Les perles de la police

'lut !

On connaissait les perles du bac, après une cueillette dans les procès-verbaux, voici un petit florilège des perles de la police (lues dans "Histoires insolites de la Police française" de Julien Laurent ; City éditions) :

L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel.

L'infraction fut constatée par la brigade deux jours avant qu'elle n'ait lieu. :ohmy:

Le commissariat n'étant pas encore un hôpital psychiatrique, nous avons du renvoyer le malade chez lui.

Sous couvert d'anonymat, tous ses crimes étaient signés.:happy:

Aveugle de naissance, la femme n'avait rien vu venir.

L'homme fut atteint au nez et aux narines. :ohmy:

Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.

Le suspect s'est alors décidé à passer aux aveux sans même qu'on ait à le frapper.

Face à son adversaire, l'homme le prit en traître par-derrière.

Son alibi ayant pu être vérifié, nous avons été obligés de constater que le suspect ne pouvait être présent à l'heure dite sur les lieux du vol qu'il avait commis.

Dès que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.

L'homme nous raconta toute la vérité qui n'était qu'un tissu de mensonges.

Le prévenu a attendu d'avoir fini son repas pour commencer une grève de la faim.

Non seulement la mère n'est pas morte comme le prétendent ses enfants, mais il a même été prouvé qu'elle est en vie.

Le cadavre de l'homme qui nous a été présenté correspondait bien à la description de la femme qui avait été vue par les différents témoins.

L'homme attendait l'autobus d'un œil suspect.

C'est la pluie qui empêcha le brigadier de s'apercevoir qu'il s'était mis à neiger.

Cinq des deux suspects ont été interpellés.

Les nombreux coups de couteau au visage et au cou nous ont laissé penser que la mort n'était pas naturelle.

La femme confirme qu'elle a peu de rapports avec son mari, car elle souffre d'hermès génital.

La victime blessée au pied a rejoint son domicile en copulant sur une jambe.

Après identification, le corps fut rendu à sa famille dont personne n'a pu retrouver la trace.

Il est probable que le suicidé a été lâchement assassiné.

Le défunt a formellement reconnu son agresseur.

N'ayant pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.

L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité.

Pendant tout l'interrogatoire, l'homme n'a cessé de nous dévisager avec ses propres yeux.

Si nos policiers n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu.:ohmy:

Le mur avançait à grands pas vers le véhicule.

N'écoutant que son courage, la brigade fut obligée de battre en retraite.

Nous avons enregistré sa plainte en sachant déjà que nous ne ferions absolument rien.

Raide mort, nous l'avons quand même eu vivant.

Trop sourd pour nous entendre, l'homme avait fini par devenir aveugle.

Contrairement à ce qu'il prétend, nous n'avons jamais abusé de violence sur l'homme, puisque quelques claques n'ont jamais été des violences chez un délinquant.

Dans ce conflit, le rôle des forces de l'ordure a été déterminant.

Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.

Il s'était servi du cric de sa voiture pour lui donner gentiment plusieurs coups à la tête.

L'homme refusa de nous présenter ses papiers qu'il n'avait pas.

Toute la brigade ne fut pas assez nombreuse pour être assez.

Ivre au milieu de la rue principale, l'homme nous a traités de sales flics, ignorant que nous étions des agents de police.

Le forcené épaula son fusil de chasse et tua les pneus de la voiture à coups de chevrotine.

La carrosserie était toute maculée de superbes rayures qui la rendaient pas belle à voir.

Ne s'étant pas arrêtée au stop, la voiture accéléra brusquement au moment du freinage.

L'homme niant toute culpabilité, nous l'avons arrêté.

L'homme n'accepta de signer la déposition que du bout des lèvres.

Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le relâcher faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications. (bis)

La femme ayant été décapitée, il nous a été impossible jusqu'à présent de mettre un nom sur son visage.:mef2:

j'en ajouterais une : "Quand vous roulez de nuit, il faut avoir les feux de croisement.." après m'avoir arrêté avec les feux de croisement

Il y a encore ce site

Une perso, suite à une audition en tant que témoin pour vol de bijoux, retranscription : " Je ne sais pas où sont les bijoux de famille, je ne vais jamais dans la chambre."

......Ben y'a que moi qui rigolais....Mais j'ai eu droit à : " le juge est une femme, elle n'aura pas l'esprit mal tourné, elle.".........M*!! elle m'a prise pour un travelo en plus, ou quoi ?

...............et refusai de signer, vu que, si je ne sais pas où sont les bijoux (de famille ), pourquoi je dirais que je ne vais jamais dans la chambre ?(où ils ont été volés ). P* !!! au moins dix minutes pour trouver une formulation correcte et pas équivoque, formulation que j'ai fini par lui dicter mot à mot !!

Je passe sur toutes les fautes d'orthographes, sauf une, magistrale, quand même : " Mr et Mme "X " dises que....."

Si la police n' était qu' en reste des autres corps constitués...

.................!!!!

y a pas à dire , on se sent tout de suite en sécurité là !

En fait, moi je pense que c'est quand ils rédigent des pv à chaud, les nerfs à cran après un épisode mouvementé, qu'ils écrivent des bêtises, genre suite à une échauffourée avec des excités refusant d'obtempérer, des trucs comme ça.

:smile2: