérie les AuSSareSS jetaient du haut des hélicoptères des Algériens, les pieds coulés dans du béton dans la deuxième plus baie du monde, la baie d'Alger.

Ces Algériens ne voulaient pourtant pas fuir le pays, bien au contraire...

Puis le 17 octobre 1961 sous les ordres de Papon, on jetait les Algériens dans la Seine, avec un peu moins d'expérience, ces corps sont remontés à la surface...

"J'irai cracher sur ta tombe d'AuSSareSS" :bad:

[

...., incroyable mais vrai !!!

Bonsoir;

l'Islam est notre bonheur.