Notre Société

Voici une vidéo qui ,je pense ,révélera à chacun la dureté de nos sociétés ,souvent donneuse de leçon à d'autre pays ,par exemple ,dans beaucoup de pays dit "sous développé "ou "émergeant" ,ont ne laisse pas mourir le pauvre ,on aide l'autre ect.. ..

La question seras donc ,le progrès inclus t'il dans son avancement,une perte d'humanité ? l'individualisme n'est t'il pas responsable ? bref travaillons à expliquer les causes potentiel dans ce nouveau sujet :

https://www.youtube.com/watch?v=fQn1FnB7kQU

ton sujet m'inspire plusieurs réflexions:

1. le choix du lieu ne me semble pas anodin, c'est visiblement une grande ville (Paris ?), les réactions seraient-elles les mm dans une petite bourgade ? pas sûre...

2. il n'en reste pas moins que l'apparence joue indéniablement un rôle : en clochard, personne ne s'arrête, en blazer, on s'inquiète immédiatement pour lui... grand classique de la société de l'image dans laquelle nous vivons (mieux vaut être jeune et beau que vieux et malade pour attirer le regard, c'est un fait), mais peut-être aussi que la pauvreté (apparente, ici) nous renvoie à notre propre déchéance éventuelle, notre propre déclassement, ces accidents de parcours qui peuvent arriver à chacun d'entre nous, chose à laquelle il n'est pas très agréable de songer... à qui n'est-il jamais arrivé de détourner le regard ou de changer de trottoir pour éviter un clochard ?

3. cela met aussi en lumière l'un des nombreux paradoxes de notre société : on n'a jamais été aussi "connectés" au vaste monde, ni jamais autant enfermés, isolés (derrière nos écrans, nos smartphones...), déconnectés de ce qui se passe à nos porte, dans notre entourage immédiat...

Alors je ne sais pas si c'est le progrès, qui nous rend aussi individualistes, ou la crise (fin de l'état providence, chacun pour soi ?), ou tout autre facteur, mais je remarque que dans le mm temps, et grâce aux mm outils, on voit fleurir une économie parallèle, participative, collaborative... autre paradoxe...

C'est un fake ! J'ai déjà été témoin de plus d'un malaise en ville, les gens se précipitent, et appellent le samu au moins.

Être individualiste, ce n'est pas à ce point là, c'est de la non assistance en personne en danger, c'est puni d'emprisonnement. La loi oblige à rester auprès du blessé et à appeler les secours.

Enfin moi je n'y crois pas

Et tu as tort !

J'ai vu un jour, un vieux monsieur trébucher et tomber dans la rue, incapable de se relever tout seul, rester là, sous les regards d'une dizaine de personnes, sans personne pour l'aider, parce qu'il pleuvait averse et que visiblement personne ne voulait se mouiller.

Et quand je lui ai prêté mon bras pour le soutenir, ces mêmes regards se sont portés sur moi, comme si ce que je faisais, était indécent ! C'est en tout cas l'impression que j'en ai eu.

Il y a de tout ! Des compatissants et des indifférents...

C'est un fake ! J'ai déjà été témoin de plus d'un malaise en ville, les gens se précipitent, et appellent le samu au moins.

Être individualiste, ce n'est pas à ce point là, c'est de la non assistance en personne en danger, c'est puni d'emprisonnement. La loi oblige à rester auprès du blessé et à appeler les secours.

Enfin moi je n'y crois pas

Ben vu la manière dont les personnes ont réagit dans le métro à Lille et bien moi j'y crois !

Ben vu la manière dont les personnes ont réagit dans le métro à Lille et bien moi j'y crois !

j'allais le dire...

[j'ai bien fait de lire jusqu'au bout avant de poster...]

ça ne m'étonne pas ce genre de comportement. Comme l'a dit Kim, l'apparence joue pour beaucoup, le gars en costard est secouru immédiatement, pas l'autre.

Je n'habite pas à Paris, mais en province. Quand je vais à Paris (c'est de plus en plus rare) il m'arrive souvent d'aller vers les clochards pour leur donner quelque chose à manger. Bon, comme je n'y vais pas souvent, ça ne grève pas trop mon budget, mais c'est sur que, pour celui qui est sur place, être sans cesse "alpagué" par des mendiants devient vite assommant. Je suis un peu hors sujet, mais je crois que dans le premier cas, je me serais arrêté.