Mais qui sont ces immigrés, qui n'ont immigré de nulle part ?

la citation n est elle pas "l' Homme est un miracle sans interet"?

monsieur le professeur de fac', tu dis de la merde et tu t enfonces...cherche pas

tu fais parti de ce miracle

pas comme toi Rostand :smile2:

MERCI DE garder pour VOUS votre AGRESSIVITE

je parlais au sens general...

Quelle agressivité?

Qu'entends tu par "sens général"?

un petit rappel sur les français pas gaulois....et pas français à part entière même pour votre république :

"Le consulat de France à Ho-Chi-Minh-Ville refuse de lui accorder un visa de court séjour. Sur le site de La Provence, Sophie Manelli raconte le destin de Kiem Van Phan, né dans le Annam, en 1918 ou en 1919. A l'époque, la région est encore une colonie française. Kiem Van Phan se sent lié à la France. En 1939, au début de la guerre, il s'engage dans l'armée, comme vingt mille Indochinois. Pendant cinq semaines, il voyage dans la cale d'un bateau. Il débarque à Marseille. Il part pour la Normandie. Il se bat sur la ligne de front et il est capturé. Pendant trois ans, il est prisonnier au stalag, en Allemagne et en France, dans des camps "réservés aux Indigènes". Les conditions de détention sont très difficiles. Le jeune homme est transféré à Saint-Dizier. Il réussit à s'évader. Il rejoint un réseau de résistance. Il s'y engage pendant sept mois, jusqu'en septembre 1944. Là, il demande à être réintégré dans l'armée. Il participe à la libération de Colmar et de Strasbourg, puis à l'occupation de l'Allemagne, dans la région de Coblence. Kiem Van Phan devient sergent, jusqu'en 1946 lorsqu'il est démobilisé. C'est le début de la guerre d'Indochine. Le jeune homme refuse d'aller se battre contre les siens.

Le journal La Provence raconte qu'a l'époque, ses

papiers d'identité portent la mention "Français d'origine indigène". En

1958, quand l'ancien soldat veut les faire renouveler, on lui répond

qu'il est... étranger, puisque la décolonisation est passée par là. Kiem

Van Phan multiplie les démarches. Lui qui s'est battu pour la France,

il doit attendre six ans pour récupérer la nationalité française. Il se

sent humilié. Aujourd'hui, lorsque

l'administration refuse de laisser sa petite-nièce venir à Marseille,

même pour un court séjour, il ressent la même amertume. Dans l'article

de Sophie Manelli, le fils de Kiem Van Pham le résume à sa façon : "Mon

père a beau être Français, pour l'administration il reste un niah-koué".

en entier sur :

http://www.franceinfo.fr/emission/Unknown%20token%20emisaison-type-url/noeud-diffusion-temporaire-pour-le-nid-source-854101-05-05-2014-11-47

c 'est beau, c 'est grand la france !

tout à fait et si elle se limite à cela, elle ne sera pas considérée comme française puisque, bien que l appréciant, elle ne l a pas fait sienne.

Une personne qui est née en France et qui depuis des générations a des origines françaises mais se convertit à l'Islam, tu vas le considérer comme français ou comme étranger ?

tu fais parti de ce miracle

tu te situes donc en dehors de l humanité :smile2:

t as vraiment aucune dignité le prof'; tu te fais moucher encore et encore et tu reviens à la charge...

Une personne qui est née en France et qui depuis des générations a des origines françaises mais se convertit à l'Islam, tu vas le considérer comme français ou comme étranger ?

du genre à se renommer mohamed apres sa conversion et à déambuler en djellaba en balançant du starfooullah, hamdoulillahhh à chaque phrase? :smile2:

La question cruciale, il me semble, c'est : qui veut s'intégrer à Heurk ?

Moi non.

Heurk, tu es au delà de mes compétence. Passe une bonne journée.

Également Pasdeparanoia.

du genre à se renommer mohamed apres sa conversion et à déambuler en djellaba en balançant du starfooullah, hamdoulillahhh à chaque phrase? :smile2:

Tu ne réponds pas à la question qui est pourtant simple.

sur le fond peut être mais je suis partisane du fait que lorsque tu vas t'installer dans un autre pays que le tient d'origine, c'est à toi de t'intégrer et de faire UN avec le pays qui t'accueille...

si demain je m'établissais en Allemagne (par exemple) jamais dans un espace public on m'entendrait parler en français, car allemande je serais devenue même si chez moi dans mon appart ou maison je vivrais (peut être) ou parlerais avec famille ou amis en français...chez moi , mais pas à l'exterieur...

mon simple avis

:)

Et comment ferais tu si ta famille ou des amis venaient te visiter et que tu te promènes dans la rue avec eux? Tu ne leur parlerais donc qu'en Allemand.

Merci.

Tu ne réponds pas à la question qui est pourtant simple.

et pourtant tu me parles d un converti...quel genre de converti? celui qui va se "convertir" pour pouvoir épouser sa nana issue d une famille pratiquante et qui va continuer à manger son sauciflar à l apero? ou plutot celui que je decris

N'importe quoi... Les enfants sont parfaitement bilingues, en quoi seraient-ils empêché de s'intégrer, si ce n'est à cause du regard que des personnes comme vous leur portent et du fardeau identitaire que vous leur imposez ????

Déja, évites de me coller une étiquette.

Secondo, je parle prénom, tu me réponds bilinguisme? Wadafack?

On s'en fout des prénoms.

Tu t en fous, nuance. Zoreille :smile2: :smile2: :smile2: :smile2: :smile2:

Bé c'est bien, mais encore une fois, perso si j'avais un projet de vie en Suède et que je savais que donner un prénom suédois à mes enfants leur faciliterait la tâche dans leur vie future, je pense que je pourrais sauter le pas, dans leur intérêt. Ils garderaient quoi qu'il arrive mon nom de famille et rien ne serait renier!

Pas mal de gamins font les traducteurs pour un Grand-Parent ou un Oncle ou Tante qui maitrise mal la langue à l'oral ou à l'écrit. Ca je le vois.

Oui, c'est ce qui se passait en Inde, où les parents dans l'ensemble ne parlaient surtout que le tamoul.

Les enfants peuvent apprendre beaucoup plus vite une autre langue que la langue habituelle parlée dans leur familles.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pr%C3%A9noms_su%C3%A9dois

Ya plein de prénoms transnationaux.

C'est pas le prénom qui fait l'intégration, ça se saurait. C'est la vie que tu décides de mener sur place, et la capacité des gens à t'accepter avec tes différences.

Secondo, je parle prénom, tu me réponds bilinguisme? Wadafack?

Tu rapproches le phénomène des prénoms étrangers avec celui du fait de parler étranger dans les rues françaises, qui est le sujet de l'intervention au-dessus de la tienne, à laquelle je réponds véritablement.

sur le fond peut être mais je suis partisane du fait que lorsque tu vas t'installer dans un autre pays que le tient d'origine, c'est à toi de t'intégrer et de faire UN avec le pays qui t'accueille...

si demain je m'établissais en Allemagne (par exemple) jamais dans un espace public on m'entendrait parler en français, car allemande je serais devenue même si chez moi dans mon appart ou maison je vivrais (peut être) ou parlerais avec famille ou amis en français...chez moi , mais pas à l'exterieur...

mon simple avis

Eh bien désolée, mais je ne te crois pas,:) je m'explique:

Que tu fasses l'effort de parler allemand, de t'intégrer, bien sûr c'est très bien.

Mais quand tu dis que tu ne parleras plus jamais français en public je ne vois pas comment cela serait possible. Si tu rencontres des français? de la famille? des amis que tu avais en France?

La solution serait que tu renies totalement le fait que tu sois française et ainsi ta famille, tes amis français, que tu fasses l'effort de ne pas avoir d'accent français du premier coup.

Ce n'est plus de l'intégration, mais un coup de gomme sur toute ton identité.

C'est ça le plus comique.

Ces gens demandent des efforts insurmontables aux immigrés mais seraient dans l'incapacité la plus total d'en faire le centième.

N'importe quel occidental expatrié se retrouve dans un bunker communautaire, se tenant bien éloigné des locaux.

Qu'en sais-tu?

A un moment faut faire des choix.

Après, tu compares deux émigrations différentes...