Médicaments sans ordonnance vendu en grande surface : pour ou contre ?

.............................. bref... les médicaments sans ordonnance ne sont pas dangereux pris par des gens censés et globalement "en bonne santé". CQFD.

On peut se tuer avec du simple doliprane

on peut se tuer avec tout un tas de chose en vente libre ...les couteaux ,le débouche évier , la vodka,le coca cola ,les boissons énergisantes,le sulfite de sodium par exemple ,et on devrait interdire la vente de toutes ces substances aux demeurés aux vieux ainsi qu'à,tous ceux dont le QI est inférieur à 100

Merci d'étayer un peu le contre...! j'adhère totalement Constantinople qui plus est !

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je peux encore développer !

les études de pharmacie sont longues.

m^me si on enlève les tonnes de plantes et de champignons à connaître par coeur il reste un max de connaissances que le français moyen n'imagine pas.

Donc dans une grande surface il achètera le médicament dont on fait la publicité.

cette pub est faite en fonction des marges des labos et pas du tout en fonction de critères médicaux en général et appliqués à ce français en particulier.

Donc le français qui achète déjà un max mas s'auto "médiquer" sans raison, sans posologie sérieuse et sans connaître les contre indications ou les mélanges interdits !

Donc ça coûtera finalement plus cher que le système actuel et en plus on en retrouvera certains aux urgences ou bien complètement "patraque".

On a déjà le cas avec les "compléments alimentaires.

Hélas en France on ne sait pas prévenir.

La meilleure santé se construit avec son corps :

- à table : manger sain, manger varié et équilibré et ne pas ingurgiter les médoc à la mode sous prétexte qu'ils l'ont dit à la TV

- et se "bouger" : la marche rapide, éviter le plus possible les ascenseurs et faire de la gym élémentaire pour garder le tonus cardiaque, la souplesse articulaire, l'équilibre et un minimum de musculature abdominale et posturale.

on peut se tuer avec tout un tas de chose en vente libre ..

Rajoutons en une couche donc...

Voici un extrait d'article concernant l'aspect économique d'une telle mesure... sur une éventuelle baisse de prix. (A voir à l'usage....)

Quel serait, concrètement, l'impact de cette ouverture partielle à la concurrence pour le consommateur ? Serait-elle la même pour tous les types de médicaments ?

Si on appliquait les suggestions du Conseil de la concurrence, les Français devraient trouver dans certains magasins, des grandes surfaces ou des magasins spécialisés type parapharmacie, un "rayon médicament" où seraient dispensés des produits sans ordonnance, à prix libres. Je ne suis d’ailleurs pas du tout certain que cela marche. Il faudra en effet rentabiliser l’aménagement du rayon et justifier l’emploi d’un ou plusieurs pharmaciens à temps plein pour vendre des produits qui ne sont déjà pas très chers et dont on espère faire encore baisser les prix ! Par ailleurs il faut savoir que l’Etat n’est pas du tout prêt à libéraliser le médicament sans ordonnance.

Pour des raisons de sécurité il s’efforce de maintenir le plus de produits possibles avec une obligation de prescription. Donc dans le monopole officinal traditionnel. La réussite économique de ces "rayons médicaments" ne pourrait se concevoir qu’avec de très forts débits et donc dans des centres commerciaux ou des zones urbaines denses. Pas sûr qu’à la fin cela démocratise réellement l’accès au médicament !

Comment pourrait-on autrement dynamiser la concurrence au sein du secteur, et surtout rendre les médicaments plus accessibles ?

Mais le médicament est certainement un des biens les plus accessibles en France : ne nous rabâche-t-on pas les oreilles avec le fait que nous sommes les champions du monde de la consommation pharmaceutique ! Ce qui n’est d’ailleurs plus complètement vrai. Il existe 22.500 officines en France, ce qui constitue pratiquement le record d’Europe, et elles couvrent tout le territoire même si "les pharmacies des champs" sont de plus en plus menacées. Pratiquement tous les médicaments existants sont vendus en France, ce qui est loin d’être le cas dans tous les pays, même développés. Le médicament n’est pas cher et la très grande majorité d’entre eux sont remboursés à 100% par la sécurité sociale et les mutuelles et les Français les payent avec leur chère carte verte Sesam-Vitale. On n’a vraiment pas de problème d’accessibilité au médicament en France – avec ou sans ordonnance ! C’est pourquoi il faut relativiser le constat que fait le Conseil de la Concurrence. D’ailleurs, sa suggestion qui tendrait à le banaliser à travers la libéralisation du circuit de distribution va plutôt à l’encontre de la politique des pouvoirs publics qui, depuis plusieurs années, vise à responsabiliser les Français et à leur faire prendre conscience que le médicament "n’est pas un produit comme les autres"

Read more at http://www.atlantico...wEyQD3z3Hddc.99

Contre et archi-contre ! Quand je vois des personnes autour de moi se "goinfrer" de doliprane je n'ose même pas imaginer ce que cela pourrait devenir si cela devenait un produit en libre service. Pour ces personnes là, il y a toujours le garde-fou du pharmacien : la démarche d'aller à l'officine, la peur d'être reconnu en cas de visites trop fréquentes !

Un médicament, même dit bénin, reste un produit à prendre avec précaution et seul un pharmacien peut donner des conseils. Perso, j'ai tendance à l'auto-médication en cas de problèmes légers (coup de froid ou petites blessures) et j'écoute les conseils donnés pour éviter des mélanges explosifs. Si ces produits deviennent libres, comment les gérer ?

Quant aux prix, pharmacies, laboratoires ou hypers cela reste des commerçants avec donc un but lucratif à la clé. Le consommateur n'est qu'une étude de marché sur un diagramme de rentabilité !

dans ma ville il y a beaucoup de pharmacies donc celui qui veut se goinfrer de doliprane peut le faire autant qu'il le veut

après hein je dis ça...

je ne pense pas que le problème soit là, il l'est pour les personnes qui ne connaissent pas grand chose au medical et qu'il faut quelqu'un de competent vers qui elles pourraient se tourner en cas de besoin et pour demander conseil