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Existe - il plusieurs versions de nous - mêmes ?


BM7

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Membre, Docteur Honoris Causa es "Patati & Patata ...", 62ans Posté(e)
BadKarma Membre 14 798 messages
62ans‚ Docteur Honoris Causa es "Patati & Patata ...",
Posté(e)

Selon le principe qui confère que la seule permanence qui soit est que tout change immuablement, sommes-nous immanquablement dès lors en l' instant même jamais tout à fait un autre, plus tout à fait le même...

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Membre, Détestable Moi, 58ans Posté(e)
ADM Membre 1 635 messages
58ans‚ Détestable Moi,
Posté(e)

Vous êtes tous une autre version de moi-même... si j'étais pas moi-même, ben c'est vous-même que je serais. :p

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Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
Posté(e)

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
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Vous êtes tous une autre version de moi-même... si j'étais pas moi-même, ben c'est vous-même que je serais. :p

:plus:

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MembreR, 59ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Nous vivons dans un univers à plusieurs dimensions .

Une même terre avec des scenarios differents . Nos doubles peupleraient cet terre multidimensionnelle .

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Membre, Délinquant du forum, Posté(e)
Badboy_ Membre 3 158 messages
Délinquant du forum,
Posté(e)

Si il existe une autre version de moi même, pauvre de vous les gars :D

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Membre, 33ans Posté(e)
Doctor W Membre 15 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

J'ai toujours pensé qu'il y a des univers parallèles, comme un genre de mille-feuilles. De nombreuses théories en parlent. De là à le prouver...

Mais du coup, s'il y a d'autres univers, ce que je trouve plus intéressant comme question, ce n'est pas "y a-t-il d'autre moi?" mais "suis-je l'unique moi dans tout ces univers ?".

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MembreR, 59ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Le mystere des voyages dans le temps reposeraient sur cet notion d' univers parallèles ou plusieurs dimension se superposeraient .

Voilà une deifinition puiser sur le site " La Recherche " .

D'autres univers parallèles au nôtre existent ! C'est ce qui découle de différentes théories, plus ou moins spéculatives, qui décrivent le cosmos. En réalité, il n'existe pas un seul type d'univers multiples.

J uste un parmi tant d'autres ! Notre Univers, pourtant immense, ne serait qu'une infime partie d'une structure cosmique bien plus vaste, un simple échantillon d'une multitude de mondes. La littérature et le cinéma n'ont cessé d'explorer cette idée. Et pas seulement la science-fiction. Par exemple, dans le filmarrow-10x10.png en deux volets Smoking/No smoking du réalisateur français Alain Resnais, le début de l'histoire repose sur la décision de l'un des personnages de fumer ou pas. Chaque volet du filmarrow-10x10.png propose ensuite six fins possibles à chacun de ces débuts. Douze scénarios dans douze univers différents, tous aussi réels les uns que les autres !

La notion d'univers multiples pousse cette idée à l'infini : tous les scénarios ont lieu. Celui d'un monde doté de galaxies, d'étoiles et d'une Terre, dans lequel vous commencezarrow-10x10.png à lire cet article. Celui du même monde, dans lequel vous avez déjà fini votre lecture. Mais aussi celui d'un monde sans étoile, ni planète, ni lecteur. Et une infinité d'autres encore.

La proposition est vertigineuse, mais est-elle scientifique ? L'idée d'une multitude de mondes n'est pas nouvelle lire « Les univers multiples au fil du temps » , ci-contre. Anaximandre de Milet, penseur grec, la défendait déjà il y a vingt-six siècles. Elle a même valu le bûcher à Rome, en 1600, au philosophe italien Giordano Bruno, qui avec ses « infinités de mondes » bousculait une vision du monde centrée sur notre Terre. Mais il y a encorearrow-10x10.png seulement trente ans, les théories décrivant d'autres univers que le nôtre étaient considérées comme de la métaphysique.

Or aujourd'hui, bien que l'hypothèse demeure spéculative et controversée, elle a gagnéarrow-10x10.png le champ scientifique. Elle paraît même très stimulante, à en croire le nombre de scientifiques de renom qui s'y intéressent lire « Réactions à l'hypothèse des multivers », p. 43. L'ouvrage qui fait référence sur le sujet Universe or Multiverse, publié sous la directionarrow-10x10.png du cosmologiste Bernard Carr de l'université Queen Mary à Londres, en témoigne [1] . Tout autant que les colloques autour de cette questionarrow-10x10.png qui se multiplient [2] .

Outil de travail Ces dernières années, ils sont même devenus pour certains physiciens théoriciens, comme Thibault Damour de l'Institut des hautes études scientifiques, « un outil de travail dont on ne peut plus faire l'économie » . D'autres s'y opposent fortement, considérant que l'hypothèse ne peut de toute manière être testéearrow-10x10.png, à l'instar du Prix Nobel de physique 2004, David Gross.

Toujours est-il que différentes théories, en cherchant à décrire l'Univers et les forces qui le gouvernent, conduisent à l'existence d'univers multiples. Ils ne sont donc pas tous de même nature. Et les visions diffèrent sur la manière dont émergent ces univers multiples.

Le multivers, appellation choisie par opposition à univers, recouvre donc en réalité différents types de multimondes. Ce qui entretient parfois une certaine confusion, reconnaît Max Tegmark, du Massachusetts Institute of Technology, qui a proposé une classification des multivers pour clarifier les choses [3] . Nous retiendrons les quatre catégories les plus souvent évoquées lire « Quatre formes de multivers », p. 44

Le plus élémentaire Le premier type, le plus élémentaire, découle directement de l'application de la relativité générale d'Einstein au cosmos. L'Univers désigne tout ce qui nous entoure. Mais, la vitesse de la lumière étant finie, notre capacité d'observation est limitée. Seul un certain volume nous est accessible. Dans le modèle du Big Bang, en tenant comptearrow-10x10.png de la distance parcourue depuis 13,7 milliards d'années pendant que l'Univers s'agrandissait, ce volume correspond actuellement à une sphère centrée sur la Terre et dont le rayon est d'environ 46 milliards d'années-lumière [fig. 1] . Or, la relativité générale nous dit aussi qu'au-delà de cet horizon un espace infini peut exister. En tout cas, dans la configuration d'un espace à courbure nulle, qui est la géométrie la plus simple en accord avec les observations, actuellement.

Le multivers dans ce cas désigne l'ensemble de cet espace infini où les zones situées au-delà du volume qui nous est accessible abritent de nouveaux univers : d'autres volumes de même format, juxtaposés les uns aux autres. Suivantarrow-10x10.png cette vision, nous humains, nous trouvons simplement dans une partie du multivers où sont réunies les conditions très particulières nécessaires au long processus qui conduit à l'émergence de la vie. Dans ce multivers élémentaire, les lois de la physique sont les mêmes d'une sphère à l'autre, mais les conditions y diffèrent selon la manière dont les mécanismes à l'oeuvre lors du Big Bang ont réparti la matière. Selon Max Tegmark, des univers jumeaux, copies à l'identique, peuvent exister, mais pas à moins de 1010115 mètres l'un de l'autre. Peu de chances donc de rencontrerarrow-10x10.png son double. Le premier des multivers consiste donc en une simple juxtaposition d'univers.

La deuxième catégorie est plus complexe. Elle émane du modèle cosmologique le plus en vogue aujourd'hui pour décrire l'évolution du tout jeune Univers, l'inflation cosmique.

L'inflation éternelle C'est dans les années 1980 que le cosmologiste d'origine russe Andrei Linde, aujourd'hui à l'université Stanford, a développé un modèle détaillé d'inflation [4] . Selon cette théorie, notre Univers a connu une gigantesque phase d'expansion, juste après le Big Bang : à 10-35 seconde, la taille du tout jeune Univers extrêmement chaud et dense aurait brusquement été multipliée par un facteur 1050. Cette accélération démesurée permet d'expliquer pourquoi l'Univers est si homogène à grande échelle et également de rendre comptearrow-10x10.png de l'apparition des grandes structures cosmologiques, comme les amas de galaxies, telles qu'elles sont aujourd'hui observées. Mais la théorie de Linde va encore plus loin : elle suppose que l'espace-temps est en perpétuelle inflation. C'est l'inflation éternelle. Plus précisément, certaines régions continuent à connaître une phase d'inflation conduisant à autant de bulles distinctes et donnant lieu à une infinité de big bang. Chaque big bang crée un univers. L'hypothèse est très spéculative. Mais il s'agit là d'un multivers bien plus divers que le précédent.

Depuis quelques années, ce « multivers-bulle » s'est vu renforcé par le développement de la théorie des cordes, qui cherche, elle, à décrire toutes les interactions fondamentales de la physique : électromagnétisme, forces nucléaires et, surtout, gravitation. Cette théorie en quête d'unification des lois de la nature, où toutes les particules apparaissent comme des modes de vibration d'une corde élémentaire, à l'instar d'une corde de violon qui peut générer toutes les notes de la gamme, est encore loin d'avoir atteint son but. Pour l'instant, au lieu de mener à une seule théorie, elle a conduit à 10500, voirearrow-10x10.png 101000, théories différentes !

Ainsi lorsque l'inflation éternelle est pensée dans le cadre de la théorie des cordes, la diversité du multivers-bulle explose. C'est cette version que défend Léonard Susskind, l'un des pères de la théorie des cordes, lui aussi professeur à Stanford [5] . Ce multivers est une structure gigogne composée d'une infinité d'univers-bulles, dotés chacun de ses propres lois de la physique, et abritant chacun une infinité d'univers élémentaires. Là encore, dans cet insondable paysage, nous nous trouverions simplement dans un îlot, particulièrement bien adapté à la vie.

La gravitation quantique à boucles Mais ce type de multivers est très critiqué par Lee Smolin, du Perimeter institute au Canada. Celui-ci est connu pour sa sévérité à l'égard la prédominance de la théorie des cordes en physique théorique [6] . Selon lui, aucune prédictionarrow-10x10.png ne permet de le tester, et il échappe à toute expérience possible, le niveau des énergies en jeu dans ces phénomènes étant tout simplement hors de notre portée. Pour autant, sa propre théorie l'a amené à proposer une tout autre approche en 1992 : l'hypothèse de la « sélection naturelle cosmologique », qui conduit à un troisième type d'univers multiple [7] .

Lee Smolin est l'un des inventeurs de la « gravité quantique à boucles », théorie quantique de la gravitation. Or cette théorie ne prédit pas de singularité centrale des trous noirs, ce lieu où la densité et la courbure de l'espace-temps deviennent infinies. Dans ce cas, très proche du centre, la gravité devient répulsive. Tout se passe comme si la matière se contracte vers le centre pour rebondir ensuite à ces abords dans une nouvelle phase d'expansion. Un nouvel univers en expansion naîtrait ainsi à l'intérieur même du trou noir. Et chaque trou noir formé engendrerait lui-même un univers. Notre monde aurait ainsi au moins 1018 enfants-univers créés par ses trous noirs. Dans ce multivers imbriqué, très inspiré de l'évolution darwinienne biologique, chaque univers transmet à sa descendance ses propres lois de la physique, légèrement modifiées par les fluctuations quantiques au moment du « rebond » dans le trou noir, évitant ainsi une simple réplication à l'identique. Un tel mécanisme évolutif favoriserait les lois qui maximisent la production de trous noirs, c'est-à-dire la procréation. Séduisant, ce modèle n'en demeure pas moins embryonnaire. Il reste en particulier à préciser le mécanisme de la transmission des lois de la physique. Mais, d'après son auteur, il a le mérite d'établir des prédictions testables. Il fixe, entre autres, la masse limite supérieure d'une étoile à neutrons, étape intermédiaire entre l'explosion de supernova d'une étoile massive et la formation d'un trou noir, autour de 1,6 masse solaire.

Tous les mondes existent Enfin, la dernière catégorie d'univers parallèles nous vient d'un tout autre horizon. Les précédents découlaient tous de théories décrivant la gravitation, force à l'oeuvre aux plus grandes échelles de l'Univers. Celui-ci nous vient de la mécanique quantique, cadre théorique qui explique le monde de l'infiniment petit. Longtemps considéré comme farfelu, c'est en fait le premier multivers scientifique d'un point de vue historique [8] . En 1957, le physicien américain Hugh Everett, alors à Princeton, propose une interprétation iconoclaste de la théorie quantique. Il pousse jusqu'au bout le principe de superposition des états de la matière que requiert cette théorie. Selon ce principe, un système quantique peut être dans plusieurs états à la fois. Les mesures de ce système peuvent conduire à des résultats différents. Pour Everett, ce principe n'est pas seulement vrai à l'échelle microscopique, il l'est aussi à l'échelle macroscopique. Les différents résultats de mesure possibles coexistent comme autant de réalités parallèles : tous les mondes existent ! Celui où l'on fume et celui où l'on ne fume pas. Et ils se ramifient sans cesse en de nouveaux mondes. Pourquoi n'en observons-nous alors qu'un seul ? Simplement parce que nous ne pouvons voir que celui dans lequel nous nous trouvons.

Aussi étonnante soit-elle, l'interprétation d'Everett est aujourd'hui considérée de plus en plus sérieusement par certains physiciens. Pour Thibault Damour : « C'est même celle qui s'impose désormais . » Et dans la classification du cosmologiste Max Tegmark, les univers d'Everett se placent au même niveau que le multivers-bulle inflationnaire. Ils ajoutent, selon lui, simplement davantage encore de copies impossibles à distinguer. Ce qui paraissait purement métaphysique, il y a peu, semble donc gagner ses lettres de noblesse scientifiques.

nouvelle-theorie-univers-paralleles-e1422895801679.png

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Membre, Posté(e)
Miraclax Membre 15 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Regarde toi dans un miroir et le mec en face toi te répondra.

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  • 2 semaines après...
Membre, Délinquant du forum, Posté(e)
Badboy_ Membre 3 158 messages
Délinquant du forum,
Posté(e)

Si il existe des univers parallèles, peut il exister des univers perpendiculaires ? Eh oui, la question peut se poser !

Par ailleurs, peut on appliquer le théorème de thales ?

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Membre, 37ans Posté(e)
Reine de coeur Membre 25 messages
Baby Forumeur‚ 37ans‚
Posté(e)

Non.

Ayant un jour été baptisée (très injustement) la huitième plaie d'Egypte je ne pense pas que l'univers soit prêt à supporter plusieurs version de moi même :smile2:

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Membre, Délinquant du forum, Posté(e)
Badboy_ Membre 3 158 messages
Délinquant du forum,
Posté(e)

Déjà avec une seule version de moi même, il doit pas mal s'en mordre les doigts !! :dev:

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  • 3 semaines après...
Membre, Posté(e)
anruadebobdny Membre 567 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

QUE VOYEZ VOUS AVANT LES IMAGES

Je transcende par exemple avec le sujet Ummite pour vous en parler.

Ma réflexion après avoir lu des lettres des Ummmites est plutôt transcendantale et je pense qu'elle vous intéressera.

Voici une discussion que j'aurai aimé aborder avec eux si j'en avais l'occasion.

Il s'agit d'un questionnement ultime selon moi, que les Ummites n'ont pas abordés dans leurs lettres, et pourtant plusieurs fois ils y étaient proche me semble t-il...

- Allo Ummo, l'évolution, la progression de la conscience par les connaissances à t-elle un but?

Certainement elle l'est car on s'écarte du plaisir personnel, de l'immaturité, des fantaisies dont "l'être" s'était attacher. Ces propres attachements qui limitent l'être dans sa véritable progression.

Il est alors possible d'agir avec "conscience" (ou plutôt avec responsabilité et sérieux). De prendre aussi connaissance de soi comme étant la résultante de la collectivité, du groupe. De progresser tel une conscience collective, harmonieuse et organiser dans le vivre ensemble comme étant un tout.

Mais cela suffit-il à l’être (ou à la conscience collective)?

Voyez-vous, avant cela la collectivité et ses êtres séparés étaient plongés dans le chaos,la division, l'immaturité. Et en ayant tiré des leçons par l'observation, la constatation et la réflexion de leurs expériences passées les êtres ont pu ainsi évoluer. Et développer un vivre ensemble, une société organisée "juste".

Cependant pour développer ce vivre ensemble s'agissait-il d'apprendre de ces expériences passés uniquement? Ou d'apprendre sur soi-même avant tout?

Car pour organiser un vivre ensemble juste encore faut-il être juste avec soi-même, n'est-ce pas? encore faut-il être honnête avec soi-même, encore faut-il oser ce regarder sans mensonge et en levant tous les voiles. Car pour établir un vivre ensemble et tirer les leçons de son passé il faut déjà savoir écouter l'autre. Encore faut-il mettre en suspend sa vérité à soi que l'on a tiré de ses expériences personnelles, de ses conflits, de son passé. Il faut être totalement présent pour écouter vraiment(sans les filtres du passé, la mesure et les jugements qui en découle). Car si l'on filtre à travers sa logique, ses connaissances accumulées etc alors on ne s'harmonise pas avec l'autre et l'on écoute que soi-même. Mais en écoutant (réellement)les autres et le groupe il est possible de s'écouter sois et d'être "juste" ensemble (enquêter ensemble pour la connaissance).

Dès lors la conscience collective s'installe naturellement à l’intérieur de chacun formant le groupe, et aussi à l’extérieur par la connaissance des sciences et l'organisation extérieur de la société. Dès lors l'homme est l'autre, et le groupe. Car il à su écouter vraiment. Pour écouter il à mis donc sa personne de côté. Il est devenu impersonnel. Et désormais sa personne est au service de la conscience collective.

L'homme à donc transcendé les intérêts de son égo pour être juste envers lui même et les êtres.

Il a laissé l’immaturité, la fantaisie, les plaisirs et les conflits personnels. Il s'est détaché de tout cela. Car il a compris que cela provoquait le chaos, la confusion, l'injustice, et inobjectivité (la non observation) de se qui se passe en soi et à l’extérieur de soi (l'inconscience).

Dès lors il s'est voué à la conscience collective. car dans l'unité; la division, la confusion et le chaos ne sont pas. Il agit donc au sein de celle-ci consciemment, responsablement et pour et pour elle.

\\((( -l'être qui à su trouver cette état et sans aucun attachement psychologique/obsessionnel, n'as pas besoin d'aller chercher en dehors de lui - Sauf si il découvre “un manque” (une chose de plus qu’il n’a pas expérimenté, menant à “une vérité d’un nouveau temps”) il peut alors faire un travail de conscience plus approfondi et plus "risqué - consistant à avancer vénérablement et responsablement pour aider son prochain, semblable à lui même. Au fur et à mesure que cet être avance vers l'inconnu il se fragmente d'avantage mais grâce à l'état de conscience antérieur qu'il a acquit, il avance maintenant en faisant -attention- en maintenant cette conscience et en apprenants toujours plus des fragmentations de lui-même qu'il a crée par la non-staticité de son être qui prend le risque de se sacrifier à lui même à chaque pas qu'il fait vers son semblable pour l'aider sans nul autre position que de se reconnaître l'un dans l'autre. Il s’en remet alors à “la science la plus pure et sans aucun calcule”, tout en étant conscient de son avancé vers lui-même)))//

Lorsque la connaissance emprunte une direction, même nouvelle. Dès lors la connaissance est limitée. Si à partir d'une position, un angle d'observation, d'une direction on observe ce qui est autour, alors on manque d'objectivité, c'est de cette manière que l'on conceptualise tout ce qui nous entoure, aussi bien avec les meilleurs calcules mathématiques, que la plus grande logique trouvée. On décode alors le monde à partir de sa position, ses jugements, son égo (car on est la position). Dès lors on s'attache à sa vérité, à sa position, au chemin d'analyse empruntée, et des connaissances que l'on en a tirées; l’égo demeure (aussi collectif soit-il) dans la division et le conflit (la séparation) et le chaos (le désordre) avec les autres consciences collectives ou êtres (division de soi), qui tout comme eux ont empruntées un autre chemin, une autre logique, une autre position. C'est pour quoi il est important de ne tirer aucune fierté du chemin que l'on a empruntée, et de ne jamais s'identifier à personnellement (dès lors que l'on en a pris totalement conscience), des connaissances développées, de son évolution etc. Mais au contraire toujours garder à l'esprit que l’on est totalement responsable du monde, de l’univers qui nous entoure, divisé et fragmenté comme il est. Cela vient de soi-même et de ce à quoi l’on s’identifie et ne s’identifie pas. Avancer dans ce chemin qui est le sien avec responsabilité et “recule identitaire” est donc nécessaire pour retrouver l’unité dans la diversité. Il s’agit d’une expérience nouvelle de notre temps vers ce à quoi tend “la conscience”.

Il est important de se voir les uns les autres au delà des différences, au delà des connaissances, au delà des jugements, au delà des voiles et des apparences. La véritable conscience collective est là, ainsi que le challenge de l’être. Des groupes qui se confortent dans leurs vérités pour se sentir en sécurité, il y en a déjà beaucoup (à toutes les échelles), et sûrement ce serait un danger pour ce qui est de “l'expérience La vérité Absolu”, qu’un groupe, ou une conscience collective (par le rassemblement des expériences des autres groupes/êtres) devienne un jour universelle. Le sentiment d’un manque, de mensonge à soi se ferait certainement sentir de toute façon et la division se referait naturellement pour que l’on puisse se retrouver autrement.

Car une conscience collective qui n'est pas -impersonnelle- ne peut voir. Ne peut voir se qui est. Ne peut écouter sans filtrer avec ses connaissances ou jugements, ne peut sentir ni toucher et reconnaître au delà de ce qu'elle connaît déjà (par ses expériences appartenant au passé- Ne peut donc être totalement présente avec ce qui est). C'est là que le défaut de l'être montre ses limitations.

La conscience collective, (groupe des individus peu importe sur quel plan) est une “entité à part entière qui bouge, s’articule en symbiose avec ses composantes certes. Mais aussi parfaite soit-elle -il ne s'agit que d'un être à une autre échelle-, et la source de ses conflits (division) reste entière, camouflée par le système développé à son vivre ensemble. Et le chaos peu resurgir (car présent dans la profondeur de son être) à partir du moment où cette conscience collective regarde autour d'elle et agit à partir de la position qu’elle incarne.

L'unité dans la diversité se retrouve à toutes les échelles, car sa source demeure en un point unique. Et c'est précisément là que l'être ne veut pas être, ne veut pas regarder (car l'être prend des décisions personnelles (choisi) en fonction de ce qu'il veut ou non, même motivé par la soif de connaissance). C'est pourtant précisément là que l'on vient, ce cette “source” et que tout a commencé et l’on agit dans sa méconnaissance (où en la connaissant extérieurement, par l’interprétation de ce qui est). C'est précisément là que se trouve notre identité la plus vraie, la plus authentique.

Mais l'on n'ose pas regarder car on préfère avancer vers la futilité, vers des envies d'accomplissements par le monde extérieur, vers se que l'on connaît, vers des découvertes qui sont à l’extérieur de soi. Et ainsi on va vers ce que l'on appelle l'évolution, la progression car on veut toujours plus que ce que l’on est... Et cela dans l'ignorance (ou plutôt le mensonge) de qui on est vraiment (bien que le sachant au fond). On observe partout, autour de soi, des sensations futiles provenant de sa division qui viennent à soi par l’interaction (influence de ses division) et ainsi on passe à l'action en soi et autour de soi.

Puis il est alors possible par l’observation de prendre certainement conscience de ces sensations qui nous viennent des d'influences extérieurs et des réactions personnelles qui s'en suivent.

Ainsi on s'observe avec son regard -personnels- (en tant que conscience collective, ou individuelle), on apprend et on agit, puis évolue en conséquence. Il est alors possible de prendre conscience que encore une fois, cette dernière observation -action choisie- car étant le constat que l'on a tiré sur ses sensations observés antérieurement. Cela s’étant donc fait à partir d'une observation personnelle qui elle même à dégagé une sensation une compréhension et une action : modification de comportement vers une observation plus consciente de son être : évolution de la conscience. Ainsi on se croit être des êtres intelligents sans même réaliser que sa connaissance est limitée de par sa position/chemin analytique, et conscient - aussi conscient qu'un automate, prisonnier des programmes qu'il s'est crée à lui-même, pense l'être - .

Pourtant la sensation, celle qui est incommensurable, celle qui n'est pas futile, celle qui Est : ne s'observe pas à partir d’un point, d’une position, ainsi elle ne peut provenir d’une observation personnelle. Cette sensation incommensurable, ne peut être analysée. Ne peut être comparée, ne peut être ressenti par un esprit limité (par un positionnement, un chemin, la confusion; ni même par une objectivité scientifique qui serait une prise de position).

C’est pourquoi il faut à la conscience savoir être totalement impersonnel pour être totalement Avec.

Ill s'agit de “la sensation” (ou peut importe le mot), il ne s'agit plus de soi. Cette sensation nous relie tout à chacun, et c'est là que qu’elle devient -“un langage”- une reconnaissance universelle et transcendantale.

Ainsi ou se retrouve au delà de nos différences, de nos identités, clivage sociaux, de nos positionnements, de nos chemins personnels, de nos consciences individuelles ou collectives, de nos nations, de nos planètes, des univers et dimensions.

Il ne s'agit désormais en aucun cas de sa volonté personnelle.

Il est donc important d’être d'honnête, responsable et le plus naturellement et d’avancer de manière transcendantale avant tout. Ainsi il est possible de revenir avec ses différences et positionnements en incarnant la sensation/la connaissance/l'intelligence, ce qui est vraie, authentique, en donnant les actions, les mots justes au bon moment à sont prochain, sans faire appel à ses connaissances, ses jugements, ses ressenties ou ses raisonnements personnels, - mais par l’écoute d’un esprit libre de choix - .

Laissant "la sensation" (qui ne vienne pas de soi) donner subtilement, allégoriquement et concrètement les révélations (permettant de rappeler “à ses fragments” et de se rappeler) lors des relations. Pour cela il faut savoir être totalement "consciemment impersonnel" (sans que ses actions viennent de sa volonté à sois). Il serait facile de nous sacrifier comme d'autres ont déjà pu le faire auparavant, mais en notre temps ce serait devenu une facilité, et un acte non écouté aussi beau que serait ce sacrifice. Le courant naturelle de ce qui Est nous amène maintenant à un autre type de sacrifice pour ses semblables au nom de ce qui est (-sacrifier ses conflits-).

La vérité -mise à nue tout en gardant ses vêtements et sans signe d’appartenance nécessaire à ses vêtements où ce qu’il y a en dessous-, il y a ni changement, évolution ou progression d’une conscience (bien qu’il en ait finalement fallu pour en arriver là). Mais l’alignement d’une même vérité, tellement vraie qu’elle devient au final inévitable et s’instaure malgré soi et à laquelle on remet sa conscience en sa volonté, puisque la justesse ne s’évite plus.

Et sur le chemin de l’être qui Est se révèle à ce qui Est dans la justesse et la bonté sans intention personnelle, mais par l'harmonie incommensurable du flottement qui caresse nos visages sans images et sans masque. Tel un fils d'or de ce qu'il y a de plus pure nous relie les uns aux autres.

N' étant ni impressionné et n'impressionnant point mais transcendant sans cesse sans en avoir le choix.

Merci de votre réaction si vous en avez le temps.

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MembreR, 59ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Tu compte reposté le même texte sur tous les topics . Il faut te calmer avec ta philosophie transcendal ??

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