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Selon vous la violence est-elle innée ou culturelle ?

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Invité Dompteur de mots
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Invité Dompteur de mots
Invité Dompteur de mots Invités 0 message
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Les psychologues et autres psychiatres et psychanalystes sont surtout là pour aider les gens qui ont des problèmes individuels, liés bien souvent à de mauvaises interactions avec les autres, donc rien à voir directement avec une culture, surtout si les personnes, "l'agresseur" et le patient, baignent dans la même, les souffrances endurées ne sont pas d'ordre culturel mais en fonction de comportements entre humains de base ( respect, non agression, tolérance, appartenance, développement, empathie ... ), ce qui ne veut pas dire que le choc des cultures n'existe pas, mais il n'est pas systématique/prépondérant. Comme tu l'as donné en exemple, le viol d'une femme, n'a rien de culturel à mon avis, par contre la femme devra faire un gros travail derrière pour vivre avec, aidée de psy ou pas.

Mais la culture, ce n'est pas seulement ce qu'il y a dans les musées ! La culture c'est précisément tout cet ensemble de codes et de rituels qui s'inscrivent entre tous les hommes d'une même société. À ce titre, les maladies mentales et les troubles psychologiques ont certainement tous une résonance culturelle. Ce qui ne signifie pas qu'elles soient purement culturelles. La bipolarité par exemple est largement héréditaire et il y a plusieurs autres troubles cérébraux qui découlent essentiellement d’un mauvais fonctionnement des structures cérébrales.

On peut dire que durant la Deuxième Guerre Mondiale, il y a une culture de la guerre qui s'est installée en Europe. Les codes habituels se sont effrités au profit des codes de la guerre. Ainsi, on a vu une augmentation de nombre de viols. Maintenant, ça ne signifie pas que le viol soit un acte purement culturel.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 991 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

On peut dire que durant la Deuxième Guerre Mondiale, il y a une culture de la guerre qui s'est installée en Europe. Les codes habituels se sont effrités au profit des codes de la guerre. Ainsi, on a vu une augmentation de nombre de viols. Maintenant, ça ne signifie pas que le viol soit un acte purement culturel.

" En sociologie, la culture est définie de façon plus étroite comme "ce qui est commun à un groupe d'individus" et comme "ce qui le soude". Ainsi, pour une institution internationale comme l'UNESCO : « Dans son sens le plus large, la culture peut aujourd'hui être considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts, les lettres et les sciences, les modes de vie, les droits fondamentaux de l'être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances. »1 Ce "réservoir commun" évolue dans le temps par et dans les formes des échanges. Il se constitue en manières distinctes d'être, de penser, d'agir et de communiquer. Par abus de langage, on utilise souvent le mot "culture" pour désigner presque exclusivement l'offre de pratiques et de services culturels dans les sociétés modernes, et en particulier dans le domaine des arts et des lettres. "

Que les habitudes de vie aient changé pendant la grande guerre, je n'en doute pas, que cela s'apparente à un trait culturel temporaire je peux encore l'entendre, mais en aucun cas, le viol ne peut rentrer dans ce cadre, même de loin, ce n'est que réponse à un instinct on ne peut plus bestial, qui certes parfois tend vers un mouvement collectif, comme certaines guérillas en Afrique centrale, où nombre de femmes ont été violées par des soldats, ce sont des évènements indépendants mais produits dans des circonstances favorisantes, les verrous et sanctions ont sauté laissant libre cours aux instincts les plus primitifs, inversement si tous les hommes urinent debout sur le bord de la route, ça n'a rien de culturel non plus, c'est un mouvement convergent lié à des contraintes et une possibilité, il ne faudrait pas faire des inférences illicites, quand bien même on y voit des corrélations, il y a d'autres explications.

D'ailleurs, personne ne devrait se permettre de réfléchir sans avoir lu avant au moins trois fois mon intervention. J'ai de loin écris ce qu'il y a de plus éclairant ici.

J'essaierai d'y répondre, car il me semble avoir détecté quelques petites choses, à suivre...

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Invité nietzsche.junior
Invités, Posté(e)
Invité nietzsche.junior
Invité nietzsche.junior Invités 0 message
Posté(e)

Mais la culture, ce n'est pas seulement ce qu'il y a dans les musées ! La culture c'est précisément tout cet ensemble de codes et de rituels qui s'inscrivent entre tous les hommes d'une même société. À ce titre, les maladies mentales et les troubles psychologiques ont certainement tous une résonance culturelle. Ce qui ne signifie pas qu'elles soient purement culturelles. La bipolarité par exemple est largement héréditaire et il y a plusieurs autres troubles cérébraux qui découlent essentiellement d’un mauvais fonctionnement des structures cérébrales.

On peut dire que durant la Deuxième Guerre Mondiale, il y a une culture de la guerre qui s'est installée en Europe. Les codes habituels se sont effrités au profit des codes de la guerre. Ainsi, on a vu une augmentation de nombre de viols. Maintenant, ça ne signifie pas que le viol soit un acte purement culturel.

la seconde guerre mondiale , la première le génocide amérindien , tout ca c est consequence de cette culture de la violence , c est ce qui nous sépare , en quelque sorte , il ne pouvait en être autrement ... et c est ca le génie chez des gens comme kafka , d avoir compris ce vers quoi tendait ce virage pris par la modernité ... le viol dans les colonie .. pourquoi pense tu qu il y a autant de métis dans les Antilles , tous ont eu un grd mere violé par un maitre blanc :! il n ont pas attendu la seconde guerre mondial pour cela ...

le viol avant d être une violence sexuelle est une violence , le violeur laisse parfois la vie a sa victimes , une façon de lui dire , j aurais pu te tuer ... c est aussi ca le pire pour les survivant de ce genre de drame , parc que cette impressions sadique qu un type contenu de maintenir votre vie sur un fil .. .. .. dire que le viol peut etre en partis naturel pour moi c est posé dans les gènes de l homme un monstre en puissance , c est avoir une vision méprisante de la nature .la nature ne fait pas naitre de tel choses .. seul la Raison a travers la culture peut construire de tel monstruosité tel que la choa ou la traite négrières ..

d apres toi pourquoi les surréaliste on redécouvert Sade ...

je partage certain truc .de ton discours .. . le coté culturel dans les maladie mental .mais je crois que ca c est une évidence aujourd hui que plus personne ne remet en cause sauf les adeptes d une psychiatrie qui se réduit a une pharmacie .. me fait penser au débat sur , est ce qu œdipe existe dans le pacifique .. cela me renvoi a George devreux , a l ethnopsychiatrie .. a la différence entre civilisation et culture que tu m a reproché .. celle que Freud refusait de faire et que des anthropologue ont fait ..

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Membre, Posté(e)
MDCCCLXXI Membre 98 messages
Baby Forumeur‚
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d apres toi pourquoi les surréaliste on redécouvert Sade ...

Parce qu'il fallait bien qu'ils trouvent quelque chose à dire tant leur message littéraire est pauvre et inintéressant. De plus, l'art surréaliste qui se dit s'opposer à une logique responsable des guerres est lui même violent, il n'y a qu'à voir Les mains libres d'Éluard, les peintures de Dali qu'il explique lui même comme étant psychanalytiques et révélatrices de sa violence, de ses angoisses intérieures.

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Invité nietzsche.junior
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Invité nietzsche.junior
Invité nietzsche.junior Invités 0 message
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merci je t adore :coeur:

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Invité
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Invité
Invité Invités 0 message
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la violence est innée chez l'homme et certains individus n'arrivent pas malgré leur éducation culturelle a réprimé leurs pulsions violente (exemple le viol ).

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Invité nietzsche.junior
Invités, Posté(e)
Invité nietzsche.junior
Invité nietzsche.junior Invités 0 message
Posté(e)

c etait tous des gros con d égoïste qui on remplacé le sacré par leur petit moi égoïste et renfermé sur lui même !!! a l image de la société d aujourd hui complétement coupé de la nature

cette expérience de la beauté pervertit par l égoïsme et l individualisme , voila c est quoi leur surréalisme a la con

bon etant ivre .. je ne suis pas responsable de mes propos ..

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Invité
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Invité
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Posté(e)

la violence est innée chez la femme quant elle a un coup dans le bigornot :o° :smile2:

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-SyntaxError- Membre 2 255 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Alors les pulsions naturelles sont t- elles innées ou culturelles ? :D

Par définition, les pulsions sont innées, ce sont des phénomènes instinctifs, physiques, physiologiques, psychophysiologiques on pourrait même dire...

On peut prendre pour exemple l'instinct de survie...Qui peut avoir pour conséquence des actes violents dans un but défensif.

Ce qui est culturel, c'est simplement la manière dont sont gérées ces pulsions.

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Invité nietzsche.junior
Invités, Posté(e)
Invité nietzsche.junior
Invité nietzsche.junior Invités 0 message
Posté(e)

.. non pas la sur un autre topic me suis trompé

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Invité
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Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Comment espérer qu'un jour l'Homme que nous portons tous en nous puisse se dégager de l'animal que nous portons également si jamais on ne lui dit comment fonctionne cette admirable mécanique que représente son système nerveux ? Comment espérer voir disparaître l'agressivité destructrice, la haine, la violence et la guerre ? N'est-il pas indispensable de lui montrer combien aux yeux de la science peuvent paraître mesquins et ridicules les sentiments qu'on lui a appris à considérer souvent comme les plus nobles sans lui dire que c'est seulement parce qu'ils sont les plus utiles à la conservation des groupes et des classes sociales, alors que l'imagination créatrice, propriété fondamentale et caractéristique de son cerveau, n'est le plus souvent, c'est le moins qu'on puisse dire, absolument pas exigée pour faire un honnête homme et un bon citoyen.

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Invité Leopardi
Invités, Posté(e)
Invité Leopardi
Invité Leopardi Invités 0 message
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L'imagination créatrice, tu peux en dire plus ?

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Membre, 57ans Posté(e)
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Baby Forumeur‚ 57ans‚
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Tant que vous essaierez d'expliquer des choses comme la violence par la science, le système nerveux et le cerveau, vous passerez à mon avis à côté de l'essentiel.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
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la science n'explique pas elle informe, comment certains mécanismes biologiques fonctionnes aux niveaux de certains comportements violents !

et qu'est-ce l'essentiel pour toi ?

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

L'essentiel, ce qui est caché à la conscience et qui n'en est pas moins déterminant et agissant. Nous sommes des nains sur des épaules de géant. Nain présomptueux, petit moi qui s'imagine être alors qu'il n'est qu'une illusion d'être.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

L'essentiel, ce qui est caché à la conscience et qui n'en est pas moins déterminant et agissant. Nous sommes des nains sur des épaules de géant. Nain présomptueux, petit moi qui s'imagine être alors qu'il n'est qu'une illusion d'être.

L’inconscient !

Ben on l'étudie aussi grâce à la neurobiologie et aux neurosciences- cognitives voici un lien.:

http://www.forumfr.c...nconscient.html

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 991 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

nothing.pngDompteur de mots, le 23 mai 2014 - 17:53, dit :

D'ailleurs, personne ne devrait se permettre de réfléchir sans avoir lu avant au moins trois fois mon intervention. J'ai de loin écris ce qu'il y a de plus éclairant ici.

J'essaierai d'y répondre, car il me semble avoir détecté quelques petites choses, à suivre...

Voilà, ça va chauffer...dans les bermu... les ciboulots:

Voici un beau fragment (no. de catalogue DDM 356b-c) de moi-même, où je tente de définir le concept de violence:

"1. Tous les êtres s’efforcent de persévérer dans leur être.

2. Tous les êtres sont singuliers.

3. Il découle de là qu’il y a naturellement des antagonismes entre les êtres. Pas nécessairement, exemple trivial: homme-femme, il y a aussi des attirances!

4. La puissance des êtres est inégale et par suite, certains êtres prévalent dans les antagonismes.

5. On appellera « force » l’effort par lequel un être prévaut sur un autre être. « Forts » seront les êtres qui prévalent, « faibles » ceux qui abdiquent.

6. La force interne, selon les circonstances, se déploie selon plusieurs modalités : séduction, sournoiserie, agressivité, etc.

7. Paradoxalement, le sujet peut, par identification, éprouver de l’amour pour l’objet qu’il contraint, en opposition au mal qu’il lui fait subir. Oui, mais c'est loin d'être une généralité, c'est plutôt l'inverse qui se produit en général, un dédain prononcé.

8. Inversement chez l’objet, de l’identification avec l’être contraignant découle un certain amour, en opposition avec l’idée du mal subi. Difficilement généralisable.

9. Dans les deux cas, l’antagonisme intérieur ainsi produit s’appellera « violence ». Là on est carrément pas d'accord, la cause n'est absolument pas interne.

10. En tant que spectateurs, nous pouvons ressentir de la violence, par exemple en regardant un zèbre se faire déchiqueter par un tigre, parce que nous nous identifions simultanément aux deux parties. Ainsi, si nous fixons le zèbre, nous pouvons ressentir le plaisir du tigre à exercer sa puissance en même temps que la souffrance du zèbre à la subir. Ce qui explique pourquoi les gens ont en général une fascination mêlée d’indignation face à la violence : c’est la nature même de la chose.

11. Certains modes d’application de la force interne comme la sournoiserie ou la séduction font que l’objet n’entre pas en contact avec l’idée du tort subi, d’où le fait qu’il ne ressente pas de violence, mais seulement une sympathie pour le sujet.

12. Suivant cette logique, moins nous nous identifions à l’objet à contraindre, moins nous ressentirons la violence de nos actes. C’est effectivement le cas par exemple lorsque nous écrasons des insectes. Inversement, moins l’objet de la contrainte s’identifie au sujet, moins il ressent la violence des actes subis. Par exemple, si nous sommes attaqués par une abeille, nous nous défendrons sans le sentiment de confusion ou d’excitation intérieure qui vient de l’identification avec le sujet.

13. Il m’appert donc que ce que l'on appelle « violence saine » correspond en fait à une absence de violence (il faudrait un autre concept), où l’objet de la contrainte n’a pas l’idée du mal subi, soit parce que le sujet contraignant use d’une ruse parfaite, ou parce que l’objet accepte rationnellement les raisons du sujet contraignant comme si elles découlaient de la nécessité."

Et donc, tu n'expliques rien, hormis les cas les plus simples de 10 à 13, où expliques tu la partie brutalité de la violence?

Sans compter les prémisses tirées par les cheveux.

Copie à revoir, peut mieux faire!

Multiplication des moyens permettant d'exercer sa force.

Passage de l'individu comme vecteur de violence à des entités collectives: pays, nation, etc.

Développement des philosophes individualistes et humanistes --> augmentation de la conscience de soi --> augmentation de la sensibilité individuelle.

Crois tu vraiment que la multiplication des moyens soit une condition nécessaire, et même suffisante, pour expliquer la virulence particulière de l'Homme?

Le fait que les foules se laissent berner ( psy. des foules, G Le Bon ), ne justifie pas l'intensité de notre violence, uniquement de rendre collectif ce qui était individuel.

Approche complémentaire de ta part, de dire que le seuil d'acceptation a été revu à la baisse, laisse entendre que la violence serait affaire de point de vue subjectif, si c'est vrai dans certains cas particuliers, ce n'est pas généralisable, pour en revenir au même exemple, le viol a certainement toujours été particulièrement mal vécu par la personne, aussi bien par le passé que maintenant, depuis au moins l'homme de Cro-Magnon nous n'avons pas évolué sur nos ressentis, nous les dissimulons/contrôlons mieux, ce que l'on nomme la sociabilisation finalement.

En chacun de nous sommeille un Hulk, qui peut se réveiller et dévoiler toute sa brutalité bestiale/refoulée.

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Membre, Posté(e)
sli Membre 511 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La violence innée ou culturelle..dans certains pays la violence est tellement banalisée qu'on vous réduis à la machette comme on va acheter une baguette , le viol bof circonstances atténuantes de juges et jurés du fait qu'on peut pas condamner et mettre en prison des hormones..dans d'autres ou la femme et l'homme sont considérés tu contrôles tout ça ou tu vas en zonzon toi tes hormones..la sérénité en toutes circonstances c'est pour les bonzes pour les autres la culture de la non violence ça s'initie..chez les innés

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Invité Dompteur de mots
Invités, Posté(e)
Invité Dompteur de mots
Invité Dompteur de mots Invités 0 message
Posté(e)

la seconde guerre mondiale , la première le génocide amérindien , tout ca c est consequence de cette culture de la violence

De quelle culture de la violence parlons-nous ici exactement ?

, c est ce qui nous sépare , en quelque sorte , il ne pouvait en être autrement ... et c est ca le génie chez des gens comme kafka , d avoir compris ce vers quoi tendait ce virage pris par la modernité

Alors, la culture de la violence dont tu parlais est-elle celle du modernisme ? En quoi Kafka montre-t-il la supposée destination violente de cette culture ?

.. dire que le viol peut etre en partis naturel pour moi c est posé dans les gènes de l homme un monstre en puissance , c est avoir une vision méprisante de la nature .la nature ne fait pas naitre de tel choses .. seul la Raison a travers la culture peut construire de tel monstruosité tel que la choa ou la traite négrières ..

Je vais t’apprendre une chose étonnante NJ : l’homme a été engendré par la nature et fait donc partie de la nature. En conséquence, tout ce qui entoure l’homme fait partie de la nature. Ce n’est pas avoir une vision méprisante de la nature, c’est avoir une vision réaliste de la nature. La violence fait partie de la nature, voilà tout, et la culture en fait émerger des formes nouvelles.

Soit dit en passant, les relations sexuelles non consentantes existent chez les animaux. Seulement, chez l’homme, le tout s’accompagne de tout un monde affectif beaucoup plus complexe. Alors que l’animal va sans doute en ressentir une douleur et un inconfort, peut-être une confusion par la suite, chez l’homme cela va au contraire entraîner une perturbation des structures psychologiques de l’individu; des structures érigées pendant de long millénaires de civilisation. En effet, l’homme a développé des concepts d’identité, d’individualité, de liberté et autres qui lui donnent une perception toute spéciale des limites de sa personne et de ses rapports avec autrui. De plus, chacun contracte une alliance implicite avec les autres et y sacrifie beaucoup de son énergie. Chaque fois que cette alliance est violée (le terme est de circonstance), le choc est difficile à encaisser.

Quant aux négrières, je citerai l’exemple des fourmis esclavagistes. Encore là, on retrouve toutes les différences dont j’ai parlées avec le cas du viol.

d apres toi pourquoi les surréaliste on redécouvert Sade ...

J’aimerais bien que tu me le dises et que tu en profites aussi pour m’expliquer de quelle manière ce fait s’imbrique à ton argumentaire.

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