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Vladimir Poutine souffrirait d'une forme d'autisme

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lepequenot

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Antichrist Membre 1 640 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
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Même pas ! :sleep:

Une bonne petite guerre civile selon un scénario syrien ou libyen, entre pro-Putin et anti-Putin. Putin n'est pas éternel, les peuples finissent toujours par se lasser de leurs dirigeants. Et s'ils s'accrochent au pouvoir, ils finissent toujours par les dégager. Putin malgré sa grande gueule n'échappera pas à la règle ! :sleep:

qu'il soit degagé est une chose...

qu'il soit juger en russie et par les russes en est une autre...

et qu'un "accident " lui arrive est encore hautement poins probable...

le "suivant" fera comme poutine avec elsine...il lui signera et lui garentira son immunité total !

c'est comme de croire qu'un jour les americains iront mettre en preventive bush,runsfeld,powel,rice...

ce genre de phantasme releve de l'illusion.

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Membre, 48ans Posté(e)
lycan77 Membre 16 857 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)

qu'il soit degagé est une chose...

qu'il soit juger en russie et par les russes en est une autre...

et qu'un "accident " lui arrive est encore hautement poins probable...

le "suivant" fera comme poutine avec elsine...il lui signera et lui garentira son immunité total !

c'est comme de croire qu'un jour les americains iront mettre en preventive bush,runsfeld,powel,rice...

ce genre de phantasme releve de l'illusion.

Ni Bush, ni Rumsfeld, ni Powel n'ont entrainé la ruine des américains du fait de leur politique étrangère. Contrairement à Putin.

Et croire que les anglo-saxons vont cesser d'être derrière son cul après la tonne d'emmerdes que le bonhomme leur a causé, c'est ça qui relève du fantasme. :dev:

Obama-le-faible ne restera pas éternellement au pouvoir. Un autre nouveau con, autrement plus dangereux que Bush reviendra au pouvoir aux Etats-Unis. Un nouveau con qui déclenchera la guerre contre l'Iran, comme c'est partit. A moins que les évènements ne s'accélèrent dès cette année. 2015, année de la Haine, année de la Guerre. J'en ai l'intime conviction. Trop de haine, trop de rancoeur, trop de tensions graves accumulées depuis le début de ce nouveau siècle, avec un point d'orgue autour de 2012-2013-2014.

Il est illusoire de croire que Porochenko va accepter les exigences des hommes de paille pseudo-séparatistes de Putin: reconnaissance des résultats des élections de novembre 2014 dans le Donbass, recul de la ligne de démarcation sur les gains territoriaux de ces 15 derniers jours, fédéralisation de l'Ukraine.

Tant bien même accepterait-il un recul de la ligne de front, les gains territoriaux des forces russes d'invasion et de leurs supplétifs pro-russes ukrainiens, c'est tout à fait négligeable: à l'heure où nous parlons, à peine un tiers des territoires des deux républiques séparatistes sont sous le contrôle des russes et de leurs poupées gonflables séparatistes russophones. Ni Debaltsev, ni Kramatorsk ni Marioupol ne sont tombées entre leurs pattes, en dépit de la planification de l'offensive généralisée par l'état-major russe. Même si les forces ukrainiennes ont incontestablement souffert, les pertes adverses doivent être au moins double voire triple. Un commandant d'unité rebelle témoignait ainsi qu'ils leur avaient fallu plus de 3 jours de combats acharnés pour s'emparer d'une petite ville d'à peine 10 000 habitants distante de 6 km de Debaltsevo. Résultat des courses ? La moitié de son unité décimée par les combats. C'est dire à quel point les petits calculs de Putin-le-fourbe-et-le-lâche sont significativement contrariés: 15 jours d'offensive généralisée tout azimuth, pour des gains territoriaux aussi faibles ??

Quelle honte pour la "Grande" armée russe ! :D :mef:

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Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
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Ni Bush, ni Rumsfeld, ni Powel n'ont entrainé la ruine des américains du fait de leur politique étrangère. Contrairement à Putin.

parce qu"au US ils s'octroie le droit d'imprimer des billets comme bon leurs semble ...

Obama-le-faible ne restera pas éternellement au pouvoir. Un autre nouveau con, autrement plus dangereux que Bush reviendra au pouvoir aux Etats-Unis. Un nouveau con qui déclenchera la guerre contre l'Iran, comme c'est partit. A moins que les évènements ne s'accélèrent dès cette année. 2015, année de la Haine, année de la Guerre. J'en ai l'intime conviction. Trop de haine, trop de rancoeur, trop de tensions graves accumulées depuis le début de ce nouveau siècle, avec un point d'orgue autour de 2012-2013-2014.

les état UNIS a force de déclarer la guerre a tout le monde , c'est une BOMBE H qui vas leur tomber sur la tronche , et on parlera plus des US pendant longtemps .

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LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

parce qu"au US ils s'octroie le droit d'imprimer des billets comme bon leurs semble ...

les état UNIS a force de déclarer la guerre a tout le monde , c'est une BOMBE H qui vas leur tomber sur la tronche , et on parlera plus des US pendant longtemps .

http://www.dedefensa.org/article-l_allemagne_entre_deux_eaux_tr_s_agit_es_10_02_2015.html

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Membre, 57ans Posté(e)
Antichrist Membre 1 640 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
Posté(e)

Il est illusoire de croire que Porochenko va accepter les exigences des hommes de paille pseudo-séparatistes de Putin: reconnaissance des résultats des élections de novembre 2014 dans le Donbass, recul de la ligne de démarcation sur les gains territoriaux de ces 15 derniers jours, fédéralisation de l'Ukraine.

Tant bien même accepterait-il un recul de la ligne de front, les gains territoriaux des forces russes d'invasion et de leurs supplétifs pro-russes ukrainiens, c'est tout à fait négligeable: à l'heure où nous parlons, à peine un tiers des territoires des deux républiques séparatistes sont sous le contrôle des russes et de leurs poupées gonflables séparatistes russophones. Ni Debaltsev, ni Kramatorsk ni Marioupol ne sont tombées entre leurs pattes, en dépit de la planification de l'offensive généralisée par l'état-major russe. Même si les forces ukrainiennes ont incontestablement souffert, les pertes adverses doivent être au moins double voire triple. Un commandant d'unité rebelle témoignait ainsi qu'ils leur avaient fallu plus de 3 jours de combats acharnés pour s'emparer d'une petite ville d'à peine 10 000 habitants distante de 6 km de Debaltsevo. Résultat des courses ? La moitié de son unité décimée par les combats. C'est dire à quel point les petits calculs de Putin-le-fourbe-et-le-lâche sont significativement contrariés: 15 jours d'offensive généralisée tout azimuth, pour des gains territoriaux aussi faibles ??

Quelle honte pour la "Grande" armée russe ! :D :mef:

hummmm...pour la honte...franchement je sais pas.

si la russie voulait vraiment envahir l'ukraine...

il y a longtemps qu'il y aurait des chars russes sur la place maiden.

et la "VDV" (Vozdouchno-dessantnye voïska) le long de la frontiere polonaise

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Membre, 48ans Posté(e)
lycan77 Membre 16 857 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)

hummmm...pour la honte...franchement je sais pas.

si la russie voulait vraiment envahir l'ukraine...

il y a longtemps qu'il y aurait des chars russes sur la place maiden.

et la "VDV" (Vozdouchno-dessantnye voïska) le long de la frontiere polonaise

Oui, bien sûr ! Et se retrouver enliser dans une guerre de libération patriotique à l'Afghane ! :sleep:

Bush a mis 40 jours pour en finir avec l'Irak de Saddam. Et 8 ans pour en sortir avec l'Irak des nationalismes. Bilan ? Plus de 4500 morts dans les rangs de l'armée américaine, première au monde, je le rappelle.

Mais bon: je te l'accorde: connaissant Putin, génocider 5 à 10 millions de la population ukrainienne (20 à 30% de celle de Tchétchénie) ne devrait pas poser trop de problèmes.

Ah si tout de même ! :|

Les occidentaux armeraient comme jamais les patriotes ukrainiens de façon à foutre aux russkoffs la branlée mémorable qu'ils méritent à jouer les terreurs en terre étrangère ... :vava:

Sans compter les sanctions d'une dureté telle que celles d'aujourd'hui pourraient être qualifiées d'aimable réprimande. En bref, pour faire simple: quel que soit le scénario, le père Putin-la-tite-bite, il l'a méchamment dans l'cul ! :cool:

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Zelig Membre 5 446 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

si la russie voulait vraiment envahir l'ukraine...

il y a longtemps qu'il y aurait des chars russes sur la place maiden.

et la "VDV" (Vozdouchno-dessantnye voïska) le long de la frontiere polonaise

Non car cela signifierait aussitôt une guerre contre l'OTAN.

Et là, dans ce cas, ce sont les blindés américains, allemands et français qui finiraient rapidement sur la place rouge, à supposer que les combats restent de nature conventionnelle.

Poutine au cours de ces derniers mois, n'a cessé de vouloir tester les occidentaux et de les diviser. S'il les avait sentis faibles, en effet il aurait frontalement envahi l'Ukraine. Mais ce n'est pas le cas, et au contraire il a été surpris par la vigueur et l'unanimité de la réaction de la communauté internationale. Donc il temporise en attendant de trouver une faille. Diplomatiquement, c'est une énorme claque qu'il s'est prise.

Ce conflit est de toutes manières insoluble parce qu'aucun des camps ne peut espérer l'emporter militairement parlant. Ni la Russie, ni l'Ukraine.

Bon, ce n'est pas le tout mais je dois y aller. Mon train m'attend... Je suis à Milan demain, je prends alors l'avion jusqu'à Borispol, puis train à nouveau vers Kharkov, et enfin bagnole jusqu'à Artiomovsk.

A plus tout le monde !

Modifié par Zelig
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Membre, 48ans Posté(e)
lycan77 Membre 16 857 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
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Non car cela signifierait aussitôt une guerre contre l'OTAN.

Et là, dans ce cas, ce sont les blindés américains, allemands et français qui finiraient rapidement sur la place rouge, à supposer que les combats restent de nature conventionnelle.

Poutine au cours de ces derniers mois, n'a cessé de vouloir tester les occidentaux et de les diviser. S'il les avait sentis faibles, en effet il aurait frontalement envahi l'Ukraine. Mais ce n'est pas le cas, et au contraire il a été surpris par la vigueur et l'unanimité de la réaction de la communauté internationale. Donc il temporise en attendant de trouver une faille. Diplomatiquement, c'est une énorme claque qu'il s'est prise.

Ce conflit est de toutes manières insoluble parce qu'aucun des camps ne peut espérer l'emporter militairement parlant. Ni la Russie, ni l'Ukraine.

Bon, ce n'est pas le tout mais je dois y aller. Mon train m'attend... Je suis à Milan demain, je prends alors l'avion jusqu'à Borispol, puis train à nouveau vers Kharkov, et enfin bagnole jusqu'à Artiomovsk.

A plus tout le monde !

Tout à fait ! Sauf que le statu-quo n'est pas envisageable cette fois. Le Donbass ukrainien ne sera ni la Transnistrie, ni l'Ossétie du Sud. Porochenko est bien décidé à passer à la vitesse supérieure cette fois, à savoir, la guerre contre l'agresseur russe. Putin s'est attaqué à trop gros morceau cette fois, et à l'image du python s'étouffant de la proie qu'il vient de terrasser, l'affaire ukrainienne devient franchement mauvaise pour Putin.

Ou bien il continue à jouer à la gueguerre de basse intensité, et à ce moment là il laisse tout le loisir à l'armée ukrainienne de se renforcer et de se moderniser, en poursuivant sa mobilisation, ce qui ne peut que se terminer par l'écrasement de ses troupes d'invasion imprudemment lancées dans le Donbass ukrainien, ou alors il se décide à passer à l'offensive gégénralisée, et là, il s'attire immanquablement les foudres des occidentaux qui armeront comme pas possible les patriotes ukrainiens, ce qui causera des dizaines de milliers de victimes dans les rangs de son armée.

Mais connaissant la débilité sanguinaire du bonhomme, qui n'hésite pas à faire tabasser des députés russes enquêtant sur les soldats russes morts en Ukraine, ce scénario ne m'étonnerait qu'à moitié. Mais même dans ces conditions, sachant que les sanctions sont s'accroître davantage, financer de telles opérations ne sera pas possible pour une économie aussi exsangue que celle de la Russie actuellement.

Ce qu'il n'a pas encore compris, c'est que Merkel et Hollande sont en train de lui fournir une ultime chance de créer une paie durable en Ukraine. Si jamais il l'a laisse passer, alors comme l'a dit le président Hollande, "ce sera la guerre". Et il est clair que la Russie putinienne ne sortira pas vainqueur d'un tel affrontement.

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Domino26 Membre 160 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La cinquième chaine de télévision russe aurait fait une émission sur le thème : comment prendre Berlin avec les chars russes..."

Bonjour l'ambiance...

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LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Oui, bien sûr ! Et se retrouver enliser dans une guerre de libération patriotique à l'Afghane ! :sleep:

Bush a mis 40 jours pour en finir avec l'Irak de Saddam. Et 8 ans pour en sortir avec l'Irak des nationalismes. Bilan ? Plus de 4500 morts dans les rangs de l'armée américaine, première au monde, je le rappelle.

Mais bon: je te l'accorde: connaissant Putin, génocider 5 à 10 millions de la population ukrainienne (20 à 30% de celle de Tchétchénie) ne devrait pas poser trop de problèmes.

Ah si tout de même ! :|

Les occidentaux armeraient comme jamais les patriotes ukrainiens de façon à foutre aux russkoffs la branlée mémorable qu'ils méritent à jouer les terreurs en terre étrangère ... :vava:

Sans compter les sanctions d'une dureté telle que celles d'aujourd'hui pourraient être qualifiées d'aimable réprimande. En bref, pour faire simple: quel que soit le scénario, le père Putin-la-tite-bite, il l'a méchamment dans l'cul ! :cool:

Entre l'invasion des forces de la coalition occidentales,

venues faire tomber le régime de Saddam Hussein en 2003,

et leur retrait définitif en 2011,

près de 500 000 personnes ont perdu la vie sur le sol irakien.

Un chiffre qui vient bousculer les précédentes estimations,

notamment celle d'Iraq Body Count (projet de recensement des victimes)

qui estimait les pertes à 115 000, et qui pourrait être encore

bien en deçà de la vérité selon certains.

http://www.lepoint.fr/monde/les-500-000-morts-de-la-guerre-en-irak-18-10-2013-1745327_24.php

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LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La cinquième chaine de télévision russe aurait fait une émission sur le thème : comment prendre Berlin avec les chars russes..."

Bonjour l'ambiance...

Chronologie des interventions américaines dans le monde:search:

1846 : Mexique. A l’issue d’une guerre qu’ils avaient programmées et provoquées, les États-Unis s’emparent de la moitié du territoire mexicain. Ce territoire conquis s’appelle aujourd’hui : la Californie, le Nevada, l’Utah, l’Arizona, le Nouveau-Mexique, le Colorado (en partie).

1852-1853 : Argentine. Les Marines débarquent et s’installent à Buenos-Aires pour protéger les intérêts américains face à une révolution.

1853 : Nicaragua. Protection des citoyens et intérêts américains pendant des troubles politiques.

1853-1854 : Japon. « Plan d’ouverture du Japon » et expédition Perry qui conduit, avec les navires de guerre américains, à forcer le Japon à ouvrir ses ports aux États-Unis. Attendant une réponse du Japon l’autorisant à se rendre dans ce pays, le contre-amiral américain Perry, opère une démonstration navale de force et débarque par deux fois. Il obtient des autorités de Naha, sur l’île d’Okinawa, la gestion d’une concession minière. Il opère la même démonstration de force dans les îles de Bonin afin d’obtenir des facilités commerciales.

1854 : Nicaragua. Pour venger une offense faite au ministre-président américain en poste au Nicaragua : destruction de la vile de Greytown (San Juan del Norte).

1855 : Uruguay. Les armées américaines et européennes débarquent pour protéger les intérêts américains au cours d’une tentative de révolution à Montevideo.

1859 : Chine. Intervention destinée à protéger les intérêts des États-Unis à Shanghai.

1860 : Angola. Intervention en Afrique occidentale portugaise pour assurer la sécurité des citoyens et des biens américains pendant une révolte indigène à Kissembo.

1893 : Hawaii. Sous couvert officiel de protéger les vies et les biens des américains, cette intervention visa à mettre en place un gouvernement provisoire sous l’autorité de Sanford D. Dole.

1894 : Nicaragua. Intervention militaire pour protéger les intérêts américains à Bluefields à la suite d’une révolution.

1898 : Cuba. Sous prétexte de libérer l’île de la tutelle espagnole, les États-Unis s’installent et imposent une base militaire, la possibilités d’investissements financiers américains et un droit d’intervention dans les affaires intérieures du pays.

1898 : Porto-Rico, Hawaii, Wake, Guam. Sous prétexte de défaire la tutelle espagnole, les États-Unis s’installent et imposent une base militaire, la possibilités d’investissements financiers américains et un droit d’intervention dans les affaires intérieures du pays.

1898 : Philippines. L’archipel est vendu aux USA par l’Espagne (décembre 1898), les philippins se soulèvent contre les États-Unis (février 1899), les États-Unis envoie 70 000 militaires qui mettront trois ans pour mater le soulèvement (des milliers de pertes humaines).

1903 : Colombie. Les États-Unis fomentent une révolution à l’issue de laquelle ils créent de toute pièce la République de Panama qui lui assure le contrôle du canal et des bénéfices qu’il génère.

1914-1918 : Première Guerre Mondiale.

1915 : Haïti. Nouvelle intervention et occupation des troupes américaines pendant 19 ans.

1916 : République Dominicaine. Quatrième intervention et maintien des troupes américaines pendant 8 ans.

1926 : Nicaragua. Nouvelle intervention et expédition de 5000 militaires pour contrer une révolution.

1940-1945 : Deuxième Guerre Mondiale.

1945 : Début de la Guerre Froide entre les États-Unis et l’URSS.

1945 : Japon. Bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki.

1945-46 : Chine. Bombardements.

1946 : Philippines. Colonie américaine jusqu’à l’occupation japonaise, les Philippines accèdent à leur indépendance en 1946 en concédant aux États-Unis un droit illimité d’exploitation des ressources naturelles du pays au titre des dommages de guerre. Jusqu’en 1992 les États-Unis conservent 23 bases militaires et participent à la répression des opposants communistes ou musulmans.

1947 : Grèce. Les États-Unis volent au secours de la dictature de colonels mise en place par les britanniques et menacée par la guérilla des gauchistes. Les États-Unis livrent 74 000 tonnes de matériels militaires et d’armements et envoient 250 « conseillers » militaires sur le terrain, assurant ainsi la victoire des forces de droite en 1949.

1950 : Porto Rico. Les troupes américaines qui stationnent en permanence écrasent un mouvement d’indépendance. Deux ans plus tard, Porto Rico se voit accorder le statut d‘État libre associé aux États-Unis.

1950-1953 : Corée. Les forces armées de la Corée du Nord franchissent le 38ème parallèle et pénètrent en Corée du Sud. A la « demande » des Nations-Unies, les États-Unis acceptent d’aider à repousser l’agression armée. 2 millions de coréens trouvent la mort au cours de cette guerre.

1950-53 : Chine. Nouveaux bombardements.

1953 : Iran. Opération Ajax, un coup d’État orchestré par la CIA est mené par l’armée et les grands propriétaires fonciers après que les britanniques aient organisés le boycott des compagnies pétrolières iraniennes suite à leur nationalisation en 1951. Les États-Unis soutiennent pendant les 25 ans qui suivent l’homme fort du pays, le Shah d’Iran. Celui-ci s’enfuira en 1978 devant le raz-de-marée de la Révolution Islamique de l’ayatollah Khomeiney en exil. Deux ans plus tard, en 1980, la guerre entre l’Iran et l’Irak sera une aubaine pour les industries d’armements, notamment américaines.

1954 : Guatemala. Opération PBSUCCESS, des mercenaires entraînés par la CIA au Honduras et au Nicaragua renversent, avec l’aide de l’aviation américaine, le gouvernement démocratique du président Arbenz Guzman remplacé par une junte militaire réclamée par Eisenhower.

1958 : Liban. Des milliers de Marines sont envoyés à Beyrouth pour empêcher le renversement du gouvernement pro-américain et protéger les intérêts américains dans la région.

1958 : Indonésie. Bombardements par les militaires et combattants islamistes appuyés par les États-Unis contre le gouvernement démocratique de Sumatra.

1960 : Guatemala. Bombardements.

1961 : Cuba. Opération Mongoose, armés et entraînés par la CIA, plus de 1000 exilés cubains débarquent dans la Baie des Cochons avec l’espoir de provoquer une rébellion contre le gouvernement castriste en place très populaire. Le soulèvement n’a pas lieu, les mercenaires sont rejetés à la mer, les États-Unis imposent un embargo à Cuba.

1961-1972 : Vietnam. Pendant 11 ans, les États-Unis, prenant le relais de l’armée française, utilisent tout leur arsenal militaire y compris des armes chimiques pour venir à bout d’un mouvement révolutionnaire nationaliste d’indépendance. La plus longue guerre dans laquelle se sont embarqués les États-Unis causera la mort de plus d’un million de combattants vietnamiens, quatre millions de civils et près de 60000 soldats américains.

1961-1972 : Laos et Cambodge. Bien qu’officiellement pas en guerre avec ces deux pays, les États-Unis y effectuèrent d’incessantes attaques aériennes et d’innombrables massacres de populations.

1961 : Congo. Assassinat du premier ministre Patrice Lumumba par les services secrets belges soutenus par la CIA.

1962 : Cuba. Crise des missiles.

1964 : Panama. Les Marines qui protègent les intérêts américains du canal de Panama écrasent une révolte visant à nationaliser ce secteur stratégique. Après avoir protégé et utilisé le dictateur panaméen pour leurs attaques contre le Nicaragua sandiniste, les USA s’en débarrassent. 26 000 soldats américains envahissent le pays sous couvert de le faire comparaître devant les tribunaux américains pour trafic de drogue. Des centaines de civils périssent sous les bombardements.

1964 : Brésil. Renversement du président Joao Goulart par un putch militaire soutenu par la CIA et instauration de la dictature du maréchal Castelo Branco.

1964 : Congo. Bombardements pour réprimer la révolte nationaliste de gauche soutenue par l’Organisation de l’Unité Africaine.

1965 : Indonésie. Prétextant une tentative de putch des communiste pourtant proche du pouvoir de Sukarno, une opération militaire sanglante dont les dirigeants sont téléguidés par la CIA est menée. Des centaines de milliers d’indonésiens sont victimes d’une chasse à l’opposant, la longue et meurtrière carrière de l’homme de paille américain Suharto commence pour culminer au Timor Oriental.

1965 : République Dominicaine. Sous le couvert de l’Organisation des États Américains, les États-Unis interviennent militairement pour contrer une prétendue menace communiste et provoquent un coup d’État contre le président Juan Bosch élu démocratiquement. La bataille de Saint-Domingue fait quelque 10 000 victimes.

1965 : Pérou. Bombardements.

1967-69 : Guatemala. Formation des forces armées guatémaltèques du président Julio César Mendez Montenegro par les forces spéciales américaines pour contrer les attaques des rebelles gauchistes.

1970 : Oman. Soutien logistique de la CIA et formation par des conseillers américains, les troupes iraniennes tentent d’envahir le sultanat pour contrer l’insurrection communiste dite Guerre du Dhofar.

1970 : Moyen-Orient. Implication militaire des États-Unis auprès d’Israël dans les guerres qui ont lieu dans cette région du globe.

1973 : Chili. Suite à la réforme agraire et aux nationalisations, les États-Unis, par l’intermédiaire de la CIA et de la firme ITT, fomentent un coup d’État militaire qui conduit à l’extermination du président élu de gauche Salvador Allende. Des milliers de morts, de femmes et d’enfants enlevés et torturés, et l’installation de la dictature d’extrême-droite du général Pinochet conseillé par la CIA.

1975-1999 : Timor Oriental. Les États-Unis soutiennent sans faillir l’invasion et l’annexion conduite par l’Indonésie de Suharto. Un tiers de la population est décimée en près de 25 années. Alors qu’en 1999 lors d’un référendum, 80% de la population du Timor Oriental choisit l’indépendance, les États-Unis soutiennent les exactions et la terreur de milices téléguidées par l’armée indonésienne qui s’opposent à l’indépendance. Les États-Unis finissent par accepter, sous la pression internationale, l’idée d’une force de maintien de la Paix de l’ONU.

1979-1989 : Afghanistan. Opération Cyclone, soutien logistique aux Moudjahidins du commandant Massoud pour contrer l’invasion de l’URSS. Soutien à Oussama Ben Laden appuyé par les services secrets pakistanais, l’ISI, dans le recrutement, la formation et l’envoi de combattants islamistes sur le front afghan.

1980-1990 : Salvador. Les États-Unis s’engagent militairement aux côté des forces gouvernementales, de l’oligarchie au pouvoir et des escadrons de la mort de l’armée salvadorienne pour contrer la guérilla marxiste du FMLN. En 1980, l’archevêque Romero, très populaire chez les pauvres, est assassiné par des hommes proches de la CIA. En dix ans, la guerre civile a fait plus de 100 000 morts.

1981-1988 : Nicaragua. Les États-Unis n’acceptent pas la série de réformes que les Sandinistes du président Daniel Ortega arrivés au pouvoir en 1979 engagent. Les États-Unis apportent leur soutien aux Contras basés au Honduras. En 1986, le scandale de l’Irangate révèle que le produit financier des ventes d’armes américaines à l’Iran a servi a financer les Contras.

1982-1984 : Liban. Les troupes phalangistes du Liban soutenues par Israël et les États-Unis expulsent et massacrent des Palestiniens.

1983 : Grenade. Opération Urgent Fury, embourbés au Liban, les États-Unis font une démonstration de force en envahissant la minuscule île de la Grenade prétextant de la sécurité de quelques citoyens américains et pour renverser le dirigeant Maurice Bishop suite à son coup d’Etat pacifique contre le régime autoritaire du Premier Ministre Eric Gairy. Huit ans plus tard, le Wall Street Journal qualifie cette démonstration d’« invasion des banques », l’île est devenue un paradis pour la fraude financière et l’évasion fiscale.

1986 : Libye. Suite aux attentats anti-américains en Europe, l’aviation américaine bombarde des villes libyennes, faisant des centaines de victimes parmi les civils et les officiels.

1986 : Les États-Unis sont condamnés pour « usage illégal de la force » contre le Nicaragua par la Cour internationale de justice de La Haye.

1988 : Iran. Opération Praying Mantis de la marine américaine contre les deux plateformes pétrolières iraniennes, Sassan & Sirri, durant la guerre Iran-Irak et suite aux dégâts de la frégate USS Samuel B. Roberts causés par une mine iranienne.

1989 : Philippines. L’aviation américaine prête main-forte aux forces gouvernementales pour contrecarrer un des nombreux coup d’État contre la présidente Corazon Aquino, farouche opposante aux communistes et aux indépendantistes musulmans.

1989 : Panama. Opération Just Cause, le président George H.W. Bush ordonne la prise de contrôle du canal de Panama et renverse le dictateur militaire Manuel Noriega, agent double de la CIA, suite au prétexte de l’exécution d’un soldat américain par des soldats panaméens.

1991 : Fin de la Guerre Froide entre les États-Unis et l’URSS.

1991 : Irak. Allié précieux des États-Unis dans la région durant de longues années, le dictateur Saddam Hussein envahit le Koweït sans en référer à la superpuissance. Les États-Unis, n’acceptant pas de perdre le contrôle d’une partie des ressources pétrolières du Golfe, déclarent la guerre à l’Irak en janvier 1991 et mettent en place une coalition militaire internationale qui, avec le soutien de l’ONU, libère le Koweït. L’Irak est placé sous embargo.

1993-1994 : Somalie. Fiasco des opérations Restore Hope I et II, en appui à l’ONU, pour mettre fin à la guerre civile du seigneur de guerre Mohamed Aidid.

1994 : Haïti. Ayant occupé Haïti de 1915 à 1934 puis soutenus les deux effroyables dictatures de François et Jean-Claude Duvalier de 1957 à 1986, les États-Unis se montrent favorables au renversement par coup d’État, en 1991, contre le dictateur Raoul Cédras remplacé par le le président en exil Jean-Bertrand Aristide escorté par 22000 soldats américains. Parmi les militaires impliqués dans le coup d’État, le colonel François qui a été formé, comme les dictateurs latino-américains Noriega et d’Aubuisson, dans la même académie militaire américaine. Trois ans plus tard les États-Unis interviennent militairement pour remettre en scelle le président déchu.

1995 : Yougoslavie. Bombardements en Bosnie-Herzégovine en soutien aux forces armées de l’ONU/OTAN.

1996 : Somalie. Soutien de la CIA dans l’assassinat de Mohamed Aidid.

1998 : Irak. Les États-Unis et l’Angleterre reprennent leurs bombardements sur l’Irak et se fixent comme objectif l’élimination physique de Saddam Hussein et la mise en place d’un gouvernement de remplacement.

1998 : Soudan. Opération Infinite Reach, en riposte aux attentats terroristes contre les ambassades américaines de Nairobi au Kenya et de Dar-es-Salaam en Tanzanie, l’armée américaine détruit un complexe pharmaceutique d’Al-Shifa supposé servir de lieux de production d’armement chimique à des fins terroristes.

1998 : Afghanistan, Opération Infinite Reach, bombardements massifs par la marine américaine de quatre camps d’entrainement dont Al Badr, El Farouq et Zawhar Kili, dirigés par Oussama Ben Laden, ex-agent de la CIA, lors d’un sommet de hauts responsables de plusieurs milices islamistes. L’attaque américaine provoqua la mort de cinq agents secrets pakistanais de l’ISI.

1998 : Timor Oriental. Soutien logistique à l’ONU pour son indépendance.

1999 : Yougoslavie. Au mois de mars, sous l’impulsion des États-Unis, l’OTAN bombarde le Kosovo et la Serbie ou s’opposent l’Armée de Libération du Kosovo qui depuis 1998 mène des opérations de guérilla et les forces de polices serbes qui, de leur côté, prennent en otage les populations civiles. Des centaines de bombes à uranium appauvri sont testées par les États-Unis.

11 septembre 2001 : Début de la Guerre contre le Terrorisme. Lancement de l’opération Enduring Freedom à l’échelle du globe.

2001 à nos jours : Afghanistan. Opération Active Endeavour, suite aux attentats du 11 septembre attribués à l’organisation Al-Qaïda dirigée par Oussama Ben Laden, les États-Unis forment une coalition internationale, implantent des bases au Pakistan et bombardent massivement le pays. Les Taliban sont renversés. Les États-Unis ne parviennent pas à imposer leur « protégé » (l’ancien roi), un gouvernement de transition est mis en place. Les prisonniers de guerre se voient déniés par les États-Unis de leurs droits internationaux reconnus par les conventions internationales, certains sont déportés sur la base militaire américaine de Guantanamo à Cuba et subissent un régime d’exception contraire aux principes internationaux et à la législation américaine elle-même. Derrière ces événements, les États-Unis légitiment leur allié dictateur du Pakistan, assurent peu à peu leur mainmise sur le transit des ressources naturelles régionales.

2002 : Irak, Iran et Corée du Nord. Les États-Unis placent ces pays au nombre des composantes de l’Axe du Mal, la nouvelle doctrine militaro-mystique de mise en place de « guerres préventives » contre tous ceux qui ne s’alignent pas sur les États-Unis.

2002 : Phillipines. Opération Enduring Freedom, soutien économique et militaire au gouvernement philippin contre les guérillas.

2002 : Corne de l’Afrique. Opération Enduring Freedom.

2002 : Géorgie. Opération Enduring Freedom, formation de plusieurs bataillons d’infanterie de l’armée géorgienne dans la vallée du Pankissi.

2002 : Irak. Les États-Unis font pression sur la communauté internationale pour lancer un corps expéditionnaire en Irak visant au renversement de Saddam Hussein, à l’instauration d’un gouvernement favorable à leurs intérêts, à l’obtention des principales parts de marchés de la reconstruction du pays après bombardements, à l’octroi de concessions sur les immenses ressources pétrolières du pays. Fin 2002, les USA et leurs alliés anglais ont massés des dizaines de milliers de soldats sur-équipés sur place, prêts à une offensive.

2003 : Irak. Les États-Unis outrepassent les décisions de l’ONU et envahissent l’Irak dans la nuit du 19 au 20 mars, avec le soutien de l’Angleterre. Un déluge de feu s’abat sur le pays et la population dont déjà près de 500 000 personnes sont mortes en 10 ans du fait du blocus économique (800 missiles Tomahawk, 23 000 bombes à uranium, à fragmentation, mini-nucléaire). Un mouvement mondial d’opposition à la guerre et à l’agression militaire des États-Unis se développe en faveur de la paix et pour le respect du droit international. La majorité des pays de la planète condamnent l’agression américaine contre un pays souverain. Par cet acte les USA ouvre la voix dangereuse et criminelle à la doctrine de la guerre préventive permettant d’attaquer tout pays ne se soumettant pas à la conception impérialiste américaine.

2003 : Sao Tomé-et-Principe. Intervention suite à une tentative de coup d’État militaire contre le président Fradique de Menezes.

2004 : Haïti. Intervention militaire avec l’aide de la France pour chasser le président Jean-Bertrad Aristide.

2004 à nos jours : Pakistan. Début de la guerre du Waziristan contre les nombreux mouvements de Taliban. Bombardements réguliers par des drones de l’armée américaine et de la CIA.

2004 : Algérie. Soutien militaire au gouvernement dans sa lutte contre le GSPC devenu AQMI (Al-Qaïda au Maghreb Islamique).

2004 : Kyrghizstan. Opération Enduring Freedom.

2008 à nos jours : Somalie. Bombardements de plusieurs camps islamistes d’Al-Shabaab supposés être liés à Al-Qaïda.

2008-2009 : Palestine. Soutien financier et logistique à l’armée israélienne dont l’envoi de 3000 tonnes de munitions en prélude à l’opération Plomb Durci dans la Bande de Gaza contre le Hamas.

2009-2010 : Yémen. Bombardements par l’aviation américaine de plusieurs camps de la rébellion zaïdites des Houthis soutenus par l’Iran et en conflit contre le gouvernement yéménite depuis 2004,

dit Insurrection de Sa’dah.

:search:

L'objectif fondamental de l'OTAN est la sauvegarde de la liberté et de la sécurité de tous ses membres par des moyens politiques et militaires.

POLITIQUE - L'OTAN a pour but de promouvoir les valeurs démocratiques et d'encourager la consultation et la coopération sur les questions de défense et de sécurité afin d'instaurer la confiance et, à long terme, de prévenir les conflits.

MILITAIRE - L'OTAN est attachée à la résolution pacifique des différends. Si les efforts diplomatiques échouent, elle possède les capacités militaires nécessaires pour entreprendre des opérations de gestion de crise. Celles-ci sont menées au titre de l'article 5 du Traité de Washington - le traité fondateur de l'OTAN – ou sous mandat de l'ONU, par l'OTAN seule ou en coopération avec d'autres pays ou organisations internationales.

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Membre, 57ans Posté(e)
Antichrist Membre 1 640 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
Posté(e)

Oui, bien sûr ! Et se retrouver enliser dans une guerre de libération patriotique à l'Afghane ! :sleep:

Bush a mis 40 jours pour en finir avec l'Irak de Saddam. Et 8 ans pour en sortir avec l'Irak des nationalismes. Bilan ? Plus de 4500 morts dans les rangs de l'armée américaine, première au monde, je le rappelle.

Mais bon: je te l'accorde: connaissant Putin, génocider 5 à 10 millions de la population ukrainienne (20 à 30% de celle de Tchétchénie) ne devrait pas poser trop de problèmes.

Ah si tout de même ! :|

Les occidentaux armeraient comme jamais les patriotes ukrainiens de façon à foutre aux russkoffs la branlée mémorable qu'ils méritent à jouer les terreurs en terre étrangère ... :vava:

Sans compter les sanctions d'une dureté telle que celles d'aujourd'hui pourraient être qualifiées d'aimable réprimande. En bref, pour faire simple: quel que soit le scénario, le père Putin-la-tite-bite, il l'a méchamment dans l'cul ! :cool:

non cela ne serai pas avec une strategie d'occupation...

c'est certains les russes se retrouvait avec un senario à l'afghane ou a la vietnamienne..

non,il feari un raid eclair de 2/3 mois...ils casseraient tous et se retireraient derriere leur frontiere.

juste pour marquer le coup et dire..."faites pas chier...nous sommes cons et méchant"

pour l'invasion de l'irak en 2003...

pourquoi partir pour les usa ?...le brut coule à flot...alors ?

ils seraient fou de partir ...vu le mal qu'ils ont mis pour avoir un pretexte...maintenant qu'ils y sont.

la logique serai de rester.

les morts US ?...

quantité negligeable...

juste des pauvres noirs des guettos et des redneck bouseux du middle est ou des mexicains qui font 5 ans pour avoir la carte verte ?

c'est pas cela qui va empecher le compexe militaro industriel et la nouvelle embelie économique de dormir sur leur 2 oreilles.

les morts irakiens ?...

tous le monde s'en fout...

pris entre les us marine et daesh et EI...ils sont maudis des dieux...

chinois,français ,russe,anglais et americains...au conseil de secu de l'onu...n'en non rien a foutre

donc pourquoi veus tu que les americains quitte l'irak ?

par morale ?...il y a bien longtemps que ce parametre n'existe plus.

ensuite...

pour l'instant...et comme toujours les faits te donne tord.

accord de paix...minsk 2....

poutine grand vainqueur...

c'est plutot lui qui a niquer porochenko,hollande et merkel.

Non car cela signifierait aussitôt une guerre contre l'OTAN.

Et là, dans ce cas, ce sont les blindés américains, allemands et français qui finiraient rapidement sur la place rouge, à supposer que les combats restent de nature conventionnelle.

Poutine au cours de ces derniers mois, n'a cessé de vouloir tester les occidentaux et de les diviser. S'il les avait sentis faibles, en effet il aurait frontalement envahi l'Ukraine. Mais ce n'est pas le cas, et au contraire il a été surpris par la vigueur et l'unanimité de la réaction de la communauté internationale. Donc il temporise en attendant de trouver une faille. Diplomatiquement, c'est une énorme claque qu'il s'est prise.

Ce conflit est de toutes manières insoluble parce qu'aucun des camps ne peut espérer l'emporter militairement parlant. Ni la Russie, ni l'Ukraine.

Bon, ce n'est pas le tout mais je dois y aller. Mon train m'attend... Je suis à Milan demain, je prends alors l'avion jusqu'à Borispol, puis train à nouveau vers Kharkov, et enfin bagnole jusqu'à Artiomovsk.

A plus tout le monde !

r

pas d'accord !

bon ben bon voyage

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Membre, 48ans Posté(e)
lycan77 Membre 16 857 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
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non cela ne serai pas avec une strategie d'occupation...

c'est certains les russes se retrouvait avec un senario à l'afghane ou a la vietnamienne..

non,il feari un raid eclair de 2/3 mois...ils casseraient tous et se retireraient derriere leur frontiere.

juste pour marquer le coup et dire..."faites pas chier...nous sommes cons et méchant"

pour l'invasion de l'irak en 2003...

pourquoi partir pour les usa ?...le brut coule à flot...alors ?

ils seraient fou de partir ...vu le mal qu'ils ont mis pour avoir un pretexte...maintenant qu'ils y sont.

la logique serai de rester.

les morts US ?...

quantité negligeable...

juste des pauvres noirs des guettos et des redneck bouseux du middle est ou des mexicains qui font 5 ans pour avoir la carte verte ?

c'est pas cela qui va empecher le compexe militaro industriel et la nouvelle embelie économique de dormir sur leur 2 oreilles.

les morts irakiens ?...

tous le monde s'en fout...

pris entre les us marine et daesh et EI...ils sont maudis des dieux...

chinois,français ,russe,anglais et americains...au conseil de secu de l'onu...n'en non rien a foutre

donc pourquoi veus tu que les americains quitte l'irak ?

par morale ?...il y a bien longtemps que ce parametre n'existe plus.

ensuite...

pour l'instant...et comme toujours les faits te donne tord.

accord de paix...minsk 2....

poutine grand vainqueur...

c'est plutot lui qui a niquer porochenko,hollande et merkel.

Putin, "niquer Hollande et Merkel" ?? Mais comment peut on croire des choses aussi peu sensées ? C'est la dernière chance, tu comprends ?? Si Putin l'a grille, comme c'est parti (50 chars russes viennent de franchir les frontières du Donbass, précisément durant les négociations), plus personne ne voudra le prendre au sérieux.

Je t'explique mon grand bonhomme: il faut voir plus loin que l'Ukraine. L'Ukraine n'est qu'une quantité négligeable en vérité. C'est surtout un très très gros paquet d'emmerdes à moyen terme pour le régime Putin. A cause de cette crise, le régime de Putin est sanctionné comme jamais. Ce que tu ne comprends pas, c'est que cette initiative était surtout l'ultime chance donnée à Putin par le couple franco-allemand de redevenir fréquentable, un "gentleman" avec lequel on peut discuter et capable de respecter ses accords. Tous ont été délibérément violés par la Russie Putinienne, y compris ceux signés avec Sarkozy du temps de la crise géorgienne.

Rappelle toi juste le régime Milosevic: si Putin s'imagine pouvoir continuer à foutre sa merde, c'est LUI qui sous-estime la volonté des occidentaux à se débarrasser de lui cette fois !

Car enfin, là encore, croire qu'il pourra déclencher une guerre d'agression massive à l'encontre de l'Ukraine sans que l'occident ne réagisse, pour quels bénéfices ?? AUCUN. Strictement AUCUN.

Et quant à croire que depuis plus de 11 mois maintenant, l'Ukraine est restée les bras croisées face à la probabilité d'un tel scénario, c'est là encore mésestimer la combattivité de son armée ! Attention aux scenarii écrits d'avance !

En réalité, ce que tu ne comprends pas, c'est que si Putin tente de manoeuvrer à nouveau pour redémarrer les hostilités, le couple franco-allemand laissera cette fois les anglo-saxons armer comme jamais l'Ukraine, avec du lourd cette fois ! Des systèmes de visée infrarouge, des radars de contrebatterie d'artillerie, des missiles antichars, des manpads, des drones etc .... Tout ceci provoquera des pertes considérables dans les rangs de l'armée russe !

Encore une fois, ce que tu ne comprends pas, c'est qu'on ne défait pas aussi facilement une armée de 250 000 hommes décidés à défendre leur territoire, sans mettre des moyens conséquents en face ! Au moins autant !

Ce que tu n'arrives pas à intégrer, c'est que la puissance militaire ukrainienne n'a rien à voir avec celle de la petite Géorgie. Ne fut ce qu'en terme de défense antiaérienne (des dizaines de batteries SAMP) et d'intercepteurs: 16 Su-27, 40 Mig 29.

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Membre, 48ans Posté(e)
lycan77 Membre 16 857 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)

Chronologie des interventions américaines dans le monde:search:

HS total, comme d'habitude, fidèle à ta tactique, qui n'est pas d'intervenir sur un sujet précis, mais bien plutôt de le polluer avec un tas de textes de propagande antiaméricaine, destinés à véhiculer tes idées anti- US sur ce forum.

En langage clair, on appelle cela troller un sujet. :sleep:

Ce qui n'enlève rien à son utilité, à l'heure où pas mal de gens s'amusent à prendre le parti d'un cinglé brutal, froid et cynique qui affiche clairement sa volonté de terroriser le sous-continent européen par la force armée et la planification d'opération de destabilisation ultra-nationalistes.

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ukraine : le silence…

Kevin QUERAL

Ce mardi 10 février 2015 tout était normal : lemonde.fr faisait

sa une sur Hervé Falciani et l’affaire HSBC et même sur

la fausse rumeur de la construction d’une mosquée à Tulle (1) ;

libération.fr nous renseignait sur le casse-tête des zones

de vacances scolaires dû à la réforme des régions (2),

lefigaro.fr déplorait l’exécution d’une otage Américaine (3),

quand l’Huma.fr nous offrait un reportage aux côtés des

combattants de Kobané (4).

Rien qui pourrait laisser penser que la tension internationale

était à son comble. Dormez bonnes gens !

Rien qui ne vous concerne ! Enfin, pas encore…

Et sûrement pas les déclarations de votre président

revenant de Russie ce week-end !

Personne ne veut nous en parler, alors parlons-en !

Faisons-le ! Faisons ensemble ce que nos journaux ne font plus !

Analyse de l’allocution présidentielle donnée à L’AFP

lors d’une visite à Tulle le 7 Février (5), au sujet

des « négociations » entamées avec la Russie :

« La chancelière et moi-même considérons qu’il y a un risque de guerre. »

Hollande ne saurait parler ici du conflit armé opposant

les troupes de Kiev à Novorossia comme beaucoup veulent

l’entendre. Pourquoi ?

Tout simplement parce qu’en l’espèce, la guerre n’y est

pas un risque mais une réalité factuelle !

Il évoque donc bien l’hypothèse d’une autre guerre.

Ou alors, et je vous en laisse juge, sa maîtrise de

la logique élémentaire et de notre langue est assurément bien modeste.

« donc, nous avons préparé un texte, d’abord avec les Ukrainiens, »

Nous vous laissons d’abord apprécier la méthode d’élaboration

du texte, consistant visiblement à exclure un des protagonistes.

Est-ce donc là la manière de faire d’un médiateur ?

Élaborer avec l’un des belligérants un texte,

puis le soumettre ensuite à son adversaire ?

Cela ressemble davantage à une sorte d’ultimatum qu’à une tractation.

Quelle peut-être ensuite la marge de manœuvre d’un chef d’état mal élu,

Porochenko, dont l’armée est vaincue sur le champs de bataille

et dont l’économie est effondrée, face à l’UE et à l’OTAN,

deux organisations à qui il doit sa position et de qui

il espère obtenir son salut ? Aucune bien évidemment !

Le texte proposé au président Russe est l’œuvre d’Occidentaux.

Enfin, comment est-il possible que personne ne se questionne

sur la nature de ce texte ? N’est-il pas invraisemblable

qu’aucun Français n’en sache rien ?

Aucun journaliste n’a jugé raisonnable de s’interroger

sur le sujet, ou de polémiquer.

Ils ont indubitablement mieux à faire, voyez-vous,

que de couvrir ce genre de broutilles.

« puis ensuite nous l’avons discuté avec Vladimir Poutine,

et nous devons rapprocher encore les points de vues,[…] »

Manière de dire, ici, que la proposition de sortie de crise n’a

pas été acceptée en l’état. Je vous renvoie avec plaisir

vers ces remarquables analyses anonymes qui cherchent

à donner sens à la situation.

Notons aussi l’habituelle personnification de la Russie et

de son peuple en la seule figure de Poutine, omnipotent et maléfique

à souhait.

La ficelle est grosse, usée jusqu’à la corde (Hussein, Kadhafi, Al-Assad, Castro, Chavez, etc.) mais fonctionne visiblement encore.

Aux dernières nouvelles pourtant, le président de la fédération

de Russie n’avait pas, constitutionnellement parlant,

plus de prérogatives que le président des États-Unis d’Amérique.

« Je pense que c’est une des dernières chances »

Si ce que dit notre président a un sens, en contexte bien sûr,

il nous dit bien que c’est une des dernières chances de

préserver la paix.

Cette formule est parfaitement étourdissante !

Nous voudrions savoir, mais probablement sommes nous trop curieux,

à quel moment toutes les autres options ont été épuisées.

De quoi parle-t-on au juste ?

Nous ne le saurons pas, tout comme nous ne sommes pas dignes

de connaître le contenu de texte proposé au peuple russe conjointement

par l’Allemagne et la France.

Quel doigté diplomatique remarquez !

Il n’y avait pas meilleur émissaire au monde que l’Allemagne

pour attendrir la Russie.

« parce que si nous ne parvenons pas à trouver, non pas un compromis,

mais un accord durable de paix, et bien nous connaissons

parfaitement le scénario, il a un nom, il s’appelle la guerre. »

Cette affirmation est, elle aussi, ahurissante.

Elle débute, prêtez-y attention, par le refus de tout compromis.

Ite missa est. S’il n’y pas de conciliation pour rapprocher deux positions divergentes que fait-on ? La guerre, à divers niveaux d’intensité.

La seule manière de recevoir cette phrase est de la recevoir

comme un ultimatum : Vous acceptez et il n’y a rien à négocier !

Quelle brutalité !

Puis vient la sortie de l’artiste. Elle est à l’image de

l’ensemble de la prestation : délirante.

Menacer la Russie de guerre !

Dans un scénario qu’on connaît bien, pour sûr !

Ce n’est pas comme s’il s’adressait à la première

puissance nucléaire mondiale !

Et c’est ici qu’on hésite : monsieur Hollande est-il

parfaitement aliéné, croyant réellement en ce qu’il dit ?

Prêt à déclencher ce qui serait la guerre la plus meurtrière

de l’histoire de l’humanité ?

Pour quoi au juste ?

Y-a-t-il quelqu’un qui puisse me dire ce qui

en l’état en vaudrait la peine ?

Ou alors joue-t-il le rôle du matamore de comédie

afin de remonter sa cote de popularité, sachant bien

que le jeu se fait ailleurs, sans lui, sans nous ?

Qui imagine ici ce que vit un Russe lisant ce genre de choses.

Que vivriez-vous si ces propos étaient tenus par monsieur

Poutine en direction de votre pays, de vos mères et de vos enfants ?

Dans les deux cas, la réponse est la même :

manifestons à nos représentants notre désaccord !

Nous ne voulons pas la guerre !

Kevin Queral

PS :Signez ici notre pétition citoyenne :

http://www.petitions24.net/urgence__non_a_la_guerre_contre_la_russie

http://www.legrandsoir.info/ukraine-le-silence.html

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Membre, Posté(e)
Con testeur Membre 1 356 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Très chère mais néanmoins dispendieuse Loulou.

Dans ta liste fiélleuse t’as oublié Omaha Beach en Normandie en juin 44.

Con testeur.

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Membre, Posté(e)
Domino26 Membre 160 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Pas la peine de s'écharper sur un forum alors qu'aucun d'entre nous ne détient l'ensemble des informations utiles pour se faire un jugement valable...

J'ai vécu dans une région du monde avec une situation proche de celle de l'Ukraine aujourd'hui. C'était entre 1990 et 2002. Les années lumières séparant ce que je vivais sur le terrain et ce que je lisais dans la presse française m'a fait comprendre qu'il vaut mieux ne pas prendre parti quand on est loin d'une scène de conflit...

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Invité Simplicius
Invités, Posté(e)
Invité Simplicius
Invité Simplicius Invités 0 message
Posté(e)

Dans ta liste fiélleuse t’as oublié Omaha Beach en Normandie en juin 44.

Dunkerque, en 1940, ne les avait pas trop empêchés de dormir. Merci pour eux !:sleep:

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Membre, 48ans Posté(e)
lycan77 Membre 16 857 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)

Dunkerque, en 1940, ne les avait pas trop empêchés de dormir. Merci pour eux !:sleep:

Et au nom de quoi les américains auraient ils du se préoccuper de notre guerre ? QUI a déclaré la guerre à l'Allemagne nazie ? La France et la Grande-Bretagne. QUI disposait de la meilleure armée du monde ? La France. :sleep:

Et QUI s'est fait péter le cul en beauté dans la trouée des Ardennes en mai 1940 ?? La France ! :smile2:

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LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Et au nom de quoi les américains auraient ils du se préoccuper de notre guerre ? QUI a déclaré la guerre à l'Allemagne nazie ? La France et la Grande-Bretagne. QUI disposait de la meilleure armée du monde ? La France. :sleep:

Et QUI s'est fait péter le cul en beauté dans la trouée des Ardennes en mai 1940 ?? La France ! :smile2:

Arf ! Lycan grand géographe en ce bas monde !

Tu le dis et le répète !

"Moi, je suis géographe , ni historien,

ni politique !"

Ce doit être en tant que citoyen que tu déverses

tous tes papiers sur ce site !

Tu racontes l'histoire d'une drôle de façon !

Au fait, comme géographe, as-tu un maître ?

Que penserais-tu de Daniel Faucher ?

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