La France est-elle un pays trop conservateur ?

.

Plus près de " A bout de nerfs " car les composantes progressistes et réactionnaires ou conservatrices sont présentes dans la population dans des proportions variant selon l'époque, les enjeux et l'actualité économique et sociale.

Je pense que les Français ont la trouille, pour leur emploi, leur revenus, leur logement. Pour eux ou sinon pour un ou plusieurs de leur proches.

Même si la question est beaucoup plus complexe, l'idéologie dominante est celle de la classe dominante.

Je pense que les Français ont la trouille, pour leur emploi, leur revenus, leur logement. Pour eux ou sinon pour un ou plusieurs de leur proches.

Je pense surtout qu'il y a beaucoup de poissons rouges en quête de mémoire.

La peur peut rendre certains amnésiques....

c'est une blague non la question ?

les problème actuel sont justement du fait que la france ne s'est pas assez imposer pour établir des règle fixe et suffisamment strict pour se protéger d'elle même au final, parce que a vouloir être trop gentil accepter tout et tout le monde ça part en cacahuète

nous somme un pays ouvert aux idées et ça c'est très bien le problème c'est que ce pays n'a pas assez de couille pour prendre les décision qui s'impose quand elle sont facheuse c'est plus facile de dire oui a tout et laisser les suivant se demerder

Avec l'abstention, qui peut parler des Français ?

Le problème avec le terme progressiste, c'est qu'il est très subjectif et dépend directement de celui qui l'emploie ...

Etre progressiste (économiquement et socialement) pour un libéral ou pour un décroissant, ça signifie souvent l'exact opposé.

En ce sens, la France a souvent été progressiste par le passé (de mon point de vue de gauchiste) sur certains points, mais son fonctionnement régalien (éducation, administration, etc ...) reste plutôt conservateur : ce qui est à la fois un mal (il y a tant à rénover) et un bien (dans le sens où l'on n'a pas encore totalement cédé à l'économie ... même si nos politiques prennent ce chemin - ce qu'ils nomment le "réalisme" - et que les électeurs votent très minoritairement pour remettre l'humain au centre des débats).

Je gage qu'elle l'est du moins... Je ne suis pas en France pour le savoir. En fait j'ai même de la misère à le savoir ici.

elle l'est sans l'être, se fourvoyer dans la dichotomie ne permet jamais une juste analyse

A première vue je dirais que non, les gens sont plutôt d'accord quand on les entends ils sont plutôt pour le changement, l'évolution, seulement voilà dès que le changement les concerne alors là les protestations suivent.

Ils sont d'accords pour qu'il y ait moins de régions mais ils ne veulent pas voir la leur disparaitre par ce que c'est leur histoire, leur héritage.

Ils sont d'accords pour que l'état fasse moins de dépenses mais ils refusent d'être concernés par ces économies.

Ils sont d'accords pour pour que les choses évoluent avec souvent comme explications "on est au 21 siècle il faut évoluer avec son temps" et puis en même temps ils sont souvent contre tout ce qui ferait évoluer les choses qui tiendrait compte de la vie actuelle et pour cela ils font souvent référence au passé pour expliquer pourquoi au final ils sont contre.

De mon point de vue les gens veulent conserver les choses telles qu'elles sont et puis quand les choses changent ils râlent parfois très fort et des années après souvent ils sont les premiers à défendre ces changements.

Finalement je ne dirais pas que la France est un pays conservateur je dirais juste qu'il lui faut du temps pour accepter les changement et cela au prix de beaucoup de grève et de mécontentement.

Merci.

Je pourrais être d'accord en partie, si - à demi-mots - ton constat n'avait pas l'air de graviter autour des acquis sociaux, toujours jugés rétrogrades, le progrès prenant ainsi le sens de "compétitivité économique".

Du moins, c'est ce que je lis entre les lignes.

Pour moi, ça n'est pas ça le progrès ou la modernité : ça, c'est la pensée dominante.

Une nouvelle réduction du temps de travail, par exemple, serait à mes yeux plus progressiste : ça va dans le sens de l'amélioration des conditions de vie de la population, et c'est dans tous les cas un enjeu économique pour l'avenir qui verra s'automatiser de plus en plus de tâches et diminuer ainsi le besoin en activité laborieuse humaine.

De même, les enjeux écologiques impliquent de repenser notre activité et nos comportements, axés autour de la croissance comme but incontournable, et plus généralement uniquement basés sur la seule réflexion économique.

Plus près de " A bout de nerfs " car les composantes progressistes et réactionnaires ou conservatrices sont présentes dans la population dans des proportions variant selon l'époque, les enjeux et l'actualité économique et sociale.

Je pense que les Français ont la trouille, pour leur emploi, leur revenus, leur logement. Pour eux ou sinon pour un ou plusieurs de leur proches.

Je suis d'accord mais avec mes gros sabots je dirais que la proportion fluctue autour du 50/50

Ça se joue selon l'époque à quelques pour-cent l'avantage des uns sur les autres.

Je pourrais être d'accord en partie, si - à demi-mots - ton constat n'avait pas l'air de graviter autour des acquis sociaux, toujours jugés rétrogrades, le progrès prenant ainsi le sens de "compétitivité économique".

Du moins, c'est ce que je lis entre les lignes.

Pour moi, ça n'est pas ça le progrès ou la modernité : ça, c'est la pensée dominante.

Une nouvelle réduction du temps de travail, par exemple, serait à mes yeux plus progressiste : ça va dans le sens de l'amélioration des conditions de vie de la population, et c'est dans tous les cas un enjeu économique pour l'avenir qui verra s'automatiser de plus en plus de tâches et diminuer ainsi le besoin en activité laborieuse humaine.

De même, les enjeux écologiques impliquent de repenser notre activité et nos comportements, axés autour de la croissance comme but incontournable, et plus généralement uniquement basés sur la seule réflexion économique.

Pas du tout ça ne concerne pas que les acquis sociaux, tiens par exemple quand il à été question pour les plaques minéralogiques de ne plus avoir les départements d'inscrits dessus, beaucoup on râlé en disant que c'était un peu comme faire disparaitre les départements et que il tenait à leur département etc.... tout plein de raison de ne pas le faire, puis le temps à passé et maintenant plus personne ne trouve rien à y redire et des exemples comme ça je peux t'en trouver plein.

Merci.