Les femmes intello solitaires

La souffrance est inévitable et qu'on le veuille ou non, on est toujours seuls pour l'endurer.

Chacun juge de ce qu'il est préférable pour lui.

Mais n'est-on pas toujours seuls ?

Oui.

Presque toutes les femmes se disent sensibles, c'est dire si le mot est galvaudé !

Les gens les plus solitaires sont les empathiques, car ils ressentent bien les autres mais trouvent rarement la réciprocité.

:)

Plutôt qu'une femme solitaire intelligente, je recommande une strip teasease ouverte à tous dont le père tient un sex shop alors qu'il bat sa fille parce qu'elle noie son malheur dans l'alcool sous l'emprise de l'héroine pour oublier son spleen de ne pas être la princesse à papa.

Au global, ça change strictement rien.

Mais il y a quand même davantage de moments marrants.

Tu as sans doute oublié de mentionner certains détails, vas-y donc que je vide ma boîte de kleenex ! :p

Bah je vais argumenter dans ton sens, nous sommes d'accord, un coq seul ne sert à rien.

ça me rappelle mon fiston qui va voir sa mère en disant "Maman, Jack le coq s'est accouplé au moins 10 fois ce matin !!!"

"- Va le dire à ton père il comprendra...."

"- Papa, Jacq s'est accouplé 10 fois ce matin. Je l'ai dit à Maman qui m'a dit de te le répéter et que tu comprendras, tu comprends papa ?"

-"Dis moi fiston, pour comprendre dis moi, c'était avec la même poule ?"

-"Oh ça non Papa ! Pas du tout !"

-" Ok, alors va le dire à ta mère, elle comprendra..."

Il parait qu'il faut faire la cours à une femme.

La réalité profonde du monde, c'est que mieux vaut une basse cours.

Merci pour cet intermède léger.

On est moins seul quand on soulage la souffrance des autres, au moins on oublie la sienne.

Erreur, illusion, la solitude est là, toujours, on n'oublie pas la sienne, elle passe au second plan momentanément, pour revenir aussitôt après, avec peut-être encore plus de force.

Quel charme elles ont !

Non seulement curieuses de tout, mais leur solitude les rend profondes et attentives.

C'est le feu qui couve sous la glace, attention car risque de passion explosive !

En fait, je pense qu'elles sont à fleur de peau, qu'elles ressentent tout plus intensément.

La passion est dévorante, mais éphémère.

Oui.

C'est tout à fait ça.

Voici un texte plutôt sévère pour la femme "intelligente":

http://www.aimeles.net/pourquoi-les-hommes-detestent-les-femmes-intelligentes/ (incompatible sur firefox)

Qui trop attend son repas servi, risque de maigrir bien malgré lui !

Tes mots sont d'un sexisme ... tout ça est digne d'un coup de pied bien situé ... :)

J'ajouterai ceci : jeune ou bien vieux un con, ça pue aussi ! pfff

A non, a non, c'est sublime le parfum d'un con d'ailleurs je refuse de me laver le nez après un cunnilingus, je me régale de son parfum qui pour moi est des plus exquis.

La souffrance est inévitable et qu'on le veuille ou non, on est toujours seuls pour l'endurer.

Chacun juge de ce qu'il est préférable pour lui.

Mais n'est-on pas toujours seuls ?

On l'est la plupart du temps seul,l'idée du couple n'est qu'une illusion à la solitude, chacun de nous est seul chacun de nous à sa propre histoire ses propres souffrances comme joies, nous sortons seul du ventre de notre mère ( même des jumeaux ), entre temps tout n'est qu'illusoire, nous mourrons seul. Mais que les illusions sont néanmoins des plus agréables aussi.

On l'est la plupart du temps seul,l'idée du couple n'est qu'une illusion à la solitude, chacun de nous est seul chacun de nous à sa propre histoire ses propres souffrances comme joies, nous sortons seul du ventre de notre mère ( même des jumeaux ), entre temps tout n'est qu'illusoire, nous mourrons seul. Mais que les illusions sont néanmoins des plus agréables aussi.

C'est beaucoup trop pessimiste, ça confine au solipsisme.

Le problème ici bas c'est que les gens ne se voient pas ou tres exceptionnellement, mais ils en ont la possibilité.

"Plus grande est la foule, plus aveugle est son coeur."

Bonjour Punchcoco, grosse poigne de mains.

J'ai une tendance des plus naturelle à fuir les foules, elles suscitent en moi de profonde angoisses. La foule est par nature même acéphale.

J'ai vu des foules prisent de paniques, c'est effrayant la violence extrême dont elle est capable.

Non je ne suis pas pessimiste, bien au contraire. Mais j'ai dans mon cynisme un certain scepticisme.

Je comprend aussi cette interprétation du solipsisme mais ce n'est pas le cas.

Un cas toi et moi assistons a un spectacle quel qu’il soit nous sommes ensemble l'un a coté de l'autre sommes bons copains, même amis, chacun de nous sera seul en lui même pour le ressenti du spectacle, chacun face à son histoire, ce que nous échangerons ensemble après sera de toute façon parcellaire, et l'autre comprendra une part à travers son vécu de ce que chacun a dit, nous filtrons quoiqu'on pense ce que l'autre dit pour nous même. C'est notre programmation génétique qui est ainsi, tout simplement pour notre survie. Même en voulant partager nous sommes évidemment seul.

Nous assistons a un fait divers très difficile, par exemple un attentat, il se peut que même avec une très bonne entente l'un envers l'autre, nous sommes amis depuis la prime enfance, l'un de nous soit si choqué qu'il tombe en effroi, soit tétanisé, alors que l'autre non. Chacun sera seul face à l'adversité.

Dans la vie nous sommes seul, l'autre existe son ego est indispensable à mon égo car il y a enrichissement d'informations ou de connaissances, mais dans le ressenti, l’interprétation cela se passe in peto

Grosse poigne de main egalement Prométhée,

Pas tout a fait, car alors pourquoi serions nous amis ?

Les vrais amis on les choisi pour des raisons qui sont autres que l'intéret et le calcul.

Et quid de l'empathie ou de la sympathie ?

Et puis l'ego a une importance trés relative dans les différentes régions du monde.

Tu me taquine là, je pense que tu as parfaitement compris ce que j'ai voulu dire.

On l'est la plupart du temps seul,l'idée du couple n'est qu'une illusion à la solitude, chacun de nous est seul chacun de nous à sa propre histoire ses propres souffrances comme joies, nous sortons seul du ventre de notre mère ( même des jumeaux ), entre temps tout n'est qu'illusoire, nous mourrons seul. Mais que les illusions sont néanmoins des plus agréables aussi.

Agréables oui, mais attention, les illusions ne sont jamais que des illusions.

C'est beaucoup trop pessimiste, ça confine au solipsisme.

Le problème ici bas c'est que les gens ne se voient pas ou tres exceptionnellement, mais ils en ont la possibilité.

"Plus grande est la foule, plus aveugle est son coeur."

Ce n'est pas parce que les gens se voient que la solitude disparaît. La solitude est constante, tu peux aussi être seul en compagnie.

Pour ce qui est de la foule, bien sûr que l'on est d'autant plus seul que l'on est noyé dans l'anonymat d'une foule, mais ce n'est pas là le problème.

Bonjour Punchcoco, grosse poigne de mains.

J'ai une tendance des plus naturelle à fuir les foules, elles suscitent en moi de profonde angoisses. La foule est par nature même acéphale.

J'ai vu des foules prisent de paniques, c'est effrayant la violence extrême dont elle est capable.

Non je ne suis pas pessimiste, bien au contraire. Mais j'ai dans mon cynisme un certain scepticisme.

Je comprend aussi cette interprétation du solipsisme mais ce n'est pas le cas.

Un cas toi et moi assistons a un spectacle quel qu’il soit nous sommes ensemble l'un a coté de l'autre sommes bons copains, même amis, chacun de nous sera seul en lui même pour le ressenti du spectacle, chacun face à son histoire, ce que nous échangerons ensemble après sera de toute façon parcellaire, et l'autre comprendra une part à travers son vécu de ce que chacun a dit, nous filtrons quoiqu'on pense ce que l'autre dit pour nous même. C'est notre programmation génétique qui est ainsi, tout simplement pour notre survie. Même en voulant partager nous sommes évidemment seul.

Nous assistons a un fait divers très difficile, par exemple un attentat, il se peut que même avec une très bonne entente l'un envers l'autre, nous sommes amis depuis la prime enfance, l'un de nous soit si choqué qu'il tombe en effroi, soit tétanisé, alors que l'autre non. Chacun sera seul face à l'adversité.

Dans la vie nous sommes seul, l'autre existe son ego est indispensable à mon égo car il y a enrichissement d'informations ou de connaissances, mais dans le ressenti, l’interprétation cela se passe in peto

Je suis d'accord pour dire qu'il n'est pas question de pessimisme. Mais plutôt de cynisme et de scepticisme, mais je ne rejette pas le solipsisme pour une part tout du moins.

Et puis à vous deux, Punchcoco et Prométhée,

Je ne vous fait pas une grosse poignée de main, je vous fait la bise. Et oui je suis une .

Et si je dis des âneries, n'hésitez pas à me le dire, je suis une quiche en philo.

Ce n'est pas parce que les gens se voient que la solitude disparaît. La solitude est constante, tu peux aussi être seul en compagnie.

Pour ce qui est de la foule, bien sûr que l'on est d'autant plus seul que l'on est noyé dans l'anonymat d'une foule, mais ce n'est pas là le problème.

Et puis à vous deux, Punchcoco et Prométhée,

Je ne vous fait pas une grosse poignée de main, je vous fait la bise. Et oui je suis une .

Et si je dis des âneries, n'hésitez pas à me le dire, je suis une quiche en philo.

Ah bah si vous etes une je vais essayer de soigner mon explication :

Quand je dis que les gens ne se "voient" généralement pas, je veux dire que ça reste trés superficiel.

On ne voit que ce que l'on est disposé a voir.

Meme dans les relations amoureuses il en est ainsi, on est aimé, ou non, pour ce que l'on n'est pas.

Quand on est aimé c'est généralement que l'on nous attribue plus de qualités que de défauts.

Et quand on est pas aimé c'est souvent que l'on voit nos défauts sans voir nos qualités.

Bref, on peut avoir toujours cette impression de ne pas etre "vu".

Mais je crois que ce n'est pas une fatalité, il y a des aveugles, il y a des borgnes et il y a peut etre des clairvoyants.

Ah bah si vous etes une je vais essayer de soigner mon explication :

Quand je dis que les gens ne se "voient" généralement pas, je veux dire que ça reste trés superficiel.

On ne voit que ce que l'on est disposé a voir.

Meme dans les relations amoureuses il en est ainsi, on est aimé, ou non, pour ce que l'on n'est pas.

Quand on est aimé c'est généralement que l'on nous attribue plus de qualités que de défauts.

Et quand on est pas aimé c'est souvent que l'on voit nos défauts sans voir nos qualités.

Bref, on peut avoir toujours cette impression de ne pas etre "vu".

Mais je crois que ce n'est pas une fatalité, il y a des aveugles, il y a des borgnes et il y a peut etre des clairvoyants.

Ben oui, c'est superficiel.

Aimer, être aimé, ça veut dire quoi ? On aime pas l'autre en réalité, mais ce qu'il nous apporte, en fait je dirais qu'on aime l'amour, mais jamais quelqu'un. Je ne sais pas si tu me suis là.

Peut-être que les gens aiment mal. Je m'explique, ils aiment pour ce que l'autre peut leur apporter et dont ils ont envie, sans se soucier du reste ?

L'impression de ne pas être vus, est réelle dans le sens où l'autre ne nous connaît jamais.

Et les clairvoyants savent qu'ils sont seuls.

Sinon t'avais pas vu que j'étais une fille ? :gurp:

Ben oui, c'est superficiel.

Aimer, être aimé, ça veut dire quoi ? On aime pas l'autre en réalité, mais ce qu'il nous apporte, en fait je dirais qu'on aime l'amour, mais jamais quelqu'un. Je ne sais pas si tu me suis là.

Peut-être que les gens aiment mal. Je m'explique, ils aiment pour ce que l'autre peut leur apporter et dont ils ont envie, sans se soucier du reste ?

L'impression de ne pas être vus, est réelle dans le sens où l'autre ne nous connaît jamais.

Et les clairvoyants savent qu'ils sont seuls.

Sinon t'avais pas vu que j'étais une fille ? :gurp:

Oui je comprend bien, mais moi je suis un incorrigible idealiste, de plus j'ai le sentiment de pouvoir voir si je veux voir.

les clairvoyants sont seuls tant qu'ils ne rencontrent pas d'autres clairvoyants.

On aime selon ses moyens je crois.

Et non, pas fait de distinction de sexe.

Agréables oui, mais attention, les illusions ne sont jamais que des illusions.

Ce n'est pas parce que les gens se voient que la solitude disparaît. La solitude est constante, tu peux aussi être seul en compagnie.

Pour ce qui est de la foule, bien sûr que l'on est d'autant plus seul que l'on est noyé dans l'anonymat d'une foule, mais ce n'est pas là le problème.

Je suis d'accord pour dire qu'il n'est pas question de pessimisme. Mais plutôt de cynisme et de scepticisme, mais je ne rejette pas le solipsisme pour une part tout du moins.

Et puis à vous deux, Punchcoco et Prométhée,

Je ne vous fait pas une grosse poignée de main, je vous fait la bise. Et oui je suis une .

Et si je dis des âneries, n'hésitez pas à me le dire, je suis une quiche en philo.

Bonsoir Tar Baby, très grosse bise.

Nous sommes ce que nous sommes personne n'est meilleur qu'une autre, chacun de nous à sa propre valeur, quand à la philo tout un chacun est capable d'en faire du moment qu'il s'en donne la peine. Pour des erreurs nous en faisons tous et justement l'amitié comme l'amour est de faire remarquer les erreurs que l'on peut commettre. Parfois ce peut aussi être un désaccord, mais c'est justement deux visions d'une même chose.

J'avais remarqué que vous étiez une

Évidemment que les illusions sont ce qu'elles sont, mais en même temps nous sommes victimes de paradoxe, combien de choses dans la vie sont sous le paradoxe, parfois cela se teinte d'ambivalence. Nos sens nous trompe c'est connu depuis la plus haute antiquité, mais nos sens nous offre aussi notre réalité, nos illusions sont notre réalité vécu ainsi par notre espèce, comme chaque espèce a sa propre réalité qui n'est pas celle d'une autre. Cela semble paradoxal mais c'est ainsi que nous fonctionnons.

Ah bah si vous etes une je vais essayer de soigner mon explication :

Quand je dis que les gens ne se "voient" généralement pas, je veux dire que ça reste trés superficiel.

On ne voit que ce que l'on est disposé a voir.

Meme dans les relations amoureuses il en est ainsi, on est aimé, ou non, pour ce que l'on n'est pas.

Quand on est aimé c'est généralement que l'on nous attribue plus de qualités que de défauts.

Et quand on est pas aimé c'est souvent que l'on voit nos défauts sans voir nos qualités.

Bref, on peut avoir toujours cette impression de ne pas etre "vu".

Mais je crois que ce n'est pas une fatalité, il y a des aveugles, il y a des borgnes et il y a peut etre des clairvoyants.

Oui enfin je comprends, mais je partage pas vraiment. Me semble que c'est néanmoins plus complexe, voir plus tordu au niveau humain, déjà par la simple observation de nos entourages comme de nos vécus.

C'est vrai que quand on est aimé on nous attribut plus de qualité que de défaut, mais est ce vraiment nos qualité ou des qualité projeté sur nous même et dont nous sommes partiellement ou complètement étranger.

Combien de fois , c'est presque général on entends parler d'une personne autrement que ce qu'elle est dans sa réalité, ou son apparence, tant en défaut qu'en qualité ( de toute façon un défaut n'est qu'une qualité exagérer, ou outrancière ). Dans les relation humaine il y a énormément de projections, tant positive que négative, on observe bien l'autre que neutre, des que l'on s'implique on a une tendance à projeter. Sans compter qu'il y a aussi l'acceptation de sois cela se trouve chez des personnes ayant des déficit de personnalité, l'autre est paré de qualité du moment qu'il vous en offre ou vous reconnaisse dans le spectacle que vous offrez justifiant votre ego.

Sans compter les émotion primaire liè a votre prime enfance, des travaux furent réaliser la dessus. Il fut constater que pour beaucoup les partenaires étaient liè au premiers personnage liè à notre vie de nouveau né, nous notons les visages, en faisons des synthèses, comme des odeurs, et nous recherchons plus tard des partenaire en adéquations avec nos premières émotions. Presque toute les femmes que j'ai connu m'ont identifié a leur père, j'avais cette aura de leur géniteur, j'étais aimé même pour leur défaut.

Sans compter que l'amour est aussi physico chimique, des reconnaissance inconsciente de gènes compatible, des phénomèmes hormonaux, comme d'odeurs ( pour ce dernier cas démontre les ravages des déodorant, car mauvais choix ).

Mais ce n'est pas par ce que nous sommes les dindons de la farce d'une nature maline qui se sert de nous , que quand nous ressentons se fameux sentiment amoureux qu'il ne faille pas en profiter ni le vivre, c'est comme au cinéma en fait ce n'est pas vrai mais c'est une sacré aventure, un très chouette rêve, une réalité complètement illusoire, quoique et si il y avait autre chose de plus transcendant dedans qui peut nous échapper je veux bien l'admettre mais c'est une autre histoire de fou, ou de mystique.

Oui je comprend bien, mais moi je suis un incorrigible idealiste, de plus j'ai le sentiment de pouvoir voir si je veux voir.

les clairvoyants sont seuls tant qu'ils ne rencontrent pas d'autres clairvoyants.

On aime selon ses moyens je crois.

Et non, pas fait de distinction de sexe.

J'aime beaucoup les incorrigible idéaliste, ce sont les seuls pour moi qui sont proche de la vérité. Avoir vu ou perçu le monde des idées c'est pas le commun des mortel qui soit capable de le faire. Ça fais assez platonicien, pourtant ce ne l'est pas.

Ben oui, c'est superficiel.

Aimer, être aimé, ça veut dire quoi ? On aime pas l'autre en réalité, mais ce qu'il nous apporte, en fait je dirais qu'on aime l'amour, mais jamais quelqu'un. Je ne sais pas si tu me suis là.

Peut-être que les gens aiment mal. Je m'explique, ils aiment pour ce que l'autre peut leur apporter et dont ils ont envie, sans se soucier du reste ?

L'impression de ne pas être vus, est réelle dans le sens où l'autre ne nous connaît jamais.

Et les clairvoyants savent qu'ils sont seuls.

Sinon t'avais pas vu que j'étais une fille ? :gurp:

Oui je suis très bien, mais bon je partage pas vraiment, j'ai entendu des femmes me dire aimer l'amour mais pas la personne. Je me suis trouvé de par ma personnalité souvent comme confident ou confesseur, ou analyste de copines comme de relation féminines, j'en ai entendue des corsées sur le sujet.

Aimer mal, je partage tout a fait, enfin je dirai plutôt incomplètement , se privant d'autre dimensions certainement.

Connaître l'autre c'est faire intervenir sa part féminine, c'est vouloir le ressentir, se laisser imprégner, envahir, pénétrer comme une éponge se laisse envahir par l'eau, connaître l'autre c'est devenir l'autre même temporairement, cela impose soit de l'amour mais aussi du courage, car c'est faire abstraction de sois même. Par contre c'est extrêmement enrichissant, c'est une école de découverte de sois même par ricochet. Car l'autre est un autre nous même ( lire a cet égard Lévinas ).

Mais ce n'est pas par ce qu'on est a l'écoute que nous ne sommes pas seul, on reste seul quoiqu'il se passe, et ce n'est pas être clairvoyant que de savoir qu'on est seul, mais simplement être lucide.

Mais l'amour est aussi non seulement reconnaître l'autre pour ce qu'il est dans sa vérité, que de l'aider, tout faire pour sa propre réalisation de lui permettre de se sublimer. L'amour le vrai c'est d'être alchimiste, transmuter le vil en noble. Sans craindre d'être un jour quitter.

Au fait rien a voir, mais j'aime beaucoup votre signature je la trouve des plus juste. Je l'ai remarqué le premier jour de mon inscription sur le site.

Je vous donne l'explication de la mienne, si vous ne connaissez pas le grec, Daïmon Kûon , esprit chien