Gaz et pétrole de schiste : qui a raison ?

Canada : un séisme de 4,4 causé... par l'exploitation des gaz de schiste

Un projet de fracturation hydraulique dans l'Ouest canadien est à l'origine d'un des plus importants séismes liés à cette technologie controversée utilisée pour l'exploitation des gaz de schiste, a annoncé mercredi la chaîne publique CBC.

Le recours à cette technologie par la compagnie Progress Energy, filiale du groupe public malaisien Petronas, a provoqué ce séisme de magnitude 4,4 qui a secoué la région nord-est de la Colombie-Britannique en août 2014, a confié à la CBC la commission de réglementation de l'industrie pétrolière et gazière de cette province.

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Le Parisien

En plus, avec la diminution des cours du pétrole, l'extraction dans les schistes coûte plus qu'elle ne rapporte. Pourvu que ça dure, sinon, en France, il y aura bien quelqu'un qui finira par mettre tout le monde d'accord en exploitant cette ressource polluante à tous les niveaux.

En plus, avec la diminution des cours du pétrole, l'extraction dans les schistes coûte plus qu'elle ne rapporte. Pourvu que ça dure, sinon, en France, il y aura bien quelqu'un qui finira par mettre tout le monde d'accord en exploitant cette ressource polluante à tous les niveaux.

Dire qu'une partie des français et politiciens veulent nous le mettre, ce gaz !!!

La fracturation hydraulique on en parle depuis quelques années.

Mais cela fait 30 ans qu'elle est mise en oeuvre pour le pétrole.

Il faut savoir que nulle part dans le monde le pétrole sort sous pression de terre comme il sortait de Pennsylvanie au temps de Rockfeller !

Donc cette fracturation des schistes n'est qu'une extension technologique de ce qui se pratique depuis longtemps pour extraire le pétrole...

Quant au séisme de magnitude 4,4 c'est un séisme imperceptible dans une ville à cause du bruit. Seules les images tremblotantes envoyées par les vitrines va en témoigner.

En campagne un 4,4 s'entend comme le roulement d'un camion.

Je crois qu'il vaut mieux laisser ces substances où elles sont.

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c'est beau et généreux mais il faut bien prévoir une transition sur au moins 30 ans !

le temps d'éliminer le pétrole :

- du chauffage, du transport et de la chimie !

Tiens, pour commencer : tous les détergents (lessives à linge et à vaisselle) contiennent du dodécylbenzène sulfonate de sodium fait à partir du pétrole.

Pour retourner au savon de Marseille ou à la cendre de bois, il y a du boulot !

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c'est beau et généreux mais il faut bien prévoir une transition sur au moins 30 ans !

le temps d'éliminer le pétrole :

- du chauffage, du transport et de la chimie !

Tiens, pour commencer : tous les détergents (lessives à linge et à vaisselle) contiennent du dodécylbenzène sulfonate de sodium fait à partir du pétrole.

Pour retourner au savon de Marseille ou à la cendre de bois, il y a du boulot !

Ne dis pas des bêtises, ce n'est pas de ton niveau

Ne dis pas des bêtises, ce n'est pas de ton niveau

Zigbu, je n'ai pas dit de bêtise !

Pour se passer totalement du pétrole, de son énergie et de sa chimie dérivée il faudra plus de trente ans à marche forcée et en y mettant de très gros moyens !

Zigbu, je n'ai pas dit de bêtise !

Pour se passer totalement du pétrole, de son énergie et de sa chimie dérivée il faudra plus de trente ans à marche forcée et en y mettant de très gros moyens !

Je serai curieux de savoir combien de brevets TOTAL a racheté (ou s'est approprié) concernant des énergies renouvelables, rentables.

Il y a des petits reportages qui passent parfois aux infos et on n'en entend plus jamais parler. Ainsi, j'ai vu un mec qui avait mis au point une technique pour accélérer le processus de transformation d'algues en pétrole. Des algues, il y en a des tonnes au M2 dans la mer.... Reste à les transformer, mais ça, ça ne doit pas plaire à TOTAL qu'on lui mette des bâtons dans les roues.

Ce n'est qu'un exemple. Je suis convaincu qu'il y en a des centaines comme cela. Quand le pétrole va se raréfier et les prix grimper au plafond, on verra apparaître des technniques dont personne n'avait entendu parler.