encore un nouveau privilège pour les fonctionnaires ...

Je confirme également : pas de visite médicale depuis mon entrée dans le monde de l'EN depuis une quinzaine d'année.

Je suis pourtant "sur" un poste en contact avec des produits chimiques et je ne suis pas enseignant.

Et ce n'est pas du "laisser aller" (sic), c'est une réalité. Nous en parlons assez souvent entre collègues et nous avons déjà interpellé les responsables de la sécurité du Rectorat au sujet de cette anomalie.

pas de fliquage non plus avec des enseignants friands de petits enfants. On est en autarcie.

Les courageux victimes d'injustices

portent plainte et prouvent leur innocence !

La justice les lave des immondices évacués

par des êtes vils !

Il y a aussi des lâches qui entretiennent

méticuleusement leur rancœur et balancent

anonymement de la haine ! Ceux-là ne portent

pas plainte devant la justice, ils se complaisent

dans l'immondice !

Ils vous diront d'un air entendu : Oh ! La justice !

Pour quelle raison dois-je la mettre en veilleuse ? De plus tu me donnes le bâton pour te battre. C'est quoi cette ineptie de "pas de médecine du travail pour les enseignants" ? Toute la fonction public est soumise à la visite annuel d'aptitude auprès d'un médecin du travail et c'est obligatoire....même les régimes spéciaux. Si pour les enseignants c'est dérogatoire, pas étonnant le mal-être de la profession, car ce sont bien ces médecins qui signalent auprès du Chef d'Etablissement la tendance morale des agents. De plus, lors d'arrêt maladie assez longue, l'agent, quelques soit son grade, doit consulter le médecin du travail pour qu'il dise s'il ou elle est apte à reprendre le travail...et il a le pouvoir de prolonger l'arrêt maladie par exemple.

Maintenant, je ne doute pas que le laisser aller peut être de mise ici ou là. Pour avis tout à fait personnel, un agent ou enseignant qui doit diffuser le savoir ou former les personnes devrait être soumis non seulement au médecin du travail, mais aussi à un psychologue pour aptitude à exercer ce métier.

Quand au temps partiel, s'il a été dévier de son origine par des contraintes, en super marcher par exemple,ce sont bien les femmes qui ont voulu ce temps partiel et tout fait pour faire voter cette loi.Quand au taux de suicide, il n'y a pas que le professionnel. C'est toujours lié à des problèmes personnel...et un enseignant prend de plein fouet le mal-être général du moment. Alors les exempter de médecine du travail, si c'est vrai, c'est le pure folie.

Et non, l’Éducation Nationale est bien l'un des seuls corps de métier à ne pas disposer de médecine du travail (en général, quand je donne une affirmation, c'est qu'elle est vérifiée en long, en large et en travers) et ce n'est pas que beaucoup d'enseignants finissent en dépression car au final personne ne les soutient et les respectent réellement. Un manque de reconnaissance de la part de certains élèves et parents, mais aussi de leur employeur et c'est là que le bât blesse.

Ensuite, si tu trouve merveilleux la vie de fonctionnaire, je t'invite vivement à passer les concours.

S'il y a bien une chose qui m'agace, c'est de porter des jugements sans connaître la réalité sur le terrain, en plus des corporatisme de tout poil.

pas de fliquage non plus avec des enseignants friands de petits enfants. On est en autarcie.

Sur ce point, le Ministère devrait prendre des mesures quand cela s'avère exact (consultation du cassier judiciaire) car il n'est pas normal que des personnes étant en contact avec des enfants toute la sainte journée puissent exercer à leurs côtés alors qu'ils ont commis un crime sur enfant.

Je confirme les propos de Noisettes : pas de médecine du travail dans l'Education Nationale.

La décision d'arrêt de travail, la décision de l'aptitude à reprendre le travail après un long arrêt maladie est aux mains respectivement des circonstances du médecin traitant de l'enseignant. Ça c'est pour les problèmes de santé (par ex. une opération chirurgicale à venir).

Mais des médecins agréés par le rectorat peuvent intervenir pour prononcer une inaptitude temporaire ou définitive d'un enseignant, par exemple suite à des problèmes comportementaux de la part d'un enseignant contre les élèves ou le personnel enseignant. Mais la procédure reste rare, ce genre de cas de figure étant exceptionnel.

Là, je tombe des nues ! Pour avoir travaillé en tant que prestataire de services ( simple employé ) dans des Etablissements publics de toute nature, sauf à l'EN d'où mon ignorance, et pour avoir discuté avec les agents, ils m'ont tous dis être soumis à la visite médicale annuel d'aptitude au travail. Je qualifie donc cela d'un véritable scandale. Ils sont sensé détenir le savoir et le retransmettre, souvent dans des conditions difficiles, j'en conviens parfaitement, et la moindre des choses serait de savoir si au moins les vaccinations et préventions diverses sont à jour, et c'est bien le médecin du travail qui, au regard du carnet de santé, prononce l'aptitude. Pire, ils sont en permanence en contacte d'élèves, parfois, à l'hygiène douteuse et à certaines maladies contagieuses aussi bénigne soit-elles. Je comprend mieux, pourquoi l'arrêt maladie est quasiment une profession de substitue car c'est la seule solution qui leur reste lorsqu'ils dérivent ou ne se sentent pas bien. C'est lamentable... et pour ma part, çà n'arrange en rien l'image de la fonction public en général où les passes droits sont de toute nature.

Pendant qu'on y est, pourquoi ne pas exempter les infirmières !

pas de fliquage non plus avec des enseignants friands de petits enfants. On est en autarcie.

Diffamation

Il n'y a pas que la question des visites médicales. Je constate que la fonction publique nous donne peu de possibilités d'évolution et de consolidation des aptitudes.

Mon métier évolue, l'informatique s'invite en masse dans les sciences et je n'ai jamais reçu aucune formation en ce sens.

J'apprends sur le tas, grâce à internet et aux forums "privés" de certains collègues.

Oui, il y a des points à améliorer dans la fonction publique !!! Mais la plupart des personnels tentent de faire évoluer cette situation... pendant que certains français crient haro sur le baudet.

pas de fliquage non plus avec des enseignants friands de petits enfants. On est en autarcie.

Une diffamation est une allégation ou imputation d'un fait non avéré qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération d'une personne. C'est une articulation précise de faits précis et objectifs pouvant sans difficulté, être l'objet d'une vérification et d'un débat contradictoire.

Le fait imputé peut être la commission d'une infraction pénale, la falsification d'un diplôme...

La diffamation est caractérisée même si faite sous forme déguisée ou dubitative ou si elle est insinuée. Elle est également caractérisée si elle vise une personne non expressément nommée mais identifiable (si on donne sa fonction par exemple).

Je vois pas ce que le socialisme vient faire là dedans dans la mesure où:

1/ en 2007 et en 2010, c'était Sarko aux manettes

2/ les deux septennats sous Mitterrand ont été ponctués de phases d'alternance/cohabitation avec des gouvernements de droite (86-88 et 93-95)

oh il faut leurs trouver des circonstances aténuantes aux gachaus,miterrand ne partageait pas le pouvoir, même en cohabitation,c,était aussi un fan du 49.3, tout comme ceux qui sont aux manettes actuellement.

Fonction publique d'Etat :

- Catégorie A : 50,5 %

- Catégorie B : 26,8 %

- Catégorie C : 20,8 %

Si on met de côté les enseignants la répartition est la suivante :

- Catégorie A environ 25 %

- Catégorie B environ 38 %

- Catégorie C environ 32 % (là, c'est moi et mes collègues)

Fonction publique hospitalière :

- Catégorie A : 15 %

- Catégorie B : 33 %

- Catégorie C : 45 %

Fonction publique territoriale :

- Catégorie A : 8,4 %

- Catégorie B : 13,6 %

- Catégorie C : 78 %

> Source

Affirmer que "les fonctionnaires", majoritairement de catégorie C, sont des privilégiés est assez gonflé.

Dans ma commune, le boulanger a une piscine et des voitures de gammes bien plus élevées que les nôtres.

Il se lève très tôt et il travaille beaucoup, me direz-vous. Oui, je ne le conteste pas et n'en fait pas une jalousie maladive.

Je me lève moins tôt, je travaille 35 heures... je gagne moins de 1500 euros. C'est logique. Comme le boulanger, je paye des impôts, mes énergies et je nourris ma famille (avec l'aide du salire de madame quand même :smile2: ). Je fais attention à mon compte en banque en fin de mois, j'épargne un peu, j'anticipe beaucoup. J'ai la chance de vivre en zone rurale sinon le logement et les transports plomberaient irrémédiablement mon budget.

Je suis un privilégié. Relativement, hein, très relativement...

Salut,

les catégories C, sont rarement des privilégiés, la hiérarchie est très présente dans la Fonction Poulpelique...

Tu es une classe moyenne en 2015, je sais, pourtant tu es à la limite de l'acceptable.

Tu as juste un avantage, ton statut.

Combien d'agents de catégorie "C" avec des licences ou des maitrises, là est la question.

:-/

Je n'ai que bac+2 :D

Bien oui...

Ils sont où les BAC-2?

:D

Dans les prisons, pôle cons, voir marginaux.

Il ne faut pas s'étonner...

:p

Bien oui...

Ils sont où les BAC-2?

:D

Dans les prisons, pôle cons, voir marginaux.

Il ne faut pas s'étonner...

:p

85 multimillionnaires capitalisent

une richesse équivalente à la somme partagée par

la moitié de la population de la planète

Les privilèges à combattre sont là !

85 multimillionnaires capitalisent

une richesse équivalente à la somme partagée par

la moitié de la population de la planète

Les privilèges à combattre sont là !

Mouais...

ils ne sont plus présents eux...

Par contre le système oui.

Mouais...

ils ne sont plus présents eux...

Par contre le système oui.

Ah les milliardaires n'auraient pas de noms ?

Les fonctionnaires territoriaux sont

à bannir, à pourchasser d'insultes

mais ceux là

85 multimillionnaires capitalisent une richesse

équivalente à la somme partagée par la moitié de

la population de la planète, méritent qu'on

les protège ! :blush:

Ah les milliardaires n'auraient pas de noms ?

Les fonctionnaires territoriaux sont

à bannir, à pourchasser d'insultes

mais ceux là

85 multimillionnaires capitalisent une richesse

équivalente à la somme partagée par la moitié de

la population de la planète, méritent qu'on

les protège ! :blush:

Interprétation !

Diffamation

Il n'y a pas que la question des visites médicales. Je constate que la fonction publique nous donne peu de possibilités d'évolution et de consolidation des aptitudes.

Mon métier évolue, l'informatique s'invite en masse dans les sciences et je n'ai jamais reçu aucune formation en ce sens.

J'apprends sur le tas, grâce à internet et aux forums "privés" de certains collègues.

Oui, il y a des points à améliorer dans la fonction publique !!! Mais la plupart des personnels tentent de faire évoluer cette situation... pendant que certains français crient haro sur le baudet.

L'évolution dans la fonction public en général est difficile, car le système, s'il est protecteur, est très cloisonné et c'est l'agent lui-même qui doit se battre pour avancer. Ce n'est qu'un constat. Les formations ne tombent pas du ciel, c'est surtout à lui de demander et d'insister. De plus, c'est rarement sur son lieu de travail, donc déplacements, pas forcément au mieux de l'intérêt du service et de l'agent.

Un jour, un agent m'a montré sa fiche de notation annuelle...Lamentable...Sa hiérarchie directe met une appréciation en 1 phrase et le Chef d'Etablissement met la sienne suivit d'une notation bidon, car d'après ce qu'il m'a dit, son ancienneté ne pouvait pas dépasser tant de points pour les primes. Et il a rajouté, que tu te décarcasse ou pas, c'est comme çà ! Pire m'a-t-il dit. Les primes sont liées à la notation et ce sont les anciens qui sont automatiquement les mieux notés, mais aussi les mieux payés. Donc, primes conséquentes à contrario du jeune, qui aura beau bosser, il n'aura que des miettes de primes. Aucune évaluation du travail fournit. Où est la motivation et l'envie si à la base, le système est verrouillé ?

L'évolution dans la fonction public en général est difficile, car le système, s'il est protecteur, est très cloisonné et c'est l'agent lui-même qui doit se battre pour avancer. Ce n'est qu'un constat. Les formations ne tombent pas du ciel, c'est surtout à lui de demander et d'insister. De plus, c'est rarement sur son lieu de travail, donc déplacements, pas forcément au mieux de l'intérêt du service et de l'agent.

Un jour, un agent m'a montré sa fiche de notation annuelle...Lamentable...Sa hiérarchie directe met une appréciation en 1 phrase et le Chef d'Etablissement met la sienne suivit d'une notation bidon, car d'après ce qu'il m'a dit, son ancienneté ne pouvait pas dépasser tant de points pour les primes. Et il a rajouté, que tu te décarcasse ou pas, c'est comme çà ! Pire m'a-t-il dit. Les primes sont liées à la notation et ce sont les anciens qui sont automatiquement les mieux notés, mais aussi les mieux payés. Donc, primes conséquentes à contrario du jeune, qui aura beau bosser, il n'aura que des miettes de primes. Aucune évaluation du travail fournit. Où est la motivation et l'envie si à la base, le système est verrouillé ?

Salut Scrogneugneu,

ils ont trouvé la solution, les contrat de droit privé...

L'asservissement!

C'est magique ce système, il gagne toujours.

De sens, les gens "moins qualifiés" deviennent la variable d'ajustement.

Diffamation

Il n'y a pas que la question des visites médicales. Je constate que la fonction publique nous donne peu de possibilités d'évolution et de consolidation des aptitudes.

Mon métier évolue, l'informatique s'invite en masse dans les sciences et je n'ai jamais reçu aucune formation en ce sens.

J'apprends sur le tas, grâce à internet et aux forums "privés" de certains collègues.

Oui, il y a des points à améliorer dans la fonction publique !!! Mais la plupart des personnels tentent de faire évoluer cette situation... pendant que certains français crient haro sur le baudet.

Le baudet parle beaucoup de lui (je ne parle pas de toi)... Il serait temps qu'il retrouve le bon sens.

Je sais, seul, tu es bloqué.

Si les gens crient, c'est que le système ne tient plus.

On a tous le même constat.

N'en demeure pas moins, que le système ne tient que par la fonction Poulpeblique. :-/

C'est magique ce système, il gagne toujours.

De sens, les gens "moins qualifiés" deviennent la variable d'ajustement.

Le baudet parle beaucoup de lui (je ne parle pas de toi)... Il serait temps qu'il retrouve le bon sens.

Je sais, seul, tu es bloqué.

Si les gens crient, c'est que le système ne tient plus.

On a tous le même constat.

N'en demeure pas moins, que le système ne tient que par la fonction Poulpeblique. :-/

Quel "système " tient grâce à la fonction publique ?

Tu peux préciser et développer ?

Quel "système " tient grâce à la fonction publique ?

Tu peux préciser et développer ?

Salut ,

collectivités territoriales, les Hôpitaux Publics, bref, l'Etat (il est jamais loin), les instances politiques ?

Le clientélisme est légal, certes, mais à force, cela devient une pathologie de masse.

Les grèves peuvent être adaptées au privé. Histoire de bloquer réellement le système.

Ah oui, vos syndicats ne veulent pô...

Ils manquent les revendications, avec deux statuts, pas simple...

Salut ,

collectivités territoriales, les Hôpitaux Publics, bref, l'Etat (il est jamais loin), les instances politiques ?

Le clientélisme est légal, certes, mais à force, cela devient une pathologie de masse.

Les grèves peuvent être adaptées au privé. Histoire de bloquer réellement le système.

Ah oui, vos syndicats ne veulent pô...

Ils manquent les revendications, avec deux statuts, pas simple...

Désolée, je n'ai pas compris ! :)