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Le Chaos d'une Surpopulation Planétaire


azaran

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Membre, Posté(e)
rugbyn Membre 6 messages
Baby Forumeur‚
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1968 le cercle de Rome, demande au MIT, de produire un rapport, sur le devenir de la planéte, le prof. Mideaw, donne les résultats de son enquéte, en 1972, le rapport préconise, un controle des naissances, dés 1975, dans tous les états du monde, nous, aurions, repousser, la famine et la mort de 50% de la population humaine, de 3 siecles, c'est pas mal mais insuffisant. Rien n'est prévus, depuis 43 ans, donc, en 2075, les humains encore vivant, respireront mieux. En 2035, dans 20 ans, les problémes, d'eaux et de famines débutent. Il y à encore plus fort, le permafrost, qui arrive enfin sur les ondes médiatiques, cette bande de terre, gelée, retiens autant de pollution, que l'humain en produit en 5 ans, mieux encore, le permafrost, libérera, des retrovirus et autres bactéries mortelles, (voir en URSS, il y à 1 mois) , bien sur il fond, il est partie prenante, dans son développement, "si je puis dire", avec de la chance, l'humain mourra plus de maladies que de famine. l'horrible solution, impensable, rendre plus efficace le retrovirus HIV, Ebolla, H1 N1, ou alors, c'etait prévus, mince! cela ne fonctionne pas.

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  • 11 mois après...
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azaran Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
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« Nous aurons le destin que nous aurons mérité. » – Albert Einstein

Voici un ajout intéressant en guise de conclusion à l'exercice philosophique de mon commentaire initial. Il provient d'un article recyclé qui fut présenté le 29 août sur la page d'outil de recherche de “Bing”, portant le titre : « Il est déjà trop tard » ; L'espèce humaine devrait s'éteindre vers la fin de ce siècle.

Mon essai ne s'était contenté que de prévenir l'humanité de ce qui l'attendait. Mais la personnalité scientifique citée dans l'article condamnait l'humanité à une extinction sans rémission. Quiconque serait intéressé à sa lecture, voici l'article complet afin de saisir toute la portée de cette sentence :

[ « Il est déjà trop tard » ; L'espèce humaine devrait s'éteindre vers la fin de ce siècle

par Christophe Magdelaine

Et s'il n'y avait plus rien à faire pour sauver l'humanité ! S'il était déjà trop tard ! Le quotidien national “The Australian” rapporte une entrevue très pessimiste du célèbre scientifique australien Frank Fenner. Selon ce dernier, nous avons déjà scellé le destin de l'humanité : dans moins de 100 ans, les sociétés humaines n’existeront plus...

Dans cette entrevue accordée au quotidien, publiée le 16 juin 2010*, Frank Fenner, professeur émérite de microbiologie à l'Université nationale australienne, prédit la disparition de l'humanité dans moins de 100 ans.

Ce mauvais augure pourrait prêter à sourire, s'il était prédit par n'importe qui, mais Frank Fenner, âgé de 95 ans, a eu une carrière scientifique impressionnante. Membre de l'Académie des sciences et de la Société Royale de l'Australie, son travail a été récompensé par de nombreux prix, et il est l'auteur de centaines d'exposés scientifiques. Il a notamment été impliqué dans la disparition du virus responsable de la variole et dans la lutte contre la surpopulation de lapins en Australie via l'introduction volontaire du virus de la myxomatose dans les années 50.

Officiellement à la retraite depuis des dizaines d'années, ce scientifique renommé poursuit toujours ses travaux de recherche et ses écrits, se rendant quotidiennement à l'Institut de médecine John Curtin de l'Université nationale australienne, dont il fut directeur de 1967 à 1973.

Sa compréhension approfondie de l'évolution des espèces n'a jamais diminué sa fascination pour l'observation sur le terrain. Du niveau moléculaire jusqu'aux planètes, Frank Fenner s'intéresse à tous les écosystèmes. Il a commencé à publier ses premières études environnementales au début des années 70 lorsque l'impact des sociétés humaines sur notre planète s'est révélé être un problème majeur.

De quoi inspirer confiance, ou au moins de l'intérêt pour ses déclarations.

« Nous allons disparaître. Quoique nous fassions maintenant, il est trop tard »

Cette affirmation de Frank Fenner a de quoi inquiéter, d'autant plus qu'il ne s'agit pas d'une vision sur des millions d'années mais d'une prédiction pour le siècle en cours !

Pour Frank Fenner et d'autres scientifiques reconnus comme Paul Crutzen, prix Nobel de chimie en 1995, la Terre est entrée dans une nouvelle époque géologique, l'Anthropocène, à partir de 1800 avec la révolution industrielle et l'exploitation massive des combustibles fossiles. Cette nouvelle époque géologique succéderait à l'Holocène débuté il y a 10.000 ans.

Bien que non officielle sur l'échelle des temps géologiques, l'Anthropocène a été admis dans la terminologie scientifique et correspond au moment où les Hommes ont pu rivaliser avec les forces de la nature dans la capacité à modifier l'écosystème de la Terre.

En effet, nos activités réchauffent le climat planétaire d'une ampleur aussi importante que les grands cycles naturels. L'humanité entame présentement la sixième extinction massive de biodiversité. Et ceci à une vitesse plus rapide que celle qui a conduit à l'extinction des dinosaures, il y a environ 65 millions d'années, suite à la chute d'un astéroïde, souligne Éric Lambin, membre de l'Académie des sciences des États-Unis.

L'explosion démographique est en cause : « il y a déjà trop de monde »

À l'origine de ces déséquilibres planétaires qui menacent la survie même de l'humanité, Frank Fenner incrimine l'explosion démographique et la « consommation effrénée ».

Selon l'Organisation des Nations Unis (ONU), le nombre d'humains a dépassé les 7 milliards en 2011. Vu l'inertie du public et décideurs politiques face à l'urgence et l'importance des mesures à prendre pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre, Frank Fenner demeure pessimiste : « Nous allons subir le même sort que les habitants de l'île de Pâques. Le changement climatique ne fait que commencer. Mais nous pouvons déjà voir des changements remarquables dans la météo. »

« Les Aborigènes nous ont montré qu'en l'absence de science et d'émissions de dioxyde de carbone responsables du réchauffement climatique, ils pouvaient survivre pendant 40.000 à 50.000 ans. Mais ce monde-ci en est incapable. L'espèce humaine va vraisemblablement disparaître de la même façon que nombreuses autres espèces qu'on a vus disparaître. » déclare-t-il dans son entrevue.

« L'Homo sapiens devrait disparaître, peut-être dans 100 ans », dit-il. « Un grand nombre d'autres animaux également. C'est une situation irréversible. Je pense qu'il est trop tard. J'essaie de ne pas trop le dire car il y a des gens qui essaient de faire changer les choses. Les efforts de réduction ralentissent un peu les choses, mais il y a déjà trop de monde [sur Terre] » ajoute-t-il.

L'explosion démographique et ses corollaires : la boulimie énergétique, productiviste et consumériste mènent l'humanité à sa perte. Ce constat, encore tabou, est pourtant de plus en plus partagé par certains scientifiques et de plus en plus évoqué, mais il est couvert par la dispute entre les sceptiques du changement climatique et les personnes croyantes pour qui la reproduction [la procréation] est une recommandation divine, souligne Frank Fenner.

Un peu d'optimisme avant l'annihilation de l'humanité ?

Stephen Boyden, collègue et ami de Fenner, pense qu'il y a un profond pessimisme chez certains écologistes, mais que d'autres sont plus optimistes : « Frank a peut-être raison, mais certains d'entre nous nourrissent encore l'espoir que la situation entraînera une prise de conscience et, par conséquent, les changements révolutionnaires nécessaires pour atteindre la durabilité écologique ». Malheureusement, cette prise de conscience radicale, tant attendue depuis des années, ne se manifeste pas ou uniquement de manière marginale.

Stephen Boyden ajoute : « C'est là où Frank et moi sommes différents. Nous sommes tous 2 conscients de la gravité de la situation, mais je n'accepte pas qu'il soit forcément trop tard. Bien qu'il n'y ait qu'une lueur d'espoir, cela vaut la peine de résoudre le problème. Nous avons la connaissance scientifique pour le faire, mais nous n'avons pas la volonté politique. »

À ce titre, Frank Fenner a ouvert le 23 juin 2010 le symposium “Healthy Climate, Planet and People” (une Espèce, une Planète et un Climat en Santé) à l'Académie australienne des sciences. Cette conférence vise justement à combler le fossé entre la science et les politiques environnementales.

En conclusion de son entrevue, Frank Fenner, qui a pourtant eu l'honneur d'annoncer l'éradication mondiale de la variole à l'ONU en 1980, contemple avec dépit le chaos de l'espèce humaine au bord de l'extinction de masse : « Les petits-enfants des générations actuelles vont être confrontés à un monde beaucoup plus difficile... »

© 2001-2016 notre-planete.info ® v. 20160724

2010-06-24 ]

*Quiconque voudrait lire l'entrevue originalement publié en anglais :

Outil de recherche + Frank Fenner The Australian June 16, 2010

Il est évident, après une lecture de l'article, que le microbiologiste émérite australien Frank Fenner n'accorde aucune chance à l'humanité. Et l'on remarque que si Stephen Boyden, collègue et ami du microbiologiste, diffère d'opinion en raison de son optimisme, ce dernier ne dit cependant absolument rien sur quel est et comment les optimistes entendent « résoudre le problème ».

Pour obtenir une réponse à ces 2 questions – quel est et comment résoudre le problème – on doit se tourner vers Mike Adams. Ce dernier est un scientifique états-unien qui analyse l'évolution de cette nouvelle époque géologique qu'on nomme l'Anthropocène. Il nous présente la solution avancée par certains optimistes.

Les optimistes disent que nous devrions éliminer 6,000,000,000 d'êtres humains

« Ce sont les optimistes qui disent que nous pourrions avoir une chance en tant qu'espèce durable si nous commettions immédiatement un génocide global en tuant 6,000,000,000 d'êtres humains. Oui ! Vous avez bien lu : les OPTIMISTES croient qu'il nous faut, le plutôt possible, tuer 6,000,000,000 d'êtres humains afin d'avoir une chance d'assurer le futur de notre espèce. »

« Autrement dit, la tuerie en masse de la plupart des humains est la BONNE nouvelle dans ces discussions. La mauvaise nouvelle est qu'on dit que même cette démarche désespérée pourrait ne pas nous sauver. »

Selon des statistiques compilées sur la croissance démographique mondiale aux cours des siècles, il faut remonter à 1800 pour une population mondiale estimée à 1,000,000,000 d'individus. Est-ce une étrange coïncidence ou simplement le fruit du hasard que 1800 soit aussi le début de la révolution industrielle ? L'explosion démographique mondiale qui débuta par la suite (1½ siècle plus tard, le nombre estimé avait grimpé à 2,000,000,000) pourrait-elle être liée au développement technologique dans les domaines de l'alimentation et des soins médicaux ?

Si en 2016, au lieu du nombre estimé par l'ONU en 2011, il n'y avait que 1,000,000,000 d'êtres humains sur la Terre, que répondrait-on aux questions suivantes :

1. Aurait-on tous les problèmes environnementaux auxquels l'humanité doit faire face aujourd'hui ?

2. Aurait-on les problèmes géopolitiques auxquels l'humanité doit faire face aujourd'hui ?

3. Aurait-on le même nombre de catastrophes climatiques qui se produisent depuis 1980 ?

4. Aurait-on les problèmes de réfugiés migratoires auxquels l'humanité doit fait face aujourd'hui ?

5. Aurait-on les problèmes d'accès aux ressources vitales que l'humanité devra bientôt affronter ?

6. Aurait-on tous ces attentats internationaux qui perturbent la sécurité de l'humanité aujourd'hui ?

Il va de soi qu'on n’éliminera pas 6,000,000,000 d'êtres humains. Mais l'humanité est tout de même confrontée à un grave problème de surpopulation. La question primordiale à laquelle l'humanité doit faire face aujourd'hui concerne sa survie en tant qu'espèce. L'humanité aura-t-elle le courage nécessaire pour faire les choix difficiles afin d'enrayer sa surpopulation ? Sachant que de telles mesures impliqueraient :

1. D'appliquer des incitatifs de réduction ainsi qu'un contrôle des naissances partout sur la Terre ;

2. Le rétablissement de la peine de mort dans tous les pays pour les assassins, les meurtriers de tout acabit, les contrebandiers de drogue, les pédophiles, les violeurs d'enfants et de femmes ;

3. Le non maintient en vie des bébés prématurés ainsi que des malades et accidentés graves dont la chance de survie est incertaine, même s'il faut pour cela renoncer aux progrès médicaux ;

4. La décimation de multiples populations par la propagation libre de virus mortels, même s'il faut pour cela renoncer aux progrès médicaux.

Toutes ces mesures seraient appliquées dans le but avoué de ramener la population mondiale aux alentours de 1,000,000,000 d'individus. Par la suite, un accord explicite impliquant tous les pays de la Terre serait évidemment requis pour prolonger indéfiniment ces mesures afin de s'assurer que la population mondiale ne dépasse plus 1,000,000,000 d'individus.

Voilà ce qui est souhaitable !

Mais, à moins que l'ONU ne déclare officiellement que l'espèce humaine est maintenant la seule et véritable pollution (ce qui est peu probable) et que toutes les autres pollutions ne sont en réalité que des conséquences symptomatiques, on peut se permettre d'en douter. Laissons donc à un philosophe ayant vécu aux dix-huitième et dix-neuvième siècles le soin tant d'évaluer les chances de survie que de rendre un ultime jugement sur cette espèce qui se nomme l'humanité :

« Il n’existe pas d’animal plus mesquin, stupide, infâme, pitoyable, égoïste, méchant, envieux et ingrat que le public. Et c'est aussi le plus grand des lâches, car il a peur de lui-même. » – William Hazlitt (1778-1830) - Table Talks (1821-1822)

« L'extinction de l'espèce humaine ; voilà un destin bien mérité ! » – Inspirée par la citation d'Albert Einstein

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Membre, Posté(e)
nolibar Membre 1 194 messages
Forumeur survitaminé‚
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« Nous aurons le destin que nous aurons mérité. » – Albert Einstein

« L'extinction de l'espèce humaine ; voilà un destin bien mérité ! » – Inspirée par la citation d'Albert Einstein

J’aime bien Albert Einstein mais, sur ce point, je ne suis pas d’accord avec lui.

Car, selon moi, dans l’absolu, l’Homme n’a pas de mérité ni n’est à blâmer pour ce qu’il est.

Il est tout simplement.

Ce sont des forces qui le dépassent qui l’entrainent à sa perte, car il n’est pas suffisamment intelligent pour en prendre vraiment conscience et les contrôler, voire même les annihiler ci-nécessaire.

Ces forces là, sont celles produites par les technosciences.

Il me suffit d’imaginer ce que serait les comportements d’êtres d’une grande intelligence pour mesurer le gouffre qu’il y aurait entre eux et lui : à leurs yeux, il ne serait guère plus intelligent que son cousin le singe.

Le grand malheur de l’Homme vient du fait que l’on met à sa disposition des moyens techniques qu’il ne peut utiliser à bon escient, car il ne dispose pas de capacités intellectuelles suffisantes pour ce faire (intelligence, sagesse, etc.).

C’est, selon moi, comme donner une boite d’allumettes à des singes et leur montrer comment les utiliser ; ils auraient tôt fait de mettre le feu à la forêt qui les abrite.

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Membre, Posté(e)
azaran Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Car, selon moi, dans l’absolu, l’Homme n’a pas mérité, n’est ni à blâmer pour ce qu’il est.

Il est tout simplement.

Ce sont des forces qui le dépassent qui l’entrainent à sa perte, car il n’est pas suffisamment intelligent pour en prendre vraiment conscience et les contrôler, voire même les annihiler ci-nécessaire.

Ces forces là, sont celles produites par les technosciences.

Il appert, à la lecture de la citation ci-dessus, que William Hazlitt avait tout à fait raison de dire que le public était le plus grand des lâches.

Oser affirmer que l'Homme n'a pas mérité et n'est ni à blâmer pour ce qu'il est. Quelle lâcheté !

Comme si l'Homme n'était pas responsable de ses actions. Comme si l'Homme n'était pas responsable de toute la pollution qu'il cause.

Oser placer le blâme sur le dos des « technosciences » revient à dire que, finalement, le seul responsable de l'extinction de l'espèce humaine est son cousin le singe.

Un sage philosophe contemporain avait raison quand il a dit : « Le plus difficile pour l'Homme, c'est d'admettre qu'il a tort. »

.

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Membre, 127ans Posté(e)
menon Membre 10 268 messages
Maitre des forums‚ 127ans‚
Posté(e)

je viens de découvrir ce topic , je vais m'empresser de le lire mais svp, n'écrivez pas trop grand . :hi:

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Membre, 54ans Posté(e)
Foraveur Membre 6 426 messages
Baby Forumeur‚ 54ans‚
Posté(e)

Ca ne respire pas l'optimisme ce sujet mais je pense que l'on peut amener les gens à une prise de conscience sans recourir au génocide par negligence...

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Membre, 127ans Posté(e)
menon Membre 10 268 messages
Maitre des forums‚ 127ans‚
Posté(e)

Ce sont des forces qui le dépassent qui l’entrainent à sa perte, car il n’est pas suffisamment intelligent pour en prendre vraiment conscience et les contrôler, voire même les annihiler ci-nécessaire.

Ces forces là, sont celles produites par les technosciences.

Il me suffit d’imaginer ce que serait les comportements d’êtres d’une grande intelligence pour mesurer le gouffre qu’il y aurait entre eux et lui : à leurs yeux, il ne serait guère plus intelligent que son cousin le singe.

Le grand malheur de l’Homme vient du fait que l’on met à sa disposition des moyens techniques qu’il ne peut utiliser à bon escient, car il ne dispose pas de capacités intellectuelles suffisantes pour ce faire (intelligence, sagesse, etc.).

Mais c'est lui qui les a inventées :facepalm: , c'est ça l'évolution . C'est un acquis renouvelé à chaque génération ! les grandes avancées technologiques ne sont pas tombées du ciel :o°

Pour en revenir au débat , tu prêches un convaincu à 1000%.

C'est pour cela que je reviens sans cesse sur le modèle économique de décroissance , circulaire. Mais bon , cela n'a pas encore beaucoup d'écho car l'homme attend d'être au pied du mur. ( confort oblige)

Quand on voit que seuls 24 pays ont ratifié l'accord de la Cop21 sur les 175 qui l'ont signé !!!

(et ça ne représentant que 1,08% des émissions. Pour entrer en vigueur, il doit être ratifié par au moins 55 pays représentant 55% des émissions de gaz à effet de serre !)

Soit , c'est dramatique , on a bousillé notre planète en 1 siècle ( depuis l'ère industrielle) et il nous reste combien d'années de sursis ??

100 ans si rien ne bouge .Sans compter un connard qui entre temps peut appuyer sur le bouton atomique :D

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Membre, Posté(e)
nolibar Membre 1 194 messages
Forumeur survitaminé‚
Posté(e)

Oser affirmer que l'Homme n'a pas mérité et n'est ni à blâmer pour ce qu'il est. Quelle lâcheté !

Bah ! Selon moi, il y a encore plus grande lâcheté à ne pas avoir le courage de se regarder en face pour prendre conscience de ce que l’on est vraiment : une petite chose insignifiante qui se reconnait des pouvoirs que, dans l’absolu, elle ne peut posséder comme, par exemple, le Libre-arbitre. Car, pour ce faire, il faudrait passer outre les lois qui régissent l’Univers, être en quelque sorte des dieux.

“Les hommes se trompent en ce qu’ils se croient libres et cette opinion consiste en cela seul qu’ils sont conscients de leurs actions, et ignorants des causes qui les déterminent”

Spinoza

Comme si l'Homme n'était pas responsable de ses actions. Comme si l'Homme n'était pas responsable de toute la pollution qu'il cause.

L’Homme, dans l’absolu, n’est pas responsable de ce qu’il est, mais par contre, ses actions sont responsables de la pollution qu’elles provoquent, de l’extinction de la biodiversité, de sa propre destruction dans un futur proche, etc.

Oser placer le blâme sur le dos des « technosciences » revient à dire que, finalement, le seul responsable de l'extinction de l'espèce humaine est son cousin le singe.

Je dis simplement que l’on ne devrait pas mettre entre les mains de l’Homme les produits des technosciences parce qu’il est trop stupide pour les utiliser intelligemment.

Un sage philosophe contemporain avait raison quand il a dit : « Le plus difficile pour l'Homme, c'est d'admettre qu'il a tort. »

.

Le plus difficile pour l’Homme, c’est d’admettre qu’il n’est qu’une petite chose insignifiante (à cause de la possession, peut-être, d’un égo démesuré?).

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Membre, Posté(e)
azaran Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
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Selon moi, il y a encore plus grande lâcheté à ne pas avoir le courage de se regarder en face pour prendre conscience de ce que l’on est vraiment : une petite chose insignifiante qui se reconnaît des pouvoirs que, dans l’absolu, elle ne peut posséder comme, par exemple, le Libre-arbitre. Car, pour ce faire, il faudrait passer outre les lois qui régissent l’Univers, être en quelque sorte des dieux.

Il est dommage de devoir rappeler à l'auteur de la citation ci-dessus qu'une affirmation dogmatique qui n'est pas étayée d'un questionnement ou d'une preuve rationnelle n'a aucune valeur argumentative. De plus, l'utilisation à répétition de cette absurde, voire loufoque expression « dans l'absolu » n'est qu'une coquille vide, sans contenu.

La seule fois où l'on peut se permettre d'utiliser le terme « absolu » dans une argumentation philosophique ne devrait-elle pas être lorsque l'on parle de l'Univers ? Ne peut-on affirmer sans crainte d'une réfutation que seul l'Univers est un état de fait absolu, puisque tout en découle ? Peut-on récuser que l'Univers est un noumène, la chose-en-soi, la réalité absolue ? Comment l'Homme peut-il être absolu si sa « substance » proprement dite découle, doit son existence à l'Univers ?

Pourquoi s'obstine-t-on à vouloir réduire l'Homme à « une petite chose insignifiante » qui ne serait, selon le reste de l'affirmation, qu'un pantin manipulé par des fils ? (Au fait, qui les manipule ces fils ?) Est-ce pour mieux excuser la multitude de mauvais choix que « l'état de conscience » de l'Homme a fait au cours de son évolution ? N’est-ce pas l'ultime lâcheté que de se réfugier dans un déni de la loi de causalité ? Est-ce parce que cela permet alors de proclamer que l'Homme ne peut être tenu responsable de ses actions puisque ses motivations sont issues de circonstances hors de son contrôle ?

Il est aussi dommage que le commentaire de l'intervenant précédent ait été complètement ignoré (en passant, merci menon pour l'hyperlien : L’ère industrielle a mis fin à 1.800 ans de refroidissement des océans – très intéressant !). Il soulignait pourtant un point extrêmement important dans la détermination de responsabilité de l'Homme dans l’invention de tous ses moyens techniques ; de « ces produits des technosciences ».

Mais c'est lui qui les a inventées, c'est ça l'évolution. C'est un acquis renouvelé à chaque génération ! Les grandes avancées technologiques ne sont pas tombées du ciel !

Si l'Homme en tant qu'espèce ne peut s'empêcher d'être ce qu'il est, cela va de soi. L'espèce en-soi n'existe-t-elle pas suite à un concours de circonstances aussi innombrables que fantastiques ? Mais peut-on en dire autant de ce phénomène qu'est « l'état de conscience », totalement inédit et fortuit, qui est apparu et a évolué dans un encéphale en croissance, bien enfermé dans la boîte crânienne de l'Homme ?

Si les traits de caractère d'arrogance, de cupidité et d'hypocrisie sont ce qui détermine singulièrement la personnalité générale de l'Homme d'aujourd'hui, doit-on penser que l'Homme n'y est pour absolument rien dans l'apparition et l'évolution psychologique de ces 3 traits de caractère ? Si la réponse à cette question est positive, alors l'existence humaine n'aura été qu'une expérience futile, et son extinction qu'un incident de parcours.

Finalement, quelle est la signification de ce « Bah ! » du début ? Est-ce le bêlement d'une brebis ou simplement une plainte niaise ?

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Membre, 127ans Posté(e)
menon Membre 10 268 messages
Maitre des forums‚ 127ans‚
Posté(e)

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Il est aussi dommage que le commentaire de l'intervenant précédent ait été complètement ignoré (en passant, merci menon pour l'hyperlien : L’ère industrielle a mis fin à 1.800 ans de refroidissement des océans – très intéressant !). Il soulignait pourtant un point extrêmement important dans la détermination de responsabilité de l'Homme dans l’invention de tous ses moyens techniques ; de « ces produits des technosciences ».

Si l'Homme en tant qu'espèce ne peut s'empêcher d'être ce qu'il est, cela va de soi. L'espèce en-soi n'existe-t-elle pas suite à un concours de circonstances aussi innombrables que fantastiques ? Mais peut-on en dire autant de ce phénomène qu'est « l'état de conscience », totalement inédit et fortuit, qui est apparu et a évolué dans un encéphale en croissance, bien enfermé dans la boîte crânienne de l'Homme ?

Si les traits de caractère d'arrogance, de cupidité et d'hypocrisie sont ce qui détermine singulièrement la personnalité générale de l'Homme d'aujourd'hui, doit-on penser que l'Homme n'y est pour absolument rien dans l'apparition et l'évolution psychologique de ces 3 traits de caractère ? Si la réponse à cette question est positive, alors l'existence humaine n'aura été qu'une expérience futile, et son extinction qu'un incident de parcours.

Finalement, quelle est la signification de ce « Bah ! » du début ? Est-ce le bêlement d'une brebis ou simplement une plainte niaise ?

.

Merci Azaran de prendre de votre temps pour nous répondre

Il est vrai que le sujet est en catégorie philosophie et comme je n'ai aucune capacité dans ce domaine , je m'en vais sur la pointe des pieds .

juste en partant , certaines peuplades vivaient en toute humilité , en symbiose avec la nature dans un respect mutuel.

Donc j'en conclu que ces 3 traits caractères sont acquis par une éducation d'avidité égocentrique .

je crois que l'homme peut revenir à plus de sagesse , il suffit de l'éduquer dans ce sens .

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Membre, Posté(e)
nolibar Membre 1 194 messages
Forumeur survitaminé‚
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Il est dommage de devoir rappeler à l'auteur de la citation ci-dessus qu'une affirmation dogmatique qui n'est pas étayée d'un questionnement ou d'une preuve rationnelle n'a aucune valeur argumentative. De plus, l'utilisation à répétition de cette absurde, voire loufoque expression « dans l'absolu » n'est qu'une coquille vide, sans contenu.

La seule fois où l'on peut se permettre d'utiliser le terme « absolu » dans une argumentation philosophique ne devrait-elle pas être lorsque l'on parle de l'Univers ? Ne peut-on affirmer sans crainte d'une réfutation que seul l'Univers est un état de fait absolu, puisque tout en découle ? Peut-on récuser que l'Univers est un noumène, la chose-en-soi, la réalité absolue ? Comment l'Homme peut-il être absolu si sa « substance » proprement dite découle, doit son existence à l'Univers ?

Pourquoi s'obstine-t-on à vouloir réduire l'Homme à « une petite chose insignifiante » qui ne serait, selon le reste de l'affirmation, qu'un pantin manipulé par des fils ? (Au fait, qui les manipule ces fils ?) Est-ce pour mieux excuser la multitude de mauvais choix que « l'état de conscience » de l'Homme a fait au cours de son évolution ? N’est-ce pas l'ultime lâcheté que de se réfugier dans un déni de la loi de causalité ? Est-ce parce que cela permet alors de proclamer que l'Homme ne peut être tenu responsable de ses actions puisque ses motivations sont issues de circonstances hors de son contrôle ?

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Ouais ! Ok ! Désolé ! Mais je n’ai pas de temps à perdre en vaines élucubrations…

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Membre, 64ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)

La Terre est encore apte à héberger 10 milliards d'habitants. La Russie, le Canada, le Brésil, les Usa sont vides d'habitants. Le problème n'est pas la Terre; le problème est l'humain et sa connerie.

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Membre, Posté(e)
azaran Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
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La Terre est encore apte à héberger 10 milliards d'habitants. La Russie, le Canada, le Brésil, les Usa sont vides d'habitants. Le problème n'est pas la Terre; le problème est l'humain et sa connerie.

L'impacte néfaste de l'Homme sur la biosphère – qui maintient notre survie soit dit en passant – est tel que les scientifiques ont inventé un terme pour la définir : l'Anthropocène. L'Homme a, mû par l'élan de son arrogance, réussi à rivaliser avec les forces de la nature dans la capacité à modifier négativement l'écosystème de la biosphère. L'Homme entame présentement la sixième extinction massive de biodiversité. L'Homme se dirige vers des instabilités géopolitiques futures en raison de réductions éventuelles des ressources énergétique, alimentaire et aqueuse. L'Homme est déjà responsable de graves problèmes de pollutions. Des voix s'élèvent pour dire que les 7.000.000.000 d'êtres humains déjà présents (et qui ne cessent de se reproduirent) sur la planète sont responsables de toutes ces pollutions. On nous confirme même que le sort de l'Homme est déjà scellé en raison de son refus à vouloir enrayer sa surpopulation ainsi que « sa consommation effrénée ».

Mais, malgré tout cela, il s'en trouve pour dire que la biosphère est capable de supporter, pardon... héberger 10.000.000.000 d'habitants additionnels.

N'était-ce pas Abraham Lincoln qui a dit : « Mieux vaut rester silencieux et passer pour un imbécile que parler et n’en laisser aucun doute. » ?

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Invité elbaid
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Invité elbaid
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oui c'est l'humain qui pose ses limites et non pas la nature ...

de plus le sujet table sur un éventuel Chaos futur , nous sommes dans la prédication , une éventuelle apocalypse selon St Ecologie , Saint Poltron patron des trouillards .

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Invité elbaid
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Invité elbaid
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l'écosociété du point de vue de l'écosocialisme est un écomacronisme qui n'est pas de gauche....enfin au début oui ...après non.....on sait plus ....c'est un écodoute .

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Invité elbaid
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Invité elbaid
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Les éco-socialistes sont fréquemment nommés verts rouges.....

:mouai: Un écosocialiste est un pousse moussu qui chante l'international , on devrait remplacer le marteau par un poireau , ça donnerait l'écofaucille et l'écopoireau ....ou l' l'écoartichaut ...le nouveau genre humain .

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azaran Membre 21 messages
Baby Forumeur‚
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Personne ne devrait se prononcer sur ce sujet sans avoir lu ce livre. Je te mets au défi de le parcourir et de nous revenir Azaran.

Ouvrage de Ian Angus, Simon Butler ; Une planète trop peuplée ?

Préface de Serge Mongeau : « La crise écologique actuelle est-elle effectivement attribuable à une surpopulation ? Rejeter la responsabilité des changements climatiques et des dégâts environnementaux sur les plus démunis de la planète participe tout simplement d’une écologisation de la haine.

S’inscrivant dans une perspective écosocialiste, Ian Angus et Simon Butler estiment que la cause première des problèmes écologiques actuels n’est donc ni la taille de la population ni l’immigration, mais le système économique et social qui repose sur une croissance perpétuelle et une consommation excessive. En niant cette réalité, les populationnistes masquent les vraies solutions, dédouanent les véritables vandales de l’environnement et font obstacle à la construction de mouvements écologistes. »

Pourquoi m'embêterai-je à lire un ouvrage qui, au départ, fausse le débat ?

Quand Ian Angus et Simon Butler titrent leur ouvrage traitant d'écologie « Une planète trop peuplée ? », on ne peut s'empêcher de constater qu'ils n'ont rien compris. L'extinction humaine ne sera pas causée par le surpeuplement de la « planète ». La planète Terre pourrait accueillir 200.000.000.000 d'êtres humains – Oui ! Vous avez bien lu : 200 milliards – si l'on en croit une affirmation entendue dans le film de Luc Besson : Le Cinquième Élément. Comment peut-on parler de « planète » quand le vrai phénomène qui est menacé est la Biosphère qui englobe la planète ? Pourquoi Ian Angus et Simon Butler s'obstinent-ils vainement à vouloir démontrer qu'il n'y a pas de corollaire entre les multiples activités polluantes de plus de 7.000.000.000 d'êtres humains (nombre qui s'accroit à chaque jour) et une dégradation des 3 composantes de la Biosphere, soit la l'atmosphère, le lithosphère et l'hydrosphère ?

Pourquoi Ian Angus et Simon Butler refusent-ils d'admettre que l'espèce humaine est « la » pollution ? Serait-ce parce que, foncièrement, ils adhèrent à cette recommendation divine « ...soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l'assujettissez. » – Verset 28 - Chapitre 1 - Genèse - la Bible ?

L'extinction humaine se fera justement parce que l'espèce est devenue, par son foisonnement débridée, la seule et véritable pollution. Toutes ses conséquences symptomatiques – l'effet de serre ; le réchauffement global ; la fonte des calottes glaciaires Nord et Sud ; la monté du niveau global des océans ; le changement climatique ; et, conséquemment, un nombre croissant de cataclysmes – sont dues à la volonté corporatiste dominante de maintenir « une croissance perpétuelle et une consommation excessive » ainsi qu'une population toujours croissante.

D'affirmer que « Rejeter la responsabilité des changements climatiques et des dégâts environnementaux sur les plus démunis de la planète... » démontre la méprise absurde, voire loufoque de Ian Angus et Simon Butler. Sont-ce « les plus démunis de la planète » qui dominent et manipulent l'économie mondiale ? Ne serait-ce pas plutôt les corporatistes de tout acabit qui veulent « une croissance perpétuelle » pour sans cesse s'enrichir et « une consommation excessive » d'une population planétaire ignorante et indifférente, en autant que cette dernière est inondée de biens de consommations ?

Ian Angus et Simon Butler ont-ils bien fait leur devoir ? Ont-ils songé à prendre un recul philosphique sur ce phénomème existentiel qu'est l'espèce humaine ? Ont-ils compilé « toutes » les données sur les impacts réels des activités de l'espèce humaine sur l'ensemble de la biosphère ?

Ou ne sont-ils pas encore, comme tant d'autres, tombé dans ce piège qu'est « l'humanisme, cette position philosophique qui reconnaît l'homme comme valeur suprême dans l'Univers. » ? Ian Angus et Simon Butler ne sont-ils pas du même avis que le rédacteur en chef du “National Geographic” édition française, qui disait dans le numéro spéciale de novembre 2015 : « notre multitude est également un formidable atout. » ?

L'exercice Une planète trop peuplée ? ne conforte-t-il pas ce vieux proverbe : « il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. » ?

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Membre, Posté(e)
Dompteur de mots Membre 1 841 messages
Forumeur activiste‚
Posté(e)

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Pourquoi m'embêterai-je à lire un ouvrage qui, au départ, fausse le débat ?

Quand Ian Angus et Simon Butler titrent leur ouvrage traitant d'écologie « Une planète trop peuplée ? », on ne peut s'empêcher de constater qu'ils n'ont rien compris. L'extinction humaine ne sera pas causée par le surpeuplement de la « planète ». La planète Terre pourrait accueillir 200.000.000.000 d'êtres humains – Oui ! Vous avez bien lu : 200 milliards – si l'on en croit une affirmation entendue dans le film de Luc Besson : Le Cinquième Élément. Comment peut-on parler de « planète » quand le vrai phénomène qui est menacé est la Biosphère qui englobe la planète ? Pourquoi Ian Angus et Simon Butler s'obstinent-ils vainement à vouloir démontrer qu'il n'y a pas de corollaire entre les multiples activités polluantes de plus de 7.000.000.000 d'êtres humains (nombre qui s'accroit à chaque jour) et une dégradation des 3 composantes de la Biosphere, soit la l'atmosphère, le lithosphère et l'hydrosphère ?

Pourquoi Ian Angus et Simon Butler refusent-ils d'admettre que l'espèce humaine est « la » pollution ? Serait-ce parce que, foncièrement, ils adhèrent à cette recommendation divine « ...soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l'assujettissez. » – Verset 28 - Chapitre 1 - Genèse - la Bible ?

L'extinction humaine se fera justement parce que l'espèce est devenue, par son foisonnement débridée, la seule et véritable pollution. Toutes ses conséquences symptomatiques – l'effet de serre ; le réchauffement global ; la fonte des calottes glaciaires Nord et Sud ; la monté du niveau global des océans ; le changement climatique ; et, conséquemment, un nombre croissant de cataclysmes – sont dues à la volonté corporatiste dominante de maintenir « une croissance perpétuelle et une consommation excessive » ainsi qu'une population toujours croissante.

D'affirmer que « Rejeter la responsabilité des changements climatiques et des dégâts environnementaux sur les plus démunis de la planète... » démontre la méprise absurde, voire loufoque de Ian Angus et Simon Butler. Sont-ce « les plus démunis de la planète » qui dominent et manipulent l'économie mondiale ? Ne serait-ce pas plutôt les corporatistes de tout acabit qui veulent « une croissance perpétuelle » pour sans cesse s'enrichir et « une consommation excessive » d'une population planétaire ignorante et indifférente, en autant que cette dernière est inondée de biens de consommations ?

Ian Angus et Simon Butler ont-ils bien fait leur devoir ? Ont-ils songé à prendre un recul philosphique sur ce phénomème existentiel qu'est l'espèce humaine ? Ont-ils compilé « toutes » les données sur les impacts réels des activités de l'espèce humaine sur l'ensemble de la biosphère ?

Ou ne sont-ils pas encore, comme tant d'autres, tombé dans ce piège qu'est « l'humanisme, cette position philosophique qui reconnaît l'homme comme valeur suprême dans l'Univers. » ? Ian Angus et Simon Butler ne sont-ils pas du même avis que le rédacteur en chef du “National Geographic” édition française, qui disait dans le numéro spéciale de novembre 2015 : « notre multitude est également un formidable atout. » ?

L'exercice Une planète trop peuplée ? ne conforte-t-il pas ce vieux proverbe : « il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. » ?

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En rejetant d'emblée un texte dont vous n'avez aucune idée, vous ne faites que vous discréditer. Je vous réitère mon défi de le lire et de nous revenir. C'est un texte extrêmement bien fouillé et tout à fait imperméable aux insinuations loufoques dont vous faites mention.

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