Un psychiatre poursuivi après le suicide d'un de ses patients.

Je dirais que c'est les risques du métier. Les psychiatres ont un super salaire, mais ils ont ou plutôt doivent avoir le risque de se retrouver poursuivis lorsqu' ils mettent la vie d'autrui en péril.

Tout comme les médecins, chirurgien, mécanicien etc ...

Oui, et heureusement que certains sont condamnés, même si ce n'est pas asez sévère en France :

Un psychiatre condamné après le suicide de l'actrice

UN AN DE PRISON avec sursis et 10 000 d'amende. Le tribunal correctionnel de Nanterre (Hauts-de-Seine) est allé, hier, bien au-delà des réquisitions du procureur, en condamnant Daniel Tap

http://www.leparisien.fr/paris/le-psychiatre-condamne-apres-le-suicide-de-l-actrice-07-03-2003-2003881937.php

"des professeurs de psychiatrie sont maintenant en prison pour avoir créé des patients de toute pièce"

"Appeler cela de la science est trompeur."

http://psythere.free.fr/article.php?id_article=39

Le sujet n'est pas le livre Big pharma. :gurp:

Son contenu est très interessant pour le sujet !!!

Il est rare qu'autant d'experts s'expriment honnêtement en la matière.

Surtout en français !!

Tu ne sais pas ce que c'est qu'être schizophrène.

apparement de nombreux psychiatres ne savent pas non plus :

expérience décrite dans le chapitre 5 :de “Les inventeurs de maladies”

"8 personnes normales se sont fait hospitaliser plusieurs fois en HP et ont ete declarees schizophrene. Puis 196 véritablement malades ont ete hospistalisées en HP pour l’enquête et seul 10% ont ete diagnostiqué schizophrène."

Mais la schizophrènie n'est pas le sujet de la discussion !

Même si les résultats actuels sont catastrophiques :

"Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans."

extrait de pharmageddon du professeur david Healy

Ahhh, les gens qui vont bien qui viennent chier sur la gueule de ceux qui vont mal parce qu'ils sont en croisades contre les personnes venant en aide à ceux qui vont mal...

Mais tout est normal, hein. Continue de sacrifier des personnes parce que tes idéaux sont plus importants que tout, hein. Continue de considérer que toi, ton individualité, est importante, et que les autres, c'est tant pis pour leur gueule.

http://www.steelhorsemag.com/SSRI.htm

http://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.ssristories.com/show.php%3Fitem%3D410&ei=w5s2S4ejF57UjAfjzqFT&sa=X&oi=translate&ct=result&resnum=1&ved=0CAgQ7gEwAA&prev=/search%3Fq%3Dhttp://www.steelhorsemag.com/SSRI.htm%2Bprozac%26hl%3Dfr%26rls%3Dcom.microsoft:en-US

L’ASSASSINAT DE NOTRE JEUNESSE

Les ISRS, ou inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine, sont les dernières vaches à lait des sociétés pharmaceutiques . Leur utilisation a augmenté en flèche au cours des dix dernières années. Surnommé "Chemical Coiffure» et désigné comme des antidépresseurs, ils sont à l’origine de dizaines d’assassinats, des milliers de psychoses et ont modifient l’esprit de millions d’utilisateurs. Tous, sauf un très petit nombre de la dernière "Mass Murderers» ont été mis sur ces médicaments. Les écoles encouragent les parents à mettre leurs enfants à ces médicaments pour les plus petits signes de "non conformité". Les écoles reçoivent plus d’argent pour "handicapés" les élèves.

Voici un des articles les plus informatives sur les ISRS que j’ai trouvé par le Dr Julian Whitaker MD:

Un Fléau : le Prozac

Quand j’ai entendu parler du massacre de Columbine High School, ma première pensée fut: «Seigneur nous aide, si ils prennaient du Prozac? Neuf jours plus tard, il a été signalé que Eric Harris, l’un des tireurs, prenait Luvox, qui, comme le Prozac, Zoloft et le Paxil, appartient à la classe de médicaments appelés inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS). Dans l’une sur 25 enfants de la prendre, Luvox causes mania », une psychose caractérisée par des sentiments exaltés, la folie des grandeurs … et la surproduction d’idées."

Les armes sont blâmés, mais qu’en est il des médicaments sur ordonnance?

....

Et qu'en est-il des personnes capables de sacrifier des patients pour leur délire de croisades ?

Ce sont les propriétés amphétaminiques qui sont visées par les médecins.

Ainsi, drogué, tu retournes au boulot et tu n'es plus fatigué, ou tu es mort (dans ce cas, tu n'es plus fatigué non plus)

Cependant, tu as de grandes chances de finir en HP !

30% des admitions en HP sont dues aux seules effets secondaires des antidépresseurs ! selon le docteur LUCIRE yolande

"La santé des patients n'a aucune importance"

"la médecine nous tue et les médicaments nous empoisonnent" a écrit le docteur Lanctot.

Tandis que johan Gadsby a écrit :

"Les pires ravages attribués à la drogue ne passent pas l’action véreuse d’un dealer propriétaire d’un coin de rue, mais par celle d’un vénérable médecin lové dans son cabinet"

C'est bien ce qui m'a fait très peur !!!

Mais je trouve que ce n'est pas étonnant que l'on soit de très bons consommateurs d'anxiolytiques...

ça me scie

Vous n'aviez vraiment pas conscience que l'utilité des médicaments pour les troubles psychiatriques est en premier lieu d'engraisser l'industrie pharmaceutique ?

ça me scie

Vous n'aviez vraiment pas conscience que l'utilité des médicaments pour les troubles psychiatriques est en premier lieu d'engraisser l'industrie pharmaceutique ?

Et les médecins !!!!

C'est une rente pour eux également.

Et des consultations de 5 minutes pour les généralistes qui renouvellent les ordonnances !

Tout ça pour des drogues très dangereuses, souvent mortelles, qui ne servent quasi a rien !

Un article du professeur Peter Gøtzsche vient de sortir :

http://www.theguardian.com/commentisfree/2014/apr/30/psychiatric-drugs-harm-than-good-ssri-antidepressants-benzodiazepines

Les médicaments utilisés en psychiatrie nous font plus de mal que de bien

Comme avec les benzodiazépines dans les années 1980, le Royaume-Uni est prescrire des antidépresseurs ISRS à un rythme effarant et sans bon résultat

Plus de 53m prescriptions pour des antidépresseurs ont été délivrées en 2013 en Angleterre seulement . Photo : voyage-et-plus/Alamy

Nous semblons être au milieu d'une épidémie de drogues psychiatriques, tout comme nous étions lorsque les benzodiazépines (tranquillisants) étaient à leur apogée dans les années 1980. La baisse de leur consommation après des avertissements sur la dépendance a conduit à une forte augmentation de l'utilisation des nouveaux antidépresseurs, les ISRS (inhibiteurs de la recapture de la sérotonine).

Les chiffres publiés par le Conseil pour la psychiatrie fondée sur des preuves, qui a été mis en place pour contester beaucoup des hypothèses fréquemment au sujet de la psychiatrie moderne, montrent que plus de 53 m prescriptions pour des antidépresseurs ont été délivrées en 2013 en Angleterre seulement. C'est presque l'équivalent d'un membre pour chaque homme, femme et enfant et constitue une augmentation de 92 % depuis 2003.

Les ventes d'antidépresseurs ont monté en flèche partout et sont maintenant si hautes dans mon propre pays, le Danemark, que si les ordonnances étaient également répartis tout citoyen pourrait être en traitement pour les six années de leur vie. La situation est encore pire aux Etats-Unis, où diriger la publicité des médicaments d'ordonnance au public est autorisée et où plusieurs psychiatres ont été instruits avec l'hospitalité de l'industrie que n'importe quelle autre discipline médicale.

J'ai commencé à réaliser l'ampleur du problème quand j'étais persuadé il y a sept ans pour devenir un tuteur pour une thèse de doctorat sur si l'histoire était répète lui-même, en comparant des benzodiazépines ("mère little helper") avec les ISRS. Cette recherche a établi que les gens s'accroché sur les ISRS comme ils le faisaient sur les benzodiazépines et 37 42 des symptômes de sevrage sont les mêmes pour les ISRS en ce qui concerne les benzodiazépines.

Il est difficile de croire que tant de gens sont devenus dérangé mentalement et que ces augmentations de prescription reflètent un besoin réel, et nous devons donc chercher d'autres explications. Il semble y avoir trois raisons principales à la croissance énorme.

Tout d'abord, les définitions des troubles psychiatriques sont tellement vagues que beaucoup de gens en bonne santé peut être diagnostiqués de façon inappropriée. Deuxièmement, certains des psychiatres qui ont écrit les manuels diagnostiques étaient sur la liste de paie de l'industrie, et cela peut ont également conduit à l'inflation diagnostique importante. Troisièmement, le comportement des compagnies a été pire en psychiatrie que dans tout autre domaine de la médecine, avec le milliardaire amendes payées pour la commercialisation illégale de drogues psychiatriques pour des usages non approuvés. La hausse des ventes reflète une dépendance patiente sur ces ISRS : ils peuvent avoir de grande difficulté, s'arrêtant même quand ils effilent hors les médicaments lentement. Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d'une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d'utilisateurs de toxicomanes, à long terme.

Un autre problème majeur avec les médicaments utilisés en psychiatrie, c'est qu'ils peuvent causer les symptômes qu'ils sont censés pour soulager. Malheureusement, les psychiatres ont tendance à augmenter la dose ou à ajouter une autre drogue, lorsqu'un patient signale des effets négatifs.

Le problème est que beaucoup de ces médicaments ne fonctionnent pas simplement comme personnes supposent. Le principal effet des antidépresseurs n'est pas la réduction des symptômes dépressifs. Ils ne valent pas mieux que le placebo pour la dépression légère, seulement un peu mieux pour la dépression modérée et bénéficient seul un sur dix souffrant de dépression sévère. Dans environ la moitié des patients, ils provoquent des troubles sexuels. Les symptômes ne comprennent une diminution de la libido, orgasme retardé ou éjaculation, aucun orgasme ou éjaculation et la dysfonction érectile. Des études chez les humains et les animaux suggèrent que ces effets peuvent persister longtemps après que le médicament n'est plus supporté.

L'US Food and Drug Administration a montré que les antidépresseurs augmentent le comportement suicidaire jusqu'à l'âge de 40 ans, et de nombreux suicides ont été signalés, même chez les personnes saines qui ont pris les médicaments pour d'autres raisons (par exemple, de stress ou de douleur). Un autre rapport dit aussi que, parmi les personnes de plus de 65 ans, les antidépresseurs sont censés tuer une personne sur 28 traitée pendant un an, parce qu'elles conduisent à chutes et fractures de la hanche. En effet, c'est ne pas clair si les antidépresseurs sont sûrs à tout âge.

Mes études de la littérature de recherche dans ce domaine m'amènent à une conclusion très mal à l'aise : la façon dont nous utilisons actuellement des médicaments utilisés en psychiatrie est à l'origine plus de mal que de bien. Nous devrions donc les utiliser encore moins, pour de courtes périodes de temps et toujours avec un plan pour effiler, pour empêcher les gens d'être médicamentés pour le reste de leur vie.

franchement, les médecins sont moins coupables que les labos, ils sont plus ou moins incités a le faire, innocents, non, mais quand un homme meurt d'une balle dans le dos, j'ai tendance a accuser le tireur plutôt que l'arme

Pour moi les armes et les balles sont fournies par les labos et les pharmaciens.

Mais ce sont bien les médecins qui font les ordonnances !

C'est eux qui trahissent la confiance des victimes.

Ils sont coupables les uns comme les autres.

Sans parler des gouvernements qui ferment les yeux alors qu'ils savent tout cela depuis longtemps, ce qui n'est pas mieux.

ils ne ferment pas les yeux, ils sont soumis a la seule loi qui prédomine en ce monde, celle du dieu argent

Pour moi les armes et les balles sont fournies par les labos et les pharmaciens.

Mais ce sont bien les médecins qui font les ordonnances !

C'est eux qui trahissent la confiance des victimes.

Ils sont coupables les uns comme les autres.

Sans parler des gouvernements qui ferment les yeux alors qu'ils savent tout cela depuis longtemps, ce qui n'est pas mieux.

Là, pour le coup, il ne s'agit pas d'une ordonnance mais d'un test clinique qui tourne à la catastrophe.

Normalement, les médicaments mis sur le marché sont testés et les errances sont la sur-prescription ou la prescription systématique, le surdosage et une certaine facilité à faire des traitements à long terme alors qu'ils ne sont pas destinés à ça. Sans compter les erreurs, la corruption médicale ou les prescriptions pour d'autres choses que celles prévues lors de l'AMM.

ça me scie

Vous n'aviez vraiment pas conscience que l'utilité des médicaments pour les troubles psychiatriques est en premier lieu d'engraisser l'industrie pharmaceutique ?

Et encore quelqu'un qui ne connaît rien aux problèmes psys et qui vient parler.

C'est dingue...

tu es qui pour décréter que je n'y connais rien ?!

je rêve la

Je suis la personne qui te lit. Une personne qui a la moindre idée de ce que sont les problèmes psys ne diraient jamais que les médicaments pour ceux-ci sont faits pour se faire du fric en premier lieu.

Quand t'auras fait une crise psychotique, on te conseillera le yoga, tu verras comment tu te sentiras

crois moi j'en sais plus long que ce que tu imagines, assez pour savoir que distribuer des drogues aussi puissantes a tout va comme des smarties est une solution de facilité dans pas mal de cas, j'ai bien dit "pas mal de cas", ça ne signifie pas la totalité des cas

C'est bien, on est passé de "le but c'est le fric" à "Dans pas mal de cas c'est une solution de facilité".

Le problème c'est qu'en faisant passer ce genre de message, en créant une ambiance anti-médicamenteuse, en faisant croire que c'est une question de fric, on fait peser à nouveau un poids énorme sur les personnes qui ont besoin de médocs.

Pas besoin de médocs pour aller mieux. Pas besoin de médocs pour être "normal". Besoin de médocs pour exister. Besoin de médoc pour ne pas finir en taule ou dans un cercueil.

ok, allons y gaiement alors, dès que quelqu'un commence a montrer un signe d'une possibilité éventuelle d'une théorique hypothèse de début de commencement de trouble psychiatrique, au lieu de parler, bourrons le de drogues toujours plus puissantes

mon pote éternue un peu plus fort que la normale ?

Antidépresseurs a haute dose

Mon gamin fait du bruit ?

Anxiolitiques au kilo

Ok, allons-y gaiement: laissons des personnes crever parce que les médicaments c'est mal, et conseillons-leur le yoga. C'est avec le yoga qu'ils n'auront plus d'hallucinations ou qu'ils ne se réveilleront plus la nuit en train de tuer leurs amants.

Ton gamin a des délires paranoïaques et a tenté de se suicider plusieurs fois parce qu'il avait peur d'être pourchassé ? Yoga, je te dis. Yoga.

Vous sous estimez dangereusement le pouvoir curatif du macramé et du scrapbooking.